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Les Oilers pourraient s’intéresser à Jake Evans, selon Kurt Leavins

Les Oilers d’Edmonton ont besoin de profondeur en attaque. Ils pourraient s’intéresser à faire l’acquisition de l’attaquant du Canadien, Jake Evans, par le biais d’une transaction dans les prochains mois.

C’est ce que propose le journaliste du Edmonton Journal, Kurt Leavins.

Selon lui, les Oilers pourraient effectuer des transactions pour rebalancer l’équipe au poste de centre. C’est pourquoi il propose de changer les joueurs de profondeur en mettant la main sur Jake Evans ou Nic Dowd des Capitals.

Il reste deux saisons au contrat de Jake Evans qui a un impact de 1,7 million $ sur la masse salariale. Les Oilers doivent s’offrir des joueurs avec de faibles salaires pour compenser le gros contrat de Connor McDavid et Leon Draisaitl.

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McDavid touche 12,5 millions $ et Draisaitl 8,5 millions $ par saison. De plus, l’entente de l’Allemand se termine à la fin de la saison 2024-25 et il risque de coûter encore plus cher.

Jake Evans produit bien offensivement avec 19 points en 54 rencontres en 2022-23. Mais ce qui est le plus intéressant de son côté, c’est ce qu’il peut apporter physiquement et défensivement. Il pourra bien s’occuper d’une deuxième vague d’infériorité numérique à Edmonton.

Leavins n’a pas indiqué quel genre de retour les Oilers devront offrir au CH pour faire l’acquisition de Evans, mais il ne s’attend probablement pas à offrir beaucoup.

Kent Hughes sera probablement prêt à négocier, mais il aimerait beaucoup plus se débarrasser d’un contrat plus encombrant comme celui de Christian Dvorak.

C’est un dossier qui reste à suivre, mais ne soyez pas surpris si Jake Evans fait partie de plusieurs rumeurs dans les prochains mois. La congestion à l’attaque du Canadien risque de forcer Kent Hughes a effectuer quelques transactions pendant ou avant la saison.

En rafale

– Makar est vraiment dans une classe à part.

– Ô Canada!

– Les frères Tkachuk aiment bien cette feinte!

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Nick Suzuki fait une visite chez Bombardier

Le capitaine du Canadien, Nick Suzuki, passe maintenant ses étés au Québec et il semble vraiment s’y plaire! Ça lui permet d’aller à plusieurs événements où il est accueilli en roi.

Cette fois, le numéro 14 a été invité à faire une visite chez la compagnie de construction d’avions Bombardier.

La compagnie a publié une vidéo résumant sa journée sur Facebook, samedi.

C’est un excellent coup de publicité pour Bombardier, mais aussi une superbe idée pour rendre les employés heureux. Je lève mon chapeau au patron pour avoir donné une journée remplie de plaisir à plusieurs employés de sa compagnie.

Les employés avaient l’air d’être très heureux et il y avait beaucoup de partisans du Canadien dans la place.

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Au grand plaisir des employés, Nick Suzuki a signé des autographes, pris des photos et échangé avec eux. Il a même pris le temps de leur offrir un discours sur l’art d’être un bon leader.

Suzuki sait de quoi il parle, il a lui-même besoin d’être un excellent leader pour diriger une équipe de la LNH.

En plus de signer des autographes, Suzuki a aussi démontré l’étendue de son talent au hockey. Dans la vidéo partagée par Bombardier, on peut le voir tirer des cibles dans un but et même y aller de quelques techniques fantaisistes pour le plaisir de tous.

Les employés ont même tenté de le battre au défi des cibles dans le but. Ça me surprendrait toutefois qu’ils aient pu le battre!

Suzuki a terminé sa journée en faisant la visite du Global 7500, qui est un avion d’affaires extrêmement luxueux. Il semble avoir apprécié le luxe qu’offre l’avion, mais je doute qu’il puisse s’offrir se genre d’engin même avec son superbe contrat de 7,875 millions $.

Le capitaine du Canadien est devenu capitaine d’avion le temps d’un instant alors qu’on le voit aux commandes de l’avion. Bien évidemment, il n’a pas piloté l’avion dans les airs, il y a des limites!

Nick Suzuki sait comment être un favori de la foule et assister à des événements à l’année longue à Montréal lui permet d’accentuer sa popularité.

En rafale

– Assez fou.

– Grosse transaction dans la MLB.

– Peu de gens s’attendaient à une telle saison de Montembeault.

– Le retour de Judge fait du bien aux Yankees.

– Les Blue Jays gagnent un match important.

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Lane Hutson est dominant au camp estival de l’équipe américaine

Lane Hutson est tout simplement impressionnant, à un point tel que ça ne nous prend plus par surprise. Cette fois, il a démontré toute l’étendue de son talent au camp estival de l’équipe junior des États-Unis en prévision du Championnat mondial junior.

Les États-Unis ont divisé séparés leurs joueurs en deux équipes. Jacob Fowler jouait avec les Bleus, tandis que Lane Hutson jouait avec les Blancs.

Ça ne s’est pas très bien passé pour Fowler et les Bleus, mais Hutson a démontré de belles choses dans la défaite de son équipe. Les Blancs affrontaient la Finlande.

Les Américains se sont inclinés 4 à 2, mais Hutson a récolté une mention d’aide sur le tout premier but du match.

Hutson a récolté sa mention d’aide en préparant le but de Rutger McGroarty en première période.

Comme le rapporte Adam Kimelman de NHL.com, Lane Hutson a démontré qu’il a du talent, mais il a surtout démontré qu’il est capable de jouer avec hargne tout au long d’une rencontre.

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Il enchaîne ensuite en expliquant que Lane Hutson « mène dans la catégorie des jeux spectaculaires par tranches de 60 minutes ».

C’est une drôle de manière de dire qu’il est impressionnant à voir jouer et qu’il joue non seulement de manière efficace, mais aussi spectaculaire.

Les partisans pensent la même chose que Kimelman.

On a très hâte de voir Lane Hutson dans l’uniforme bleu-blanc-rouge!

En rafale

– Un homme en or.

– Une vraie légende.

– La Canadienne a du rattrapage à faire.

– Assez surprenant.

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Nick Suzuki : un des meilleurs de la LNH en tirs de barrage

Qui est le meilleur joueurs des Canadiens en tirs de barrage? Nick Suzuki, bien sûr. Mais saviez-vous que le capitaine du Tricolore fait partie de l’élite de la LNH à ce chapitre?

En effet, selon une une statistique compilée par Big Head Hockey, Suzuki se classe au 5e rang de toute la LNH pour l’efficacité en tirs de barrage lors des trois dernières saisons.

Suzuki a un pourcentage de réussite de 53,9 % en tirs de barrages. Personnellement, j’étais certain qu’il était encore plus efficace que ça. Il a souvent sauvé le Canadien en tirs de barrage.

Tout le monde connait sa fameuse technique de la cuillère pour déjouer les gardiens en fusillade, mais Suzuki a plus d’un tour dans son sac. Mike Kelly de NHL Network a même analysé son travail pour démontrer qu’il est capable de marquer de plusieurs manières grâce à son impressionnante capacité à analyser le jeu.

Mais le joueur le plus impressionnant de cette liste est le Québécois Frédérick Gaudreau. Il fait du bon travail offensivement, mais de là à être le quatrième meilleur joueur de la LNH en fusillade, c’est vraiment incroyable.

En fait, Gaudreau est le joueur de la LNH qui a inscrit le plus de buts en tirs de barrage lors de la dernière saison. Il en compte 8, ce qui est 3 de plus que son plus proche poursuivant.

Revenons à Suzuki. Le capitaine des Canadiens a marqué sept buts en tirs de barrage lors des trois dernières saisons en seulement 13 tentatives. S’il continue à ce rythme, il pourra peut-être s’approcher du record de tous les temps détenu par Jonathan Toews.

Le capitaine des Blackhawks en compte 52 dans toute sa carrière.

C’est assez impressionnant de voir Suzuki se classer au-dessus de grands joueurs comme Sidney Crosby, Connor McDavid ou bien Alex Ovechkin pour une statistique offensive.

En rafale

– Déception pour le CF Montréal.

– Le CFM peut au moins se réjouir de cette défaite de ses rivaux.

– Les Angels veulent garder Shohei.

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Juraj Slafkovsky : un des seuls joueurs de sa taille à jouer à 18 ans

Juraj Slafkovsky n’a peut-être pas impressionné à ses débuts dans la LNH, mais il faut avouer qu’il a fait du bon travail. En fait, très peu de joueurs commencent à jouer dans le circuit Bettman à l’âge de 18 ans et encore moins de joueurs de sa taille le font.

En fait, Juraj Slafkovsky a terminé 5e meilleur pointeur de la LNH en 2022-23 chez les joueurs mesurant 6 pieds 3 pouces ou plus et pesant 235 livres ou plus.

Il y avait quand même d’excellents joueurs devant lui, ce qui n’aidait pas sa cause. On parle ici d’Alex Ovechkin et Anders Lee qui ont tous un gros impact sur leur formation respective. Nick Ritchie et Milan Lucic sont les deux autres à le devancer avec beaucoup plus de matchs joués.

En plus de ça, il n’a joué que 39 rencontres en 2022-23, puisque sa saison a été freinée par une blessure. S’il avait joué l’entièreté de la saison, je suis prêt à parier qu’il aurait terminé au troisième rang de cette liste.

Comme on le disait, l’âge de Slafkovsky est un facteur important dans ses performances. Jouer à 18 ans est exceptionnel et est très difficile pour l’adaptation. Avec plus de temps de jeu, il est certain qu’il va pouvoir rejoindre les meilleurs.

En fait, si on observe les statistiques de tous les joueurs de cette liste à l’âge de 18 ans, on obtient un résultat complètement différent.

Aucun de ces joueurs n’a commencé sa carrière avant l’âge de 19 ans, à l’exception de Slafkovsky. Ovechkin aurait toutefois joué à 18 ans si ce n’était pas du lock-out, mais on sait tous que l’espoir du CH n’atteindra probablement jamais les prouesses légendaires du numéro 8.

Ça vient seulement prouver que les 10 points de Slafkovsky sont déjà bien plus que plusieurs autres joueurs de sa taille à 18 ans et qu’il faut lui laisser du temps pour s’adapter.

Le meilleur exemple à donner est Joe Thornton, qui n’a récolté que 7 petits points en 55 matchs à sa saison recrue à 18 ans. 7!!!

Il a quand même connu une carrière digne du Temple de la renommée du hockey.

IL faut donc arrêter de juger des joueurs dès leur saison recrue, surtout quand ils jouent à 18 ans! Juraj Slafkovsky devrait être de retour avec le Canadien la saison prochaine et je suis prêt à parier qu’il aura un impact beaucoup plus important.

En rafale

– Le fils de Martin Brodeur imite son père.

– C’est surprenant vu le montant d’argent sur la table.

– Belle façon de se reprendre.

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Joël Teasdale : un nouveau départ loin de Montréal va lui faire du bien

Kent Hughes n’a pas soumis d’offre qualificative à Joël Teasdale et le Québécois est donc maintenant agent libre sans compensation. Il quittera le Québec pour tenter de poursuivre sa carrière dans une autre formation de la LNH. Ce nouveau départ loin de Montréal pourrait lui être très bénéfique.

C’est ce qu’il a dévoilé à Simon-Olivier Lorange de La Presse l’occasion de la Classique KR en fin de semaine.

Son rêve est de s’établir dans la LNH un jour. Ça ne semblait pas possible et c’est probablement mieux pour Teasdale que Kent Hughes ne lui a pas soumis d’offre qualificative.

Le Québécois n’a toujours pas signé d’entente avec une autre formation de la LNH, mais il a tenu à rassurer qu’il a reçu des offres et qu’il devrait se trouver du boulot d’ici la saison prochaine.

Il explique que les équipes de la LNH ont toujours un « rush » de signature à partir du 1er juillet, mais qu’elles prennent ensuite le temps de bien analyser les choses pour signer d’autres joueurs.

Même si ce nouveau départ pourra lui faire beaucoup de bien, Teasdale n’a pas caché que le fait de quitter le CH l’a rendu un peu triste, expliquant que c’est son équipe d’enfance et qu’il aurait aimer continuer son parcours à Montréal.

Ce qui sera difficile pour Teasdale, c’est l’adaptation. Il n’a jamais joué au hockey pour une formation en dehors du Québec. Il aurait bien aimé être repêché par une équipe des maritimes dans la LHJMQ pour pouvoir développer son anglais, mais ce n’est pas arrivé.

Teasdale a joué pour l’Armada de Blainville-Boisbriand, avant de passer sa dernière saison dans le circuit Courteau avec les Huskies à Rouyn-Noranda. Il a ensuite passé les trois dernières années avec le Rocket à Laval, jouant aussi deux matchs avec le grand club de Montréal cette saison.

C’est donc à 24 ans qu’il quittera le Québec pour de bon. Il a probablement perfectionné son anglais à Laval et à Montréal, mais cette fois, il aura une vie complètement en anglais, incluant en dehors de la patinoire.

En deux matchs avec le Canadien en 2022-23, Teasdale a récolté une mention d’aide. Il s’est surtout démarqué avec le Rocket, récoltant 38 points, dont 23 buts, en 58 rencontres cette saison.

En rafale

– On s’y attendait.

– Elles vont devoir être meilleures que contre le Nigeria.

– Bravo champion.

– Les Alouettes ont fait l’acquisition d’un joueur de grand talent.

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Mathieu Dandenault : les joueurs des Wings respectaient Patrick Roy, mais le détestaient aussi

Les Red Wings et l’Avalanche ont donné lieu à une des plus grandes rivalités de l’histoire du hockey à la fin des années 90 et au début des années 2000. Le joueur le plus détesté des Red Wings était Patrick Roy.

C’est du moins ce qu’a affirmé le Québécois Mathieu Dandenault lors de son passage à la station de radio TSN 690 de Montréal.

« Je suis un grand fan de Patrick (Roy), mais nous détestions tous Patrick (Roy). […] Mais nous avions tout le respect du monde pour lui. » – Mathieu Dandenault

Les joueurs n’aimaient pas Patrick Roy parce qu’il était tout simplement trop bon. Selon Dandenault, Roy avait un certain « swagger », qui le rendait détestable.

Il était si dérangeant pour les Red Wings que l’organisation a été chercher Dominik Hasek pour une seule et bonne raison : neutraliser et contrer Patrick Roy. C’est complètement fou. Imaginez que le CH effectue une transaction pour aller chercher un gardien top-3 de la LNH seulement pour contrer Linus Ullmark des Bruins.

La rivalité entre Détroit et le Colorado était très intense. Comme l’explique Dandenault, Joe Sakic est un des joueurs les plus appréciés dans le monde du hockey, mais il était détesté par tous les joueurs des Red Wings pendant ces quelques années d’intense rivalité.

L’effet Patrick Roy a fonctionné avec l’Avalanche, lui qui a remporté deux Coupes Stanley pendant son passage au Colorado.

Même s’il a passé neuf saisons dans l’uniforme des Red Wings, c’est surtout son passage à Montréal qui a marqué Mathieu Dandenault. Lors de l’entrevue, il explique avoir reçu plusieurs offres alléchantes d’équipes partout dans la LNH, mais qu’il a finalement accepté un plus petit montant pour jouer avec le Tricolore.

Regrette-t-il cette décision? Pas du tout. Il a adoré jouer à la maison devant sa famille et ses amis. Ce qui l’a le plus marqué, c’est de pouvoir faire partie de l’organisation des Anciens Canadiens.

Parlant des Anciens Canadiens, Mathieu Dandenault a créé une enchère sur le site de l’organisation ou les gens peuvent essayer de se mériter un après-midi sur son ponton avec lui.

En rafale

– Drôle d’excuse.

– Il a attiré beaucoup de partisans, c’est certain.

– Ça n’ira pas plus loin.

– Les Packers ont confiance en leur nouveau quart.

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Arber Xhekaj était chez le coiffeur quand son frère a été repêché

C’est assez rare d’être pris d’excitation en étant assis dans la chaise de barbier chez le coiffeur. C’est toutefois ce qui est arrivé à Arber Xhekaj le 29 juin dernier. Il a appris que son frère, Florian, a été repêché par les Canadiens alors qu’il se faisait couper les cheveux.

C’est ce qu’il a dévoilé au média Daily Faceoff.

Arber explique qu’il était chez le coiffeur et qu’il a demandé à ce que les employés mettent le repêchage de la LNH à la télévision. À un certain moment, il y a eu une pause commerciale. Dès le retour de la pause, Arber a eu l’immense surprise de voir que son frère avait été repêché par le CH.

Il se serait ensuite levé d’un trait de sa chaise et aurait balancé sa serviette tellement il était excité par la nouvelle.

C’est assez comprenable, son frère venait d’être repêché par l’organisation où il joue présentement. C’était aussi une fierté, parce que lui même n’a jamais été repêché dans la LNH. C’était un objectif accompli par la famille Xhekaj.

Pendant ce temps, Florian s’entraînait dans un gym avec ses coéquipiers des Bulldogs d’Hamilton. Un de ses entraîneurs surveillait le repêchage sur son ordinateur portable.

Tout à coup, son téléphone a sonné, c’était son agent. Il lui a annoncé la bonne nouvelle : il a été repêché par les Canadiens en quatrième ronde.

Il faut être honnête, l’entraînement a dû prendre le bord assez vite. Difficile de se concentrer après avoir reçu d’aussi bonnes nouvelles. Ce qui est d’autant plus excitant pour Florian, c’est qu’il n’avait pas été repêché en 2022 à sa première année éligibilité. La surprise était donc très intense.

Florian Xhekaj a encore beaucoup à prouver, mais s’il suit les traces de son frère, il va réussir à se faire un nom chez le Canadien. Il poursuivra son apprentissage avec les Bulldogs dans la OHL pendant la saison 2023-24.

L’an dernier Florian a récolté 25 points en 68 matchs dans la OHL. Il ne s’agit pas de statistiques impressionnantes, mais c’était seulement sa première saison dans la OHL.

C’est un joueur qui a du cœur et qui n’a pas peur de jouer physique. C’est exactement le genre de joueur qui devient un favori de la foule à Montréal.

En rafale

– Plus de détails sur la potentielle acquisition du CF Montréal.

– C’est de la folie.

– C’est l’heure!

– Il ne va pas manquer d’argent.

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Un journaliste croit que Carey Price n’aurait pas dû annoncer le 5e choix

Quand Carey Price s’est avancé pour annoncer le choix de premier tour du Canadien le 28 juin, il a figé. Il ne se souvenait plus du nom de David Reinbacher et n’a laissé entendre qu’un « David… euh… » avant d’être sauvé par Kent Hughes qui a clairement annoncé le nom de Reinbacher au micro en riant.

C’est une scène cocasse il faut l’avouer. On va même la réécouter ensemble pour rire un peu.

Pourtant, certaines personnes ne trouvent pas ça drôle du tout. Et l’une d’entres elles c’est le journaliste de Sports Illustrated et TSN, Michael Farber.

Il s’est présenté au micro de l’émission Melnick in the afternoon de TSN 690, mardi, et a décidé d’expliquer pourquoi la situation le frustre.

« Les membres de l’organisation souriaient et riaient. J’ai pensé que c’était un manque de respect ultime pour (David Reinbacher). […] Pourquoi est-ce que Carey Price était là? » – Michael Farber

Farber trouve que c’était une mauvaise idée de laisser Price annoncer le choix. Pourtant, il a lui aussi été choisi au 5e échelon de son repêchage. C’était bien logique. Je pense vraiment que c’était une bonne chose de faire annoncer le choix par Carey Price.

Il s’est enfargé dans ses mots et il avait le trac, ce qui est normal devant un aréna de la LNH rempli à craquer.

Et pour la question des sourires et des rires. Les membres étaient heureux d’annoncer leur choix et la situation que Price a créé était effectivement très drôle.

Je pense sérieusement que Farber ne chiâle que pour chiâler. Si tu n’as pas d’autre idée de discussion une semaine après l’incident, ça fait pitié.

Farber croit que la LNH devrait changer de façon de faire et ne laisser que le directeur général aller annoncer le choix. Ça enlève la magie du repêchage selon moi. Quand le jeune joueur repêché va sur la scène, c’est sûr qu’il est content de voir plusieurs membres de l’organisation être excités de travailler avec lui.

Ça rend le moment plus humain.

Vous pouvez aller écouter le segment complet de Michael Farber sur le site de TSN 690, mais je vous avertis : il n’y a rien de positif dans ses propos. J’aimerais voir plus de gens heureux de la situation ou qui savent passer à autre chose.

En rafale

– Le Québécois est en train de faire sa place.

– En espérant que la nouvelle acquisition du CF Montréal devienne un vrai marqueur.

– Lourde perte pour la MLB.

– Transaction dans la NBA.

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Jacob Fowler était destiné à devenir un joueur du CH

Croyez-vous au destin? La famille Fowler a une bonne raison d’y croire. En entrevue avec le journaliste de TVA Sports, Anthony Martineau, le père de l’espoir des Canadiens Jacob Fowler, Jay, a dévoilé que son fils aime le CH depuis l’âge d’un an!

Martineau a appelé les parents du gardien de but afin de parler de son enfance et il n’a pas été déçu des réponses.

Alors qu’il n’avait que 13 mois, Jacob célébrait Noël avec sa famille et avait tout un tas de jouets avec lesquels jouer. Il a toutefois décidé de jouer avec un bâton de mini-hockey du Canadien.

Selon Jay Fowler, Jacob et le bâton ne pouvaient pas être séparés. Il l’apportait partout et ne jouait qu’avec ça.

Un peu plus de 17 ans plus tard, les Canadiens font la sélection de Jacob Fowler au 69e rang (3e ronde) du repêchage 2023 de la LNH.

Autre coïncidence : le grand-père de Jacob Fowler s’est marié avec une Québécoise dans les années 90. Ça a permis au père de Jacob de visiter le Québec et il est tombé en amour avec la place. Si bien qu’il a avoué à Anthony Martineau qu’il irait rejoindre son fils dans la Belle Province quand il jouera au niveau professionnel.

Jay Fowler a confirmé au journaliste de TVA Sports qu’il vivra plus de 6 mois par année à Montréal si son fils se trouve un poste régulier avec les Canadiens.

On lui souhaite!

Il adore le Québec, surtout pour la neige et le fait qu’il peut avoir une patinoire extérieure pendant l’hiver. Natifs de la Floride, la famille Fowler n’a jamais eu la chance d’avoir de telles installations à la maison.

En plus de tout ça, on vous l’avait déjà dit, mais Jacob Fowler semble vraiment aimer Montréal. Il a connu un bon camp de développement et a su impressionner plusieurs journalistes avec ses réponses en entrevues, notamment grâce à son aisance.

On a tous très hâte de voir ce que l’avenir réserve pour le gardien, mais il faudra être patient. Il serait réaliste de le voir passer les deux prochaines années dans la NCAA, avant d’avoir sa chance dans la LAH avec le Rocket.

Fowler a ce qu’il faut pour connaître une bonne carrière dans la LNH. Il doit toutefois continuer son bon travail pour un jour pouvoir porter les couleurs de l’équipe sur son bâton de mini-hockey.

En rafale

– L’ancien du Canadien poursuivra sa carrière en France.

– Ça ne va pas bien à Vancouver.

– C’est l’heure de la retraite pour Stone.