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Temps des fêtes : Un gain moyen de quatre livres et trois mois pour le perdre

À l’approche de la fête de Noël, le Daily Mail (UK) rapporte une amusante étude sur l’alimentation lors du temps des fêtes, dressant un portrait des habitudes moyennes en termes de nutrition et de gain de poids lors de cette période festive.

Ainsi, grâce à cette étude-sondage réalisée pour le compte d’une compagnie de suppléments alimentaires, on apprend que 52 % des gens doublent leurs apports caloriques, et que 44 % des répondants « se laissent complètement aller lors du temps des fêtes ». Une hilarante affirmation qui se traduit par un gain de poids moyen de quatre livres.

De plus, ce poids pris en l’espace d’une seule semaine, toujours en moyenne, prendrait ensuite trois ou quatre mois pour disparaître!

On peut donc dire que ce poids ajouté lors du temps des fêtes pourrait vous suivre… jusqu’à Pâques.

Les mets traditionnels, les aliments frits, les grignotines et, bien sûr, l’alcool, sont tous à blâmer, mais avouons qu’il n’est pas mauvais de cesser de se donner mauvaise conscience et de prendre une pause d’obsession de la minceur une fois par année.

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L’alcool est calorique, mais pourrait ne pas vous faire engraisser

L’alcool comporte, outre ses plaisirs évidents, une bonne dose de calories, confirment tous les spécialistes. Mais selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), l’alcool ne ferait pas systématiquement engraisser, ce qui a de quoi surprendre.

C’est en effet la conclusion à laquelle arrivent plusieurs chercheurs, à commencer par l’éminent et regretté Charles S. Lieber, de Harvard.

Ce dernier était tout sauf un allié de l’alcool, martelant les effets potentiellement dangereux de la surconsommation et établissant pour la première fois le lien direct entre celle-ci et des problèmes aux reins et au foie.

Or, il a également affirmé en 1991 que l’alcool n’avait pourtant pas d’effet direct sur la prise de poids, une théorie maintenant récupérée et démontrée de nouveau par certains de ses homologues.

C’est le cas de Tony Edwards, qui publie un livre dans lequel on retrouve ses observations en matière d’alcool. Après avoir suivi le cas de 9000 femmes au cours d’une période de 13 ans, il dépose ses conclusions qui démontrent de façon évidente que celles qui ont pris le plus de poids n’étaient pas les plus grosses buveuses, au contraire. En fait, les femmes ayant consommé le plus d’alcool étaient celles qui affichaient les tailles les plus minces, un résultat stupéfiant.

Bien entendu, tout cela ne demeure que des études isolées, et le phénomène reste à prouver, mais de plus en plus de spécialistes en arrivent au constat que l’alcool ne fait pas systématiquement engraisser, sans toutefois parvenir à l’expliquer clairement.

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Le sexe permettrait de brûler plus de calories que la marche

« Oubliez la promenade et essayez le sexercice! », titre avec humour le Daily Mail (UK), qui rapporte une étude amusante mais tout à fait scientifique sur le nombre de calories dépensées lors d’une relation intime.

D’abord, il faut rappeler que les spécialistes de tous acabits se sont obstinés depuis des lunes concernant les véritables bienfaits de la sexualité sur la santé physique, et la pertinence de considérer l’acte sexuel comme une activité physique à part entière.

Ce n’est que récemment que certaines études ont finalement penché du côté de ceux qui le considèrent comme un exercice, mais cette plus récente proposée par des chercheurs de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), avancent des chiffres qui nous replongent dans une zone grise.

C’est que si la recherche confirme effectivement une perte calorique, on constate du même coup que les relations sexuelles ne permettent de brûler que peu de calories, si on les compare au jogging, par exemple.

Ainsi, c’est 4,2 calories par minute d’activité sexuelle qui s’envolent chez l’homme, et 3,1 chez la femme. Pas de quoi fouetter un chat, si l’on considère que la relation sexuelle moyenne ne dure que 24,7 minutes, pour un total de 104 calories de dépensées pour les hommes, et de 69 pour les femmes.

En étirant le temps et en augmentant un peu l’intensité, cependant, la sexualité peut alors devenir plus bénéfique que la marche, en termes de perte calorique.

Mais au final, bien que l’on conclut du côté des chercheurs québécois que le sexe peut être une activité physique reconnue, on ne suggère pas pour autant d’abandonner le sport ou l’entraînement!

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Ces régimes ruinés par l’alcool

Le DailyMail (UK) rapporte des statistiques intéressantes concernant les régimes et ceux qui les suivent, et les conséquences d’une consommation d’alcool simultanée.

Un sondage réalisé par la firme Forza révèle qu’une bonne proportion de ceux qui tentent de perdre du poids en se mettant au régime ruinent leurs efforts en sortant le soir et en consommant trop d’alcool.

C’est quatre individus sondés sur dix, et ayant répondu oui à la question « Suivez-vous un régime? », qui admettent continuer de boire de l’alcool.

Le problème, c’est qu’une virée dans une boîte de nuit peut se transposer en plus de 1000 calories, ce qui peut contrer les effets d’un régime en un rien de temps. Plus du quart des répondants consommerait d’ailleurs le quart de leurs calories en alcool chaque semaine, un problème souvent mésestimé par les gens qui désirent perdre du poids.

De plus, il existe une corrélation claire entre faire la fête et sombrer dans la nourriture grasse et calorique par la suite, ce qui rend la statistique alors complètement catastrophique. 

Ce sondage confirme donc la vision d’une majorité de chercheurs et de spécialistes, qui conseillent justement de d’abord couper dans l’alcool lorsqu’une personne entame un régime!

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Burger King entre dans la danse de la santé avec ses « satis-frites »

La célèbre chaîne de restauration rapide Burger King ajoute un nouvel élément à son menu, et tente par le fait même de regagner certains amateurs avec ce nouveau produit plus « santé », rapporte le Daily Mail (UK).

Il s’agit de frites que l’on prétend « 20 % plus santé », baptisées les « satis-frites » et comprenant jusqu’à 70 calories de moins qu’une portion de frites dites normales.

Cela n’empêche pas la petite portion de satis-frites de Burger King de faire osciller le compteur de calories autour de 270, ce qui n’est pas négligeable. C’est tout de même une baisse vérifiable de 70 calories, comme le mentionne la chaîne, alors qu’une petite portion de frites régulières atteint 340 calories.

Le goût de cette nouvelle pomme de terre frite serait identique à sa consoeur, mais Burger King croit que celle-ci permet de ressentir moins de culpabilité à l’engloutir.

La satis-frite comprendrait également moins de gras et moins de sel, deux autres facteurs qui contribuent à faire baisser le nombre de calories, et qui s’avèrent des avantages en soi. Le sel est reconnu pour être un ennemi notoire de l’organisme, comme le suggèrent plusieurs études publiées récemment.

Saurez-vous faire la différence?

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Compter les calories serait inutile, selon une étude

Se pourrait-il que la manie, voire l’obsession du calcul des calories que nous ingérons soit tout bonnement une pratique inutile?

C’est ce qu’avance une étude rapportée par le Daily Mail (UK), selon laquelle plusieurs facteurs devraient plutôt être pris en compte dans notre façon de manger, au lieu de simplement sortir la calculette lors de chaque repas et chaque achat.

Selon Rob Dunn, biologiste à l’Université de Caroline du Nord, les tableaux caloriques retrouvés sur les aliments peuvent s’avérer trompeurs, d’abord parce que chaque individu assimile et digère sa nourriture de façon différente.

Ainsi, donne-t-il en exemple, une portion d’amandes de « 170 calories » pourrait bien en fait en être une de 129!

De plus, la façon de cuire et d’apprêter les aliments ferait grandement varier les apports caloriques, ce qui change carrément la donne par rapport aux renseignements offerts sur les emballages.

M. Dunn termine en mettant en garde contre la nourriture mécaniquement transformée et emballée, et il croit que l’on devrait prioriser les aliments entiers ou crus.

ourrait-il que la manie, voire l’obsession du calcul des calories que nous ingérons soit tout bonnement une pratique inutile?

C’est ce qu’avance une étude rapportée par le Daily Mail (UK), selon laquelle plusieurs facteurs devraient plutôt être pris en compte dans notre façon de manger, au lieu de simplement sortir la calculette lors de chaque repas et chaque achat.

Selon Rob Dunn, biologiste à l’Université de Caroline du Nord, les tableaux caloriques retrouvés sur les aliments peuvent s’avérer trompeurs, d’abord parce que chaque individu assimile et digère sa nourriture de façon différente.

Ainsi, donne-t-il en exemple, une portion d’amandes de « 170 calories » pourrait bien en fait en être une de 129!

De plus, la façon de cuire et d’apprêter les aliments ferait grandement varier les apports caloriques, ce qui change carrément la donne par rapport aux renseignements offerts sur les emballages.

M. Dunn termine en mettant en garde contre la nourriture mécaniquement transformée et emballée, et il croit que l’on devrait prioriser les aliments entiers ou crus.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Le double impact de l’alcool sur le poids et la santé

L’alcool est reconnu pour ses nombreux effets retour et pervers, à commencer par sa propension à favoriser la prise de poids.

Encore là, selon Santé Log, ce simple facteur possède deux volets, c’est-à-dire que la consommation d’alcool mène à un gain de poids en soi, mais aussi à de plus mauvais choix alimentaires.

Donc, selon l’étude rapportée et publiée par la NIAAA dans l’American Journal of Clinical Nutrition, une consommation trop élevée ou quotidienne d’alcool  présente deux problèmes majeurs pour la santé.

D’abord par des apports caloriques élevés, puisque la moyenne calorique d’un verre d’alcool (vin, bière, spiritueux) se situe autour de 200 calories par consommation.

Mais aussi parce que prendre un verre inciterait davantage vers de mauvais choix alimentaires, croient les experts de la NIAAA.

C’est après avoir analysé les comportements de milliers de sujets, hommes et femmes, que ceux-ci ont constaté des consommations accrues de produits gras, sucrés et salés, mais aussi en viandes et en grignotines (croustilles, etc.).

Ainsi donc, réduire ou cesser la consommation d’alcool permettrait de perdre du poids beaucoup plus facilement, et ce, en gagnant sur deux tableaux simultanément.

Cela dit, il est important de mentionner que le vin et la bière, lorsque consommés avec extrême modération, sont vantés par plusieurs spécialistes qui leur accordent certaines vertus santé.

Saurez-vous trouver le juste équilibre?

quo;alcool est reconnu pour ses nombreux effets retour et pervers, à commencer par sa propension à favoriser la prise de poids.

Encore là, selon Santé Log, ce simple facteur possède deux volets, c’est-à-dire que la consommation d’alcool mène à un gain de poids en soi, mais aussi à de plus mauvais choix alimentaires.

Donc, selon l’étude rapportée et publiée par la NIAAA dans l’American Journal of Clinical Nutrition, une consommation trop élevée ou quotidienne d’alcool  présente deux problèmes majeurs pour la santé.

D’abord par des apports caloriques élevés, puisque la moyenne calorique d’un verre d’alcool (vin, bière, spiritueux) se situe autour de 200 calories par consommation.

Mais aussi parce que prendre un verre inciterait davantage vers de mauvais choix alimentaires, croient les experts de la NIAAA.

C’est après avoir analysé les comportements de milliers de sujets, hommes et femmes, que ceux-ci ont constaté des consommations accrues de produits gras, sucrés et salés, mais aussi en viandes et en grignotines (croustilles, etc.).

Ainsi donc, réduire ou cesser la consommation d’alcool permettrait de perdre du poids beaucoup plus facilement, et ce, en gagnant sur deux tableaux simultanément.

Cela dit, il est important de mentionner que le vin et la bière, lorsque consommés avec extrême modération, sont vantés par plusieurs spécialistes qui leur accordent certaines vertus santé.

Saurez-vous trouver le juste équilibre?

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Les consommateurs peu influencés par la publication des apports caloriques

Des chercheurs de l’Université Carnegie Mellon constatent que les nouvelles mesures concernant la publication et l’affichage des apports caloriques appliquées un peu partout dans le monde n’ont que peu d’impact sur le comportement des consommateurs.

Publiée dans l’American Journal of Public Health et rapportée par Santé Log, l’étude démontre que l’affichage des calories comprises dans les menus de restaurants, par exemple de fast-food, n’incite pas vraiment les clients à faire des choix plus éclairés en matière de nutrition.

Pour vérifier cette théorie, l’équipe de Carnegie Mellon a analysé les réactions et comportements de plus de 1000 sujets clients dans deux franchises McDonald’s de la région de New York.

Après avoir séparé les sujets en trois groupes et informé ces consommateurs des calories retrouvées dans les repas de la célèbre franchise, des apports caloriques recommandés ou encore en ne disant rien du tout, les chercheurs constatent avec stupéfaction que les trois groupes agissent de la même façon.

Il semble que les gens font ce qu’ils veulent, malgré les dangers et les recommandations! Cependant, les chercheurs impliqués croient que toute cette sensibilisation entourant la malbouffe amène les restaurateurs à créer de meilleurs repas, ce qui s’avère une excellente chose.

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Le beurre d’arachides ne serait pas nécessairement un allié santé

Le bon vieux beurre d’arachides, qui survit aux décennies qui se suivent, demeure un choix de prédilection des consommateurs au petit déjeuner.

On le vante souvent pour ses qualités nutritives, l’aliment faisant même partie du groupe des viandes et substituts. Sauf que toutes ces louanges pourraient masquer les effets sournois du beurre d’arachides sur la santé, selon Authority Nutrition.

En effet, un journaliste s’est penché sur la question, lui qui admet adorer le produit.

Lorsqu’il regarde de plus près les effets et les apports du beurre d’arachides, il fait plusieurs constatations. À commencer par le fait que le produit ne semble pas lui procurer un réel sentiment de satiété, comparativement à d’autres aliments.

Il met ensuite en garde contre plusieurs compagnies qui produisent certains beurres d’arachides auxquels on aurait ajouté d’autres produits, comme du sucre.

Il admet cependant que plusieurs bons produits ne comprenant que des arachides sont proposés sur le marché, sauf que tous ces produits possèdent la même caractéristique : ils sont gras et caloriques.

Chaque 100 grammes de beurre d’arachides contiendrait environ 50 grammes de gras et un taux élevé de calories, ce qui suggère que la tartinade devrait être utilisée de façon modérée, spécialement pour ceux qui désirent perdre du poids.

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Stevia : la nouvelle alternative efficace au sucre

Non, il ne s’agit pas d’un nouveau prénom en vogue, mais plutôt d’un sucre nouveau genre qui pourrait être appelé à devenir la solution parfaite au remplacement du sucre raffiné.

Stevia, donc, est le nom de ce nouveau produit que le Daily Mail (UK) décrit comme étant « doux comme le sucre, mais sans aucune de ses calories ».

Le produit provient d’une plante extraite d’Amérique du Sud et qui jouit d’une vague de popularité auprès de plusieurs observateurs qui aimeraient bien mousser Stevia comme alternative au sucre, qualifié d’ennemi numéro un de la nutrition depuis quelque temps.

« Stevia peut aider les gens à apprécier un sucre de texture naturelle, tout en réduisant les calories, s’intégrant ainsi parfaitement dans le cadre d’une diète équilibrée et bonne pour la santé. Il y a d’énormes occasions pour l’industrie de satisfaire les demandes nationales et internationales de réduction des apports en sucre dans les produits afin de contrer la crise de l’obésité », résume la Dre Margaret Ashwell, membre de la Scientific Advisory Board of the Global Stevia Institute.