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Oui ou non aux féculents, telle est la question

E-Santé s’attaque au dossier des féculents, qui ne fait pas l’unanimité au sein des experts en nutrition.

Pour certains, il s’agit d’un apport nutritionnel important dans le cadre d’un régime alimentaire équilibré, mais pour d’autres, ils sont carrément à éviter.

Les féculents sont formés d’aliments forts en glucides, comme les produits céréaliers, les légumineuses et les pommes de terre, notamment.

Réputés pour être caloriques, on les déconseille donc souvent aux gens qui souhaitent perdre du poids. Par contre, ils apportent une énergie essentielle au bon fonctionnement du corps, en plus d’un apport en fibres, vitamines et minéraux, très souvent.

Selon le site, donc, on peut et on doit manger des féculents sans trop de culpabilité, mais il faut par contre se méfier de ce qui accompagne ces aliments. Les pâtes, le riz et les pommes de terre sont malheureusement trop souvent accompagnés de sauce et de beurre, par exemple.

Les féculents devraient par ailleurs ne former qu’un quart de votre assiette, pas plus.

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La table des calories dépassée ?

Top Santé rapporte une opinion que plusieurs spécialistes en nutrition semblent partager, selon laquelle la bonne vieille table des calories retrouvée sur la plupart des aliments serait désuète et souvent erronée.

Les spécialistes rappellent que la calorie est une unité de mesure qui symbolise la valeur énergétique d’un met ou d’un produit. Cependant, avec les différents régimes alimentaires offerts et adoptés par les Nord-Américains, de plus en plus soucieux de leur santé, il peut survenir des erreurs de calcul majeures.

« Par exemple, les personnes qui suivent un régime riche en fibres ont souvent une sous-estimation d’environ 25 % du nombre de calories qu’elles avalent quotidiennement, car les tables de calories ne tiennent pas compte de la valeur énergétique des fibres.» Explique le professeur Richard Wrangham, d’Harvard.

« À l’inverse, poursuit le professeur Wrangham, les calories de certains aliments très protéinés comme un steak de thon sont surestimées de 20 % en moyenne, car la table de calories ne tient pas compte de l’énergie qui est dépensée par notre corps pour digérer les protéines.

Or, quand on est au régime, il est important de savoir qu’on brûle plus d’énergie en mangeant un steak de poisson qu’en avalant deux tranches de pain blanc! »

Il semble qu’une révolution en matière d’affichage et d’information sur les aliments est sur le point de se produire, cette sortie s’ajoutant à plusieurs autres analyses parues depuis peu.

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Plus de détails sur les menus de restaurant, une méthode qui fonctionne

On parle de plus en plus de cette volonté à obliger les restaurateurs à inscrire précisément ce que contiennent les repas affichés sur leur menu, afin de permettre au consommateur de faire des choix plus éclairés.

Voilà que The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude américaine sur le sujet, qui vante les mérites de cette approche.

On avance même que cette façon de faire, notamment d’indiquer clairement les apports caloriques des mets sur le menu, permettrait non seulement aux gens soucieux de leur santé d’être mieux servis, mais également de conscientiser ceux qui ne se soucient guère de leur santé.

Plus facile de faire une prise de conscience lorsqu’on a tous les éléments en main, croient les chercheurs du Jean Mayer USDA Human Nutrition Research Center on Aging qui publient cette recherche.

« C’est encourageant, car l’information pourrait bien aider ceux qui en ont le plus besoin », conclut Lorien Urban, qui étudie justement les impacts d’ajouter de l’information sur les menus de restaurant.

Les sujets de l’étude ayant eu accès à un menu détaillé ont baissé leurs apports caloriques de façon hebdomadaire, et ces changements, même minimes, peuvent avoir un impact intéressant sur la santé physique.

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Autre bonne note pour la bière

Décidément, la bière est populaire auprès des chercheurs et des spécialistes en nutrition depuis le début de l’année 2013. Les recherches sur les produits du houblon pullulent, et plusieurs se contredisent, ouvrant ainsi la porte à un débat sain et rigoureux.

Et pourquoi pas, car après tout, les amateurs et buveurs de bière sont nombreux sur la planète et ils ont le droit de savoir quel impact leur boisson alcoolisée préférée aura sur leur santé!

Cette fois, rapporte Top Santé, c’est la nutritionniste Kathryn O’Sullivan qui publie une étude sur le sujet, intitulée Beer & Calories; A Scientific Review.

On y apprend notamment que la fameuse « bedaine de bière » ne serait qu’un vaste mythe, et que la bière ne fait pas réellement grossir, ou à tout le moins pas autant qu’on pourrait le croire.

« Malheureusement, la bière a cette image de boisson hautement calorique et riche en graisse. C’est très injuste. La consommation de bière en Angleterre est considérée par beaucoup comme un vice et non comme un composant d’un mode de vie équilibré et sain. Mais c’est contraire aux dernières preuves scientifiques », s’exclame O’Sullivan, en prenant soin de rappeler que ces conclusions sont valides en ce qui concerne une consommation modérée.

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Les boissons diètes augmentent la puissance de l’alcool

On serait porté à croire que l’utilisation des boissons diètes pour les cocktails de fin de soirée est une bonne chose.

Voilà que selon une étude américaine en provenance du Kentucky, les boissons gazeuses diètes ne font pas que faire baisser le nombre de calories dans votre verre : elles en augmentent aussi la puissance.

Ainsi, après plusieurs tests effectués à l’aide d’un analyseur d’alcoolémie, on a pu constater cet état de fait, qui a de quoi surprendre, rapporte The National Library of Medicine.

« La clé est d’être sensibilisé au phénomène. Les gens croient souvent que d’abaisser le nombre de calories est important, mais quand vous buvez de l’alcool, ces mêmes calories aident à ralentir le relâchement de l’alcool dans votre foie et au cerveau », explique l’auteure en chef de l’étude, Cecile Marczinski.

Selon Marczinski et ses collègues de la Northern Kentucky University, il faudrait donc éviter d’utiliser les boissons diètes lorsqu’on prépare des boissons alcoolisées, ou alors de s’assurer de bien manger avant de se lancer.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Alcoholism: Clinical and Experimental Research du 5 février dernier.

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Diner plus tôt : un truc pour la perte de poids?

Une étude en provenance de l’Espagne, rapportée par The National Library of Medicine, affirme que les gens qui dinent plus tôt que les autres démontrent de meilleures aptitudes à perdre du poids.

Ainsi, il serait bénéfique de manger dans la première portion de l’heure du diner plutôt que dans la deuxième, ou même en après-midi.

Bien que l’étude ne puisse prouver ou démontrer avec certitude que le fait de manger plus tôt fait perdre du poids de façon directe, les chercheurs croient cependant mordicus au fait que les heures de prise de repas sont des facteurs importants dans la façon pour le corps de réagir aux aliments.

« Nous devrions sérieusement commencer à considérer l’heure de nos repas. Pas seulement ce que l’on mange, mais aussi quand on le mange », lance Frank Scheer, chercheur à Harvard et coauteur d’une étude sur le sujet.

C’est après avoir analysé les réponses de 420 volontaires pour une étude nutritionnelle, sur une période de 20 semaines, que des chercheurs ont constaté qu’à repas égal et activité égale, les gens qui mangeaient plus tôt perdaient étonnamment plus de poids que les autres…

On devra probablement s’attarder davantage à cette facette en matière de nutrition dans le futur, croient plusieurs spécialistes.

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Santé, la salade? Oui, mais…

Santé, la salade? Oui, mais encore faut-il lui ajouter des ingrédients qui ne viennent pas contrecarrer ses effets bénéfiques.

Ainsi, The National Library of Medicine rapporte une série de conseils publiés par l’Academy of Nutrition and Dietetics, qui vous permettront de faire les bons choix.

On suggère d’abord de surveiller l’apport calorique de tout ce que vous intégrez à votre salade. On évite donc les ajouts de bacon (et ses dérivés), de poulet frit ou rôti, ou encore de crevettes. Il en va de même pour les noix, les nouilles et pâtes, ainsi que le fromage.

Choisissez plutôt des viandes maigres et saines, comme le poulet bouilli (ou grillé) ou le thon. Placez et demandez vos assaisonnements, vinaigrettes et sauces à part, et non dans la salade directement, et utilisez-les à très petites doses, avec modération.

Les épinards, les asperges et les autres légumes verts sont bien sûr des alliés de taille pour une salade parfaitement santé.

Pour finir, rappelez-vous que les salades plus pâles (comme l’Iceberg, très commune en marché) sont moins nutritives et efficaces sur l’organisme que la laitue romaine, par exemple.

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Prévention de la grippe : pas de régime en hiver

Une étude affirme que la pire résolution du Nouvel An pourrait être celle d’entamer un régime, rapporte Top Santé, puisque ce comportement laisserait la porte grande ouverte à la prolifération de la grippe.

C’est ce que l’on comprend des conclusions dévoilées dans cette étude américaine, qui rappelle l’importance d’entretenir un bon système immunitaire. Surtout en hiver, alors que plusieurs maladies aisément transmissibles se propagent allègrement, comme la gastro-entérite et la grippe, entre autres.

La Dre Elizabeth Gardner, de l’Université du Michigan et auteure de l’étude, explique : « À la base, nous pensions que la restriction de calories pouvait rendre le système immunitaire plus résistant, mais nous nous sommes aperçus que c’était en fait le contraire. Plus de calories pendant la saison grippale permettent d’éloigner le virus ou au moins de présenter moins de symptômes et de récupérer plus rapidement ».

Il faut donc manger pleinement lors de ces mois d’hiver, en choisissant aussi de bons aliments. Manger plus et éviter les régimes? Voilà une recommandation unique en son genre, surtout pour une étude en nutrition. Profitons-en!

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Les boissons gazeuses diètes reliées à des risques de dépression

Les gens qui consomment des boissons gazeuses diètes pourraient développer des troubles de dépression, suggère une étude rapportée notamment par www.nlm.nih.gov.

L’étude américaine trace cependant des paramètres, stipulant qu’on parle ici plus précisément des adultes et des gens qui boivent plusieurs de ces boissons quotidiennement.

La même chose s’appliquerait aussi aux buveurs de jus de fruits concentrés (qui ne contiennent généralement pas de fruits) ainsi qu’aux amateurs de thé glacé.

En contrepartie et dans la même veine, les buveurs de café seront heureux de lire que ceux qui consomment plusieurs cafés par jour ont moins de risque de devenir dépressifs.

Le même phénomène serait observable en ce qui concerne toutes les boissons sucrées, mais les statistiques concernant les boissons diètes, comme les sodas, sont plus élevées en matière de risques de développement de la dépression et de troubles de l’humeur.

Cependant, pour la professeure en psychiatrie Eva Redei, ceci soulève autant de questions que de réponses, et elle croit qu’on ne peut citer un facteur unique en ce qui a trait à la dépression.

D’autres études sur le sujet sont donc à prévoir.

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Arrêter l’alcool : d’une pierre deux coups

De plus en plus d’études viennent confirmer l’impact négatif de l’alcool sur l’organisme. On parle bien sûr ici d’une surconsommation, qui vient alors nuire à plusieurs systèmes du corps et peut même entraîner des troubles de la mémoire à long terme, entre autres.

Il y a aussi l’aspect calorique de l’alcool, rapporte topsante.com. C’est justement pour cette raison que le WCRF conseille vivement à ceux qui souhaitent perdre du poids, ou le maintenir, de songer sérieusement à arrêter l’alcool complètement.

Si une association qui lutte contre le cancer se mêle de la partie, c’est qu’une perte de poids ou un maintien du poids santé est un gage d’une bonne santé en général et contribue à faire baisser les risques de développement de différents cancers.

Kate Mendoza, du WCRF, lance : « Réduire sa consommation d’alcool peut jouer un grand rôle dans la perte de poids ou le maintien d’un poids normal. Des études récentes ont montré que les consommateurs d’alcool n’ont pas souvent conscience des calories dans les boissons alcoolisées et ne les prennent pas en compte dans leur apport calorique quotidien ».

Parions que plusieurs se reconnaissent dans ce comportement…