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Trop de thé serait lié au cancer de la prostate

Apparemment, les gros buveurs de thé, soit sept tasses par jour, ont jusqu’à 50 % plus de risques de souffrir d’un cancer de la prostate, rapporte le Nutrition and Cancer.
 
Une équipe de l’Université de Glasgow a suivi 6016 personnes de 21 à 75 ans, dès 1970 et pendant 37 ans. Ces hommes ont été interrogés sur leur consommation de thé, café, alcool, tabac et sur leur santé en général.
 
Durant l’étude, 317 cas de cancer de la prostate ont été diagnostiqués. On a constaté que les hommes qui prennent sept tasses de thé quotidiennement augmentent leur risque de développer la maladie de 50 %, comparativement à ceux qui ne consomment pas de thé ou en prennent moins de quatre tasses par jour.
 
« Des études précédentes ont montré soit qu’il n’y avait pas de relation entre le cancer de la prostate et le thé noir, soit que le thé vert avait un effet préventif. Nous ne savons pas si le thé est un facteur de risque en soi ou si les buveurs de thé en meilleure santé vivent plus longtemps, jusqu’à un âge où le cancer de la prostate est plus commun », explique le Dr Kashif Shafique.
Ainsi, des études complémentaires doivent être faites pour connaître les mécanismes sous-jacents.
 
« En dépit de ces constatations, l’étude n’a pas pris en considération l’historique familial ou des éléments du régime alimentaire autres que le thé, le café et l’alcool. Aucun homme ne devrait s’inquiéter du fait que boire une quantité modérée de thé parmi des habitudes alimentaires saines pourrait l’exposer à plus de risques de développer un cancer de la prostate », affirme la Dre Kate Holmes à la BBC.

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L’hormonothérapie à la rescousse du cancer de la prostate

Lors du congrès annuel de l’American Society of Clinical Oncology, des chercheurs ont mentionné que l’hormonothérapie continue augmentait les chances de survie du cancer de la prostate.
 
Les hommes ayant un cancer de la prostate hormono-sensible métastatique ont en effet une survie plus longue lorsqu’il y a un blocage androgénique continu par hormonothérapie plutôt qu’un traitement intermittent.
 
L’étude a été effectuée sur 17 ans.
 
Habituellement, les hommes avec un diagnostic de cancer de la prostate métastatique ont une prostatectomie totale, une ablation chirurgicale ou ils reçoivent une hormonothérapie pour supprimer la production d’hormone mâle qui induit le développement du cancer.
 
Cette dernière garde la maladie à distance, mais seulement temporairement, ce qui provoque un risque élevé de récidive et même de décès possible du patient.
 
L’hormonothérapie continue offre de meilleurs résultats, en plus d’améliorer la qualité de vie des patients ainsi que leurs fonctions sexuelles.
 
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Un test de sang pour prédire la récidive du cancer de la prostate

L’American Journal of Pathology nous apprend qu’une équipe de chercheurs de l’Université de Pittsburgh a fait une découverte qui les approche de la création d’un test sanguin pouvant prédire la rechute possible du cancer de la prostate.
 
Dans une minorité de cas, ce type de cancer évolue rapidement et nécessite des traitements plus lourds.
 
Certaines anomalies génétiques permettraient de prédire le risque de rechute. Ce test serait fiable à 75 % en ce moment.
 
Chez les personnes atteintes du cancer de la prostate, on note une mutation générique qui est en fait une répétition ou une absence d’une section d’ADN. On a remarqué cette anomalie surtout chez les patients ayant eu des rechutes rapides.
 
Ce test pourrait non seulement prédire la rechute, mais donnerait aussi la possibilité aux médecins de choisir la meilleure thérapie possible pour assurer la guérison du patient.
 
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Les ruches d’abeilles contre le cancer de la prostate?

L’ester phénéthylique d’acide caféique, dérivé de la propolis des ruches d’abeilles, serait en mesure de ralentir la prolifération des cellules tumorales de la prostate, rapporte une étude publiée dans le Cancer Prevention Research.
 
Des tests menés sur des souris à l’Université de Chicago démontrent que combiné à la chimiothérapie, la propolis s’avère très prometteuse pour aider à traiter le cancer de la prostate.
 
La propolis est la résine que les abeilles utilisent pour colmater les interstices de leur ruche.
 
Il s’agit d’un médicament ancestral utilisé contre les maux de gorge, les allergies et les brûlures. Seulement, comme on ne connaît pas les mécanismes biologiques de celui-ci, on ne l’utilise pas dans la médecine actuelle.
 
Des essais cliniques doivent naturellement être faits, mais cette avenue semble très prometteuse pour l’avenir.

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La circoncision protègerait du cancer de la prostate

Le Cancer Research Center publie dans la revue Cancer une étude mentionnant que la circoncision réduirait de 15 % les risques de développer un cancer de la prostate.
 
En fait, la circoncision réduit les risques d’infection et d’inflammation qui peuvent mener au cancer.
Il est reconnu que certaines infections transmises sexuellement (ITS) peuvent accroître les risques de souffrir d’un cancer de la prostate. La circoncision protègerait de certaines de ces ITS.
 
3399 hommes ont participé à cette recherche. 1754 avaient un cancer, et 1645 étaient en bonne santé.
 
Les chercheurs ont constaté que les hommes qui avaient eu une circoncision avant leur première relation sexuelle avaient 15 % moins de chances de contracter un cancer de la prostate.
 
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Les tomates cuites freineraient la propagation du cancer

Le British Journal of Nutrition révèle une nouvelle étude concernant les bienfaits de la tomate sur le cancer de la prostate.
 
Cette fois, on mentionne qu’une fois cuites, les tomates seraient encore mieux et pourraient freiner la croissance des cellules cancéreuses et même les tuer.
 
Les chercheurs ont voulu tester les effets du lycopène sur le mécanisme qui alimente en sang les cellules cancéreuses, leur permettant ainsi de se propager.
 
Le lycopène est ce qui donne la couleur rouge à la tomate. On en retrouve dans tous les fruits et légumes rouges, mais en plus grande quantité dans la tomate.
 
Cette substance freine les connexions qui permettent d’alimenter les cellules cancéreuses en sang, donc leur développement devient impossible.
 
Le lycopène est encore plus actif lorsque la tomate est cuite, entre autres, avec une petite quantité d’huile de cuisson.
 
Pour le moment, les résultats ont été obtenus en laboratoire et doivent être confirmés sur les humains, mais ils semblent plutôt encourageants.

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Une mutation génétique augmente les risques de cancer de la prostate

Des chercheurs ont découvert que chez les hommes ayant des antécédents familiaux de cancer de la prostate, un gène défectueux multiplie de 10 à 20 fois les risques de développer un cancer également.
 
Cette découverte pourrait mener à la création d’un test qui permettrait de voir si les hommes avec des membres de leur famille ayant reçu un diagnostic défavorable ont ce gène qui augmente leur chance de développer la maladie.
 
C’est la première fois qu’une étude identifie une mutation génétique pour les cancers de la prostate héréditaires.
 
Moins de deux pour cent des cas de cancer de la prostate seraient liés à cette mutation génétique, mais la présence de ce gène défectueux augmente les risques de développement la maladie de 10 à 20 fois.
 
Les chercheurs ont travaillé pendant 20 ans sur la génétique de ce type de cancer, indique le New England Journal of Medicine.
 
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Cancer de la prostate : examens systématiques inutiles?

De nouvelles données confirment une étude dévoilée en 209. Les examens systématiques du cancer de la prostate ne réduisent pas le taux de mortalité.
 
Les premiers résultats, dévoilés en 2009, avaient été obtenus sur 76 000 hommes. Cette fois, leur suivi a été plus long, soit de 10 à 13 ans.
 
Encore une fois, on constate que bien que les tests annuels permettent de faire plus de diagnostics de cancer, cela ne réduit pas le nombre de décès.
 
« Ces données confirment que, pour la plupart des hommes, il n’est pas nécessaire de se faire dépister chaque année du cancer de la prostate. La majeure partie des cancers que nous avons trouvés évoluent lentement et il est peu probable qu’ils soient mortels », mentionne l’auteur principal des travaux, Gerald Andriole, au Journal of the National Cancer Institute.
 
Pour l’étude, certains hommes devaient avoir un test sanguin et un toucher rectal tous les ans, alors que d’autres n’ont eu des examens que lorsque leur médecin le jugeait nécessaire.
 
On a diagnostiqué 4250 cas de cancer de la prostate dans le premier groupe et 3815 dans le second, mais le nombre de décès n’avait pas de différence significative, soit 158 contre 145 cas.
 
« Avec ces nouvelles données, nous découvrons que seuls les hommes les plus jeunes, ceux dont l’espérance de vie est la plus longue, sont susceptibles de tirer profit des examens systématiques », ajoute M. Andriole.
 
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La viande rouge aussi liée au cancer de la prostate

Par le passé, il a été démontré que la consommation de viande rouge pouvait favoriser l’apparition du cancer du côlon, mais une étude publiée dans PLoS ONE ajoute ce que serait aussi le cas pour le cancer de la prostate.
 
Des chercheurs de l’Université de la Californie à San Francisco ont analysé une étude réalisée entre 2001 et 2004 sur 982 personnes, soit 470 hommes avec un cancer agressif de la prostate et 512 qui n’avaient pas le cancer.
 
Ils ont été questionnés sur leur consommation de viande, mais également sur le type de viande consommée, le type de préparation et le niveau de cuisson.
 
On estime qu’une consommation de viande hachée ou transformée, surtout le bœuf, est grandement liée à un risque accru d’un cancer agressif de la prostate.
 
Les viandes bien cuites, grillées ou cuites au BBQ favorisent également la maladie.
 
De plus, les hommes qui consomment du bœuf haché bien ou très bien cuit auraient deux fois plus de risques d’avoir un cancer de la prostate. Une plus faible consommation augmente les risques de 1,5 fois, comparativement aux personnes qui n’en mangent pas.
 
Toutefois, l’étude n’a pas pu établir de lien entre la viande cuite à point et saignante.
 
Maintenant, une plus vaste étude est nécessaire pour confirmer ces résultats.
 
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La pilule contraceptive associée au cancer de la prostate

Des équipes de recherche des États-Unis ont uni leurs efforts pour analyser des données mondiales recueillies par l’International Agency for Research on Cancer (IARC) et l’United Nations World Contraceptive Use. Ces recherches essaient de trouver un lien entre le cancer de la prostate et la pilule contraceptive.

Ces données ont été comparées à l’impact d’autres moyens de contraception, tels les condoms, et les risques de développer un cancer de la prostate.

Les résultats démontrent partout dans le monde une association possible entre la prise de contraceptifs oraux chez les femmes et le nombre de morts des suites du cancer de la prostate chez les hommes.

Selon les auteurs de l’étude, l’exposition à l’oestrogène de la femme, contenue dans les pilules contraceptives, augmenterait les risques de cancer de la prostate.

Même si ces résultats ne sont encore que spéculatifs, ils démontrent que les chercheurs devront en tenir compte dans le futur.