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Donner vos ovules peut mener vers le cancer des ovaires

Un nouveau marché est né, alors les femmes séduisantes et mannequins se font le magot en se transformant en donneuses d’ovules. Mais les risques de cancer ovarien doivent être considérés. 

Selon Science World Report, ces femmes séduisantes et en santé sont très recherchées. L’organisme californien The Egg Donor Program a été créé il y a 20 ans exactement dans le but de recruter ces femmes. Elles peuvent recevoir entre 8000 et 10 000 $ par don.

La chaîne ABC a accueilli le Dr Robert Stillman. « L’American Society for Reproductive Medicine met en garde les femmes en les limitant à 6 dons. Il n’y a aucune loi régissant ce processus, et donc, il n’y a aucun moyen pour prévenir les risques de santé associés pour les femmes qui sont sollicitées. » Plus souvent les femmes ont leur ovulation, plus grand est le risque de cancer.

Julia Derek, une donneuse qui a témoigné, affirme qu’elle y est retournée une douzaine de fois, surtout à cause du montant qu’elle y gagne. Elle a cependant reçu un diagnostic de plusieurs déséquilibres hormonaux.

« Vous jouez à la roulette russe avec votre fertilité et votre santé », a ajouté le Dr Stillman.

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Meilleure compréhension du cancer des ovaires

Des chercheurs français de l’Institut Curie viennent d’identifier deux signatures génétiques pour le cancer des ovaires.
 
La première, « stress oxydant », permet de cibler les tumeurs agressives et leur sensibilité au traitement.
 
Le stress oxydant est causé par la respiration qui provoque une production dérivée d’oxygène pouvant agresser les cellules. Lorsque celles-ci n’ont plus de ressources antioxydantes, le stress oxydant cause une altération qui favorise le développement du cancer.
 
Ce processus accélère l’évolution du cancer, mais d’un autre côté le Nature Medicine ajoute que cela améliore également sa réponse au traitement.
 
La deuxième signature génétique est « fibrose », qui détecte les tumeurs à haut risque de développer des métastases.
 
Ces découvertes ouvrent la voie à des tests sur le pronostic de l’évolution possible de la maladie et des traitements mieux adaptés.
 
Le cancer des ovaires est un des plus difficiles à détecter, et lorsque les symptômes apparaissent, le stade de la maladie est souvent déjà avancé.
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Découverte importante pour les cancers des ovaires

Des chercheurs ont découvert que certains cancers des ovaires agressifs se forment d’abord dans les trompes de Fallope. Cela confirme ce que plusieurs cancérologues croyaient depuis des années.
 
« L’hypothèse des trompes de Fallope comme étant l’origine de certains cancers très agressifs de l’ovaire était surtout fondée jusqu’alors sur l’examen de ces trompes retirées chirurgicalement chez des femmes ayant des prédispositions génétiques au cancer ovarien », explique l’auteur principal de l’étude, le Dr Ronny Drapkin du Dana-Farber Cancer Institute de Boston.
 
« Mais pour démontrer de façon convaincante que les cellules cancéreuses de l’ovaire peuvent provenir directement des trompes de Fallope adjacentes, il fallait reconstituer en laboratoire sur des animaux toutes les étapes du développement de la maladie et notre modèle de recherche apporte cette démonstration. Ces recherches nous aideront à identifier différents types de cancers ovariens agressifs ainsi qu’à découvrir de possibles biomarqueurs – des protéines dans le sang – signalant la présence de la tumeur. Ce modèle de laboratoire devrait aussi un jour permettre de tester des thérapies potentielles pour évaluer leur efficacité selon les différents types de tumeurs de l’ovaire », ajoute le Dr Drapkin.
 
Cette découverte pourrait ouvrir la voie à de meilleurs diagnostics et traitements pour ce type de cancer qui est l’un des plus difficiles à vaincre, car il ne présente pas de symptômes précoces. Lorsque le diagnostic tombe, le cancer est déjà à un stade avancé, malheureusement.
 
Dans le monde, on estime que 200 000 femmes reçoivent ce diagnostic chaque année et que 115 000 en meurent.
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Risques de cancer pour toute la famille

Une récente étude scientifique vient de faire un lien important entre le cancer du sein d’une femme et les risques de maladie de sa famille.

On peut lire dans le Bristish Journal of Cancer le constat d’une recherche portant sur les femmes âgées de moins de 35 ans.

Ce type de cancer demeure rare pour ce groupe d’âge, car 1 femme sur 40 sera diagnostiquée seulement. Malgré tout, la famille entière de la jeune femme atteinte pourrait en être touchée.

Ainsi, ses frères et son père auraient cinq fois plus de risque d’être atteints d’un cancer de la prostate. Ses soeurs, quant à elles, verraient leur probabilité de cancer du sein augmentée de quatre fois et seraient deux fois plus exposées à développer un cancer des ovaires.

Les recherches devront donc se poursuivre sur cette voie. En attendant de nouvelles percées, les chercheurs conseillent aux jeunes femmes concernées et à leurs proches de faire preuve d’une grande vigilance.

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Nouvelle découverte pour le cancer des ovaires

Le Nature Genetics nous apprend que les chercheurs ont découvert de nouvelles variantes génétiques qui augmenteraient les chances de développer le cancer des ovaires.
 
Ces variantes sont situées dans cinq régions du génome.
 
Le cancer des ovaires est le cinquième cancer chez la femme après le cancer du sein, du col de l’utérus, du côlon et de l’estomac. Chaque année, 130 000 femmes en meurent. Ce cancer est plutôt sournois, car malheureusement, il se développe silencieusement en ne laissant présager aucun symptôme. Lorsque ceux-ci apparaissent et qu’un diagnostic peut enfin être posé, la maladie est déjà à un stade avancé, diminuant ainsi les chances de survie.
 
Cette découverte est un nouveau pas vers un diagnostic plus précoce de la maladie. On croit qu’éventuellement, on pourra identifier les femmes porteuses de ces variantes génétiques qui seraient le plus à risque de développer le cancer.
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L’ablation des trompes de Fallope pour prévenir le cancer des ovaires

Selon la gynécologue de l’Hôpital général de Vancouver, Sarah Finlayson, les recherches démontrent que dans 50 % des cas de cancer des ovaires, la tumeur s’est développée dans les trompes.
 
Mme Finlayson affirme qu’en procédant à l’ablation des trompes de Fallope lors d’une hystérectomie, cela permettrait de réduire de 30 à 50 % le taux de mortalité dû au cancer des ovaires. Ainsi, l’Agence d’oncologie de la Colombie-Britannique recommande cette mesure pour réduire les risques de la maladie.
 
En Colombie-Britannique, 18 % des femmes qui ont eu un cancer des ovaires avaient encore leurs trompes malgré une hystérectomie.
 
Seulement au Canada, 50 000 ablations de l’utérus sont faites chaque année. Comme les tumeurs ont tendance à prendre forme dans les trompes d’abord, on croit que cette mesure préventive serait des plus bénéfique.
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Nouvel espoir contre le cancer des ovaires

Une combinaison de traitements offre maintenant un nouvel espoir pour les femmes atteintes d’un cancer des ovaires. Ce cancer est la 8e cause de décès chez les femmes et est souvent difficile à diagnostiquer, car les symptômes apparaissent tardivement.
 
Le Dr Robert Burger et ses collègues du Fox Chace Cancer Center de Philadelphie ont découvert que l’Avastin combiné à la chimiothérapie arrivait à freiner la progression des tumeurs.
 
L’Avastin est déjà connu comme traitement de cancers métastasés comme celui du côlon, du sein, des reins, du cerveau et des poumons.
 
« C’est le premier essai clinique de phase 3 qui montre que bloquer la formation de vaisseaux sanguins des tumeurs améliore notablement la survie sans progression de la maladie des femmes ayant un cancer ovarien ou péritonéal très difficile à traiter. Les résultats de cet essai clinique montrent que l’Avastin est un traitement initial acceptable pour les patientes souffrant d’un cancer avancé de l’ovaire », mentionne le Dr Burger.
 
Des essais cliniques ont été effectués sur 1 873 femmes ayant un cancer de stades 3 et 4 des ovaires, péritonéal ou des tubes fallopiens qui avaient eu une ablation d’une grande partie de la tumeur par chirurgie.
 
Un premier groupe a reçu de la chimiothérapie et un placebo, un deuxième groupe a eu de la chimiothérapie et de l’Avastin et le troisième groupe a eu la même chose que le deuxième, mais avec un suivi supplémentaire de dix mois avec seulement de l’Avastin.
 
Le dernier groupe a vu sa survie atteindre 14 mois comparativement aux femmes ayant eu seulement de la chimiothérapie, qui atteignaient quant à elles 10 mois.
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Nouvel espoir contre le cancer des ovaires

TopSanté nous apprend que la découverte d’un anticorps, la protéine AD5-10, permettrait de créer un nouveau traitement contre le cancer des ovaires.
 
Une équipe de la Faculté de médecine de Vienne a découvert que la protéine AD5-10 avait des propriétés très intéressantes et qu’elle était un anticorps efficace contre le cancer des ovaires.
 
Non seulement elle agit contre le cancer, elle augmente également la puissance des cellules ou des molécules qui combattent aussi le cancer.
 
Les cellules cancéreuses deviennent donc moins résistantes aux mécanismes de protection du corps. L’AD5-10 augmente la force des cellules naturelles et active la destruction des cellules indésirables.
 
De plus, autre avantage non négligeable, cette protéine rend les médicaments de chimiothérapie encore plus efficaces.
 
Cette découverte représente donc un espoir important pour parvenir à combattre la maladie et faire avancer les recherches en ce sens.
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Le soya contre le cancer des ovaires et de l’endomètre

Le site Canada.com rapporte que selon diverses études, les femmes qui consomment beaucoup d’aliments à base de soya auraient moins de chances de développer un cancer des ovaires ou de la muqueuse de l’utérus, aussi connue sous le nom d’endomètre.

Ces cancers sont souvent affectés par des hormones comme l’œstrogène, qui est pourtant imité dans les composés du soja.

Alors que certains de ces composés sont reliés au développement du cancer du sein, des études mentionnent que ce serait le contraire en ce qui concerne le cancer des ovaires et celui de l’endomètre. Les femmes qui consomment beaucoup de soya auraient ainsi 40 % moins de risques de développer ces types de cancers.

Par contre, on ajoute que ces nouvelles données sont encore trop préliminaires pour sauter aux conclusions. On doit approfondir les recherches, notamment en ce qui concerne la quantité optimale de soya recommandée.

L’Institut national du cancer au Canada estime que 21 000 femmes recevront un diagnostic du cancer des ovaires en 2009 et que 14 000 en mourront, alors que 42 000 auront un cancer de l’endomètre et cela provoquera 8 000 décès.

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Le thé et le café ne provoquent pas le cancer des ovaires

Selon le Medical News Today, des recherches prouvent qu’il n’y a pas de lien entre la consommation de café et le cancer des ovaires. 

Cette étude publiée dans le British Journal of Cancer ce mois-ci a été faite auprès de 62 573 femmes en post-ménopause. Parmi elles, 280 avaient souffert du cancer des ovaires. 

Environ 89 % des 62 573 femmes interrogées buvaient du thé, à une fréquence d’environ trois tasses par jour. De plus, 96 % d’entre elles affirmaient consommer du café, avec une fréquence d’environ quatre tasses par jour. 

Cette recherche n’a démontré aucune augmentation des risques de cancer liés à la consommation de café et de thé. Les liens qui auraient pu être faits n’étaient pas significatifs. 

Il faut tout de même garder en tête que certaines études ont déjà prouvé que la consommation de thé et de café peut avoir des effets néfastes sur notre santé et augmenter les risques de cancer, à cause des substances qu’ils contiennent, soit la caféine et les tanins.