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Nouveau mode de dépistage pour le cancer du col de l’utérus

Voilà une avancée intéressante pour toutes les femmes : le frottis habituel pour permettre de faire un dépistage du cancer du col de l’utérus pourrait éventuellement être remplacé.
 
15 000 femmes ont participé à une étude sur un nouveau type de dépistage à partir d’un simple test d’urine.
 
Selon L’Express, ce test consiste à recherche le virus du papillome humain dans l’urine. Ce virus cause la majorité des cancers du col de l’utérus.
 
Durant les tests urinaires, 24 % des cas se sont avérés positifs, alors que pour le frottis habituel, les résultats anormaux étaient trois fois plus élevés que dans la population en général.
 
Le développement de ce test nouveau genre est toujours en cours, mais il représente une solution éventuelle intéressante.
 
Rappelons que les jeunes filles peuvent maintenant être vaccinées contre le virus du papillome humain. On recommande également de commencer à vacciner les jeunes hommes.
 
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Les femmes pourraient elles-mêmes faire leur dépistage du VPH

Une étude parue dans le Journal of the National Institute of Cancer donne le feu vert à un ensemble de dépistage maison pour le virus du papillome humain (VPH).
 
L’étude chinoise réalisée avec 13 000 femmes révèle que ces ensembles maison, à base d’acide acétique, sont tout aussi efficaces que le frottis traditionnel des médecins pour déceler le virus. Même qu’ils se seraient montrés meilleurs pour dépister les signes avant-coureurs du cancer du col de l’utérus chez les femmes.
 
Une étude allemande avec un ensemble du même genre en était arrivée aux mêmes conclusions précédemment. Aux Pays-Bas, ces ensembles de dépistage maison sont déjà en vente, et au Royaume-Uni, ils sont toujours à l’étude.
 
Aux États-Unis, il existe un ensemble créé par Qiagen de Gaithersburg, dans le Maryland, qui permet aux femmes de faire le prélèvement elles-mêmes et de l’envoyer à un laboratoire. Ceci permet aussi d’éviter d’attendre pour obtenir un rendez-vous chez le médecin et de désengorger les cliniques.
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Les femmes célibataires plus à risque de développer un cancer du col de l’utérus

Le Telegraph dévoile un sondage effectué par YouGov pour le Jo’s Cervical Cancer Trust qui mentionne que les femmes âgées célibataires sont plus enclines à avoir un cancer du col de l’utérus, notamment en raison de leurs fausses croyances.
 
Encore trop de femmes croient qu’elles n’ont pas besoin d’examen pour ce type de cancer, car pour elles, il est relié aux partenaires sexuels multiples. En fait, 51 % des femmes de plus de 50 ans ont donné cette réponse. 18 % croyaient que cela était héréditaire.
 
Bien qu’il soit reconnu que le virus du papillome humain favorise l’apparition du cancer du col de l’utérus et que l’on suggère de faire vacciner les jeunes filles, six cancers du col de l’utérus sur dix sont diagnostiqués sur des femmes de plus de 40 ans.
 
Il est donc primordial de rappeler aux femmes l’importance des examens médicaux réguliers.

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Un meilleur dépistage du cancer du col de l’utérus

Le ministre de la Santé, Yves Bolduc, a annoncé de nouvelles directives québécoises concernant le dépistage du cancer du col de l’utérus.
 
À l’instar des nouvelles normes canadiennes pour dépister le cancer du sein, le dépistage du cancer du col de l’utérus pourra se faire aux deux à trois ans chez les femmes sexuellement actives, ou qui l’ont été et qui sont âgées de 21 à 65 ans.
 
De plus, le gouvernement met sur pied un comité d’experts pour continuer les nouvelles directives. Ce comité sera formé de professionnels et présidé par la gynécologue-obstétricienne Céline Bouchard, du Centre hospitalier universitaire de Québec.
 
Ces mesures ont pour but d’améliorer les diagnostics et ainsi augmenter les chances de guérison pour les patientes.
 
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Les rapports sexuels occasionnels responsables de la hausse du cancer du col utérin

Dans les dernières décennies, on observe une augmentation significative des cas de cancer du col de l’utérus chez les jeunes femmes dans la vingtaine, notamment en raison des rapports sexuels non protégés à un âge précoce.
 
Le cancer du col utérin est causé par une souche du virus du papillome humain (VPH) transmis lors de relations sexuelles.
 
Entre 1992 et 2006, le nombre de cas de cancer chez les femmes dans la vingtaine a doublé, passant à 43 %, alors que chez les autres groupes d’âge, la maladie a reculé, rapporte l’équipe de chercheurs de l’Université de Manchester dans le Telegraph.
 
Comme prévention, il existe des vaccins contre le VPH administrés aux adolescentes, mais certains médecins aimeraient pouvoir élargir la tranche d’âge de vaccination.
 
De plus, on parle d’offrir le vaccin aux jeunes hommes éventuellement, qui ne sont pas non plus à l’abri du VPH.
 

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Le vaccin contre le cancer du col de l’utérus est un succès

Depuis leur arrivée, il y a environ trois ans, les vaccins contre le cancer du sol de l’utérus seraient très efficaces.

Une étude australienne, rendue publique par Futura-Sciences, mentionne que depuis trois ans, il y a une nette amélioration, soit une réduction de 38 %, de l’incidence des lésions précancéreuses de haut grade chez les jeunes filles de 18 ans.

Les dépistages plus précoces sont aussi à l’origine de cette nette amélioration.

Récemment, une équipe de l’Université de Manchester a découvert qu’un médicament couramment utilisé contre le VIH pourrait être très efficace pour prévenir le cancer du col de l’utérus, causé par le virus du papillome humain (VPH).

En effet, l’antiviral lopinavir aurait démontré de bons résultats. On souhaite maintenant passer à des essais cliniques pour confirmer les premières données obtenues en laboratoire.

« Nous avons découvert que le lopinavir tue de manière sélective les cellules infectées par le VPH, tout en préservant globalement les cellules saines. C’est une constatation très importante, car ces cellules ne sont pas cancéreuses, mais sont très proches de cellules présentes dans une infection précancéreuse du col de l’utérus. Le lopinavir tue ces cellules infectées par le VPH en réactivant un système antiviral bien connu », expliquait le Dr Ian Hampson.

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Un médicament contre le VIH efficace contre le cancer du col de l’utérus

Une équipe de l’Université de Manchester a découvert qu’un médicament couramment utilisé contre le VIH pourrait être très efficace pour prévenir le cancer du col de l’utérus, causé par le virus du papillome humain (VPH).
En effet, l’antiviral lopinavir aurait démontré de bons résultats. On souhaite maintenant passer à des essais cliniques pour confirmer les premières données obtenues en laboratoire, mentionne la revue Antiviral Therapy.
 
« Nous avons découvert que le lopinavir tue les cellules infectées par le VPH, de manière sélective, tout en préservant globalement les cellules saines. C’est une constatation très importante, car ces cellules ne sont pas cancéreuses, mais sont très proches de cellules présentes dans une infection précancéreuse du col de l’utérus. Le lopinavir tue ces cellules infectées par le VPH en réactivant un système antiviral bien connu », explique le Dr Ian Hampson.
 
Rappelons que pour le moment, aucun vaccin ne protège de toutes les souches du virus du papillome humain. Autrefois administré aux jeunes filles, un vaccin a récemment élargi sa cible jusqu’aux femmes de 45 ans. Les jeunes hommes peuvent également se faire vacciner contre le VPH.
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Une sexualité précoce augmente les risques de cancer du col de l’utérus

Le British Journal of Cancer rapporte que plus les adolescentes ont leur première relation sexuelle tôt, plus elles ont des chances de développer le cancer du col de l’utérus.

Cette étude a été réalisée auprès de 20 000 femmes par le Centre international de recherche sur le cancer affilié à l’Organisation mondiale de la santé.

On a constaté que les jeunes filles issues de milieux défavorisés avaient leur première expérience sexuelle quatre ans plus tôt que celles venant d’un milieu plus aisé.

Pour certains chercheurs, cela s’expliquerait par le fait que les examens de dépistages sont beaucoup moins fréquents dans les milieux pauvres.

Le VPH (virus du papillome humain) est responsable de la majorité des cas de cancers du col de l’utérus. Une vie sexuelle précoce et active modifie le potentiel cancérigène du VPH.

On note également que l’âge auquel les jeunes filles ont leur premier enfant serait également un facteur de risque important.