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Angelina Jolie parle de sa mastectomie

L’actrice et réalisatrice Angelina Jolie est de passage à Paris pour y promouvoir la sortie de son nouveau film Invincible. À cette occasion, elle était invitée hier (5 janvier) au micro de RTL.

 

La vedette fut très touchée par le témoignage d’une auditrice qui a confié avoir subi elle aussi une mastectomie à l’âge de 26 ans. Émue par ce témoignage, l’actrice mentionne : « Nous sommes toutes ensemble dans cette lutte. Non seulement les femmes, mais aussi les pères, les fils, les maris qui nous soutiennent dans ces périodes difficiles. »

 

Par la suite, Angelina Jolie a confié : « J’ai été moi-même tellement inspirée par de nombreuses femmes dans ma vie que si je peux de quelque manière que ce soit contribuer à en aider d’autres et j’espère que nous pourrons continuer cette discussion pas seulement sur le cancer ovarien ou du sein, mais sur tous les problèmes de santé que rencontrent les femmes et d’ailleurs d’en parler et ne plus les rendre tabous. Je crois que nous devons être fières de parler de ça. »

 

Rappelons qu’en mai 2013, Angelina Jolie avait révélé au monde entier qu’elle avait subi une double mastectomie préventive. Au New York Times, elle confiait : « Je suis porteuse du gène BRCA1, qui accroît fortement le développement d’un risque de cancer du sein et de l’ovaire. »

Photo : BANG/BIG

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Angelina Jolie parle de sa mastectomie

L’actrice et réalisatrice Angelina Jolie est de passage à Paris pour y promouvoir la sortie de son nouveau film Invincible. À cette occasion, elle était invitée aujourd’hui (5 janvier) au micro de RTL.

 

La vedette fut très touchée par le témoignage d’une auditrice qui a confié avoir subi elle aussi une mastectomie à l’âge de 26 ans. Émue par ce témoignage, l’actrice mentionne : « Nous sommes toutes ensemble dans cette lutte. Non seulement les femmes, mais aussi les pères, les fils, les maris qui nous soutiennent dans ces périodes difficiles. »

 

Par la suite, Angelina Jolie a confié : « J’ai été moi-même tellement inspirée par de nombreuses femmes dans ma vie que si je peux de quelque manière que ce soit contribuer à en aider d’autres et j’espère que nous pourrons continuer cette discussion pas seulement sur le cancer ovarien ou du sein, mais sur tous les problèmes de santé que rencontrent les femmes et d’ailleurs d’en parler et ne plus les rendre tabous. Je crois que nous devons être fières de parler de ça. »

 

Rappelons qu’en mai 2013, Angelina Jolie avait révélé au monde entier qu’elle avait subi une double mastectomie préventive. Au New York Times, elle confiait : « Je suis porteuse du gène BRCA1, qui accroît fortement le développement d’un risque de cancer du sein et de l’ovaire. »

Photo : BANG/BIG

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Angelina Jolie fait-elle augmenter les requêtes de mastectomie?

Le Daily Mail (UK) rapporte une hausse des demandes de mastectomie, un phénomène que le journal n’hésite pas à lier à l’histoire d’Angelina Jolie, le baptisant même « l’effet Jolie ».

Les données britanniques rapportées semblent en effet confirmer une hausse spectaculaire des requêtes pour une mastectomie de la part des femmes à risque de développer un cancer du sein.

Un risque que les spécialistes sont maintenant capables de chiffrer, en analysant le bagage génétique d’une patiente. C’est précisément l’histoire d’Angelina Jolie, qui avait décidé d’opter pour une mastectomie complète après avoir reçu confirmation qu’elle portait le gène BRCA1, portant ses chances de développer un cancer du sein à 87 %.

Il semble que le choix de l’actrice ait influencé toute une génération de femmes, qui ont alors pris d’assaut le web afin de s’informer. Le phénomène s’est ensuite traduit par une hausse de telles demandes dans les cliniques et centres en oncologie, confirment plusieurs spécialistes.

Alors que plusieurs observateurs saluent le courage d’Angelina Jolie, d’autres croient plutôt qu’il faut être très prudent avec ce genre d’intervention, extrême s’il en est une, et rappellent qu’il existe d’autres alternatives pour faire baisser les risques de développer un cancer du sein.

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Deux gènes associés au cancer de la prostate

Des chercheurs associés à l’école de médecine Albert Einstein de l’Université Yeshiva, aux États-Unis, affirment que les gènes BRCA1 et BRCA2, généralement associés au cancer du sein, augmentent le risque que les hommes atteints d’un cancer de la prostate développent la forme la plus maligne de la maladie.

Pour en arriver à cette conclusion, les scientifiques ont analysé les mutations génétiques chez 2 000 hommes et suggèrent que l’on traite plus rapidement ceux qui ont une mutation génétique et qui souffrent d’un cancer de la prostate à un stade encore précaire.

« L’un des principaux problèmes concernant le cancer de la prostate est de distinguer les tumeurs qui deviendront agressives de celles qui vont durer quelques années, mais sans se répandre », soutient l’un des auteurs, le Dr Robert Burk.

Seulement aux États-Unis, 221 000 hommes meurent annuellement du cancer de la prostate et 679 000 cas s’ajoutent chaque année.

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Un gène à l’origine du cancer du sein

Des travaux effectués conjointement par les universités américaine et suédoise de Columbia et Lund explorent une piste d’explication pour le cancer du sein. Pour ce faire, les chercheurs ont observé le gène BRCA1, qui augmente considérablement le risque de cancer du sein chez les femmes qui en sont porteuses.

Il semble que la mutation du BRCA1 empêche le gène PTEN, qui agit sur les cellules cancéreuses et les détruit, de bien faire son travail et neutraliser le cancer du sein.

Les scientifiques ont ainsi observé des réactions chimiques qui ont déclenché des tumeurs malignes.

Cette percée médicale nécessite toutefois d’autres essais cliniques que les sociétés pharmaceutiques effectuent sur des animaux afin de trouver un traitement efficace pour les femmes.

Au Canada, le cancer du sein est celui qui touche le plus la population féminine. Chaque année, 22 000 Canadiennes reçoivent un tel diagnostic et parmi elles, 5 000 en décèdent.