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L’exercice physique diminue les risques de cancer de l’endomètre

Les femmes actives ont moins de risques d’avoir un cancer de l’endomètre, aussi connu sous le nom de cancer de l’utérus.
 
L’étude présentée lors de la Conférence internationale de la prévention du cancer de l’Association américaine de recherche sur le cancer regroupait 668 femmes avec un cancer de l’endomètre et 665 femmes en bonne santé.
 
En général, on a remarqué que les femmes qui faisaient de l’exercice physique avaient 34 % moins de risques de développer la maladie, et ce, peu importe leur poids.
 
Toutefois, en tenant compte du poids, les données changent. Ainsi, les femmes actives sans surplus de poids ont 73 % moins de risques d’avoir ce cancer, contre 38 % des femmes actives avec un surplus de poids.
 
Les femmes inactives de poids normal avaient tout de même 55 % moins de risques de développer le cancer que celles en surplus de poids.
 
Pour cette étude, les femmes actives faisaient au moins 150 minutes d’exercices par semaine et les femmes en surplus de poids avaient un indice de masse corporelle de 25 et plus.
 
Le cancer de l’endomètre est le cancer gynécologique le plus répandu et le 4e en incidence pour les femmes après ceux du sein, du poumon et du côlon. Ce type de cancer survient habituellement après la ménopause.
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Les femmes qui restent longtemps assises ont plus de risques d’avoir le cancer de l’endomètre

Le British Journal of Cancer publie les résultats d’une analyse regroupant 14 études sur le cancer de l’endomètre. Trois se sont attardées sur un lien possible entre la sédentarité et la maladie qui touche les femmes.
 
Les femmes actives auraient moins de chances de développer ce cancer, à condition qu’elles demeurent assises moins de quatre heures par jour. Dans ce cas, les risques sont diminués de 34 %.
 
Même celles qui pratiquent des activités physiques au moins trois fois par semaine ne peuvent effacer les méfaits de la position assise. Les chercheurs affirment par contre que 22 % des cancers auraient pu être évités si les femmes avaient été actives au moins 20 minutes par jour.
 
Par contre, on ne souhaite pas alarmer les femmes. Les experts ajoutent que les preuves ne sont pas encore assez probantes pour déterminer avec certitude un lien entre l’activité physique et un risque moindre du cancer de l’endomètre.
 
Pour le moment, nous savons que différents facteurs favorisent son apparition, dont l’hormonothérapie et un surplus d’œstrogène.
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Le soya contre le cancer des ovaires et de l’endomètre

Le site Canada.com rapporte que selon diverses études, les femmes qui consomment beaucoup d’aliments à base de soya auraient moins de chances de développer un cancer des ovaires ou de la muqueuse de l’utérus, aussi connue sous le nom d’endomètre.

Ces cancers sont souvent affectés par des hormones comme l’œstrogène, qui est pourtant imité dans les composés du soja.

Alors que certains de ces composés sont reliés au développement du cancer du sein, des études mentionnent que ce serait le contraire en ce qui concerne le cancer des ovaires et celui de l’endomètre. Les femmes qui consomment beaucoup de soya auraient ainsi 40 % moins de risques de développer ces types de cancers.

Par contre, on ajoute que ces nouvelles données sont encore trop préliminaires pour sauter aux conclusions. On doit approfondir les recherches, notamment en ce qui concerne la quantité optimale de soya recommandée.

L’Institut national du cancer au Canada estime que 21 000 femmes recevront un diagnostic du cancer des ovaires en 2009 et que 14 000 en mourront, alors que 42 000 auront un cancer de l’endomètre et cela provoquera 8 000 décès.