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Un nouvel espoir contre le cancer de la prostate

Le magazine Science rapporte les résultats de travaux effectués à l’Université du Michigan sous la direction de la chercheuse Bushra Ateeq. Apparemment, le médicament connu sous le nom d’Erbitux au Canada, approuvé par Santé Canada pour vaincre les cancers colorectaux, de la tête et du cou, serait aussi efficace contre le cancer de la prostate.
 
Les recherches ont été faites sur des souris, mais démontrent que ce médicament agit sur la sécrétion de la protéine présente dans certains cancers de la prostate des plus agressifs.
 
Il bloque la protéine SPINK1, ce qui freine la croissance tumorale chez la souris. Des tests seront effectués sur les humains, mais les chercheurs croient que les résultats seront similaires.
 
L’avantage est que cette protéine, contrairement à d’autres, se retrouve sur l’extérieur des cellules, ce qui facilite donc son traitement puisqu’il s’agit d’une cible facile pour les anticorps.
 
Seulement cette année au Canada, on diagnostiquera 24 600 nouveaux cas de cancer de la prostate et 4 300 hommes en mourront malheureusement.
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Une calvitie précoce serait liée au cancer de la prostate

Le journal Annals of Oncology dévoile une étude française menée auprès de 669 hommes de 46 ans et plus sur un lien possible entre la calvitie et le cancer de la prostate.
 
On a demandé à 388 hommes avec un cancer de la prostate et 281 en bonne santé de dire à quel âge ils avaient commencé à perdre leurs cheveux.
 
On a constaté que les hommes avec le cancer étaient deux fois plus nombreux à avoir souffert de calvitie précoce, et ce, dès l’âge de 20 ans. On croit donc qu’il y aurait un lien avec la maladie.
 
« En général, lorsque l’on commence à perdre ses cheveux si jeune, c’est que l’on est génétiquement programmé. Il s’agit la plupart du temps d’une alopécie. En ce moment, nous n’avons aucune preuve solide qu’un diagnostic systématique de la population générale permettrait de détecter plus tôt un cancer de la prostate. Nous avons besoin de déterminer les critères définissant les hommes à risque. Et le début d’une calvitie à 20 ans semble être un facteur facilement repérable », explique celui qui a dirigé l’étude, le professeur Philippe Giraud.
 
« Un dépistage ciblé serait donc intéressant, en termes de santé publique. Une fois les hommes identifiés, ils pourraient être soumis plus précocement à un test de dépistage du cancer de la prostate, et éventuellement traités grâce à des médicaments comme le finastéride », ajoute M. Giraud.
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Des chiens pour dépister le cancer de la prostate

De plus en plus, l’odorat des chiens est utilisé pour toutes sortes de dépistages. Après la drogue, les explosifs ou les aliments interdits, voilà que c’est en médecine que le meilleur ami de l’homme trouve son utilité.
 
La revue European Urology rapporte que les chiens seraient capables de détecter le cancer de la prostate à un stade précoce avec un simple test d’urine. On tente de mettre au point cette technique en Europe. Déjà, un berger malinois formé par l’armée de l’air en France a démontré son talent dans le domaine et un deuxième chien est maintenant en formation.
 
Les premiers tests révèlent que la fiabilité de l’odorat des chiens est de 91 %. Aucun autre test de dépistage du cancer ne parvient à de tels résultats.
 
Depuis des années, la médecine s’intéresse à l’odorat canin. Déjà en 1989, la revue The Lancet rapportait que des chiens étaient capables de déceler les mélanomes (cancer de la peau) ou le cancer du poumon simplement en reniflant l’haleine d’une personne ou encore le cancer de la vessie grâce à un test d’urine.
 
Depuis des années également, nous savons que les chiens sont capables de détecter une crise d’épilepsie avant même qu’elle ne se déclenche. Certains sont également utiles pour les personnes diabétiques et d’autres sont capables de trouver la moisissure dans les murs des maisons. Il est donc facile de constater que le meilleur ami de l’homme a encore beaucoup à nous apporter.
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Une protéine protègerait du cancer de la prostate

Des scientifiques viennent de découvrir ce qui pourrait ouvrir la voie à de nouveaux traitements contre le cancer.
 
Une équipe de l’Imperial College London a mis en lumière une protéine naturelle, nommée FUS, qui inhibe la croissance des cellules cancéreuses. En laboratoire, les tests ont démontré qu’elle freinait la croissance du cancer de la prostate.
 
De plus, il a été observé que les personnes ayant un plus haut taux de FUS vivaient non seulement plus longtemps, mais que leur cancer était beaucoup moins agressif.
 
Bien qu’il ne s’agisse que de premiers résultats, cela suggère que la protéine FUS pourrait ouvrir la voie à de nouveaux traitements, non seulement pour le cancer de la prostate, mais éventuellement pour d’autres types de cancers, dont celui du sein.
 
En effet, la FUS freinerait la croissance tumorale et la propagation de la maladie à d’autres parties du corps.
 
Les recherches se poursuivent, mais la revue Cancer Research mentionne que si les résultats se confirment, les scientifiques auraient fait un grand pas en avant dans la lutte contre le cancer.
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Le soya pour prévenir certains cancers

Le Daily Mail rapporte deux études distinctes qui démontrent les bienfaits des fèves de soya pour la santé.
 
Une première, de la Northwestern University à Chicago, révèle qu’une pilule de génistéine, une isoflavone chimique contenue naturellement dans le soya, ralentirait et même freinerait la propagation du cancer de la prostate.
 
C’est la conclusion à laquelle les chercheurs parviennent après une étude sur 38 hommes. Cela pourrait donc représenter un tout nouveau traitement naturel.
 
La deuxième étude, cette fois de l’Université Buffalo à New York, a évalué 1 300 femmes et conclut que l’isoflavone du soya réduirait le risque de développer un cancer du sein.
 
Les femmes qui avaient un plus grand apport d’isoflavones diminuaient de 30 % les risques de tumeurs invasives et de 60 % les risques de tumeurs non invasives.
 
Toutefois, des études approfondies sont nécessaires afin de confirmer ces premiers résultats et penser à créer un nouveau traitement.
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Les exercices sont bénéfiques contre le cancer de la prostate

Une étude publiée dans le Journal of Clinical Oncology affirme que les hommes avec un cancer de la prostate qui font de l’exercice régulièrement diminuent leurs risques de mourir de la maladie de plus de 50 %.
 
S’ils s’adonnent à des exercices plus rigoureux, les risques diminuent alors de 60 %, mentionnent les chercheurs de l’École de santé publique de Harvard et de l’Université de la Californie qui ont suivi 2 705 hommes avec le cancer et qui ont analysé leur mode de vie.
 
Il est reconnu que l’activité physique réduit le risque de mortalité prématurée de façon générale, mais dans les cas de maladie, les résultats sont encore plus frappants.
 
Que ce soit par la marche, la course à pied ou la natation, l’important est de bouger. Cela renforce notamment le système immunitaire et rend donc le corps plus apte à se défendre devant les infections et les maladies.
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Le jus de grenade ralentit la progression du cancer

Des chercheurs ont découvert que certains composants du jus de grenade (ou pomme grenade) pouvaient freiner le mouvement des cellules cancéreuses et affaiblir leur attirance pour des signaux chimiques qui leur permettent de se déployer.
 
Ces composants, notamment les acides gras, ralentissent la progression du cancer de la prostate et les chercheurs croient qu’ils pourraient avoir les mêmes effets sur d’autres cancers, rapporte le Daily Mail.
 
Par le passé, une étude affirmant que le jus de grenade pouvait ralentir le cancer avait suscité la controverse, mais cette fois, l’équipe de chercheurs de l’Université de la Californie est parvenue à identifier les composants qui seraient bénéfiques contre la maladie. Ainsi, il est donc possible de modifier leurs fonctions afin de les rendre encore plus efficaces pour lutter contre les cellules cancéreuses.
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Dépister les risques de cancer de la prostate avec la longueur de l’index

Il semblerait que la longueur de l’index des hommes pourrait indiquer les risques de développer un cancer de la prostate.
 
Selon une étude parue dans le British Journal of Cancer, les hommes avec un index plus long que l’annulaire auraient moins de risques d’avoir la maladie.
 
Pour arriver à ce constat, les chercheurs ont comparé les mains de 1 524 hommes avec un cancer de la prostate à celles de 3 044 hommes en bonne santé entre 1994 et 2009. Plus de 50 % avaient un index moins long que l’annulaire.
 
Ceux avec l’index plus long avaient 33 % moins de risques de développer un cancer de la prostate, alors que chez les moins de 60 ans, ce risque était réduit de 87 %.
 
« Nos résultats montrent que la taille de l’index pourrait être utilisée comme simple test pour un risque de cancer de la prostate, en particulier pour les hommes de moins de 60 ans. La forme des doigts pourrait aider à détecter les hommes à risque, pour conduire des investigations plus poussées, peut-être en combinaison avec d’autres facteurs familiaux ou génétiques », mentionne le professeur Ros Eeles.
 
Toutefois, on ne veut pas alarmer les gens, cette indication n’est pas suffisante pour poser un diagnostic de cancer.
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Dépister les risques de cancer de la prostate avec la longueur de l’index

Il semblerait que la longueur de l’index des hommes pourrait indiquer les risques de développer un cancer de la prostate.
 
Selon une étude parue dans le British Journal of Cancer, les hommes avec un index plus long que l’annulaire auraient moins de risques d’avoir la maladie.
 
Pour arriver à ce constat, les chercheurs ont comparé les mains de 1 524 hommes avec un cancer de la prostate à celles de 3 044 hommes en bonne santé entre 1994 et 2009. Plus de 50 % avaient un index moins long que l’annulaire.
 
Ceux avec l’index plus long avaient 33 % moins de risques de développer un cancer de la prostate, alors que chez les moins de 60 ans, ce risque était réduit de 87 %.
 
« Nos résultats montrent que la taille de l’index pourrait être utilisée comme simple test pour un risque de cancer de la prostate, en particulier pour les hommes de moins de 60 ans. La forme des doigts pourrait aider à détecter les hommes à risque, pour conduire des investigations plus poussées, peut-être en combinaison avec d’autres facteurs familiaux ou génétiques », mentionne le professeur Ros Eeles.
 
Toutefois, on ne veut pas alarmer les gens, cette indication n’est pas suffisante pour poser un diagnostic de cancer.
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Un test urinaire pour détecter les risques de cancer de la prostate

La Dre Hayley Whitaker et son équipe du Cancer Research Cambridge Institute ont analysé l’urine de 350 personnes volontaires qui ont eu le cancer de la prostate et d’autres qui ne l’ont pas eu.
Les chercheurs ont découvert dans l’urine la présence d’une protéine qui serait reliée au cancer. Ainsi, cela laisse croire que l’on pourra éventuellement détecter les hommes à risque de développer la maladie simplement par un test d’urine.
 
Ce test permettrait des diagnostics précoces et donc de meilleures chances de guérison.
 
Rappelons qu’il y a quelques jours, des chercheurs européens avaient quant à eux annoncé avoir créé un médicament qui permettait de freiner la croissance des métastases de ce cancer et qui réduisait les risques de 36 %.
 
Selon la Société canadienne du cancer, 24 600 hommes recevront cette année un diagnostic de cancer de la prostate et 4 300 en mourront.