Après avoir fait face à une poursuite, en juillet, de la part des éditions Simon & Schuster inc., qui mentionnaient que la chanteuse n’avait pas livré le manuscrit pour lequel elle avait reçu 40 000 $, voilà que son étiquette de disques la poursuit aussi.
Brookland Media reproche à Lil’ Kim de ne pas avoir livré les chansons promises, malgré le fait que la maison de disques a déboursé des centaines de milliers de dollars pour l’enregistrement et l’équipement.
Aussi, Brookland Media dit avoir dépensé 12 000 $ par mois pour la location d’une maison, au New Jersey, pour la chanteuse.
Selon le New York Daily News, la société souhaite que le juge déclare que leur contrat est valable et qu’il défende à Lil’ Kim d’enregistrer avec une autre étiquette pour la durée de l’entente.
L’avocat de la chanteuse dit que cette poursuite est seulement faite pour améliorer la position de l’étiquette de disques et conclure une entente de retour en studio.