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Joe Exotic souffre d’un violent cancer

La vedette de la série télé Tiger King: Murder, Mayhem and Madness, Joe Exotic, a confié souffrir d’une forme agressive d’un cancer de la prostate.

Joseph Maldonado, mieux connu sous le nom de Joe Exotic, s’est confié dans les dernières heures à CNN.

«C’est avec un visage triste que je dois vous dire que les médecins m’ont convoqué aujourd’hui pour m’annoncer que ma biopsie de la prostate a révélé un cancer agressif. J’attends toujours les résultats d’autres tests», a expliqué l’homme de 58 ans par la voix de son avocat.

Ce dernier a mentionné que son client reçoit en moment des traitements médicaux et qu’il passe d’autres tests.

Joe Exotic se trouve derrière les barreaux dans une prison du Texas depuis 2019 pour une durée de 22 ans après avoir été reconnu coupable de complot pour meurtre et pour cruauté animale.

C’est à la suite d’un test de l’antigène prostatique spécifique, appelé PSA en anglais, que les médecins ont trouvé que quelque chose n’allait pas dans la santé de l’ancien gardien de zoo.

«Le test PSA est un test sanguin qui sert à déterminer s’il peut y avoir un cancer de la prostate. Les résultats étaient élevés. Il a finalement obtenu les résultat de sa biopsie. Ils ont révélé qu’il était atteint d’un cancer. Les soins médicaux sont différents dans une prison, et plusieurs options sont disponibles», explique l’avocat de Joe Exotic.

Joseph Maldonado a fait appel de sa sentence en juillet dernier et attend toujours qu’elle soit revue à la baisse.

En 2020, Joe Exotic a connu la gloire grâce à Tiger King: Murder, Mayhem and Madness, diffusé sur Netflix. Depuis, malgré le fait qu’il soit incarcéré, il tente d’exploiter cette popularité. L’été dernier, il s’est même lancé dans le marché du cannabis.

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La dépression affecte la guérison du cancer de la prostate

Selon le Dr Jim Hu, chef du service de chirurgie mini-invasive à la David Geffen School of Medicine de l’Université de la Californie, la dépression dans le combat contre le cancer de la prostate peut être lourde de conséquences, car les patients qui en ont été atteints se font dépister leur cancer plus tardivement.

En fait, les visites médicales seraient tellement axées sur la santé psychique du patient que les médecins seraient moins enclins à surveiller la santé physique, avance le chercheur.

Les hommes qui ont donc déjà souffert d’une dépression ne recevraient pas le même dépistage hâtif pour le cancer de la prostate que les autres.

Les chercheurs, dont l’étude a été publiée dans le Journal of Clinical Oncology, ajoutent que « la maladie mentale peut aussi influencer le choix du traitement et les issues du cancer de la prostate », écrit le site Top Santé.

Cette étude exigera d’autres analyses, car il s’agit de la première recherche qui découvre une relation de cause à effet entre la dépression et le cancer de la prostate.

Plus de 40 000 hommes diagnostiqués avec un cancer de la prostate ont été suivis durant cette recherche. Parmi eux, 1894 étaient dépressifs deux ans avant d’apprendre qu’ils avaient un cancer.

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Winston McQuade : Mon cancer a été un grand choc

En 2003, Winston McQuade a vécu un dur coup lorsque son médecin lui a annoncé qu’il avait un cancer de la prostate. Double choc lorsque la maladie est réapparue deux ans plus tard. Heureusement, il touche du bois depuis; il n’y a plus de trace du cancer. Toutefois, il a choisi de se lier à la fondation Procure pour donner des conférences et ainsi redonner un peu d’espoir aux hommes qui ont reçu un tel diagnostic, mais aussi aux conjointes de ceux-ci.

« Quand j’ai eu le diagnostic, j’ai eu peur. C’était comme si j’étais devenu incapable de parler et de penser pendant quelques jours. Les pires scénarios se présentaient. Le médecin m’a dit plein de choses que je n’ai pas entendues. Ma compagne était avec moi, on est sorti la mine basse et on a pleuré. C’était la fin du monde. Deux jours plus tard, mon médecin m’a rappelé pour me revoir et discuter de la suite. J’ai aussi appelé mon ami Jean Pagé, qui avait aussi vécu ce type de cancer. Il a désamorcé la chose, et c’est là également qu’il m’a parlé de Procure. On m’a enlevé la prostate, mais le cancer avait un peu débordé, donc en 2005, la maladie est revenue. Ça a été un autre dur coup, car je croyais avoir réglé le problème. Pendant un mois, j’ai eu de la radiothérapie tous les jours. J’avais encore peur, mais en même temps, j’ai rencontré des gens chez Procure qui ont ouvert la lumière de l’espoir. Ce n’était pas la fin du monde. J’étais encore jeune », raconte Winston McQuade à BUM Interactif Groupe.

Ainsi, après avoir vécu cette épreuve, il a voulu partager son expérience et a créé une conférence remplie d’espoir, mais où il aborde aussi la peur. « On ne meurt pas vraiment du cancer de la prostate, à moins d’être diagnostiqué trop tard ou d’être trop vieux. On préconise la prévention. Dès la quarantaine, les hommes devraient passer un test de sang d’abord. Dans ma conférence je m’adresse beaucoup aux femmes, car elles sont affectées aussi. Je leur dis d’inciter leur conjoint à consulter, car ils ne le feront pas. Les gars ont souvent peur de deux choses avec ce cancer, l’incontinence et la dysfonction érectile. Cela prend plusieurs mois avant de se rétablir, mais il y a des solutions. »

Comme conférencier, Winston McQuade offre aussi de parler de retraite anticipée, mais surtout de ne pas avoir de regret et d’oser prendre les décisions qui feront que nous aimerons notre vie, mais avant tout, qu’on s’aimera nous-mêmes. « J’ai vu mon père mourir en colère, amer, insatisfait de la vie qu’il avait eue. Je l’ai accompagné dans la mort, il avait éloigné tout le monde. J’étais seul avec lui. Je me suis dit que je n’irais jamais là. »

Après avoir pris une pleine préretraite de Radio-Canada, il s’est consacré à ses premiers amours, les arts visuels, surtout la peinture. Si aujourd’hui il fait aussi partie de l’équipe de l’émission Alors on jase, il aborde le métier différemment, sans pression et avec un immense plaisir.

Dès aujourd’hui, il est également le porte-parole des Concerts populaires de Montréal.

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Les multifacettes de Winston McQuade

Dès demain (27 juin) et jusqu’au 1er août, Winston McQuade vous invite à découvrir les Concerts populaires de Montréal. Le public aura notamment le plaisir d’entendre des solistes réputés tels que Lyne Fortin, Karine Boucher, Marc Hervieux, Gino Quilico et Étienne Dupuis.

« La musique symphonique a toujours fait partie de ma vie. Ma mère raconte qu’en couche, j’étais assis devant la radio et je “dirigeais” l’orchestre. Ma mère en écoutait beaucoup. Moi, je suis de la génération hippie, alors plus tard, on écoutait du rock, mais dans l’intimité, j’avais toujours de la musique symphonique. Puis, j’ai passé au moins 30 ans à Radio-Canada, où j’ai pu couvrir de nombreux spectacles. Plus récemment, il y a eu quelqu’un dans ma vie, une musicienne, violoniste, et je me suis beaucoup plus rapproché de ce milieu. »

« On m’a demandé d’être le porte-parole des Concerts populaires, et c’était pour moi comme mettre la main dans un gant. C’est très grand public, et ça rejoint ce que j’ai toujours fait, soit de rendre la musique symphonique accessible. C’est pour toutes les générations », mentionne Winston McQuade à BUM Interactif Groupe.

Il se dit très heureux de voir que de plus en plus de jeunes assistent à des concerts de musique symphonique ou d’opéra, car cela prouve que la santé du milieu est bonne, et qu’ils sont surtout sur la bonne voie. Cet amour pour la musique semble être de famille, car sa petite-fille de 19 ans étudie en opéra au Conservatoire. Le grand-père n’en est pas peu fier!

Malgré son amour pour la musique, il n’avait malheureusement pas le talent d’être musicien. Pour lui, son mode d’expression était plutôt la peinture et la sculpture, mais dans les dernières années, il s’est plus concentré sur les toiles. Il prépare d’ailleurs une exposition et une rétrospective pour 2015.

Cet automne, Winston McQuade retrouvera l’équipe d’Alors on jase pour une deuxième année.

Pour en savoir plus sur les Concerts populaires, cliquez ici.

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Un nouveau traitement pour ralentir le cancer de la prostate

TopSanté mentionne que le nouveau traitement Zytiga pour le cancer de la prostate peut ralentir la maladie à un stade avancé et conserver la qualité de vie des personnes atteintes, et ce, même si le cancer est rendu au stade des métastases osseuses.
 
« Pour la première fois, un médicament est capable d’améliorer la survie des patients atteints des formes les plus graves de cancer de la prostate. Il y a un bénéfice clair en qualité de vie. Les patients se disent moins fatigués, avec moins de douleurs et moins de pertes en autonomie », explique un des auteurs, Karim Fizazi.
 
L’étude a été réalisée auprès de 1200 patients âgés en moyenne de 69 ans. Avec le Zytiga, on a pu prolonger la vie des personnes jusqu’à 15, 8 mois, comparativement à 11,2 mois chez les patients ayant reçu un placebo.
 
Il s’agit donc d’un nouvel espoir pour les personnes atteintes, car ce gain de quelques mois est très encourageant si l’on songe que les hommes atteints avaient une espérance de vie de 6 à 12 mois après le diagnostic.
 
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Aspirine : une alliée de choix pour les hommes avec le cancer de la prostate

Après une chirurgie et de la radiothérapie, la prise d’aspirine augmente le taux de survie des patients avec un cancer de la prostate. C’est ce que révèle une étude publiée dans le Journal of Clinical Oncology.
 
Déjà, l’aspirine était liée à un meilleur taux de survie du cancer du côlon. Pour certains scientifiques, la prise d’aspirine devrait être insérée dans les mesures de prévention du cancer puisque jusqu’à présent, on y trouve des bénéfices non négligeables.
 
6000 hommes avec un cancer de la prostate ont été suivis pour la présente recherche. Après dix ans, le taux de mortalité était beaucoup moins élevé chez ceux ayant pris l’aspirine, soit 3 % contre 8 % dans le groupe n’ayant pas eu l’aspirine.
 
Ce médicament aurait la faculté de prévenir la croissance tumorale. De fait, il réduit considérablement les risques de récidives et de métastases osseuses.
 
Plus d’études doivent maintenant être faites afin de trouver l’usage optimal qui devrait être recommandé éventuellement.
 
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Cancer de la prostate : la viande revenue à la poêle à l’amende

(Relaxnews) – Une étude américaine montre que les hommes qui consomment plus d’une portion et demie de viande rouge saisie à la poêle par semaine accroissent leur risque de développer un cancer de la prostate de 30 %.

La même étude a par ailleurs mis en lumière que plus de deux portions et demie de viande cuite à très haute température, frite ou grillée, entraînent un risque accru de 40 % de souffrir de ce même cancer, par rapport aux hommes qui consomment peu de viande cuite à forte température.

Pour arriver à ce résultat, la directrice de l’étude, Mariana Stern, et son équipe de la faculté de médecine de Keck (Université de Californie du Sud) ont analysé la consommation de viande rouge de 1900 Californiens souffrant de cancer de la prostate et de 1096 hommes en bonne santé.

Les scientifiques expliquent que de plus amples recherches sont nécessaires avant de se prononcer formellement, mais ils recommandent tout de même aux hommes de limiter leur consommation de viande frite pour prévenir les risques.

Ces résultats ont été publiés dans la revue Carcinogenesis.

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Les oméga-3 réduiraient les risques de décès des suites d’un cancer de la prostate

Alors qu’une étude précédente disait qu’un haut niveau d’oméga-3 dans le sang pouvait doubler les risques de cancer de la prostate, voilà que l’American Journal of Epidemiology mentionne que les oméga-3 réduiraient les risques de décès des suites d’un cancer de la prostate.
 
Pendant 20 ans, on a suivi 525 Suédois avec un cancer de la prostate ayant en moyenne 70 ans. Leur régime alimentaire avait été analysé dans l’année précédant le diagnostic.
 
Dans cette recherche, on constate qu’un apport élevé d’oméga-3 réduirait les risques de mortalité par cancer de la prostate de 41 %. Par contre, les hommes qui consommaient le plus de graisses saturées voyaient leurs chances de survie être réduites.
 
Comme les deux études se contredisent, les chercheurs vont poursuivre leur travail pour faire la lumière sur le sujet.

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Certains patients regrettent leur traitement contre le cancer de la prostate

Les hommes ont parfois le choix de traitement pour leur cancer de la prostate, mais certains peuvent le regretter, surtout s’ils souffrent de maladies cardiovasculaires.
C’est ce que révèle une étude du BIUI International.
 
Le regret après un traitement du cancer de la prostate a un impact négatif sur le pronostic et les perspectives d’ensemble de la personne. Les regrets sont aussi liés à une qualité de vie moindre, comparativement à ceux qui n’en ont pas.
 
En fait, 52 % des hommes qui ont des maladies cardiovasculaires regrettent leur choix de traitement contre le cancer de la prostate.
 
Parmi les autres facteurs de regret, on note aussi la diminution de la fonction sexuelle.
 
Les hommes qui ont un diagnostic à un plus jeune âge sont les plus susceptibles de regretter leur choix.
 
Lorsqu’il y a un cancer de la prostate localisé, de multiples options de traitement s’offrent au patient, mais chacune possède son lot de risques et d’avantages.
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Certains patients regrettent leur traitement contre le cancer de la prostate

Les hommes ont parfois le choix de traitement pour leur cancer de la prostate, mais certains peuvent le regretter, surtout s’ils souffrent de maladies cardiovasculaires.
C’est ce que révèle une étude du BIUI International.
 
Le regret après un traitement du cancer de la prostate a un impact négatif sur le pronostic et les perspectives d’ensemble de la personne. Les regrets sont aussi liés à une qualité de vie moindre, comparativement à ceux qui n’en ont pas.
 
En fait, 52 % des hommes qui ont des maladies cardiovasculaires regrettent leur choix de traitement contre le cancer de la prostate.
 
Parmi les autres facteurs de regret, on note aussi la diminution de la fonction sexuelle.
 
Les hommes qui ont un diagnostic à un plus jeune âge sont les plus susceptibles de regretter leur choix.
 
Lorsqu’il y a un cancer de la prostate localisé, de multiples options de traitement s’offrent au patient, mais chacune possède son lot de risques et d’avantages.