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Risques de cancer pour toute la famille

Une récente étude scientifique vient de faire un lien important entre le cancer du sein d’une femme et les risques de maladie de sa famille.

On peut lire dans le Bristish Journal of Cancer le constat d’une recherche portant sur les femmes âgées de moins de 35 ans.

Ce type de cancer demeure rare pour ce groupe d’âge, car 1 femme sur 40 sera diagnostiquée seulement. Malgré tout, la famille entière de la jeune femme atteinte pourrait en être touchée.

Ainsi, ses frères et son père auraient cinq fois plus de risque d’être atteints d’un cancer de la prostate. Ses soeurs, quant à elles, verraient leur probabilité de cancer du sein augmentée de quatre fois et seraient deux fois plus exposées à développer un cancer des ovaires.

Les recherches devront donc se poursuivre sur cette voie. En attendant de nouvelles percées, les chercheurs conseillent aux jeunes femmes concernées et à leurs proches de faire preuve d’une grande vigilance.

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Nouvel espoir contre le cancer de la prostate

La lutte contre le cancer de la prostate vient de faire une avancée importante.
 
Des oncologues européens de l’Institut Gustave Roussy, en France, ont découvert un nouveau traitement oral qui peut prolonger la vie des hommes ayant un cancer de la prostate.
 
En associant deux molécules, celles-ci bloqueraient la fabrication d’hormones masculines androgènes produites par les testicules, les glandes surrénales et les cellules cancéreuses.
 
Après avoir fait des essais sur 1 200 patients, ce nouveau traitement réduirait de 36 % les risques de décès chez les patients avec un cancer métastatique après un ou deux traitements de chimiothérapie. De plus, ce médicament aurait peu d’effets secondaires.
 
Au cours de sa vie, un homme sur sept recevra un diagnostic de cancer de la prostate et 1 sur 27 en mourra.
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Un nouveau médicament pour allonger la survie des hommes atteints d’un cancer de la prostate

Selon une recherche parue dans le journal médical The Lancet, le médicament Cabazitaxel permettrait d’offrir de l’espoir aux hommes qui ont épuisé toutes les options pour tenter de retarder la progression de leur cancer de la prostate.

Chaque année, environ 35 000 hommes reçoivent un diagnostic de cancer de la prostate en Grande-Bretagne et seulement 10 000 d’entre eux apprennent la mauvaise nouvelle avant que la maladie se soit répandue à d’autres organes.

Les essais cliniques, menés par le Dr Johann de Bono, ont été réalisés sur 755 hommes de 26 pays qui prenaient du Taxotere, le médicament utilisé en dernier recours, mais qui échoue souvent à freiner le cancer.

Ainsi, les essais ont permis de constater que la survie des hommes qui ont pris du Cabazitaxel, un médicament de chimiothérapie, était d’environ 15,1 mois, comparativement aux 12,7 mois de survie habituels avec le Taxotere.

Malgré ce développement intéressant, le Cabazitaxel doit encore surmonter des obstacles importants. Ses effets positifs seraient aussi accompagnés de sérieux effets secondaires tels qu’une baisse du nombre de globules blancs qui luttent contre l’infection, de la fatigue, des nausées et des vomissements.

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Les bienfaits de la grenade démentis

La marque de jus POM s’est vue reprendre ses propos par la Federal Trade Commission, nous apprend Canada.com.

La commission américaine a annoncé que POM mentait en affirmant que le jus de grenade qu’elle commercialise peut prévenir et même traiter les maladies du coeur, le cancer de la prostate ainsi que les dysfonctions érectiles.

Cette plainte mentionne, entre autres, que POM a contrevenu aux lois fédérales en faisant de telles affirmations.

En résumé, lorsqu’une entreprise inclut des données scientifiques dans ses publicités, elles doivent être sérieusement soutenues par la recherche.

C’est la raison donnée par David Vladeck, le directeur du Bureau de protection du consommateur de cette fédération, pour contredire les bienfaits promis par le jus POM et les suppléments POMx.

Les publicités visées étaient celles parues dans le New York Times et dans d’autres publications, ainsi que sur Internet. Elles devront donc toutes être révisées.

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Devrait-on diminuer notre consommation de lait?

Une récente étude canadienne mettait en lumière un lien entre une consommation excessive de lait et un plus grand risque de développer un cancer de la prostate. Selon le nutritionniste Laurent Chevallier, il n’y a toutefois pas lieu de s’inquiéter.
 
Les études sur le sujet sont souvent contradictoires rappelle-t-il à TopSanté. Les plus alarmistes sont celles effectuées en Amérique du Nord, mais on parle d’une très importante consommation de lait, soit plus d’un litre par jour.
 
« L’excès de consommation de calcium pourrait favoriser le cancer de la prostate et parallèlement réduire celui du côlon », dit-il en précisant que ces études sont totalement incomplètes, notamment en raison du fait qu’elles ne tiennent pas compte de l’alimentation animale qui détermine la qualité nutritionnelle du produit.
 
« Y a-t-il des résidus de pesticides, des perturbateurs endocriniens qui peuvent favoriser le développement de certains cancers, etc. Il n’y a pas les réponses, donc il faut bien voir que toutes ces études ne donnent que des indications partielles, incomplètes et donc difficiles à interpréter », conclut-il.
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Les traitements contre le cancer de la prostate n’affectent pas la qualité de vie

Tous les traitements contre le cancer de la prostate causent une dysfonction érectile et certaines thérapies affectent également la fonction urinaire, mais en général, rien n’affecte la qualité de la vie des patients qui, eux, s’adaptent aux désagréments, mentionne une étude américaine.
 
Les traitements n’affectent pas la douleur, le niveau d’énergie, le bien-être émotionnel ou même les activités quotidiennes, rapporte Passeport Santé.
 
C’est ce que révèle l’étude à laquelle 1 269 Américains ayant un cancer à un stade précoce ont participé pendant les quatre années de leur traitement.
 
60 % d’entre eux ont subi une ablation complète ou partielle de la prostate, 17 % ont eu de la curiethérapie (une forme de radiothérapie), 12 % ont eu de la radiothérapie, 5 % ont reçu une thérapie hormonale et finalement, 6 % ont reçu une combinaison de radiothérapie et de curiethérapie.
 
Toutes les méthodes causent la dysfonction érectile, mais dans la deuxième année, ceux ayant eu une ablation notaient déjà une amélioration de leur état.
 
Alors que l’ablation, la radiothérapie et la curiethérapie causent de l’incontinence urinaire, les désagréments s’estompent un an plus tard, permettant ainsi de retrouver une grande qualité de vie.
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Un nouvel espoir contre le cancer de la prostate

Chaque année, des dizaines de milliers d’hommes reçoivent un diagnostic de cancer de la prostate et des milliers en meurent. Pour cette raison, de nombreux médecins tentent de trouver un moyen de prévenir la maladie.
 
Selon le New England Journal of Medicine, des chercheurs américains auraient trouvé un médicament qui, pris à titre préventif, diminuerait les risques de développer le cancer de la prostate de 23 %.
 
Il s’agit du dutastéride, commercialisé par le laboratoire pharmaceutique GlaxoSmithKline. Ce traitement empêche la testostérone de se muter en dihydrotestostérone, une hormone qui favorise l’apparition du cancer.
 
Ce médicament pris de façon régulière pendant quatre ans diminue les risques de 23 % et n’aurait pratiquement pas d’effets secondaires. En fait, le seul qui a été noté est une légère baisse de la libido.
 
Le cancer de la prostate se développe en raison de différents facteurs, dont le tabac. Des études ont démontré un lien entre le tabac et de nombreux cancers, outre celui des poumons et de la bouche.
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Il serait avantageux de souffrir de calvitie

Voilà un avantage pour les jeunes hommes qui sont découragés par la perte de leurs cheveux. Des chercheurs de l’Université de Washington ont établi un lien entre la testostérone, la perte de cheveux et un risque moindre de développer des tumeurs.
 
Sur les 2 000 hommes étudiés, âgés de 40 à 47 ans, on a découvert que ceux qui avaient développé des plaques d’alopécie sur la tête dans la trentaine avaient de 29 à 45 % moins de risques de développer le cancer de la prostate, rapporte le Cancer Epidemiology.
 
On estime qu’environ 25 à 30 % des hommes commencent une calvitie dans la trentaine et la moitié ont une perte de cheveux importante à 50 ans.
 
En général, plus les hommes ont un taux élevé de testostérone, plus ils perdent de leurs cheveux.
 
Toutefois, pour traiter le cancer de la prostate, il faut souvent prescrire des médicaments qui diminuent la testostérone, car cette hormone favorise la croissance des tumeurs.
 
La nouvelle découverte laisse donc penser que plus les hommes ont un taux de testostérone élevé à un jeune âge, plus ils seraient protégés contre le cancer de la prostate.
 
Des études précédentes affirmaient toutefois le contraire. Il est donc nécessaire d’effectuer des recherches approfondies pour confirmer les nouvelles données.
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Traiter le cancer de la prostate avec un virus

Une équipe de chercheurs canadiens vient de développer une toute nouvelle technique dans le traitement contre le cancer de la prostate.
 
C’est au Centre Tom Baker de Calgary que l’équipe du Dr Don Morris a fait cette découverte et tente de traiter le cancer de la prostate à l’aide d’un virus.
 
En fait, il s’agit d’un réovirus injecté dans le corps qui détruit les cellules cancéreuses et stimule le système immunitaire.
 
Des tests précédents avaient été faits pour les cancers du sein, du pancréas et de l’ovaire, mais c’est la première fois qu’ils sont effectués sur celui de la prostate et il semblerait que les premiers résultats sont forts prometteurs. Six patients ont eu ce type de traitement jusqu’à maintenant.
 
Ce virus se retrouve souvent dans l’environnement et les seuls inconvénients qu’il provoque, dans les cas les plus graves, sont des infections respiratoires légères et de la diarrhée. Il ne comporte pas d’effets secondaires comme ceux obtenus avec les traitements de radiothérapie et de chimiothérapie.
 
De plus, ce virus est neutralisé lorsqu’il se trouve dans les cellules normales, ne causant aucun dommage, alors que sur les cellules cancéreuses, il provoque leur mort. De plus, le sang transporte ensuite des particules vers d’autres tumeurs, freinant ainsi leur progression.
 
Par contre, les médecins affirment qu’il faudra encore quelques années et des essais cliniques à grande échelle avant que ce traitement soit finalement proposé.
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Plus de deux verres de lait par jour causeraient le cancer de la prostate

Deux chercheurs affirment que boire plus de deux verres de lait par jour augmente les risques de développer un cancer de la prostate.
 
Le directeur de l’unité de recherche épidémiologique du Centre hospitalier de l’Université de Montréal, Parviz Ghadirian, et sa collègue italienne, Sara Ralmondi de l’Institut européen de cancer, se sont penchés sur le cas de 197 patients ayant le cancer de la prostate et sur un groupe témoin du même nombre de personnes.
 
Ils ont tenté de connaître les liens entre ce type de cancer et 200 produits alimentaires. Les deux chercheurs sont arrivés à la conclusion que seul le lait avait un lien avec les risques de développer la maladie.
 
Plus de deux verres de lait par jour doublent les risques de souffrir de ce cancer. Ce n’est pas la première fois que le lait est critiqué, certains ont déjà pointé du doigt le gras animal qu’il contient, d’autres son calcium qui empêcherait de métaboliser la vitamine D.
 
Les deux chercheurs ont déjà causé tout un émoi avec une précédente étude établissant le lien entre la consommation de viande rouge et le cancer du pancréas.
 
Bien entendu, des recherches plus approfondies sont maintenant nécessaires.