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Kate Moss fait disparaître en fumée l’ourson en peluche de Pete Doherty

En 2007, lors de leur séparation après deux ans de vie commune, Kate Moss a brûlé le premier ourson en peluche de Pete Doherty. Un objet auquel il tenait beaucoup.

« Avec tout son amour, c’est ma soeur qui m’avait offert mon premier ourson en peluche. J’ai toujours apprécié Pandy, et ça m’a dévasté de savoir qu’il avait été brûlé », a confié Doherty au magazine Event.

Il avance que Kate Moss a posé ce geste de façon totalement gratuite et dans l’unique but de lui faire le plus de mal possible et de lui causer des « dommages émotionnels ».

« Si c’était son objectif, c’était inutile qu’elle agisse ainsi. Mon plus grand regret est de ne pas avoir davantage surveillé Pandy à ce moment. »

Le musicien aux allures chaotiques s’est également fait faire des reproches par trois anciens prisonniers de guerre au Japon. Il a révélé, dans un élan de confidences, avoir reçu une lettre qui l’a grandement ébranlé.

« Ces hommes ont déploré mon comportement. Ils ont dit que ça les rendait malades et frustrés de voir que notre pays et des gens comme moi qui sont libres de vivre se comportent comme je le fais. Ils ont dit qu’on les laissait tomber en quelque sorte. Ça m’a grandement touché de lire cela. »

Pete Doherty est monté sur scène avec ses Babyshambles ce week-end dans le cadre du Rock Werchter. Arrivé 30 minutes avant son concert, il était apparemment bordélique, incontrôlable et radoteur, selon le site Vif.be.

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Le système immunitaire au service de la lutte anti-obésité?

Le système immunitaire pourrait-il s’avérer une nouvelle arme dans la lutte à l’obésité? C’est ce que proposent deux nouvelles études sur le sujet, dont les conclusions sont rapportées par le Science Daily.

Les chercheurs croient que l’activation provoquée du système immunitaire pourrait activer de « bon gras » dans l’organisme, qui permettent de bruler des calories stockées dans l’organisme.

La manœuvre pourrait s’avérer la base d’un nouveau traitement contre l’obésité. « L’idée que la santé métabolique puisse être améliorée par l’activation des cellules immunitaires dans les gras est plutôt fantastique. Cette étude révèle une nouvelle classe potentielle de traitements qui pourraient un jour être utilisés pour traiter les désordres liés à l’obésité », commente l’auteur de l’une de ces études, Bruce Spiegelman, du Dana-Farber Cancer Institute and Harvard Medical School.

Une autre étude publiée presque simultanément par des chercheurs de l’Université de Californie abonde dans le même sens.

Les résultats de ces deux études ont été publiés par Cell Press dans le journal scientifique Cell.