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Les bouteilles d’eau laissées à la chaleur sont cancérigènes

Vous a-t-on déjà dit de ne pas boire l’eau d’une bouteille parce qu’elle était restée au soleil? L’avertissement était justifié.

Le plastique est composé de polytéréphtalate d’éthylène, et lorsque ce dernier est soumis à une chaleur importante, il émet des substances chimiques et du bisphénol A, communément appelé BPA. Il s’agit d’un produit cancérigène, rapporte Science World Report.

Des chercheurs de l’Université de la Floride ont testé 16 marques de bouteilles d’eau. Sur les 16 marques analysées, une seule dépassait les normes établies. Même si la FDA affirme que les niveaux de BPA sont trop faibles pour être préoccupants, les spécialistes du milieu de la santé croient que cela a une incidence sur la santé des enfants.

Les chercheurs mettent en garde contre toute autre boisson commercialisée dans du plastique contenant du polytéréphtalate d’éthylène, tels que les jus acides, le café et le lait.

« Nous avons testé de l’eau pure uniquement. Qui sait ce que révélerait un contenant de jus acide. »

L’étude a été publiée dans la revue Environmental Pollution.

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Les nouilles instantanées augmentent le risque de maladies cardiaques

Hyun Joon Shin chercheur de l’étude a décidé d’analyser plus en profondeur le lien entre la grande consommation de nouilles instantanées et le risque de syndrome cardiométabolique. Il s’agit d’une agglomération d’anomalies métaboliques qui augmente le risque de maladies cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux et de diabète.

Sa recherche s’est avérée concluante. Manger plus de deux fois par semaine des nouilles de type « Ramen » a de réelles conséquences. Or, les risques étaient plus marqués chez les femmes.

Le bisphénol A (BPA), produit chimique utilisé pour le conditionnement des pâtes dans des contenants en mousse de polystyrène, pourrait être l’un des responsables de cette différence entre les sexes. Selon des travaux antérieurs, le BPA affecte la manière dont les hormones (surtout l’œstrogène) envoient des signaux à travers le corps, mentionne Science World Report.

Cette nouvelle étude parue dans le Journal of Nutrition s’est penchée sur les habitudes alimentaires des habitants de la Corée du Sud. Ce peuple est réputé pour être le plus grand consommateur de nouilles instantanées dans le monde. 

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Les caissiers et serveurs à risque à cause du bisphénol A?

Le métier de caissier, commis ou serveur est-il plus dangereux qu’on pourrait le croire? C’est ce que laisse entendre une nouvelle étude en provenance de l’Université de Cincinnati, maintenant rapportée par The National Library of Medicine. Elle conclut que les factures et reçus manipulés des milliers de fois par ces employés pourraient être toxiques.

Une toxicité explicable par la présence de bisphénol A (aussi largement connu sous le nom de BPA) dans les reçus de papier tendus aux clients à la suite d’une transaction.

Utilisé pour éviter que les couleurs et détails du reçu s’effacent, le bisphénol A n’aurait besoin que de deux heures pour causer un effet sur un caissier, selon les chercheurs américains.

C’est donc dire qu’après deux heures de travail intense, un commis verra ses taux de BPA augmenter radicalement. Cette conséquence peut s’avérer bénigne, mais les chercheurs s’inquiètent de voir de jeunes femmes enceintes ou fertiles passer 40 heures par semaine à manipuler ces reçus et factures.

La même crainte, cette fois en lien avec des contenants et bouteilles, a été établie au cours des dernières années concernant le BPA et les jeunes enfants.

D’autres études sur le sujet doivent être réalisées pour mesurer les effets réels à long terme du BPA retrouvé sur les reçus et factures des magasins.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le Journal of the American Medical Association.

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Pas si dangereux que ça, le bisphénol A?

La controverse entourant le bisphénol A, aussi appelé BPA, vit un autre épisode de sa saga, alors qu’un toxicologue publie ses conclusions sur le sujet.

Le chercheur du Pacific Northwest National Laboratory croit, après avoir étudié une panoplie d’études précédemment publiées sur le sujet, que dans une grande majorité des cas, les taux de BPA retrouvés dans les bouteilles d’eau, les aliments et les contenants de plastique ne sont pas suffisamment élevés pour provoquer des problèmes de santé graves.

C’est Nutrition News qui rapporte les propos du spécialiste en toxicologie, qui sont corroborés par un collègue qui déclare : « C’est un millier de fois plus bas que les niveaux retrouvés chez les animaux qui causent vraiment des problèmes ».

De plus, on apprend que plusieurs pays ont aussi tranché en ce sens, notamment le Japon et son National Institute of Advanced Industrial Science and Technology, ainsi que l’OMS et l’European Food Safety Authority.

Le débat est lancé!

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L’asthme infantile relié à l’exposition de BPA

Des chercheurs du Columbia Center for Children’s Environment Health de l’école Mailman School of Public Health sont les premiers à documenter le lien entre ce composé chimique et l’asthme chez l’enfant.

Les études ont été effectuées sur un groupe de 568 femmes et leurs bébés ayant été exposés au BPA lors de leur troisième trimestre de grossesse. Plus de 90 % de ces enfants ont montré des signes d’asthme et/ou de respiration sifflante vers les âges de 3, 5 et 7 ans.

D’autres recherches suggèrent que le Bisphénol A serait aussi lié à d’autres problèmes de santé comme l’obésité, certains troubles comportementaux et une intolérance au glucose.

L’auteur Robin Whyatt, professeur en science de la santé environnementale affirme : « Il est crucial de procéder à une solide recherche épidémiologique afin d’offrir aux spécalistes les outils nécessaires pour baser leur décision en matière de sécurité concernant le BPA ».

Pour diminuer l’exposition au BPA, le National Institute of Environmental Health Sciences (NIEHS) recommande d’éviter la nourriture en conserve, les plastiques numérotés 3 et 7 et de préférer les contenants en verre ou en acier inoxydable.

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Le composite utilisé pour réparer les caries produit du BPA

Pour le bien d’une étude, 172 enfants chez qui on a posé du composite pour réparer les caries ont eu leur taux de bisphénol A et d’autres produits chimiques néfastes analysé à travers leur salive et leur urine, pour vérifier à quel point le BPA était absorbé dans l’organisme.

Les résultats remettent en question l’utilisation de ces composites : même si le taux de BPA était variable selon l’âge et le sexe, la concentration de produits chimiques était très élevée dans la salive une heure après l’application pour baisser progressivement par la suite, tandis le taux dans l’urine a plutôt augmenté progressivement au cours des 30 heures suivant l’application.

Les chercheurs n’ont toutefois pas pu établir de conclusions définitives par rapport à la sécurité de ce composite, qui est largement utilisé en dentisterie à travers le monde, exprimant surtout le besoin de mener d’autres études plus larges.

Les résultats ont été publiés dans le Journal of the American Dental Association.

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Le bisphénol A, omniprésent et responsable de l’obésité infantile

L’étude menée auprès de 3000 enfants et adolescents est plutôt inquiétante. La recherche, effectuée par la New York University School of Medicine, conclut à une corrélation probante entre la détection dans l’urine d’une forte concentration de BPA et la prévalence à l’obésité.

Ainsi, durant l’étude, plus de 90 % des jeunes âgés de 6 à 19 ans présentait une concentration de BPA détectable dans leur urine. Pour déterminer le lien entre le taux de concentration et les risques d’obésité, l’indice de masse corporel (IMC) était également pris en considération.

Or, les résultats publiés par le Dr Leoardo Trasande de la NYU School of Medicine, selon santelog.com, démontrent clairement que le taux élevé de BPA augmente le risque d’obésité chez les enfants de plus de deux fois et demie.

Ce n’est pas tant cette information qui choque, que le fait que le bisphénol A est omniprésent, et ce, jusque dans les préparations de lait que les nourrissons boivent. Il s’agit d’un produit chimique environnemental, interdit dans certains pays, du moins pour la nourriture pour bébé.

Le Dr Trasande a même indiqué que plusieurs études ont déjà traité du sujet, indiquant même que le BPA pouvait perturber de nombreux mécanismes métaboliques. Seulement, le lien avec l’obésité infantile n’avait pas encore été mis en lumière.

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Le bisphénol A aussi lié à l’obésité et au diabète de type 2

Bien qu’une mauvaise alimentation et un mode de vie sédentaire soient pointés du doigt pour le taux grandissant d’obésité, des chercheurs ont découvert une nouvelle cause cachée à ce fléau.
 
Déjà reconnu comme nocif pour les femmes enceinte et même cancérigène pour l’homme, le bisphénol A (BPA) est encore utilisé dans certains pays pour la fabrication de plastiques et de récipients alimentaires. Au Canada, le BPA est sur la liste des substances toxiques.
 
Selon l’étude parue dans le PLoS ONE, même une infime quantité de BPA est suffisante pour causer une réaction hormonale dans le corps, trompant ainsi ce dernier en lui faisant croire que vous avez mangé plus de nourriture qu’en réalité.
 
De plus, cela affecte le pancréas qui produit l’insuline. Ainsi, le BPA est aussi lié à l’obésité et au diabète de type 2.
 
On estime que dans le monde, 90 % de la population des pays développés ont un taux élevé de BPA dans le sang. Des données plutôt inquiétantes qui doivent être étudiées en profondeur.
 
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Les BPA touchent plus les petites filles

Des chercheurs américains et canadiens viennent de démontrer une fois de plus que l’exposition aux BPA durant la grossesse comporte des risques importants.

Cette fois, on ajoute que cette exposition dans l’utérus est liée à des problèmes de comportement et émotifs chez les enfants d’âge préscolaire. Cette répercussion serait d’autant plus marquée chez les petites filles, lit-on dans Pediatrics.

La présente étude a regroupé 244 mères et leurs enfants. Des corrélations ont été établies selon des échantillons d’urine des mères durant la grossesse et à l’accouchement, puis de celles des enfants lorsqu’ils ont eu un, deux et trois ans, ainsi que des réponses à un sondage quant au comportement des enfants à trois ans.

On remet donc encore en cause l’emploi de ces substances chimiques dans la fabrication des produits de consommation. Rappelons que les BPA se trouvent notamment dans les contenants en plastique, dans certains scellants dentaires et dans le papier thermique.

Les chercheurs ajoutent que si une plus faible exposition à ces substances est souhaitée, on ne saurait encore établir concrètement si cette réduction aurait un impact évident.

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Le syndrome de Down relié aux BPA

Le bisphénol A est sous la loupe depuis quelques années. Les possibles conséquences d’une exposition à cette substance omniprésente dans les produits en plastique sont de plus en plus nombreuses.

Cette fois, on apprend dans Human Reproduction qu’elle peut altérer le développement des ovocytes et des futurs ovaires chez la femme. Cet effet réduirait possiblement la fertilité de la progéniture de la femme, en plus d’augmenter la prévalence du syndrome de Down dans les générations suivantes.

Rappelons que le syndrome de Down est ce que nous appelons couramment la trisomie 21. Il s’agit d’une maladie chromosomique congénitale qui est engendrée par un chromosome surnuméraire à la 21e paire. Ses signes physiques sont reconnaissables, et elle entraîne un retard cognitif. La trisomie 21 est la maladie génétique la plus commune.

Des chercheurs ont analysé plus de 21 000 ovocytes in vitro pour établir cette corrélation. L’exposition aux BPA aux degrés permis par les autorités de la santé comporterait en fait des dangers pour le fœtus.

Le risque d’échange de chromosome se trouverait par ailleurs doublé par cette exposition. L’analyse du chromosome 21 en particulier, dans le développement de 90 ovocytes, a indiqué un plus grand risque du syndrome de Down chez la future progéniture du fœtus.