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Brésil : les vacanciers moins intéressés par l’hôtellerie traditionnelle

Si la tendance actuelle venait à se confirmer, les personnes qui se rendront au Brésil pour la Coupe du Monde de football de 2014 pourraient bien plébisciter les modes d’hébergement alternatifs afin de contourner l’hôtellerie et ses prix exorbitants.

Une étude récente commandée par le ministère brésilien du Tourisme (Embratur) montre que ces dernières années, les réservations d’auberges de jeunesse, de camping, d’appartements et de maison avaient gagné 6% au Brésil, pour représenter 17% du marché total de l’hébergement touristique, comme le rapporte la revue spécialisée eTurboNews. L’hôtellerie garde tout de même 51% de part de marché.

La recherche d’hébergement alternatif s’accroît alors que l’industrie hôtelière brésilienne est pointée du doigt parce qu’elle est accusée de gonfler ses prix pendant la Coupe du monde de la FIFA, jusqu’à 500%, ce qui pourrait fortement nuire à la réputation touristique du pays et décourager les touristes étrangers à faire le déplacement.

Il est conseillé aux personnes qui souhaitent se rendre au Brésil pour cette grande compétition internationale de réserver dès à présent, maintenant que la Coupe des Confédérations et que les Journées Mondiales de la Jeunesse sont terminées.

Selon le quotidien anglophone The Rio Times, de nombreux propriétaires proposent déjà leurs appartements à la location et se présentent comme une alternative plus spacieuse et parfois moins onéreuse.

Pour aider les amateurs de football à se loger à travers le Brésil, la FIFA a mis en place un site dédié à la location de chambres d’hôtel (hotels.fifa.com), et les sites de location d’appartements et de maison Homeaway et Roomorama.com proposent déjà des adresses partout dans le pays, pour l’événement qui se déroulera du 12 juin au 13 juillet 2014.

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Un nouveau musée à Rio de Janeiro

Pendant longtemps, le patrimoine culturel de Rio de Janeiro laissait à désirer. Cependant, la ville semble vouloir prendre un nouveau départ avant d’accueillir de grands évènements mondiaux.

En effet, la semaine dernière (23 mars), le musée de La Casa Daros a ouvert ses portes. Cette inauguration avait été précédée, plus tôt ce mois-ci, par celle du Musée d’Art de Rio. Aussi deux autres grands musées, l’un consacré à la science, l’autre aux sons et à l’image, devraient ouvrir leurs portes d’ici peu.

Situé dans le quartier de Botafogo, dans un bâtiment néoclassique datant du XIXe siècle, le musée de La Casa Daros est basé sur l’art contemporain latino-américain. Chaque année, deux importantes expositions sur cet art y auront lieu.

La première à être présentée au musée est intitulée Cantos Cuentos Colombianos, une exposition réalisée par 10 artistes colombiens.

En marge des expositions, les visiteurs du musée peuvent également assister à des conférences ainsi qu’à d’autres évènements consacrés à l’art.

En plus des salles d’exposition, le musée possède une bibliothèque, un auditorium, un restaurant ainsi qu’un café.

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Les carnavals les plus fous

Le Carnaval de Venise, en Italie : Il s’agit de l’un des événements les plus extravagants en Europe, où la folie conserve toujours une certaine sophistication. On se costume comme au 18e siècle, et on n’oublie surtout pas son masque!

Le Carnaval de Santa Cruz, à Ténérife aux îles Canaries : Chaque année, un demi-million de visiteurs affluent pour cette fête qui dure une semaine. On y brûle une immense sardine en papier mâché.

Le Mardi gras gai et lesbien, à Sydney en Australie : Ce festival, qui a débuté par une marche symbolique pour les droits civiques dans les années 70, et devenu l’un des plus importants du genre au monde. En prime : un défilé de 8000 personnes!

Le Carnaval de Rio, au Brésil : Il s’agit du carnaval le plus imposant, et de la plus grande fête de rue sur la planète. Avis aux amateurs de tenues légères et de samba!

Le Mardi gras à La Nouvelle-Orléans, aux États-Unis : Pour célébrer son héritage créole, toute la ville vibre au rythme du jazz, de l’alcool, des colliers aux couleurs vives. On se déguise, ou encore on se dévêt!

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Rio passe à l’ère du code-barre QR

Si vous êtes de passage à Rio, au Brésil, et que vous apercevez un immense code-barre QR, sachez qu’il ne s’agit probablement pas d’une nouvelle œuvre d’art.

C’est ce qu’explique le Daily Mail, alors qu’on annonce l’implantation d’un système à la fine pointe de la technologie actuelle pour aider les touristes à se retrouver durant leur séjour.

Situés un peu partout dans la somptueuse ville du Brésil, les codes permettront non seulement aux visiteurs de ne pas perdre leur chemin, mais aussi de découvrir une foule d’informations intéressantes et historiques sur les lieux qu’ils sont en train de visiter et sur les objets qu’ils contemplent.

Il suffit de télécharger l’application d’usage et on peut ensuite prendre des photographies des lieux visités afin d’accéder à des informations utiles ou encore des suggestions. Les informations sont offertes en plusieurs langues, notamment l’anglais et l’espagnol, bien entendu.

« En observant le nombre de touristes qui passe par le Brésil, cet outil a le potentiel d’être très, très utile », remarque Marcos Correa Bento, de la ville de Rio.

Le tout premier code barre QR a été installé l’an dernier, et tout le monde semble partager l’enthousiasme de cette innovation.

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Un motel pour amoureux des animaux et animaux amoureux

Les amoureux des bêtes voudront sans doute lire cette nouvelle et planifier un voyage au Brésil dans les prochains mois. Rien à voir avec la beauté et les charmes de ce superbe pays, mais plutôt avec l’ouverture récente d’un motel pour animaux bien spécial!

C’est cnn.com qui rapporte la nouvelle de l’ouverture de l’établissement brésilien, qui se spécialise dans les séjours pour animaux amoureux, ou en quête de le devenir!

Le motel comprend des lits et des miroirs en forme de cœur, des gâteries, des couettes confortables et des jeux, tout pour placer votre animal favori dans les meilleures dispositions possible pour l’amour, en bref.

Et n’allez pas croire que le concept s’arrête à ce motel, car celui-ci fait partie d’un vaste complexe animalier instauré au Brésil. Oui, l’Animalle Mundo Pet, situé à Belo Horizonte, comprend toute une série de boutiques et d’articles destinés aux animaux.

On comprend mieux pourquoi le Brésil se classe au cinquième rang mondial en matière de marché animalier (produits, accessoires, etc.), avec un total de neuf milliards de revenus en 2011 pour cette industrie seulement!

Ceux qui aiment gâter leur animal favori sans scrupule peuvent se tourner du côté du Brésil… et avouons que ce n’est pas un pays désagréable pour les humains non plus.

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Découvrez la cachaça au Brésil

La caïpirinha est composée de citron, de glace pilée, de sucre et bien sûr de cette fameuse cachaça, que l’on obtient en distillant de la canne à sucre, des levures et de l’eau.

Cet alcool prisé est depuis peu reconnu comme un produit de fabrication exclusivement brésilienne.

En fait, la ville de Salinas, au nord de l’État de Minas Gerais, produit la cachaça de marque Havana, dont la plus dispendieuse des bouteilles vaut 900 reais. Située entre Montes Claros et Vitória de Conquista, l’usine Havana est ouverte au public.

Aussi, l’usine Weber Hauss, à Ivoti, dans l’État du Rio Grande, offre également une cachaça réputée.

Les Brésiliens sont fiers de leur produit, puisqu’ils organisent, du 15 au 17 juillet prochain, le Festival mondial de la cachaça.

De plus, il est possible de faire la route de la cachaça, longue de 140 kilomètres, qui part de Monte Alegre jusqu’à São Paulo.

Rappelons que l’alcool fait l’objet d’un autre festival brésilien. On lit sur Mail Online que le Brésil accueille plusieurs touristes pour son Oktoberfest. Basé sur l’édition de Munich en Allemagne, ce festival de la bière se retrouve ainsi le deuxième en importance au monde.

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Rio de Janeiro : le séjour le plus dispendieux au monde

Ainsi, Rio de Janeiro devient la ville la plus chère au monde pour séjourner dans un hôtel.

Au cours du premier trimestre de 2012, les touristes ont payé en moyenne 310 dollars canadiens par nuit pour obtenir une chambre avec vue dans un hôtel à proximité de Sugarloaf Mountain. Ce montant représente une augmentation de près de 50 % par rapport à la même période l’an dernier.

Quant au prix des hôtels à Sydney, il a augmenté de seulement 4,6 %. Il en coûte désormais en moyenne 233 $ la nuitée, selon les données du Hotel Price Radar de HRS.

Cette augmentation en flèche dans le pays d’Amérique du Sud ne serait qu’un début, car le Brésil, qui connaît une forte croissance économique, améliore grandement ses infrastructures dans le but d’être prêt à accueillir les visiteurs de la Coupe du monde de la FIFA en 2014 et des Jeux olympiques en 2016.

En Europe, il semblerait que Moscou demeure toujours en tête du classement des nuitées les plus coûteuses, avec une moyenne de 196 $.

Pour une nuit à petit prix, les économes sont invités se rendre à Bangkok, Prague et Beijing (77 $).

Une étude menée par Hotels.com révèle que la Pologne offre la meilleure qualité prix pour un cinq étoiles, alors New York, Paris et Tokyo ont les nuitées les plus dispendieuses dans des hôtels de luxe.

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Best Western Premier s’installe au Brésil

Avec l’ouverture de ce nouvel établissement qui contient 135 chambres et 15 suites, la chaîne Best Western compte dorénavant 17 hôtels de sa populaire marque au Brésil.

Toutefois, il s’agit du premier hôtel dans ce pays d’Amérique du Sud signé Best Western Premier.

La nouvelle enseigne cinq étoiles, située à côté de la célèbre et très convoitée plage Ponta Negra à Natal, propose à ses clients une vue panoramique sur le sable et la mer.

Natal est d’ailleurs réputée pour ses 100 km de plages de rêve où le soleil brille presque à l’année.

Avec son design élégant et glamour, son restaurant français sophistiqué, ses équipements technologiques, son petit déjeuner gratuit, son bar-salon, sa piscine extérieure et ses salles de réunion, le Best Western Premier Majestic Ponta Negra Beach prend part au projet de la chaîne hôtelière, qui désire développer et ouvrir 20 autres hôtels Best Western et Best Western Premier d’ici 2017.

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Le tourisme culinaire

Pour ceux qui apprécient le tourisme culinaire, Lonely Planet nous suggère ses cinq meilleurs endroits dans le monde pour goûter les délices de la cuisine mondiale.

On commence par le couscous à Casablanca, au Maroc. Sur le boulevard de la Corniche, de nombreux cafés et restaurants le servent accompagné d’un thé à la menthe. Préparée de manière traditionnelle dans un couscoussier, la semoule de blé dur est servie avec du poulet, de l’agneau ou du poisson, et des légumes. Le tout est très épicé.

Il ne faut pas oublier les tapas de l’Espagne, bien entendu. À Barcelone, on choisit entre autres des calmars frits, des patatas bravas, du chorizo ou des berenjenas gratinadas. On passe une soirée complète à déguster ces bouchées, l’une à la suite de l’autre.

En Malaisie, on déguste le nasi goreng, un riz frit. Ce plat typique de Singapour et de l’Indonésie est préparé avec des fruits de mer ou du poulet, des légumes et des œufs, et il est arrosé d’une sauce soja sucrée.

Qui dit Nouvelle-Orléans, dit gumbo! Ce met cuit dans une marmite est l’accompagnement idéal au blues et au jazz. Les beignets de cette région des États-Unis ont aussi la cote.

On termine ce tour du monde culinaire à Rio de Janeiro, au Brésil. Le repas national, la feijoada – un ragoût épicé à base de haricots noirs et de porc – est très copieux, voire un peu difficile à digérer. Servie dans les restaurants populaires, la feijoada comprend souvent des parties moins habituelles du porc, comme la langue, la queue et les oreilles.

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Dossier moyen (600 mots)

Brésil : État du Pernambouc : Entre culture et beautés naturelles

Les sites incontournables
 
Recife, la capitale du Pernambouc
Recife est une ville attachante qui mérite que l’on prenne le temps de déguster à l’envi ses richesses culturelles et ses plaisirs balnéaires. Sans oublier l’accueil chaleureux de ses habitants, réputés pour leur sens de la fête. Les canaux et les ponts hérités de la colonisation hollandaise lui ont valu le surnom de « Venise brésilienne ». Dans le Recife Antigo, il faut prendre un verre rue du Bom Jesus, admirer la synagogue Kahal Zur Israel, la première des Amériques, et la belle façade baroque de l’église Sao Pedro dos Clerigos.
 
Olinda, un des joyaux du Brésil
Inscrite au patrimoine mondial par l’UNESCO, Olinda enchante par son architecture, par sa beauté naturelle et par son carnaval unique en son genre. Le cœur historique est situé sur une colline dont les rues étroites et pentues sont bordées de charmants édifices colorés et d’ateliers d’artisanat. La ville possède un remarquable patrimoine religieux : ne pas manquer les visites de l’église de l’ordre carmélite, de l’église du Rosaire des Hommes Noirs d’Olinda, du couvent de Saint-Francis et du monastère de Saint-Benoît.
 
Porto de Galinhas, la perle des plages
À 65 km de Recife, Porto de Galinhas a maintes fois remporté le titre de « plus belle plage du Brésil ». Cette station balnéaire réputée pour ses piscines naturelles d’eau tiède envoûte en effet par la beauté de ses plages. Là, les eaux aux reflets bleu azur et protégées par les récifs font le bonheur des surfeurs. Et les jangadas, radeaux en bois traditionnels, glissent dans la mangrove… Un coin de paradis!
 
L’archipel de Fernando de Noronha, un sanctuaire écologique
L’archipel de Fernando de Noronha, composé de 21 îles, est un site préservé inscrit au patrimoine mondial par l’UNESCO. Ses 17 plages baignées par des eaux cristallines déclinent les couleurs du paradis, entre « mer-du-dedans » tournée vers le Brésil et protégée des vents, et « mer-du-dehors » tournée vers l’Afrique avec des eaux plus agitées. Pour la plongée sous-marine, l’archipel est un pur enchantement.
 
 
Le saviez-vous?
 
Le pernambouc, un dur au cœur musical
Le pernambouc, bois du Brésil ou encore « pau-brasil », est un bois au cœur rouge violacé qui a longtemps été prisé pour ses vertus tinctoriales. Sa densité et son élasticité étonnantes lui valent surtout de produire des archets de violon d’une qualité inégalée.
 
Le frevo, l’âme du Pernambouc
Le frevo (musique et danse) est le symbole du carnaval du Pernambouc. Les participants, les passistas, vêtus de déguisements typiques et agitant de petites ombrelles bariolées, exécutent une chorégraphie individuelle, improvisée et frénétique qui laisse pantois.
 
 
Les coups de cœur
La baie de Golfinhos peuplée de dauphins dans l’archipel Fernando de Noronha.
Le musée d’Art contemporain d’Olinda, dans l’ancienne prison du XVIIIe siècle.
La place de la République à Recife, pour ses monuments historiques du XIXe siècle.
Paudalho, à 45 km de Recife, et la chapelle de Notre-Dame de la Lumière.
L’Espace Tiridá à Olinda, qui préserve la tradition des mamulengos, marionnettes typiques de la culture populaire.
 
 
À savoir avant de partir
 
La meilleure période : de septembre à mi-décembre.
Quelques précautions : ne changez pas d’argent en dehors des bureaux officiels. Évitez de marcher pieds nus; sur la plage, portez des sandales.
N’oubliez pas d’emporter une bonne protection contre le soleil et contre les moustiques.