c8 – BIG

Lors d’une entrevue au salon de Genève rapportée par le site Autoweek, le vice-président du design de General Motors, Ed Welburn, a confié quelques informations sur la future Corvette C7.

General Motors souhaite ainsi ancrer son supercar dans une approche mondiale. La marque a donc sollicité chacun de ses 10 studios de design à travers le monde afin qu’ils soumettent des projets.

Les objectifs étaient multiples : rajeunir la clientèle (l’âge moyen du propriétaire est désormais de 54 ans), séduire l’Europe et, évidemment, travailler la qualité de l’intérieur.

Un autre point important a été relevé par le designer : la taille perçue. Pourtant de dimensions similaires à une Porsche 911, la Corvette parait beaucoup plus imposante. Un point à travailler, car il rebute notamment les clients européens.

La corvette C7 devrait arriver d’ici 2 à 3 ans.

Pour la génération d’après, le serpent de mer habituel est de retour! On évoque en effet deux changements majeurs pour la Corvette C8 : le passage en moteur central arrière et la disparition du V8 au profit d’un V6 turbo.

Deux petites révolutions qui ne devraient de toute façon pas voir le jour avant 2016.

Il s’agit du dixième modèle de la marque, qui commercialise des voitures sport comme la C8 Laviolette et la C8 Spyder, des voitures de course comme la C8 Double 12 R ou encore un concept de VUS super sportif, le D12 Peking-to-Paris.

En réalité, la version Aileron de la C8 représente une amélioration du modèle précédent : un peu moins de bricolage, un peu plus de professionnalisme… L’Aileron Spyder s’offre donc des fenêtres qui descendent jusqu’aux portes et une capote électrique.

Mécaniquement, la C8 Aileron Spyder est très proche du coupé, étant dotée de son V8 4,2 litres d’origine Audi développant 400 ch. Elle reprend également le même principe de châssis conçu avec Lotus.

Voulant honorer son passé de constructeur d’avions, Spyker multiplie les clins d’oeil aéronautiques. Notons toutefois que la marque a abandonné ici les références à l’hélice, présentes dans son logo, pour s’inspirer des turbines de réacteurs. On peut observer ces détails dans les entrées d’air ou au niveau des jantes.

Quant aux tarifs, ils ne sont pas encore connus. Nul doute que la note sera à la hauteur de l’exclusivité de l’engin…