Étiquette : caféine
On croit à tort que le café est mauvais pour la santé. En effet, une consommation quotidienne de la boisson la plus courante au monde fait baisser les risques de crise cardiaque de 25 % chez les femmes.
C’est la conclusion d’une étude menée par l’Institut Karolinska à Stockholm, en Suède, après avoir suivi près de 35 000 femmes pendant environ 10 ans. L’âge des participantes allait de 49 à 83 ans.
On a ainsi pu démontrer que celles qui buvaient au moins 1 tasse de café par jour avaient de 22 à 25 % moins de risques de vivre une crise cardiaque que celles qui en consommaient moins.
Une possible explication scientifique à ce phénomène serait que le café réduit l’inflammation et augmente la réaction de l’insuline. De plus, il contient des antioxydants, lesquels sont bénéfiques pour la santé.
D’autre part, il avait déjà été démontré que des hommes fumeurs qui buvaient du café étaient moins enclins à faire une crise cardiaque. Il semble donc qu’une dose quotidienne de caféine ne sert pas uniquement à nous tenir éveillés.
La caféine fait partie du quotidien de bien des enfants, malgré les dangers potentiels qu’elle représente.
Bien sûr, les parents connaissent ses effets sur le sommeil et son effet diurétique, mais ils devraient mieux s’informer et revoir la consommation quotidienne de leur enfant.
On peut lire dans le Journal of Pediatrics que 75 % des enfants dont les parents avaient participé à un sondage consommaient de la caféine chaque jour.
Bien sûr, plus ils en prenaient, moins ils dormaient. Cette étude de l’Université du Nebraska nous apprend aussi des données alarmantes.
Certains enfants d’à peine 5 ans boivent l’équivalent d’une canette de boisson gazeuse par jour et ceux de 8 à 12 ans en boivent en moyenne l’équivalent de 3.
Selon les chercheurs, les parents auraient tout intérêt à se questionner quant aux effets néfastes de la caféine sur le sommeil et le fonctionnement de leurs enfants.
Mentionnons que le sondage en question a été réalisé auprès de 200 parents d’enfants âgés de 5 à 12 ans.
Selon une étude parue dans le Metabolism Journal, des chercheurs ont avancé qu’une complication potentiellement mortelle à laquelle sont sujettes certaines femmes à la suite de traitements de fécondation in vitro (FIV) pourrait ne pas se présenter chez celles qui boivent du café.
Autour de 5 à 10 % des femmes qui se soumettent à la fécondation in vitro doivent ensuite faire face au syndrome d’hyperstimulation ovarienne (HSO) et on aurait maintenant identifié une cause possible à cela.
Des scientifiques de la Middlesex University et de la Barts and The London School of Medicine and Dentistry ont analysé le liquide présent autour de l’ovule et ont annoncé qu’il s’y trouvait des niveaux étonnamment élevés d’adénosine chimique.
Ils croient que la HSO se produit quand la stimulation des médicaments de la FIV crée des niveaux élevés d’adénosine, ce qui entraîne la dilatation des vaisseaux sanguins et l’infiltration du sang dans les tissus.
Toutefois, boire une tasse de café fort lors de chaque cycle de fécondation in vitro réduirait les possibilités que survienne une hyperstimulation ovarienne.
Les chercheurs ont mentionné qu’une des solutions pourrait être dans la caféine, car elle est en concurrence avec l’adénosine pour les mêmes récepteurs et bloque donc son action.
D’autres recherches sont en cours avec des patientes qui ont eu recours à la fécondation in vitro et qui ont souffert de la HSO afin de vérifier si la caféine permet vraiment d’éviter cette complication.
Selon une étude parue dans le Metabolism Journal, des chercheurs ont avancé qu’une complication potentiellement mortelle à laquelle sont sujettes certaines femmes à la suite de traitements de fécondation in vitro (FIV) pourrait ne pas se présenter chez celles qui boivent du café.
Autour de 5 à 10 % des femmes qui se soumettent à la fécondation in vitro doivent ensuite faire face au syndrome d’hyperstimulation ovarienne (HSO) et on aurait maintenant identifié une cause possible à cela.
Des scientifiques de la Middlesex University et de la Barts and The London School of Medicine and Dentistry ont analysé le liquide présent autour de l’ovule et ont annoncé qu’il s’y trouvait des niveaux étonnamment élevés d’adénosine chimique.
Ils croient que la HSO se produit quand la stimulation des médicaments de la FIV crée des niveaux élevés d’adénosine, ce qui entraîne la dilatation des vaisseaux sanguins et l’infiltration du sang dans les tissus.
Toutefois, boire une tasse de café fort lors de chaque cycle de fécondation in vitro réduirait les possibilités que survienne une hyperstimulation ovarienne.
Les chercheurs ont mentionné qu’une des solutions pourrait être dans la caféine, car elle est en concurrence avec l’adénosine pour les mêmes récepteurs et bloque donc son action.
D’autres recherches sont en cours avec des patientes qui ont eu recours à la fécondation in vitro et qui ont souffert de la HSO afin de vérifier si la caféine permet vraiment d’éviter cette complication.