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Tomas Plekanec honoré par ses anciens coéquipiers à Kladno

Tomas Plekanec a offert son dernier au revoir à la planète hockey dimanche soir, alors que les Knights de Kladno, son équipe en Tchéquie, ont célébré sa carrière mémorable avant un de leurs matchs. Pour l’occasion, plusieurs de ses anciens coéquipiers ont tenu à lui rendre hommage.

Et parmi ces joueurs, il y en a quelques uns du Canadien. Trois anciens joueurs de Montréal lui ont souhaité bonne retraite. Il s’agit de Artturi Lehkonen, Paul Byron, Max Pacioretty et Shea Weber.

En plus de ces quatre anciens, Brendan Gallagher a aussi rejoint la fête pour célébrer la carrière de Plekanec. La meilleure chose que Plekanec lui a appris au début de sa carrière? Jouer au cartes!

Voici la vidéo qui a été publiée sur la page Facebook des Knights.

L’ancien de la LNH, Michael Frolik était aussi de la partie, lui qui a été le coéquipier de Plekanec avec l’équipe nationale tchèque et pendant 9 matchs avec Kladno. C’est lui-même qui lui a remis un bâton de hockey spécial en son honneur.

Frolik avait parlé avec Plekanec pendant tout l’été et était très excité de jouer avec une « super légende du hockey tchéque », mais les blessures ne lui ont permis que quelques matchs aux côtés de Pleky.

Les partisans de Kladno avaient préparé un chant spécial pour le match, chantant « Captain Pleky, the Kladno Avenger » pendant la rencontre. Depuis son retour à Kladno en 2021, Plekanec est reconnu comme le « Avenger » de Kladno, comme les héros de Marvel.

Voici quelques photos de la cérémonie :

Malheureusement, son ancienne équipe s’est inclinée par la marque de 4 à 2 pendant la soirée. Kladno aurait probablement aimé encore avoir l’aide de son précieux « Avenger ».

Tomas Plekanec a dû prendre sa retraite du hockey à 41 ans en raison de problèmes de dos. Il avait joué les 9 premiers matchs de la présente saison, mais a dû abandonner, alors que la douleur devenait insoutenable pour lui.

En rafale

– Incroyable!

– Quand même fou comme histoire.

– Ça va faire jaser.

– Beau modèle!

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Brendan Gallagher avoue avoir joué blessé pendant une partie de la saison

Twitter Canadien de Montréal

Les joueurs du Canadien de Montréal rencontrent présentement les journalistes pour la dernière fois de la campagne 2022-23. 

Dans les dernières minutes, Paul Byron a fait une importante déclaration concernant la suite de sa carrière.

L’attaquant Sean Monahan s’est lui aussi adressé aux médias alors qu’il a malheureusement manqué une grande partie de la saison.

Il s’est prononcé sur son avenir avec le Canadien et disons que sa déclaration risque de faire plaisir aux partisans du club. 

C’est maintenant au tour de Brendan Gallagher de discuter avec les médias. 

Il vient tout juste de faire une déclaration surprenante concernant une fracture à une cheville qu’il a subie lors du 12e match du calendrier régulier.

Après avoir été cloué à l’infirmerie, le numéro 11 a effectué un retour au jeu trop rapidement alors que sa blessure n’était pas tout à fait guérie, contrairement à ce qu’il croyait.

Il a finalement joué un mois blessé et sa cheville s’est fracturée de nouveau.

Cela explique donc pourquoi il a été absent beaucoup plus longtemps. 

Voyez les publications plus bas : 

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Brendan Gallagher force Phillip Danault à révéler publiquement son horrible surnom

Maintenant qu’il a quitté Montréal pour aller rejoindre les Kings à Los Angeles, on voit beaucoup moins de nouvelles concernant l’attaquant Phillip Danault.

Cependant, certaines histoires qu’il croyait enfouies derrière lui refusent de mourir.

Alors qu’il participait à un segment vidéo avec le LNH.com, on invitait les partisans à lui poser des questions sur Instagram.

Un partisan en particulier, un certain Brendan Gallagher, a décidé de poser une question pour mettre son ancien coéquipier dans l’embarras, demandant d’expliquer pourquoi il se faisait surnommer « Crotte » (Turd) par le reste de l’équipe quand il était à Montréal.

Visiblement mal à l’aise, il a tout de même été bon joueur et a accepté de raconter l’histoire derrière ce surnom peu enviable.

« À mes débuts dans la LNH, je ne parlais pas très bien anglais mais j’essayais du mieux que je pouvais. Alors que j’étais avec les Blackhawks de Chicago, durant un entracte j’ai voulu encourager l’équipe dans la chambre avant de sauter sur la patinoire et j’ai dit: ‘Ayons une bonne 3e période!’ Par contre, comme mon anglais n’était pas très bon, j’ai omis de prononcer le H dans le mot third, ce qui sonnait donc comme turd (crotte). Mon coéquipier Andrew Shaw a été marqué par cet incident et s’est mis à me surnommer ‘Crotte’ pendant tout mon séjour avec les ‘Hawks. Lorsque j’ai été échangé à Montréal, tout ça a arrêté. Mais évidemment, peu de temps après Shaw a aussi été échangé aux Canadiens et il s’est fait un plaisir d’amener mon surnom à Montréal avec lui et d’en informer tout le reste de l’équipe! »

– Phillip Danault

Parmi tous les surnoms possibles, c’est clairement l’un des pires. Pauvre gars!

Bravo à lui d’en rire et nous partager cette anecdote.

Voyez au bas la publication vidéo.

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Martin St. Louis a-t-il créé le trio parfait?

Comme nous vous le rapportions plus tôt, certaines expériences ont été tentées durant les derniers matchs, particulièrement durant le match entre les Panthers de la Floride et le Canadien à Montréal, jeudi dernier.

Parmi ces expériences, l’entraîneur-chef Martin St. Louis pourrait bien avoir eu la main heureuse et avoir créé le trio parfait pour la suite des choses.

Dans toutes ses réorganisations de trios, St. Louis a placé les attaquants Brendan Gallagher et Rafaël Harvey-Pinard ensemble sur un troisième trio, avec l’attaquant Jake Evans au centre.

Quoi de mieux que de placer Brendan Gallagher avec le Brendan Gallagher 2.0 ensemble avec un centre responsable défensivement pour pivoter ce trio? On souhaite bonne chance aux gros trios adverses de se mesurer face aux deux joueurs les plus fougueux du Canadien réunis ensemble!

On a même vu les deux joueurs placés ensemble devant le filet adverse durant un avantage numérique en fin de match. C’est d’ailleurs ainsi que Harvey-Pinard a marqué son but.

À bien y penser, il pourrait s’agir du troisième trio parfait pour amorcer la saison 2023-24, alors que les trois joueurs seraient exactement dans la bonne chaise.

Voyons voir maintenant si le coach a suffisamment aimé ce qu’il a vu pour continuer l’expérience au cours des prochains matchs.

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“Brendan Gallagher vient de manger son premier coup de poing à l’égo”

Depuis qu’il a été repêché par le Canadien de Montréal et qu’il a gravi les échelons dans l’organisation, les comparaisons au sujet de l’attaquant Rafaël Harvey-Pinard étaient toutes les mêmes: Un espèce de Brendan Gallagher 2.0 de par sa fougue et son ardeur au travail.

Maintenant qu’il est arrivé dans la LNH et qu’il a profité des nombreuses blessures chez le CH, l’attaquant Québecois a non seulement fait sa place mais s’est même rendu indispensable aux succès de l’équipe, si bien que l’entraîneur-chef Martin St. Louis ne peut même pas penser le retirer de l’alignement quand les joueurs réguliers reviendront au jeu.

D’ailleurs, une séquence a attiré l’attention de l’analyste Guillaume Latendresse à propos du rôle que joue présentement Harvey-Pinard et ce, même si le Brendan Gallagher original est revenu au jeu.

Tel que l’indique Latendresse au micro du 98.5 Sports, le coach du Canadien donne maintenant à Harvey-Pinard les responsabilités qui appartenaient jadis à Gallagher, comme le poste devant le filet sur les avantages numériques.

« J’ai eu un flash cette semaine quand le Canadien a eu un 5 contre 3 et c’était tous les meilleurs joueurs. En avant du filet c’était Rafaël Harvey-Pinard. On parlait du rôle de Gallagher avec son salaire pour les 5 prochaines années et je me disais que Gallagher était sur le banc quand c’était son rôle depuis 10 ans. Je me mettais à sa place sur le banc et ça m’a fait: ‘Ayoye! Là, je viens de manger mon premier coup de poing!’ Ça m’a fait mal pour Gallagher mais on prépare le futur et Harvey-Pinard c’est le futur. »

– Guillaume Latendresse

S’agit-il d’un avant-goût de ce qui s’en vient pour le vétéran attaquant du Canadien en voyant son rôle déjà commencer à diminuer malgré le salaire qu’il commande?

Il sera très intéressant de voir si Harvey-Pinard réussira dès le début de la saison prochaine à tasser Gallagher pour de bon et lui voler son rôle, lui qui le voit comme un de ses idoles.

  • Âgé de 30 ans, Brendan Gallagher compile une fiche de 7 buts et 6 passes pour un total de 13 points en 30 matchs jusqu’à présent cette saison. Il lui reste encore 4 autres années à écouler à son contrat lui rapportant en moyenne 6.5 millions de dollars par saison.
  • Âgé de 24 ans, Rafaël Harvey-Pinard compile une fiche de 13 buts et 5 passes pour un total de 18 points en 31 matchs jusqu’à présent cette saison. Il deviendra agent libre avec restriction cet été.

Vous pouvez entendre au bas l’émission dans son intégralité.

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Une bagarre éclate entre Brendan Gallagher et Tatcher Demko

Les Canucks de Vancouver rendaient visite au CH, mercredi soir, et la frustration s’est rapidement installée. Après trois buts rapides du Tricolore en première période, Vancouver s’est mis à jouer plus physiquement, de manière frustrée.

En milieu de deuxième période, la rondelle est dirigée vers le filet du gardien des Canucks, Tatcher Demko, et, fidèle à son habitude, Gallagher a chargé la cage adverse. Sur la séquence, il est entré en contact avec le gardien, ce qui n’a pas plus au défenseur adverse Oliver Ekman-Larsson, qui s’en est rapidement pris à lui. Quelques secondes plus tard, le Tatcher Demko s’est invité dans la bagarre.

C’est un match excellent pour Gallagher qui semble se donner plus que d’habitude, même s’il a tout le temps du cœur au ventre. En première période, il a bloqué un gros tir et est rapidement retraité au banc, visiblement blessé ou sous le choc de l’impact avec la rondelle. LA foule a tellement apprécié qu’il s’est mérité une grande ovation.

Même s’il ne produit pas énormément offensivement cette année, avec 5 points en 13 rencontres, Gallagher reste un favori de la foule et apporte plusieurs avantages au CH. Son jeu physique et dérangeant permet de déranger l’adversaire, tout en laissant les autres canons du Canadien profiter de la confusion. Il ne faut pas non plus oublier son travail pour déranger les gardien. Un gardien frustré qui cherche à se protéger de Gallagher est bien moins efficace qu’un gardien calme.

Sans avoir été nommé capitaine, le numéro 11 du Canadien reste un rouage important pour l’équipe ainsi qu’un grand leader.

En rafale

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Brendan Gallagher : son rythme laisse croire qu’il peut encore marquer 20 buts

Quand le Canadien a annoncé qu’il s’était entendu avec Brendan Gallagher sur les modalités d’un contrat de six ans et 39 M$ qui entrerait en vigueur au début de la saison 2021-22, on se doutait que les dernières années de l’entente risquaient d’être pénibles. Après tout, le style de jeu de Gally n’est pas forcément le plus durable, et quand son corps allait le lâcher, ça allait devenir pénible.

Ceci dit, dès la première année du pacte (soit la saison dernière), ça a semblé pénible pour Gallagher. Le petit #11 du CH n’a amassé que sept buts et 24 points en 56 matchs, et au-delà des points, son corps ne semblait carrément pas en mesure de tenir le coup.

Pas besoin de vous dire qu’avec cinq autres années à un cap hit de 6,5 M$, ça a de quoi inquiéter le Tricolore.

Par contre, quand on regarde le rythme de Gallagher depuis le début de la saison 2020-21, il y a matière à être optimiste : il a encore le potentiel d’inscrire une vingtaine de buts par année.

(Crédit: Capture d’écran/HockeyDB)

Depuis le début de la saison 2020-21, Gallagher a joué un total de 91 matchs de saison régulière. Durant ces 91 rencontres, il a trouvé le fond du filet à 21 reprises, ce qui lui donne un rythme d’à peu près 0,23 buts par match.

Si on extrapole sur 82 matchs, ça lui ferait 19 buts. On s’entend que le plateau des 20 buts n’est pas très loin.

Ceci dit, il faudra évidemment que Gallagher demeure en santé tout au long de la saison s’il veut atteindre cette marque. Est-ce encore réaliste de s’attendre à le voir jouer 82 matchs par année? Je ne le sais pas.

L’an dernier, on a senti que Gallagher s’ennuyait de ses deux anciens partenaires de trio, Tomas Tatar et Phillip Danault, avec qui il a connu ses meilleurs moments à Montréal. Or, il ne faut pas oublier que l’équipe était mauvaise et qu’il a été embêté par des blessures durant la campagne.

Sept buts en 56 matchs, c’est mauvais pour un gars qui gagne 6,5 M$ par année. Par contre, je crois qu’il sera capable de rebondir.

Il y a quelques semaines, Gallagher parlait de l’importance d’avoir un long été pour qu’il puisse s’assurer que son corps soit à 100 %. Avec la bulle en 2020 et le parcours de l’équipe en séries en 2021, ça fait déjà un bon moment qu’il n’a pas eu un été complet pour se préparer en vue de la saison.

Gallagher est un gars exigeant avec son corps.
(Crédit: Capture d’écran/Twitter)

Et l’an dernier, les statistiques avancées laissaient croire que Gallagher était assez malchanceux en termes de sa récolte de buts. Peut-être que la chance lui sourira un brin cette année.

Est-ce que Gallagher inscrira à nouveau 30 buts dans la LNH? J’en doute. En fait, je ne sais pas s’il sera en mesure d’en inscrire 20 dans une saison d’ici la fin de son contrat.

Or, je suis personnellement dans le camp des « optimistes prudents » dans le cas de Gally. Je le crois capable de rebondir avec une vingtaine de buts, que ce soit cette année ou l’an prochain. Il jouera vraisemblablement avec Kirby Dach ou Christian Dvorak en 2022-23, deux gars qui devraient l’aider à performer offensivement (du moins, un peu plus que ce que Jake Evans le pouvait).

Il ne vaudra peut-être pas 6,5 M$, mais je crois que le contrat de Gallagher est peut-être moins un boulet qu’on ne pourrait le croire. Si c’est encore pénible en 2022-23, par contre, ça deviendra assez inquiétant.

En rafale

– Voir Nico Hischier être repêché au premier rang a été important pour le hockey en Suisse. J’ai tendance à croire que la sélection de Juraj Slafkovsky au 1er rang aura le même impact pour le hockey en Slovaquie.

– Bonne lecture.

– Une véritable bombe dans la MLB.

Ceci dit, la situation d’Eric Hosmer retient l’attention.

– Oscar Piastri, l’un des meilleurs jeunes pilotes au monde, fera le saut en F1 en 2023.

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Le degré de tolérance à la douleur de Gallagher impressionne un médecin de l’équipe

Personne à Montréal n’en doutait. Même ma mère, qui déteste le hockey soit dit en passant, le sait : Brendan Gallagher est un véritable guerrier.

Guillaume Lefrançois du journal site/application La Presse, a profité de la disponibilité média virtuellement de Brendan Gallagher – en marge d’un événement caritatif organisé par l’Hôpital général de Montréal – pour discuter des dernières séries éliminatoires avec le #11 du Canadien.

Gallagher a accepté de jaser de la récente retraite de Matt Niskanen – le gars qui lui a cassé la mâchoire et quelques dents – ajoutant qu’il n’a jamais reçu d’appel, de texto ou d’excuses de sa part. Gallagher s’est même permis de narguer Niskanen sur les réseaux sociaux le mois dernier, lui souhaitant une bonne retraite.

Gallagher a avoué à La Presse qu’il aime bien s’amuser ainsi dans ses temps libres. Et en pleine pandémie – surtout lorsqu’il se remettait de son opération -, je présume qu’il a/avait plus de temps libre que jamais…

Le petit #11 montréalais a avoué qu’il aurait aimé affronté Matt Niskanen une dernière fois avant que ce dernier ne décide d’accrocher ses patins.

Gallagher a aussi rappeler que si le CH avait remporté son match #6 face aux Flyers, il serait revenu dans la bulle pour entamer une quarantaine d’environ sept jours. Il aurait joué dès qu’il aurait eu le feu vert des autorités (malgré une fracture de la mâchoire qui venait d’être opérée, rappelons-le).

L’adjoint au médecin en chef de l’équipe, le docteur Dan Deckelbaum, a indiqué que le seuil de tolérance à la douleur de Gallagher était vraiment élevé. No kidding?

Gallagher, lui, croit que jouer dans la douleur, si tu n’as pas de chances d’empirer ta blessure initiale, fait simplement partie de la game.

« Peu importe le sport, les joueurs ne sont jamais à 100 %. De mon côté, j’évalue le risque. Peux-tu aggraver la blessure ? Peux-tu la gérer ? S’il y a un risque de subir une plus grosse blessure ensuite, tu ne dois pas jouer. » – Brendan Gallagher, prétendant à Guillaume Lefrançois que son degré de tolérance à la douleur n’était pas spécial.

Gallagher a aussi confié dans l’excellent texte de Lefrançois qu’il préférerait prendre off lors des entraînements optionnels pour récupérer/guérir.

On a aussi appris dans ce texte que les équipes de la LNH devaient se fier aux médecins des Maple Leafs et de l’Association des joueurs lorsque l’équipe se trouvait dans le bulle torontoise. Ils auraient fait un travail sensationnel et neutre.

Pour terminer, Gallagher a bel et bien disputé une grande partie du tournoi estival malgré une blessure à une hanche qui le faisait souffrir chaque soir.

Oui, tout le monde s’entendra là-dessus : Brendan Gallagher est un guerrier. L’un des plus guerriers ayant porté un gilet des Habs depuis le début du nouveau millénaire.

Gallagher a récolté 43 points en 59 rencontres la saison dernière. Il a ajouté 4 points en 9 parties éliminatoires.

Il touchera un salaire de 2,75 millions $ en 2020-21 (cap hit de 3,75 millions $) et entamera ensuite son nouveau contrat de six ans / 6,5 millions $ par saison.

En rafale

– Quelle photo! #Émotions

– Simplement participer aux séries malgré leur exil en sol américain (et leurs quarantaines répétées au Québec) est un exploit pour l’Impact. À noter que l’Impact affrontera la Nouvelle-Angleterre lors d’un match barrage le 20 novembre maintenant.

– Un mot : Wow!

– Quelle mauvaise soirée pour Tom Brady et les Buccaneers!

– Marianne St-Gelais donne par contre un bon show à chaque fois qu’elle ouvre la bouche. #Vraie

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Brendan Gallagher utilisera une paille pour s’alimenter

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Ce matin, c’est Marc Bergevin qui s’est présenté devant la presse afin de livrer ses commentaires. Il s’agissait d’une surprise, compte tenu du fait que le DG du Canadien ne voulait pas parler aux médias avant l’élimination de son club.

Et s’il l’a fait, c’est parce qu’il tenait à rectifier certains points.

Sans déclaration, une période de questions a été lancée. C’est là qu’on en a appris un peu plus sur l’état de santé de Brendan Gallagher, qui sera probablement opéré aujourd’hui, affirme Bergevin. Mais ce n’est pas certain encore.

Ce qui a toutefois été confirmé, c’est le fait que Gallagher sera absent pour une durée indéterminée. Ils ont songé (vaguement) à ne pas le faire opérer, mais cela aurait été insensé.

Il mangera donc avec une paille suite à son opération.

Il ne faut donc pas compter sur le petit guerrier pour la suite des choses.

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Sport

Il faut se questionner sur l’état de santé de Brendan Gallagher

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Depuis le début des séries, plusieurs joueurs n’arrivaient pas à se lever pour s’inscrire au pointage. Joel Armia, Max Domi, Tomas Tatar, Jonathan Drouin, Brendan Gallagher, etc.

Outre Gallagher, tout le monde a réussi à s’en sortir et à avoir un impact – aussi petit soit-il – offensivement. Pourquoi est-ce que le #11, qui a l’habitude de se lever dans les moments importants pour le club (en marquant le premier but des siens, notamment) n’y arrive-t-il pas?

À juste titre, mon collègue Max Truman mentionnait hier qu’il était un joueur frustré… ce qui est vrai. Et comme le hockey se joue principalement dans la tête, il faut croire que cela affecte le jeune vétéran.

Et peu importe à quel point on tente de s’éloigner de cette idée-là, il faut se rendre compte que Brendan Gallagher est, peut-être, un brin plus blessé qu’on ne le croit. Pas forcément, mais peut-être.

Marc-Antoine Godin a soulevé cette possibilité-là dans un texte d’hier et j’ai de la difficulté à ne pas y adhérer.

Il y en a d’autres, bien évidemment – et je vous invite à les lire dans son texte. Cependant, prenons le temps d’y penser quelques secondes et on se rend compte que c’est logique.