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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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Le sexe permettrait de brûler plus de calories que la marche

« Oubliez la promenade et essayez le sexercice! », titre avec humour le Daily Mail (UK), qui rapporte une étude amusante mais tout à fait scientifique sur le nombre de calories dépensées lors d’une relation intime.

D’abord, il faut rappeler que les spécialistes de tous acabits se sont obstinés depuis des lunes concernant les véritables bienfaits de la sexualité sur la santé physique, et la pertinence de considérer l’acte sexuel comme une activité physique à part entière.

Ce n’est que récemment que certaines études ont finalement penché du côté de ceux qui le considèrent comme un exercice, mais cette plus récente proposée par des chercheurs de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), avancent des chiffres qui nous replongent dans une zone grise.

C’est que si la recherche confirme effectivement une perte calorique, on constate du même coup que les relations sexuelles ne permettent de brûler que peu de calories, si on les compare au jogging, par exemple.

Ainsi, c’est 4,2 calories par minute d’activité sexuelle qui s’envolent chez l’homme, et 3,1 chez la femme. Pas de quoi fouetter un chat, si l’on considère que la relation sexuelle moyenne ne dure que 24,7 minutes, pour un total de 104 calories de dépensées pour les hommes, et de 69 pour les femmes.

En étirant le temps et en augmentant un peu l’intensité, cependant, la sexualité peut alors devenir plus bénéfique que la marche, en termes de perte calorique.

Mais au final, bien que l’on conclut du côté des chercheurs québécois que le sexe peut être une activité physique reconnue, on ne suggère pas pour autant d’abandonner le sport ou l’entraînement!

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Compter les calories serait inutile, selon une étude

Se pourrait-il que la manie, voire l’obsession du calcul des calories que nous ingérons soit tout bonnement une pratique inutile?

C’est ce qu’avance une étude rapportée par le Daily Mail (UK), selon laquelle plusieurs facteurs devraient plutôt être pris en compte dans notre façon de manger, au lieu de simplement sortir la calculette lors de chaque repas et chaque achat.

Selon Rob Dunn, biologiste à l’Université de Caroline du Nord, les tableaux caloriques retrouvés sur les aliments peuvent s’avérer trompeurs, d’abord parce que chaque individu assimile et digère sa nourriture de façon différente.

Ainsi, donne-t-il en exemple, une portion d’amandes de « 170 calories » pourrait bien en fait en être une de 129!

De plus, la façon de cuire et d’apprêter les aliments ferait grandement varier les apports caloriques, ce qui change carrément la donne par rapport aux renseignements offerts sur les emballages.

M. Dunn termine en mettant en garde contre la nourriture mécaniquement transformée et emballée, et il croit que l’on devrait prioriser les aliments entiers ou crus.

ourrait-il que la manie, voire l’obsession du calcul des calories que nous ingérons soit tout bonnement une pratique inutile?

C’est ce qu’avance une étude rapportée par le Daily Mail (UK), selon laquelle plusieurs facteurs devraient plutôt être pris en compte dans notre façon de manger, au lieu de simplement sortir la calculette lors de chaque repas et chaque achat.

Selon Rob Dunn, biologiste à l’Université de Caroline du Nord, les tableaux caloriques retrouvés sur les aliments peuvent s’avérer trompeurs, d’abord parce que chaque individu assimile et digère sa nourriture de façon différente.

Ainsi, donne-t-il en exemple, une portion d’amandes de « 170 calories » pourrait bien en fait en être une de 129!

De plus, la façon de cuire et d’apprêter les aliments ferait grandement varier les apports caloriques, ce qui change carrément la donne par rapport aux renseignements offerts sur les emballages.

M. Dunn termine en mettant en garde contre la nourriture mécaniquement transformée et emballée, et il croit que l’on devrait prioriser les aliments entiers ou crus.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Les consommateurs peu influencés par la publication des apports caloriques

Des chercheurs de l’Université Carnegie Mellon constatent que les nouvelles mesures concernant la publication et l’affichage des apports caloriques appliquées un peu partout dans le monde n’ont que peu d’impact sur le comportement des consommateurs.

Publiée dans l’American Journal of Public Health et rapportée par Santé Log, l’étude démontre que l’affichage des calories comprises dans les menus de restaurants, par exemple de fast-food, n’incite pas vraiment les clients à faire des choix plus éclairés en matière de nutrition.

Pour vérifier cette théorie, l’équipe de Carnegie Mellon a analysé les réactions et comportements de plus de 1000 sujets clients dans deux franchises McDonald’s de la région de New York.

Après avoir séparé les sujets en trois groupes et informé ces consommateurs des calories retrouvées dans les repas de la célèbre franchise, des apports caloriques recommandés ou encore en ne disant rien du tout, les chercheurs constatent avec stupéfaction que les trois groupes agissent de la même façon.

Il semble que les gens font ce qu’ils veulent, malgré les dangers et les recommandations! Cependant, les chercheurs impliqués croient que toute cette sensibilisation entourant la malbouffe amène les restaurateurs à créer de meilleurs repas, ce qui s’avère une excellente chose.

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Moins de calories en prévention des maladies neuro-dégénératives

Des chercheurs du MIT et de l’Institut Howard Hugues publient une étude sur la restriction calorique et ses impacts sur la préservation des cellules et en prévention des maladies neurodégénératives comme l’Alzheimer, par exemple.

Les conclusions, rapportées par Santé Log et publiées dans l’édition du Journal of Neuroscience du mois de mai, font état de tests concluants effectués sur des animaux, qui confirment qu’un apport calorique moindre peut permettre une meilleure protection contre les changements dus au vieillissement.

On note particulièrement la production d’une enzyme, appelée SIRT1, lorsqu’un animal est placé en situation de restriction calorique. Un phénomène que l’on croit tout aussi vérifiable chez l’être humain.

Mais voilà, la découverte de cette enzyme et de ses effets sur la défense de l’organisme pourrait permettre aux chercheurs de créer un traitement permettant une simulation d’une baisse calorique, sans les effets néfastes liés à une alimentation trop faible.

Il s’agit d’une percée très intéressante, qui ouvre la porte à de nouvelles possibilités dans le domaine neurologique et en recherche de traitement des maladies neurodégénératives.

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La table des calories dépassée ?

Top Santé rapporte une opinion que plusieurs spécialistes en nutrition semblent partager, selon laquelle la bonne vieille table des calories retrouvée sur la plupart des aliments serait désuète et souvent erronée.

Les spécialistes rappellent que la calorie est une unité de mesure qui symbolise la valeur énergétique d’un met ou d’un produit. Cependant, avec les différents régimes alimentaires offerts et adoptés par les Nord-Américains, de plus en plus soucieux de leur santé, il peut survenir des erreurs de calcul majeures.

« Par exemple, les personnes qui suivent un régime riche en fibres ont souvent une sous-estimation d’environ 25 % du nombre de calories qu’elles avalent quotidiennement, car les tables de calories ne tiennent pas compte de la valeur énergétique des fibres.» Explique le professeur Richard Wrangham, d’Harvard.

« À l’inverse, poursuit le professeur Wrangham, les calories de certains aliments très protéinés comme un steak de thon sont surestimées de 20 % en moyenne, car la table de calories ne tient pas compte de l’énergie qui est dépensée par notre corps pour digérer les protéines.

Or, quand on est au régime, il est important de savoir qu’on brûle plus d’énergie en mangeant un steak de poisson qu’en avalant deux tranches de pain blanc! »

Il semble qu’une révolution en matière d’affichage et d’information sur les aliments est sur le point de se produire, cette sortie s’ajoutant à plusieurs autres analyses parues depuis peu.

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Plus de détails sur les menus de restaurant, une méthode qui fonctionne

On parle de plus en plus de cette volonté à obliger les restaurateurs à inscrire précisément ce que contiennent les repas affichés sur leur menu, afin de permettre au consommateur de faire des choix plus éclairés.

Voilà que The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude américaine sur le sujet, qui vante les mérites de cette approche.

On avance même que cette façon de faire, notamment d’indiquer clairement les apports caloriques des mets sur le menu, permettrait non seulement aux gens soucieux de leur santé d’être mieux servis, mais également de conscientiser ceux qui ne se soucient guère de leur santé.

Plus facile de faire une prise de conscience lorsqu’on a tous les éléments en main, croient les chercheurs du Jean Mayer USDA Human Nutrition Research Center on Aging qui publient cette recherche.

« C’est encourageant, car l’information pourrait bien aider ceux qui en ont le plus besoin », conclut Lorien Urban, qui étudie justement les impacts d’ajouter de l’information sur les menus de restaurant.

Les sujets de l’étude ayant eu accès à un menu détaillé ont baissé leurs apports caloriques de façon hebdomadaire, et ces changements, même minimes, peuvent avoir un impact intéressant sur la santé physique.

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La bière à proscrire durant un régime

En fait, les gens habitués de boire une bière par jour, qui décident de suivre un régime, devraient simplement cibler des produits moins caloriques.

Selon le cofondateur du blogue Beer and Whiskey Brothers, Jim Galligan, le fait de « s’empêcher de vivre » au profit d’un régime risque de faire échouer le processus de remise en forme.

En ciblant un nombre de calories à soustraire à son régime, l’individu pourra trouver une bière moins calorique qui ne nuit pas, ou moins, à son objectif.

Bien que cela semble difficile à trouver, plusieurs bières ont un faible apport calorique. Il y a notamment la Beck’s Light ainsi que la Miller Genuine Draft 64, qui ne contiennent que 64 calories la bouteille. Mieux encore pour votre régime, la Bud Select n’en contient que 55.

Cependant, plusieurs n’aiment pas le goût de la bière moins calorique.

« Je préfère boire de l’eau et économiser des calories pour les bières que j’aime. Et c’est le plan. J’ai décidé de ne pas boire de bière la semaine et de garder mes calories destinées à la bière pour les weekends », explique Galligan, concernant ses habitudes lors de son régime.

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La bière à proscrire durant un régime

En fait, les gens habitués de boire une bière par jour, qui décident de suivre un régime, devraient simplement cibler des produits moins caloriques.

Selon le cofondateur du blogue Beer and Whiskey Brothers, Jim Galligan, le fait de « s’empêcher de vivre » au profit d’un régime risque de faire échouer le processus de remise en forme.

En ciblant un nombre de calories à soustraire à son régime, l’individu pourra trouver une bière moins calorique qui ne nuit pas, ou moins, à son objectif.

Bien que cela semble difficile à trouver, plusieurs bières ont un faible apport calorique. Il y a notamment la Beck’s Light ainsi que la Miller Genuine Draft 64, qui ne contiennent que 64 calories la bouteille. Mieux encore pour votre régime, la Bud Select n’en contient que 55.

Cependant, plusieurs n’aiment pas le goût de la bière moins calorique.

« Je préfère boire de l’eau et économiser des calories pour les bières que j’aime. Et c’est le plan. J’ai décidé de ne pas boire de bière la semaine et de garder mes calories destinées à la bière pour les weekends », explique Galligan, concernant ses habitudes lors de son régime.