Catégories
Uncategorized

Une combinaison thérapeutique pour le cancer de la prostate

Une étude effectuée auprès de 1200 hommes avec une forme virulente du cancer de la prostate démontre que leur espérance de vie serait accrue avec une combinaison thérapeutique jumelant la thérapie hormonale et la radiation.
 
Selon The Lancet, les volontaires avaient tous un cancer métastatique. Ils ont été séparés en deux groupes au hasard. Le premier groupe a eu une suppression de testostérone, le second groupe a eu une combinaison avec la thérapie hormonale et la radiation.
 
Après six ans, 74 % de ceux ayant eu la combinaison étaient en vie, alors qu’ils étaient 66 % dans l’autre groupe. Chez ces derniers, 26 % avaient été emportés par le cancer, alors qu’ils n’étaient que de 10 % chez le groupe avec la combinaison thérapeutique.
 
On croit que de cette façon, on affaiblit les cellules cancéreuses, qui deviennent alors moins résistantes aux radiations.
 
Catégories
Uncategorized

La vitamine E augmente les risques de cancer de la prostate

Des chercheurs ont fait une découverte à laquelle ils ne s’attendaient pas. Alors qu’ils souhaitaient prouver que la vitamine E et le sélénium pouvaient aider à prévenir le cancer de la prostate, ils ont plutôt obtenu des résultats contraires.
 
Selon le Journal of the American Medical Association, de fortes doses de vitamine E augmentent les risques de développer le cancer de la prostate de 17 %. Quant au sélénium, il n’a aucun effet significatif.
 
Cette étude s’ajoute donc à celle dévoilée récemment sur la prise de compléments vitaminés qui s’avérait dangereuse en réalité pour les femmes.
 
Bien souvent, les suppléments sont pris sans l’avis d’un médecin. Pourtant, ce type de recherche prouve qu’ils ne sont pas sans danger.
 
35 000 hommes en bonne santé dans la cinquantaine ont participé à cette étude. Les cas de cancer étaient plus nombreux chez ceux ayant pris la vitamine E, et ce, même plusieurs années après avoir cessé la consommation.
 
Les vitamines et minéraux sont essentiels à notre organisme, mais jamais au-delà des doses recommandées, prévient-on.
 
Catégories
Uncategorized

Nouvel espoir pour le cancer de la prostate

Des recherches effectuées à l’Université Perdue, en Indiana, permettent de croire qu’une solution est possible pour traiter les cancers de la prostate qui sont à un stade avancé.

Les scientifiques s’intéressent à un gène appelé Polo-like kinase (Plk1). Cette protéine intervient dans le processus de division cellulaire. Cet oncogène aurait tendance à muter et pourrait causer le cancer.

Les recherches ont démontré qu’à un stade avancé du cancer de la prostate, les patients atteints manquaient de cellules Pten, un gène impliqué dans le contrôle tumoral. Ce faisant, de nouvelles cellules se forment avec le même ADN, causant ainsi une mutation.

Présentée dans le Journal of Biological Chemistry, cette étude propose un énorme potentiel de recherche pour le futur. Il s’agit peut-être d’une nouvelle piste pour trouver un traitement au cancer de la prostate.

Le cancer de la prostate est la forme de cancer la plus répandue chez les hommes au Canada. Un homme sur sept risque d’avoir un cancer de la prostate au cours de sa vie (le risque est au plus haut après 60 ans). Un homme sur 28 en mourra.

Catégories
Uncategorized

Le tabagisme nuit à la guérison du cancer de la prostate

Le tabagisme aggrave non seulement l’agressivité du cancer de la prostate, il augmente en plus les risques de récidive après les traitements, de même que les risques de mortalité et de maladies cardiovasculaires.
 
Le Journal of the American Medical Association publie une étude réalisée auprès de 5 366 hommes avec un cancer de la prostate entre 1986 et 2006.
 
On constate que les fumeurs avaient 61 % plus de risques de faire une rechute et de mourir que les non-fumeurs.
 
Même chez ceux ayant reçu un diagnostic de cancer sans métastase, les risques de mourir d’un cancer généralisé étaient accrus de 80 %.

Bonne nouvelle toutefois, les hommes qui avaient cessé de fumer dix ans avant de recevoir leur diagnostic ont réduit leurs chances de développer la maladie au même niveau que les non-fumeurs.

Catégories
Uncategorized

Combattre le cancer de la prostate

On n’aurait pu deviner des bienfaits aussi grands de la marche rapide : elle aiderait grandement les hommes souffrant du cancer de la prostate. Il semble même que faire cette activité au moins trois heures par semaine bloquerait la progression de la maladie.

C’est à cette conclusion que sont arrivés des chercheurs de l’Université de la Californie à San Francisco après avoir suivi 1 455 hommes ayant reçu un diagnostic de ce type de cancer. Tous les participants avaient aussi un cancer de la prostate qui ne s’était pas encore étendu ailleurs dans l’organisme.
 
Deux ans après la tombée du diagnostic, le degré d’activité physique des patients a été évalué. Ceux qui faisaient de la marche rapide au moins 3 fois par semaine avaient un taux 57 % moins élevé de propagation de la maladie que ceux qui marchaient lentement et moins longtemps.
 
D’autre part, il semble que la distance parcourue n’ait aucune incidence quant au combat du cancer de la prostate. L’une des raisons de l’efficacité de la marche rapide serait de réduire les taux de circulation de l’hormone de l’insuline, laquelle est une protéine du métabolisme secrétée par les cellules de gras.
 
Lors de l’évaluation, on a tenu compte du surpoids de certains patients et on a exclu ceux qui pratiquaient une activité physique plus vigoureuse comme la course ou le vélo, par exemple.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dernièrement dans Cancer Research.

Catégories
Uncategorized

Le café contre le cancer de la prostate

Boire beaucoup de café réduit les risques de développer un cancer de la prostate.
 
Selon l’étude rapportée dans le Daily Mail, les hommes qui consomment six tasses de café et plus par jour diminuent leurs risques d’avoir la forme la plus mortelle du cancer de la prostate de 60 %. Pour toutes formes de cancer de la prostate confondues, les risques chutent de 20 %.
 
L’étude, menée à L’École de santé publique de Harvard sur 48 000 hommes pendant douze ans, dit également que boire une à trois tasses quotidiennement diminue aussi le risque de cancer de la prostate mortel du tiers.
 
« Peu d’études ont étudié en détail l’association entre la consommation de café et le risque de cancer mortel de la prostate. Notre étude est la plus importante, par son échantillon, à examiner si le café abaisse les risques de cancer de la prostate », mentionne l’auteure Loreli Mucci.
 
Notez qu’avec le café décaféiné, on obtient les mêmes résultats, donc les bienfaits se retrouvent plutôt dans les propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires du café.
Catégories
Uncategorized

Les suppléments de produits naturels inutiles contre le cancer de la prostate

Une nouvelle étude canadienne mentionne que combiner la vitamine E, le sélénium et le soya n’est d’aucune utilité pour prévenir le cancer de la prostate.
 
Cela confirme des résultats précédents concernant la vitamine E et le sélénium, mais les scientifiques voulaient savoir s’ils obtiendraient des résultats différents en ajoutant du soya. Ce n’est toutefois pas le cas.
 
Selon ce que rapporte le Journal of Clinical Oncology, plus de 300 hommes âgés en moyenne de 62 ans, avec des cellules précancéreuses, ont participé à cette étude. La moitié avait reçu un supplément de vitamine E, de sélénium et de soya deux fois par jour pendant 3 ans. L’autre moitié avait eu un placebo.
 
Finalement, les résultats ont été les mêmes dans les deux groupes : 26 % des participants ont eu un diagnostic de cancer.
 
Les statistiques mentionnent qu’un homme sur sept souffrira d’un cancer de la prostate au cours de sa vie et qu’un sur 27 en mourra.
Catégories
Uncategorized

L’ablation de la prostate réduirait les risques de mortalité après un cancer

Les résultats de travaux rapportés par le New England Journal of Medicine affirment que l’ablation de la prostate serait une voie à envisager sérieusement pour les hommes atteints d’un cancer de cette glande.
 
Après avoir suivi 700 patients pendant 15 ans, des chercheurs suédois constatent qu’il y a moins de décès chez les sexagénaires s’étant fait retirer la prostate.
 
Durant l’étude, 347 hommes malades on eu une ablation de la glande, alors que 348 ont reçu de l’hormonothérapie. Leur âge moyen était de 65 ans lors du diagnostic de cancer et la majorité avait une tumeur maligne.
 
Après 15 ans, 48 % de ceux ayant subi l’ablation de la prostate sont décédés, dont 16 % des suites de leur cancer. Dans le deuxième groupe, le taux de mortalité était de 58 %, dont 23 % des suites du cancer de la prostate.
 
Ce sont les hommes de moins de 65 ans qui ont tiré le plus grand bénéfice de l’ablation de la prostate. De plus, après cette intervention, on note une réduction de 12 % de la propagation du cancer à d’autres organes.
 
Le cancer de la prostate est le plus répandu chez l’homme. Seulement au Canada, on estime qu’il y aura 24 000 nouveaux cas cette année, dont 4 300 mèneront à un décès.
Catégories
Uncategorized

Les oméga-3 liés au cancer de la prostate

Douche froide sur les oméga-3. Le groupe d’acides gras, reconnu pour ses nombreux bienfaits sur la santé, vient de recevoir une gifle en plein visage.

Le centre de recherche Fred Hutchinson sur le cancer à Seattle, aux États-Unis, vient de publier une étude dans l’American Journal of Epidemiology. Réalisée auprès de 3 461 hommes de plus de 55 ans, elle démontre qu’une grande concentration en acides oméga-3 engendrerait 2,5 fois plus de chance de développer un cancer de la prostate, ou que celui-ci se développerait plus rapidement.

L’étude réalisée de 1994 à 2003 a surpris les chercheurs. Depuis de nombreuses années, les oméga-3 avaient rallié la communauté scientifique.

Malgré ces résultats et devant le scepticisme qu’ils occasionnent, les chercheurs qui ont réalisé cette étude continuent de penser qu’il y a plus de bienfaits associés aux aliments riches en oméga-3, comme le poisson, car ils préviennent de nombreuses maladies. Il ne faut donc pas bannir ces aliments par crainte de contracter un cancer de la prostate.

Catégories
Uncategorized

Un nouvel espoir contre le cancer de la prostate

L’hormonothérapie semble donner de grands espoirs dans le domaine du cancer de la prostate, rapporte The Lancet.
 
Apparemment, les hommes qui y ont recours diminuent de moitié les risques de succomber à la maladie. Pour cela, l’hormonothérapie doit toutefois être jumelée à la radiothérapie.
 
Selon la présente étude, cette nouvelle méthode, appelée Neoadjuvant Androgen Deprivation Therapy (NADT), réduit le niveau d’hormones masculines qui peuvent favoriser la croissance des tumeurs.
 
Des essais ont été effectués sur 802 hommes pendant 10 ans. Ceux ayant eu la NADT, donc l’hormonothérapie six mois avant et après le cycle de radiothérapie, avaient un taux de mortalité de 11 %, comparativement à un taux de 22 % chez ceux n’ayant reçu que la radiothérapie.
 
De plus, les effets secondaires comme l’impuissance, l’hypercholestérolémie et les risques de crise cardiaque ont été diminués avec la NADT.