Elizabeth Blouin-Brathwaitea récemment été confrontée à la justice, comme le rapporte 7 Jours, dans une affaire qui concernait un différend opposant l’artiste à son ex-conjoint et père de son fils, David Beaudry Lemarbre.
Un juge a donc dû rendre un verdict dans cette histoire, tranchant pour l’ex-conjoint.
Après avoir considéré les faits et les preuves présentées devant lui, le tribunal a donc condamné Elizabeth à payer une somme totale à son ex de 21 200$, plus les frais.
Rappelons qu’aujourd’hui la jeune femme a refait sa vie et est de nouveau en amour!
En effet, lors de cette présence à l’émission, Normand Brathwaite révélait ne pas connaître l’étendue de son compte en banque.
«Tu as travaillé comme un fou et je t’ai souvent entendu dire ça, que tu as travaillé (et) que (…) tu étais sur le party. C’est pour combler de quoi? Une tristesse, une solitude, un malheur, ou tu es juste quelqu’un qui aime travailler?», demande Alexandre.
«J’aime travailler. Mon père a travaillé plus fort que moi. La vérité, c’est qu’au niveau monétaire, je ne sais pas combien j’ai en banque! Je ne l’ai jamais su», lui répond avec franchise Normand!
«J’en ai beaucoup moins que toi, peut-être plus facile à savoir j’en ai combien. Mais, j’ai de la misère à croire que tu as un lâcher-prise, une insouciance, et que tu ne le sais pas combien tu vaux!», ajoute l’animateur, visiblement un peu incrédule face à cette confidence.
«Je ne le sais pas pantoute. J’ai une idée ball park, avec les maisons, j’ai une belle maison ici et j’ai une maison en Gaspésie, je roule pas mal, je dépense. Ça coûte de l’argent faire de l’argent! Puis, quand je faisais des commerciaux, c’était trop des gros montants pour moi (…) Une vingtaine d’années d’affilée, un million, un million deux (…) Moi, ça a duré 22 ans avec Réno-Dépôt», répond un Normand un brin plus transparent, mais qui en laisse encore pour l’imagination.
Il termine en précisant qu’il n’a jamais été au courant, puisqu’il ne voulait pas savoir s’il en avait fait trop… ou pas assez!
«Probablement que si je le savais exactement (…) Là, en ce moment, peut-être que je trouverais que ce n’est pas assez avec tout ce que mon corps a subi. Mais il y a une couple d’années, j’aurais trouvé que c’est trop!», termine-t-il.
La misère des riches, réelle nonchalance ou cachotteries de la part de Normand, selon vous?
Semblerait qu’Edouard Brathwaite, le fils de Normand Brathwaitedont on découvrait les talents musicaux cet été, traverse une période difficile, affirmant lui-même avoir souffert de dépression. Au début du mois, il effaçait toutes les photos de son compte Instagram et partage depuis principalement des memes tout en laissant des commentaires comme celui-ci : « Si vous dépensez votre d’argent dans les jeux vidéo, vous aurez au moins quelque chose pour vous tenir compagnie un fucking dimanche soir. C’est moins cher qu’acheté l’amour putride d’une femme et ça dure plus longtemps aussi. »
Cette nuit, il a publié un selfie et un texte très nihiliste, affirmant du même coup qu’il supprimerait bientôt son compte. « J’avais peur d’un million d’autres choses et elles me sont toutes arrivées quand même, écrit-il. Quelle est la différence? J’ai traversé une grosse période transformatrice au cours des deux dernières années. La plupart du temps, c’était sombre et oui, j’ai atteint des profondeurs dont je n’avais jamais entendu parler. »
Il poursuit : « Mais malgré mon odyssée prolongée de dissociation, de dépression et de détachement, il m’est arrivé quelque chose de véritablement merveilleux. Un jour, je me suis réveiller et je n’étais plus lié à ce monde par un contrat moral arbitraire. J’étais libéré de mes entraves mondaines. Je ne sentais plus rien. Je me suis promené dans ma maison où tous les vestiges d’une époque plus heureuse auraient dû être et je m’en foutais. J’ai tout perdu mais c’est ce qu’il a fallu. »
« Malgré mes luttes bien documentées avec la santé mentale, non je ne veux PAS nécessairement mourir, explique-t-il. Mon argument est simplement que peu importe, ce n’est juste pas très important pour moi. J’ai effectivement annihilé cette peur. Je n’appartiens pas à ce monde ou à l’avenir. Je sais que cela semble nihiliste et peut-être que oui mais ma vie n’est pas une mer perpétuelle de ténèbres et de misère non plus, croyez-le ou non. Bien au contraire. Les couleurs sont plus vives et les saisons sont plus agréables lorsque l’on sait qu’elles n’ont vraiment aucune importance significative. »
« Et quant à l’amour, ma némésis assermentée, elle m’effraye beaucoup moins maintenant que je sais qu’elle n’existe pas et qu’elle n’a jamais réellement existé. Après tout, ne profitons-nous pas tous un peu plus du party quand ça se passe pas chez nous? Il est clair que je ne vis pas ici », lance-t-il comme conclusion.