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Quels sont les fromages les plus salés?

Le fromage est une excellente source de calcium et potassium. Il coupe la faim et selon certaines études, il serait bénéfique contre le diabète. Par contre, il faut éviter ceux qui contiennent trop de sel.

La revue médicale anglaise BMJ en lien avec une étude britannique du groupe Consensus Action on Salt and Health qui s’est attardée à la teneur en sel de 23 fromages.

À consommer très occasionnellement, le Halloumi (fromage de chèvre) contient environ 3 % de sel, alors que les fromages à pâte persillée type Roquefort ou Bleu d’Auvergne sont environ 2 fois plus salé que la moyenne des fromages, révèle le site Top Santé.

Des fromages que l’on retrouve fréquemment dans le réfrigérateur tel que la feta, l’Édam et le fromage à pâte fondu de type Ficello font partie du Top 5 des fromages les plus salés qui ont été évalués.

Les scientifiques conseillent de les remplacer par la Mozarella, le Wensleydale, le fromage à la crème style Philadelphia, le fromage cottage et l’Emmental. Ce dernier ne contient que 0,5 g de sel pour 100 g de fromage.

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Le système immunitaire au service de la lutte anti-obésité?

Le système immunitaire pourrait-il s’avérer une nouvelle arme dans la lutte à l’obésité? C’est ce que proposent deux nouvelles études sur le sujet, dont les conclusions sont rapportées par le Science Daily.

Les chercheurs croient que l’activation provoquée du système immunitaire pourrait activer de « bon gras » dans l’organisme, qui permettent de bruler des calories stockées dans l’organisme.

La manœuvre pourrait s’avérer la base d’un nouveau traitement contre l’obésité. « L’idée que la santé métabolique puisse être améliorée par l’activation des cellules immunitaires dans les gras est plutôt fantastique. Cette étude révèle une nouvelle classe potentielle de traitements qui pourraient un jour être utilisés pour traiter les désordres liés à l’obésité », commente l’auteur de l’une de ces études, Bruce Spiegelman, du Dana-Farber Cancer Institute and Harvard Medical School.

Une autre étude publiée presque simultanément par des chercheurs de l’Université de Californie abonde dans le même sens.

Les résultats de ces deux études ont été publiés par Cell Press dans le journal scientifique Cell.

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Mangez-vous vos super-légumes?

Vous mangez des fruits et légumes? Bien! Mais mangez-vous aussi vos super-légumes? Voilà la question que pose The National Library of Medicine en rapportant une nouvelle étude sur les bienfaits de certains légumes en particulier.

Il y a des légumes, selon l’étude, qui contiennent des doses impressionnantes et puissantes de vitamines et minéraux par calorie, et qui sont à conseiller largement au sein d’une alimentation saine.

Du nombre, les légumes à feuilles vertes (foncées), les choux chinois, les bettes à carde et les feuilles de betteraves seraient des alliés particulièrement puissants de l’organisme. À l’inverse, les framboises, les tangerines, l’ail et les oignons n’auraient que peu d’impact en comparaison.

La recherche se base sur des données recueillies par la professeure Jennifer Di Noia de l’Université de Wayne, au New Jersey. La spécialiste a analysé 47 fruits et légumes et n’en a retenu que six qui se qualifient comme super-aliments.

« Ces aliments frappent fort parce qu’ils procurent plus de nutriments par calorie. Ces résultats peuvent aider les consommateurs à se concentrer sur des aliments qui remplissent leurs besoins énergétiques quotidiens », croit Di Noia.

Les conclusions de la recherche ont été publiées dans le journal Preventing Chronic Disease.

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Doit-on vraiment dépenser 2000 calories par semaine?

Le New York Times répond à une question que plusieurs se posent, proposée par un lecteur du journal new-yorkais, à savoir si le mythe qui veut que l’on doive brûler 2000 calories par semaine pour être en bonne santé est véridique ou non.

Selon le New York Times, l’idée que l’on doive dépenser 2000 calories de façon hebdomadaire découle d’une fameuse étude en provenance de Harvard, il y a plusieurs années.

L’étude en question est l’Harvard Alumni Study, qui suivait durant plusieurs décennies des sujets types et qui analysait leurs habitudes, dont celles concernant l’activité physique sur une base hebdomadaire.

Les chercheurs qui ont décortiqué les données recueillies au fil de 50 ans d’observation ont alors bel et bien estimé que les sujets qui dépensaient 2000 calories par semaine avaient moins de risque que les autres de subir une crise cardiaque, notamment.

Mais pour les experts, de nombreuses activités banales du quotidien permettent d’en arriver rapidement au compte, par exemple le simple fait de monter un escalier ou encore les pas effectués pour se rendre d’un endroit à l’autre.

En somme, les spécialistes croient qu’il est bon de se fixer 1000 calories à brûler par semaine comme objectif, et le reste des activités routinières devraient permettre d’atteindre ou de frôler les 2000 calories éliminées hebdomadairement.

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La FDA approuve une nouvelle alternative au sucre

La FDA rapporte via son site web l’approbation d’une nouvelle alternative au sucre, soit un édulcorant appelé Advantame.

L’association fédérale américaine de la santé en profite pour rappeler quelques faits concernant ces « faux sucres », utilisés par un grand nombre de consommateurs et craints par plusieurs.

Selon la FDA, il est effectivement bénéfique de troquer les sachets et portions de sucre conventionnel pour quelques édulcorants, faisant ainsi baisser non seulement l’apport quotidien en sucre, mais aussi l’apport calorique chez un individu. De plus, les édulcorants ne font pas grimper les taux de sucre dans le sang, un autre avantage pour la santé.

Il existe cependant bel et bien quelques possibles problèmes découlant de l’utilisation d’édulcorants, comme certaines réactions allergiques. On suggère de consulter un médecin pour connaître son état de santé, et les bienfaits possibles d’ajouter un produit comme l’Advantame ou l’aspartame à son alimentation.

Ces édulcorants, comme la saccarine et le sucralose, doivent être utilisés avec modération, mais ne représenteraient pas nécessairement un risque pour la santé.

Le plus récent édulcorant approuvé par la FDA, l’Advantame, a été testé de façon exhaustive, rassurent les spécialistes. Il peut être utilisé pour les desserts, les confitures et les jus de fruits, notamment.

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Katie Couric s’attaque aux mythes caloriques avec Fed Up

L’ancienne présentatrice et chef de pupitre de CBC Evening News, Katie Couric, fait parler d’elle pour un nouveau projet qui se penche sur les mythes caloriques et alimentaires, en cette ère teintée par l’obsession de la nourriture et ce que les spécialistes qualifient d’épidémie d’obésité.

Le projet et l’enquête de Couric prennent la forme d’un film intitulé Fed Up, rapporte le New York Times, produit par la productrice du documentaire An Inconvenient Truth. Katie Couric affirme avoir voulu créer ce film afin de répondre aux nombreuses questions laissées sans réponse sur le sujet au fil de sa carrière.

« Ce qui me frappait est que plus je rapportais des choses sur l’obésité infantile et plus le temps passait dans ma carrière, plus le problème semblait s’aggraver. J’ai senti que nous n’avions jamais vraiment donné d’indications sur ce qui cause vraiment ça, et pourquoi les taux d’obésité explosent comme ça », explique Couric, qui assure aussi la narration du film.

La journaliste se penche notamment sur les « types » de calories, et croit que certaines sont plus dommageables que d’autres. Il ne suffirait donc pas, selon elle, de « moins manger et de faire de l’exercice » pour s’assurer d’un poids idéal.  De plus, Fed Up s’attaque au problème créé par l’industrie alimentaire, notamment en ce qui concerne le sucre ajouté.

Le documentaire semble dramatique et convaincant à souhait, et mérite le coup d’œil.

Découvrez la bande-annonce de Fed Up, avec Katie Couric.

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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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Une diète calorique en traitement de la maladie de Lou Gehrig ?

Rares sont les patients qui se voient prescrire une nouvelle diète à forte teneur calorique et en glucides.

C’est cependant ce qui pourrait se produire dans le cas de certains patients atteints de la maladie de Lou Gehrig, ou sclérose amyotrophique latérale, selon des informations rapportées par The National Library of Medicine.

Une nouvelle étude trace en effet un bilan positif de certains essais effectués par des spécialistes, et qui ont testé les impacts d’une diète à forte teneur en calories et en glucides sur des patients atteints de la maladie de Lou Gehrig.

Ces derniers auraient affiché une certaine amélioration de leur état de santé, tout en reprenant un peu de poids perdu à cause de la difficile maladie.

« Donner plus d’énergie à nos patients qu’ils n’en brûlent ou n’en ont de besoin peut contribuer à prévenir la progression de la maladie, et pourrait même augmenter les taux de survie. », explique avec espoir Dr Anne-Marie Wills, chercheuse principale de l’étude.

D’autres tests devront être effectués afin de voir les possibles applications futures d’une diète calorique à forte teneur en glucides en traitement de la maladie de Lou Gehrig.

Les résultats de ces tests préliminaires ont été publiés dans l’édition en ligne du magazine Lancet

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Le revers de la médaille des boissons gazeuses diètes

Si un grand nombre de spécialistes en santé et nutrition s’entendent pour dire que le choix d’une boisson gazeuse dans son format diète est une bonne idée en soi, ils vous répondront également qu’il existe quelques revers à cette médaille.

Dont celui de vous faire manger plus, apprend-on maintenant des informations rapportées par The National Library of Medicine, qui propose les conclusions d’une étude sur le sujet.

Cette étude, en provenance de la Johns Hopkins University Bloomberg School of Public Health, explique que les gens qui optent pour des boissons gazeuses diètes sont plus enclins à consommer plus de calories quotidiennement que ceux qui s’en tiennent à la version originale, ironiquement.

« Les gens en surpoids qui consomment des boissons diètes mangent plus de nourriture dans une journée que ceux qui consomment des boissons gazeuses sucrées. Si vous consommez des sucres artificiels, ça indique au cerveau que vous moins rassasié, et vous mangez plus », explique Sara Bleich, l’une des chercheuses impliquées.

The American Beverage Association, qui représente plusieurs fabricants de boissons gazeuses, s’indigne d’une telle conclusion et rappelle que de nombreuses études ont démontré les bienfaits des boissons diètes.

Mais une professeure de l’Université Purdue tranche le débat : « Le but devrait plutôt être de réduire la consommation de sucre et de sucre artificiel en tant que tel. La meilleure option demeure de boire de l’eau ».

L’étude rapportée a été publiée dans le magazine American Journal of Public Health.