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Les chats ne causent pas le cancer du cerveau

Une étude britannique démontre que ce ne sont pas les chats qui peuvent causer le cancer du cerveau, mais plutôt la bactérie toxoplasma gondii.

62 500 femmes de plus de 60 ans ont été suivies pour en arriver à ces résultats. En réalité, certains félins peuvent avoir la bactérie dans leur intestin, et elle peut être transmissible à l’humain par le biais de leurs excréments. Voilà pourquoi, on dit toujours aux femmes enceintes de ne pas changer la litière de leur chat.

« Les Anglais ont très bien fait de mener cette étude. C’est rassurant pour les propriétaires de chats. D’abord, ces animaux ne sont pas tous contaminés, car ils n’ont pas tous l’occasion de manger des rongeurs parasités. Les humains peuvent aussi attraper le parasite en mangeant de la viande crue infectée. Il n’en reste pas moins que la piste de Toxoplasma doit être étudiée de près. De 15 à 20 % des cancers sont d’origine infectieuse », commente le chercheur Frédéric Thomas dans le Biology Letters.

La Toxoplasma s’attaque au système nerveux des humains. Une récente étude disait même qu’elle pouvait augmenter les risques de tentatives de suicide chez les personnes infectées. On parle aussi d’un risque accru de schizophrénie.

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Un vaccin contre le cancer du cerveau pédiatrique?

Encore aujourd’hui, il y a peu d’espoir pour les enfants atteints de tumeurs cérébrales, alors que la seule option efficace est souvent la radiothérapie.

Or, une nouvelle alternative pourrait bien faire briller une lumière au bout du tunnel, ont expliqué des chercheurs à la réunion annuelle de l’American Association for Cancer Research (AACR) à Chicago récemment.

En effet, le Dr Ian Pollack de l’Université de Pittsburgh, auteur de l’étude dont les données et les conclusions doivent être encore considérées comme provisoires, a démontré qu’un vaccin pouvait être bien toléré et avoir des réponses favorables, voire surprenantes, sur le système immunitaire des petits atteints d’un cancer du cerveau.

La majorité des 27 enfants participants à l’étude ont bien répondu au vaccin. Par voie de communiqué, le spécialiste explique : « Certains des enfants ont connu ce qu’on appelle une “pseudoprogression” après avoir reçu le vaccin, ce qui signifie que la tumeur a progressé temporairement et les symptômes de la maladie se sont aggravés, mais plus tard, la tumeur est devenue plus petite et la maladie s’est stabilisée ».

Devant cette première étude de ce genre, qui a permis de voir un rétrécissement des tumeurs dangereuses dans le cerveau de plusieurs petits, les chercheurs sont épatés et très encouragés par les résultats.

Bien que pour le moment, il soit impossible de savoir si ce vaccin pourra améliorer la qualité de vie et le taux de survie global, il devient tout de même un nouvel espoir considérable dans le combat de la maladie.

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Cancer du cerveau pédiatrique : une anomalie chromosomique en cause?

Des cliniciens-chercheurs de l’Université de Nottingham ont découvert qu’un nouveau diagnostic pour permettre aux médecins d’identifier les jeunes qui sont le plus à risque d’avoir une tumeur épendymome (du système nerveux central de type kystique) permettrait d’effectuer un traitement-choc et de sauver davantage de vies.

Malgré des améliorations dans le traitement ces dernières années, le pronostic pour les enfants atteints de ce cancer reste faible – 40 % des enfants touchés meurent encore. La situation s’améliore peu, car jusqu’à aujourd’hui, les médecins n’ont pas été en mesure de prédire avec exactitude quelles étaient les tumeurs qui se comportaient plus agressivement que les autres.

Cette recherche pourrait donc aider les médecins à décider quels enfants avec la tumeur ont un meilleur pronostic et pourraient bénéficier de traitements moins intensifs, ce qui permettrait également de réduire l’exposition des petits à une gamme d’effets secondaires qui peuvent causer des handicaps permanents.

L’étude, qui sera publiée dans la revue Clinical Cancer Research, démontre que des copies anormales du chromosome 1q25 dans les cellules de tumeurs épendymomes ont été associées à un moins bon avenir pour 20 % des enfants malades sur 147 tumeurs observées en Europe. Les résultats auraient également été plus mauvais chez ceux qui ont été traités par chirurgie et chimiothérapie.

Le Dr Richard Grundy, l’un des auteurs de l’étude, espère maintenant que les résultats d’autres analyses en cours dans d’autres pays, comme aux États-Unis, correspondent aux leurs, car si c’est le cas, la présence d’un gain de copies du chromosome 1q25 pourrait tout changer dans l’avenir international sur la planification du traitement de ce cancer pédiatrique.

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Risques de cancer pour certains bébés

Un bébé qui naît avec une anomalie ou dont la mère a déjà eu un enfant mort à la naissance est exposé à un plus grand risque de cancer du cerveau. Des chercheurs viennent de présenter cette découverte dans Pediatrics.

Ce constat semble alarmant, mais les chercheurs soulignent que le risque demeure faible et que le type de cancer est rare. Il s’agit ici d’une tumeur au système nerveux central.

Malgré tout, si dans quelques cas il s’agit d’un syndrome génétique, on en sait encore très peu quant au développement d’un tel cancer chez de nombreux enfants.

Ainsi, chez les enfants atteints d’une tumeur au système nerveux central, 1,2 % d’entre eux présentaient une anomalie de naissance, contre 0,6 % pour les enfants non atteints de ce cancer.

Les risques d’autres types de cancer du cerveau ont aussi été mis en corrélation. D’autre part, si la perte d’un bébé durant la grossesse est liée à des anomalies génétiques, cela pourrait expliquer de plus hauts risques de cancer.

 

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Le cellulaire serait finalement sans danger

La multiplication des téléphones cellulaires de cette décennie a fait naître des craintes quant au développement d’une tumeur cérébrale, en particulier chez les plus jeunes. On croyait de plus en plus qu’une grande utilisation d’un cellulaire augmentait ce risque.

La raison en est que le système nerveux des enfants est en développement et que leur circonférence crânienne est plus petite. Les plus jeunes seraient donc moins bien protégés des champs électromagnétiques.

Or, aucune étude n’avait jusqu’à présent réellement examiné le possible lien entre le téléphone cellulaire et l’apparition d’une tumeur au cerveau.

C’est maintenant chose faite, comme nous pouvons le lire dans la présente édition du Journal of The National Cancer Institute.

Des chercheurs du Swiss Tropical and Public Health Institute ont démontré que les enfants et adolescents qui utilisent un téléphone cellulaire ne sont pas plus à risque que les autres de souffrir d’un cancer du cerveau.

S’étant étalée de 2004 à 2008, cette étude a porté sur des sujets âgés de 7 à 19 ans. Les données médicales de 352 patients atteints d’un cancer du cerveau ont été comparées à celles de 646 sujets témoins.

Aucune association valable entre le cellulaire et la tumeur cérébrale n’a pu être établie.

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Le chat à l’origine du cancer du cerveau?

Selon des chercheurs du CNRS de Montpellier, le parasite qui cause la toxoplasmose pourrait être à l’origine du cancer du cerveau.
 
Comme le chat est le seul animal à pouvoir transmettre l’infection à l’homme, les propriétaires de félins auraient donc deux fois plus de chances de développer un cancer du cerveau au cours de leur vie.
 
« Nos recherches et les résultats obtenus à cette occasion sont suffisamment solides pour nous permettre d’affirmer que la toxoplasmose peut augmenter les chances pour un humain de développer un cancer du cerveau », écrit Fréderic Thomas, qui a dirigé l’étude, dans le Royal Society Journal Biology Letters.
 
La recherche a effectivement démontré un lien entre la toxoplasmose et le cancer du cerveau, mais aussi avec la schizophrénie.
 
Rappelez-vous que la toxoplasmose est aussi très risquée pour les femmes enceintes et leur futur bébé.
 
Toutefois, ce n’est pas une raison pour abandonner votre minet, mais vous pouvez prendre vos précautions, notamment lorsque vous nettoyez la litière.
 
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Nouveau traitement du cancer du cerveau

On peut lire dans le Journal of Nuclear Medicine que des enfants atteints d’un neuroblastome pourraient subir un traitement innovateur.

Ce type de tumeur extra-crânienne est la plus fréquente chez les jeunes enfants (60 %). Ce cancer attaque le système nerveux autonome sympathique.

En résumé, le traitement consiste en l’émission combinée de positons (antiparticules de l’électron) et de rayons X par tomodensitométrie. Il pourrait être employé sur des enfants qui ne répondent pas à une première méthode et à ceux qui vivent une récidive.

La réponse de cette radiothérapie moléculaire (la 177Lu-DOTATATE) a été encourageante. Aussi sera-t-elle certainement envisagée dans un avenir prochain pour soigner le cancer de ces enfants.

En ce moment, à long terme, le taux de survie à un neuroblastome demeure à 40 %. On diagnostique la maladie vers un an ou deux, en moyenne. Elle touche 1 enfant sur 100 000.

Les résultats détaillés de cette importante recherche sont parus sur SNM Newsroom.

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L’activité physique pour prolonger la vie avec un cancer du cerveau

Le Journal of Clinical Oncology nous apprend que la pratique régulière d’une activité physique modérée peut prolonger l’espérance de vie des patients avec un cancer du cerveau.
 
243 personnes ont participé à une étude américaine sur le sujet. Elles avaient toutes un gliome malin récurrent.
 
En faisant une activité comme de la marche vigoureuse 30 minutes, cinq fois par semaine, les personnes ont pu prolonger leur espérance de vie de 36 %. Pour les plus actifs, on parle d’une survie moyenne de 22 mois après le diagnostic, et de 12 à 13 mois pour les sédentaires.
 
Pour un gliome malin récurrent, on parle habituellement d’un pronostic de 4 à 6 mois. Des médicaments peuvent prolonger jusqu’à un an en moyenne, mais il y a parfois des atteintes neurologiques importantes.

L’activité physique semble également améliorer la qualité de vie des patients, en plus de freiner la progression de la maladie.

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Il n’y a pas de danger de cancer avec les téléphones portables

Le Journal of the National Cancer Institute rapporte que des chercheurs danois n’ont observé aucun lien entre l’utilisation du téléphone cellulaire et le développement d’un cancer du cerveau.

Cette recherche, financée par la Société du cancer du Danemark, a été réalisée auprès de 16 millions de personnes au Danemark, en Finlande, en Norvège et en Suède. Elle a porté sur deux types de tumeurs du cerveau qui se sont développées entre 1974 et 2003.

On ne note aucune augmentation des cas de cancers depuis le milieu des années 90, soit depuis l’ascension fulgurante des téléphones cellulaires dans le monde. L’évolution de la maladie n’a pas changé, et ce, malgré l’utilisation accrue de ce moyen de communication.

Par contre, on indique qu’il devra y avoir des recherches sur les dangers possibles du cellulaire à long terme.

Alors que de précédentes études mentionnent que les ondes électromagnétiques des téléphones portables présentent un risque plus élevé de développer une tumeur au cerveau ou encore des maladies comme l’Alzheimer, la présente étude dit qu’aucun mécanisme du corps humain pouvant expliquer ce genre d’effets n’a été observé jusqu’à présent.

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Médicament encourageant contre le cancer du cerveau

La compagnie montréalaise Angiochem a mis au point un médicament qui donne des résultats prometteurs pour combattre le cancer du cerveau, même dans ses formes particulièrement agressives.

Les essais cliniques sur une centaine de personnes démontrent que le ANG-1005 permet non seulement de réduire la taille des tumeurs dans plus de 50 % des cas et à différents stades, mais agit également sur certaines tumeurs résistantes à la chimiothérapie.

Ainsi, 70 % des patients ont vu la maladie être stabilisée ou leur état être amélioré, ce qui représente un grand espoir dans le combat du cancer du cerveau.