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Serge Savard en deuil de sa femme

L’ancien joueur et directeur général des Canadiens de Montréal, Serge Savard, est en deuil de sa femme, Paulette.

Cette dernière est décédée au cours des derniers jours, générant une onde de choc et de tristesse dans le monde du hockey et des médias sportifs québécois. C’est que plusieurs connaissaient bien l’épouse de Serge Savard, reconnue pour avoir eu un impact assuré sur la carrière de celui qui a remporté la coupe Stanley comme joueur avec le Canadien, mais aussi le dernier à l’avoir remporté comme directeur général à Montréal.

Plusieurs ont rendu hommage à Paulette et offert leur soutien à Serge Savard, dont Michel Bergeron et Jean-Charles Lajoie et d’autres personnalités de la sphère médiatique sportive au Québec.

Paulette Lebrun est morte le 2 mai dernier, à l’âge de 78 ans.

Nos condoléances à M. Serge Savard.

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Serge Savard est en deuil de sa femme, Paulette

L’ancien joueur et directeur général des Canadiens de Montréal, Serge Savard, est en deuil de sa femme, Paulette.

Cette dernière est décédée au cours des derniers jours, générant une onde de choc et de tristesse dans le monde du hockey et des médias sportifs québécois. C’est que plusieurs connaissaient bien l’épouse de Serge Savard, reconnue pour avoir eu un impact assuré sur la carrière de celui qui a remporté la coupe Stanley comme joueur avec le Canadien, mais aussi le dernier à l’avoir remporté comme directeur général à Montréal.

Plusieurs ont rendu hommage à Paulette et offert leur soutien à Serge Savard, dont Michel Bergeron et Jean-Charles Lajoie et d’autres personnalités de la sphère médiatique sportive au Québec.

Paulette Lebrun est morte le 2 mai dernier, à l’âge de 78 ans.

Nos condoléances à M. Serge Savard.

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Dans les coulisses

Canadien : incapable de battre un meilleur club que lui en 60 minutes

Les Canadiens connaissent une bonne saison, sans plus. On s’entend que l’équipe a déjà connu son lot de hauts et de bas depuis le début de la campagne et c’est facile à remarquer en ne se fiant qu’à leur fiche de 11-12-3.

Cependant, il y a une chose qui saute aux yeux en regardant les résultats du CH depuis le début de la saison : l’équipe n’a jamais battu une formation qui occupe une meilleure place au classement qu’elle en temps réglementaire.

Voici les cinq victoires en temps réglementaire du Tricolore cette saison :

  • Victoire 3 à 2 contre Chicago le 14 octobre
  • Victoire 3 à 1 à Buffalo le 23 octobre
  • Victoire 4 à 3 à Anaheim le 22 novembre
  • Victoire 4 à 2 à Columbus le 29 novembre
  • Victoire 4 à 2 contre Seattle le 4 décembre

C’est tout. Seulement cinq victoires en temps réglementaire en 26 matchs et toutes contre des équipes avec une moins bonne fiche que Montréal.

Voyez par vous-même :

 

Le pire dans tout ça, c’est que le Canadien n’a jamais gagné par plus de deux buts d’écart cette saison. Les partisans n’ont eu droit que deux fois en 26 matchs au fameux rabais « cinq buts, huit ailes » de La Cage.

Ça prend plus de la part du CH et c’est justement ce que Darren Dreger a expliqué vendredi matin au micro de la station de radio montréalise TSN 690.

Geoff Molson a fait savoir à tout le monde qu’il était satisfait de la reconstruction jusqu’à maintenant pendant la rencontre des dirigeants de la LNH, mais bien évidemment qu’il n’allait pas cracher sur le travail de son équipe.

Je ne dis pas que le Canadien fait du mauvais travail, loin de là, mais qu’il manque un petit quelque chose. Darren Dreger l’a très bien expliqué à la radio en affirmant que le Canadien doit passer à une autre étape la saison prochaine. Peut-être pas au point de devenir une équipe qui participe aux séries éliminatoires, mais une équipe qui peut battre des équipes de haut calibre.

Pour l’instant, Montréal n’a pas encore prouvé qu’il peut battre une formation plus haut que lui au classement. En espérant que la situation change dimanche, contre les Predators de Nashville, qui occupent en ce moment le 17e rang au classement général.

En rafale

– Le retour d’une icône du Rocket.

– C’est bien de lui donner une chance.

– Ce ne serait pas surprenant.

– Les Packers paraissent bien depuis quelques semaines.

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Dans les coulisses

Jacob Fowler excelle face à l’adversité

Quand on pense à un bon gardien, on pense à un gars calme, qui ne cède pas sous la pression. Combien de fois avez-vous vu Carey Price se faire mitrailler de rondelles et ne montrer aucune émotion, même pas une once de stress? Assez souvent.

C’est le genre de qualité que possède l’espoir du Canadien, Jacob Fowler. Même quand ça va mal, il se concentre sur son jeu et ça rapporte.

En ne regardant que les statistiques, il n’y a rien à dire sur son jeu. Il présente un taux d’efficacité de ,931, une moyenne de buts alloués de 1,98 et 11 victoires en 14 matchs.

Certaines de ses victoires lui ont toutefois donné beaucoup de fil à retordre. Marc Antoine Godin de Radio-Canada Sports a récemment rencontré le choix de troisième ronde du Canadien en 2023 et a réussi à voir l’envers des victoires de l’équipe de Fowler, Boston College.

Fowler a mal paru en début de match contre l’Université du Connecticut, le 17 novembre. Il avait accordé 4 buts sur les 16 tirs de ses adversaires après deux périodes de jeu. La marque était alors de 4 à 3 en faveur du Connecticut.

Son entraîneur a décidé de ne pas le chasser du match et c’était la bonne chose à faire. Fowler s’est présenté avec hargne en troisième période et a arrêté tous les tirs dirigés vers lui pour pousser son équipe à une victoire de 5 à 4 en prolongation.

Le lendemain, il récoltait son premier blanchissage en carrière dans un autre match contre l’Université du Connecticut.

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On peut prendre un autre exemple. Son premier match dans la NCAA était contre les champions en titre, Quinnipiac. Il a permis à son équipe de l’emporter en ne cédant qu’une seule fois sur 30 tirs.

Voulez-vous un autre exemple? Fowler affrontait Michigan State et leur gardien Trey Augustine les 26 et 27 octobre. Augustine a été repêché plus tôt que Fowler lors du dernier encan de la LNH. Sur papier, Augustine devait être le gagnant de ce duel.

Finalement, Boston College a remporté les deux rencontres grâce à de superbes performances de son gardien. Lors du deuxième match de cette mini-série, Fowler a même arrêté 43 rondelles sur 44.

Jacob Fowler a de la glace dans le sang.

Ce qui est encore plus fou dans tout ça, c’est que les statistiques de Fowler dans la NCAA sont encore meilleures que celles de ses deux saisons dans la USHL.

Ça vient tout de suite prouver qu’il n’a pas peur de passer à un autre niveau et que ses capacités d’adaptation sont excellentes. Il vient toutefois d’arriver dans ce nouveau niveau et il faut lui laisser le temps de parfaire son jeu.

Il devrait de toute façon avoir un nouveau défi pendant le temps des fêtes, alors qu’il devrait représenter les États-Unis lors du Championnat mondial junior. Maintenant, à lui de prouver qu’il peut être le gardien numéro un des Américains.

Pour l’instant, pas de doute là-dessus.

En rafale

– Un match complètement fou.

– Superbe réponse en effet!

– Ce serait cool de voir les Lions avec un chandail spécial!

– La nouvelle règle frappe encore.

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Divertissement Divertissement Hollywood PQ

Céline Dion fait une rare apparition publique!

«De la belle visite!»

Céline Dion, comme on le sait, fait face à de graves problèmes de santé, ce qui a forcé l’annulation de toutes ses dates de spectacles pour sa tournée Courage.

La star souffrant du syndrome de la personne raide, une maladie neurologique, surprend maintenant tout le monde avec une rare apparition publique!

C’est lors du match des Canadiens de Montréal à Las Vegas que la diva a rendu visite à l’équipe du bleu blanc rouge, tel que nous le partage la vice-présidente des communications, Chantal Machabée.

«De la belle visite à notre match à Vegas hier. Merci @celinedion pour ta grande générosité. Toute l’équipe était très heureuse de te rencontrer, toi et ta famille», partage Chantal sous cette photo où Céline semble en grande forme.

Peut-on ainsi supposer que Céline va mieux?

Quel beau moment!

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Dans les coulisses

Le CH s’incline en tirs de barrage face aux champions en titre

Samuel Montembeault soulignait son 27e anniversaire de superbe manière lundi soir. Il était en voyage à Vegas! Il pouvait toutefois s’offrir un meilleur cadeau en battant une des meilleures équipes de la LNH : les Golden Knights.

Voici l’alignement partant des deux équipes.

Montréal s’est fait martelé de tirs en début de période. La bonne nouvelle, c’est que Samuel Montembeault a répondu présent à toutes les attaques de Vegas, incluant une séquence où Juraj Slafkovsky a subi un revirement dangereux.

Le travail de Montembeault a finalement été gâché par Paul Cotter. Son tir de la ligne bleu a été dévié et a complètement surpris le gardien québécois qui n’était pas du tout au bon endroit pour faire l’arrêt.

Après 20 minutes, Vegas menait 1 à 0.

S’il y en a bien un qui performe bien cette saison, c’est Sean Monahan. Cette fois, il n’a pas vraiment eu besoin de sortir tout son talent parce qu’Adin Hill lui a offert le but sur un plateau d’argent.

Je vous laisse comprendre par vous-même.

Les Golden Knights ont eu besoin d’un peu plus de 15 minutes avant de décocher leur premier tir sur le but du Canadien en deuxième période. Voilà quelque chose qu’on a très rarement vu lors des dernières saisons du CH. Faire ça contre les champions en titre, c’est tout simplement fou.

Malheureusement pour les Canadiens, ils n’ont pas été capable de s’offrir l’avance pendant ces 15 minutes. La bonne nouvelle, c’était que le score était encore neutre et que les chances d’une victoire étaient toujours bien en vie.

Sauf que Vegas s’est montré très opportuniste. William Carrier a offert l’avance aux Golden Knights en fin de deuxième tiers sur leur deuxième tir de la période.

Après deux périodes, les Golden Knights avaient encore l’avance. Cette fois, c’était avec un score de 2 à 1.

Le Canadien a tout donné en troisième période et celui qui s’est le plus donné, c’est probablement Josh Anderson. Il était parti en mission et voulait tant bien que mal obtenir son premier but. Il a obtenu trois bonnes chances de marquer pendant les deux premiers tiers de la période, mais rien ne fonctionnait.

Adin Hill avait réponse à tout. À presque tout…

Nick Suzuki s’est emparé d’une rondelle derrière le filet de Vegas et a réussi à revenir devant le filet pour créer l’égalité.

Une belle façon de saluer l’équipe qui l’a repêché!

Le CH a donc eu besoin de temps supplémentaire pour une troisième match de suite.

Suzuki s’est fait prendre en prolongation en accrochant Jack Eichel en échappée. Eh oui! Tir de pénalité! Heureusement pour le capitaine, Samuel Montembeault s’est dressé devant Eichel.

Montembeault a réservé don meilleur arrêt du bout de la jambière en fin de prolongation. De toute beauté. On a eu besoin des tirs aux buts pour un deuxième match de suite.

Suzuki a remis ça en tirs de barrage avec sa classique feinte habituelle pour déjouer Adin Hill. Jonathan Marchessault a toutefois créé l’égalité dès le tir suivant.

Ça a ensuite permis à Shea Theodore de marquer au quatrième tour pour donner la victoire à Vegas.

Le Canadien s’est donc incliné par la marque de 3 à 2.

Montréal sera de retour en action jeudi prochain avec une visite au Mullett Arena des Coyotes. Il s’agira d’un autre match de fin de soirée, lui qui sera diffusé à 22 heures.

Prolongation

– Et c’est loin d’être fini.

– Le Canadien a connu un excellent début de rencontre.

– Wow!

– Assez surprenant.

– Caufield a décidé de plaquer ce soir.

– Un as du cercle de mise en jeu.

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Dans les coulisses

Jacob Fowler a perdu 17 livres

Jacob Fowler est un gardien de but qui a énormément de potentiel. Dès sa sélection au 69e échelon du dernier repêchage, on sentait qu’il y avait un petit quelque chose de différent chez ce gardien ; une joie et une volonté immense de jouer pour le Canadien.

Non seulement veut-il jouer pour le Canadien, mais il rêve d’en devenir le gardien numéro un. Le jeune Américain a prouvé son désir cet été en perdant un total de 17 livres!

C’est ce que le journaliste du Journal de Québec, Kevin Dubé a découvert pendant son voyage dans la région de Boston afin de prendre des nouvelles de quelques espoirs du Tricolore.

Lors du dernier repêchage de la LNH, le poids officiel de Fowler était de 223 livres. À 6 pieds 2 pouces, ce n’est pas un si gros excès de poids, mais ce n’est pas l’idéal pour un athlète professionnel.

En octobre, Fowler amorçait sa première saison dans la NCAA avec Boston College. Son poids officiel avec l’équipe au début de la campagne était de 214 livres. En date du 30 octobre, l’espoir du Canadien affiche maintenant 206 livres sur la balance!

Et tout ça, il le doit à du travail acharné avec une nutritionniste. Cette même nutritionniste a avoué être très impressionnée du travail de Fowler, qui possède une discipline hors du commun. En d’autres termes, il a un but et il fait tout pour y arriver.

Fowler a été extrêmement dominant lors de ses deux dernières saisons avec les Phantoms de Youngstown dans la USHL. Un taux d’efficacité de ,927 en 18 matchs à sa première campagne et un autre de ,921 en 40 rencontres à sa deuxième, c’est du bonbon.

C’est d’ailleurs ce qui lui a valu une place avec les Eagles de Boston College cette saison. Sa perte de poids l’a certainement aidé. Mieux encore, à son année freshman, il s’est battu suffisamment fort pour se mériter le poste de partant!

Il présente jusqu’à maintenant un taux d’efficacité de ,919 et une moyenne de buts alloués de 2,15. Tout ça, en ayant été dominant face à Quinnipiac, les champions en titre du championnat national.

Si Fowler continue sur cette lancée, je ne serais pas surpris de le voir s’établir un jour comme numéro un du CH.

En rafale

– On l’aime notre Rocket.

– Ouf.

– Triste de voir que ça se termine de cette façon.

– Un autre but de Bedard.

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Un concept pour le prochain chandail rétro des Canadiens aux couleurs des Maroons

On le sait tous, quand les Canadiens portent un chandail Reverse Retro, ils n’ont pas beaucoup de succès, même aucun. Mais tout ça, c’était avec des chandails bleus. Cette fois, la tendance pourrait changer avec une autre couleur qui est rarement utilisée. Le marron!

Michel Laprise de Balle Courbe est tombé sur un concept de chandail rétro pour le Canadien sur Reddit et a décidé de le partager. Je dois avouer que je le trouve magnifique.

Voici l’article de Balle Courbe à ce sujet.

Et voici la photo du concept de chandail.

(Crédit: Emergency_Star sur Reddit)

Le rétro pogne toujours dans le monde du hockey. Les gens raffolent des logos des Whalers, des Nordiques ou bien des Mighty Ducks. Le Canadien a un peu évité le thème du rétro avec ses deux premiers chandails Reverse Retro. Un était simplement bleu royal, l’autre avait une certaine signification avec les couleurs des Expos, mais le design du chandail restait le même que leur régulier.

Cette fois, le marron, donne vraiment une impression de rétro et les Canadien. Et ce n’est pas tout, le logo change même de forme. On remarque ici que le créateur y est allé d’un logo avec un style très semblable à celui utilisé pendant la Classique Hivernale de 2016.

Le marron, c’est la couleur utilisée par l’équipe du même nom de Montréal au début du 20e siècle : les Maroons.

Voici le chandail qu’ils utilisaient comme petit exemple. C’est assez semblable, mais j’aime le style.

J’espère que le Canadien parte dans cette direction, mais il faudra encore attendre. Pour l’instant, rien n’est officiel et on ne s’attend même pas à un troisième chandail pour la saison 2023-24 des Canadiens.

En rafale

– Mike Matheson est embêté par une blessure mineure.

– Il est dominant depuis quelques matchs.

– Pas sûr de ça.

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Emil Heineman : son tir foudroyant va l’aider à s’établir dans la LNH

Emil Heineman ne fait pas partie des espoirs du Canadien dont on parle le plus ces temps-ci. Toutefois, il faut s’attendre à de grandes choses de sa part dans les saisons à venir. Il ne sera peut-être pas dominant avec le Canadien en octobre, mais il pourrait devenir une pierre angulaire du Rocket pendant la prochaine saison.

En fait, ce qui va l’aider, c’est son tir puissant. C’est ce qui lui a permis de se démarquer dès son arrivée à Laval à la fin du mois de mars.

L’attaquant suédois a trouvé le fond du filet à sept reprises en sept matchs à ses débuts à Laval.

Acquis dans la transaction envoyant Tyler Toffoli aux Flames, il est un des rares joueurs européens à réussir à être meilleur sur une glace nord-américaine qu’une patinoire internationale. Il s’est récemment confié à Anthony Marcotte de TVA Sports à ce propos.

Oui, Heineman a confiance en son tir, mais il s’est même fait dire par des entraîneurs du Rocket que c’est ce qu’ils aiment chez lui. Ses entraîneurs lui ont dit qu’ils aiment le fait qu’il prend beaucoup de tirs vers le filet adverse.

C’est pas fou. Plus tu prends de tirs, plus tu as de chances de marquer un but. La tactique a très bien fonctionné si on se fie à ses sept buts à ses sept premiers matchs dans la LAH.

Et c’est là qu’on voit l’avantage des plus petites glaces pour Heineman. Puisque la surface de jeu est plus petite, il se retrouve beaucoup plus souvent en position de marquer. En fait, sur une patinoire nord-américaine, il est presque possible de marquer de n’importe où dans la zone adverse (sauf peut-être de derrière le filet, mais il y a toujours la feinte du Michigan pour ça).

Heineman est intelligent. Il a compris ce concept et tire très souvent. Et ça rapporte!

Je me souviens des débuts de Jesperi Kotkaniemi avec le Canadien. Je le regardais aller et je me disais qu’il avait une tonne de chances de marquer, mais qu’il ne faisait pas assez confiance à son tir. Heinemenan l’a, cette confiance, et ça lui permet de se démarquer.

Il se démarque à un point tel que son entraîneur-chef avec le Rocket, Jean-François Houle, croit qu’il peut devenir un joueur important chez le Canadien dans le futur et que son potentiel est très élevé.

À 21 ans, Emil Heineman a encore beaucoup à prouver, mais il est parti sur le bon chemin. Le Canadien possède déjà un excellent franc-tireur en Cole Caufield, mais un de plus dans l’alignement ne ferait certainement pas de mal.

En rafale

– Très touchant.

– Les joueurs du Canadien ne sont pas des as au golf.

– C’est triste à voir.

– Ça c’est rare! Un arbitre expulsé!

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Dans les coulisses

Lane Hutson n’est pas seulement bon offensivement

Quand on pense à Lane Hutson, on pense à son habileté à produire des points et a patiner comme personne. Mais ce n’est pas tout ce qui décrit l’espoir en défense des Canadiens. Il se débrouille très bien défensivement et même physiquement.

C’est ce qu’il a démontré lors de son match de samedi à l’occasion du camp estival de l’équipe junior des États-Unis. Il s’est entretenu avec NHL.com après sa rencontre.

Pendant cette rencontre, il arborait un beau «bleu» sur le côté de la tête, qu’il a subi lors d’un jeu physique pendant la rencontre.

Selon son coéquipier américain, Rutger McGroarty, Hutson a beaucoup de coeur et se donne à chaque match et chaque pratique. Il deviendrait même fâché quand l’équipe perd! Il possède un grand sens de compétition.

« Il a du chien en dedans. » – Rutger McGroarty

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Malgré ses 5 pieds 9 pouces, qui peuvent sembler petits pour un défenseur, on réalise rapidement qu’il est capable de trouver d’autres moyens pour effectuer du bon travail physique.

Et ce travail physique l’aide beaucoup défensivement. Son coup de patin et sa vision du jeu l’aident également à se démarquer défensivement.

L’entraîneur-chef des États-Unis, David Carle, a expliqué aux journalistes samedi que Hutson est capable de contrôler les attaquants quand il n’a pas la rondelle et que son coup de patin lui permet d’avoir un jeu défensif impeccable.

De toute façon, Lane Hutson a encore beaucoup de temps pour apprendre à être encore meilleurs dans tous les aspects du jeu.

Il a avoué aux journalistes sentir qu’il se rapproche de plus en plus de la LNH, mais qu’il va au moins passer la prochaine saison avec l’Université de Boston dans la NCAA, là où il a tout cassé l’an dernier.

Hutson continue de nous surprendre à chaque jour. Il pourra surprendre le monde entier au Championnat mondial junior cette année, lui qui devrait assurément faire partie de la formation américaine.

En rafale

– Carey Price n’était pas bien entouré au début de sa carrière.

– Une grande perte pour le CFM.

– Quel jeu du demi-défensif des Alouettes.

– Sorokin est meilleur au hockey qu’au basket.