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Un meilleur diagnostic d’ostéoporose et de cancer des os

Une équipe de l’Université de l’Arizona a créé un test d’urine qui permettrait de diagnostiquer rapidement l’ostéoporose ou un cancer des os chez une personne.
 
Le test calcule la perte de calcium associée à une réduction de la masse osseuse. La NASA a financé les travaux, car les astronautes font face à ce problème de santé.
 
« À l’heure actuelle, il n’y a pas beaucoup de moyens de détecter une perte de matière osseuse avant que cette perte ne soit déjà assez importante », mentionne le chercheur Ariel Anbar dans le journal de l’université.
 
La technique vérifie en fait la présence d’isotopes de calcium dans l’urine, qui sont un bon indicateur de solidité des os.
 
Pendant 30 jours, une dizaine de volontaires ont eu des périodes de repos allongées afin de recréer les conditions qui causent la perte osseuse en orbite chez les astronautes.
 
Ce test avec un diagnostic rapide permettrait un meilleur traitement pour les patients, notamment en ce qui concerne le cancer des os, dont le diagnostic se fait souvent après que les dommages aient commencé à faire des ravages.
 
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Traitement pour le cancer des os

Des chercheurs de l’Université de Tel-Aviv, en Israël, sont arrivés à contrôler la progression du cancer des os grâce à un polymère.

Le polymère collé à la masse osseuse agit comme un médicament qui prive les cellules cancéreuses des vaisseaux sanguins nécessaires à sa prolifération.

Le produit a été testé sur des souris ayant le cancer des os. 50 % d’entre elles ont vu leur cancer disparaître totalement tandis que chez les autres, la maladie a nettement régressé.

Les chercheurs se sont attardés à deux types de cancer des os, l’ostéosarcome, qui attaque surtout les enfants, et les cancers du sein ou de la prostate qui, en métastase, se transforment en cancer des os généralisé. Dans ces cas de maladies, la chimiothérapie n’a malheureusement que très peu d’effets.

Maintenant, on souhaite passer au stade des études chez l’humain. On espère au moins ramener la maladie à un niveau qui ne serait plus fatal.