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Reconnaître les premiers signes d’une dépression nerveuse ou professionnelle

L’automne apporte son lot de déprime, malgré sa beauté et ses couleurs fascinantes, et plusieurs personnes sont victimes d’une baisse de régime et de troubles de l’humeur à cette période.

Pour certains, ces symptômes seront plutôt précurseurs d’une véritable dépression, et il est important de savoir dépister le phénomène avant qu’il soit trop tard, selon Top Santé

Reconnaître une dépression avant qu’elle s’installe pour de bon peut épargner quantité de douleur et de temps, et peut même sauver des vies dans certains cas.

Le Dr Jean-François Lacoste s’inquiète particulièrement des troubles dépressifs et de l’humeur causés par le travail, que ce soit par une surcharge ou une frustration, des cas qui ne sont souvent pas pris au sérieux par les patients.

« Quand il se manifeste au travail, on a tendance à ne pas s’apercevoir de ces symptômes, car les choses se dégradent petit à petit. Souvent, les personnes en dépression vivent dans le déni. La dépression se manifeste par plusieurs symptômes : on ressent une impression de surmenage, une perte de plaisir. On va au travail à reculons. On se replie sur soi-même », explique avec conviction le Dr Lacoste.

Tristesse, épuisement, perte d’appétit ou surconsommation d’aliments sucrés, consommation élevée d’alcool ou de drogue (illégales, mais aussi de prescription), libido faible, voilà quelques facteurs qui peuvent indiquer que l’on glisse doucement vers une dépression… ou qu’on nage en plein dedans.

On conseille vivement de consulter rapidement un spécialiste de la santé afin de voir les options qui s’offrent, et de ne jamais prendre la décision d’opter pour des antidépresseurs à la légère.

Le seul fait d’en parler et de chercher de l’aide, cependant, peut permettre d’éviter de sombrer dans une spirale infernale de l’humeur et d’atteindre un dangereux point de non-retour.

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L’épuisement professionnel augmente aussi les risques de crise cardiaque

Santé Log rapporte une étude qui dévoile les risques pour la santé reliés à un épuisement professionnel, mieux connu sous le nom de burnout.

Le stress et l’épuisement dus au travail ou à des raisons professionnelles sont un fléau de plus en plus grandissant, notamment à cause de la course incessante à l’argent qui prévaut en Amérique, et du marché économique instable que l’on connait depuis maintenant plus de cinq ans.

Tous ces facteurs, et bien d’autres, contribuent à l’épuisement professionnel, qui n’a pas que des impacts sur la santé psychologique. En effet, selon l’étude israélienne en provenance de l’Université de Tel-Aviv, les risques de faire une crise cardiaque ou de développer une maladie cardiovasculaire se verraient augmentés de 40 % lorsqu’une personne se retrouve en burnout.

Des chiffres inquiétants, qui découlent d’une analyse intensive des cas de près de 10 000 personnes, des hommes et des femmes, sur leurs habitudes professionnelles et leur santé psychologique.

Du nombre, ceux qui ont vécu un épuisement professionnel ont aussi démontré des symptômes et des réactions qui ont mené aisément à la conclusion rapportée ici.

Cette étude a été publiée dans la plus récente édition du magazine Psychosomatic Medicine.

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Le burnout associé aux risques de crise cardiaque

Le surmenage professionnel pourrait mener tout droit à un infarctus, selon ce que rapporte lanutrition.fr.

D’autres maladies cardiovasculaires pourraient aussi être encouragées par un comportement professionnel excessif.

L’épuisement professionnel, on le sait, se reconnaît par ses symptômes de fatigue émotionnelle extrême, de fatigue physique et certaines difficultés cognitives. Bref, le corps ne répond plus, ou très mal. Il a été établi bon nombre de fois, par plusieurs études, que le surmenage peut facilement mener vers une dépression.

On apprend maintenant qu’il peut tout aussi bien mener à une crise cardiaque, selon une étude effectuée par des chercheurs israéliens effectuée sur 8838 hommes et femmes de 19 à 67 ans. Les patients ont été suivis sur une période moyenne de 3,4 années.

Les résultats sont clairs : les gens qui se surmènent au travail augmentent radicalement leurs chances de développer une maladie cardiovasculaire ou de faire un infarctus. On parle même de 79 % d’augmentation du risque dans les cas d’épuisement sévère.

Le sport est une arme redoutable pour contrer les effets du surmenage, recommandent les experts. L’activité physique, alliée à un rythme de travail sain, permettrait de faire chuter les risques et de maintenir une bonne santé cardiaque.

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Détecter l’épuisement professionnel par de simples tests sanguins ou salivaires

Une étude du Centre de recherche sur le stress humain de l’Hôpital Louis-H. Lafontaine démontre que le burnout laisse des traces biologiques qui sont facilement détectables. Ainsi, de simples tests pourraient déterminer si l’épuisement professionnel guette un patient.
 
30 travailleurs ont répondu à un questionnaire pour évaluer leur niveau de stress, en plus de fournir un échantillon sanguin pour mesurer quinze facteurs liés au stress chronique, comme le cholestérol et l’insuline. Avec le test de salive, on a également pu mesurer le taux de cortisol, l’hormone du stress.
 
Ces tests permettraient donc aux médecins de déceler rapidement les personnes sujettes à souffrir d’épuisement professionnel et ainsi leur assurer un suivi adéquat.
 
Mentionnons que le burnout et la dépression sont souvent considérés comme une même pathologie, mais ce n’est pourtant pas le cas. Le niveau de cortisol est anormalement bas lors d’un épuisement professionnel, ce qui n’est pas le cas durant une dépression.