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Les charcuteries favorisent bel et bien le cancer du côlon

Une nouvelle étude de l’Institut national de recherche agronomique de Toulouse dévoile que certaines charcuteries peuvent augmenter les risques de cancer du côlon en raison de quatre facteurs.
 
Auparavant, on a cru que l’ajout de sel posait problème, mais c’est finalement tout le processus de transformation de la viande qui est pointé du doigt, car il favorise l’augmentation de lésions précancéreuses au niveau du côlon.
 
Les chercheurs ont identifié quatre facteurs de risque, soit la coloration des charcuteries, l’ajout de nitrite, la cuisson et l’oxydation.
 
Ce processus de transformation accroit de manière significative les lésions, favorisant donc l’apparition de la maladie. On croit que la transformation permet à des agents cancérigènes de se développer durant le processus. Une fois ingérés, ces agents peuvent donc accroître le risque de cancer.
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L’exercice physique aide à prévenir le cancer du côlon

Les personnes qui sont les plus actives sont moins à risque de développer le cancer du côlon, selon une analyse de 20 études sur le sujet regroupant un total de 250 000 patients.
 
Selon le British Journal of Cancer, les études menées entre 1991 et 2009 démontrent que l’activité physique prévient le cancer du côlon.
 
Ces études avaient pour but de déterminer si l’activité physique avait un effet sur la formation de polypes dans le tube digestif. Habituellement, les polypes sont bénins, mais ils peuvent éventuellement former des tumeurs cancéreuses.
 
Tous les participants à l’étude ont subi une coloscopie en plus d’une enquête pour déterminer leur niveau d’activité physique. Ceux qui étaient actifs avaient 16 % moins de polypes et chez les plus actifs, 36 % avaient moins de risques d’avoir des polypes de grande taille ou à des stades plus avancés.
 
Selon les experts, bouger aiderait l’organisme à se débarrasser des polypes.
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Le lait préviendrait le cancer du côlon

L’American Journal of Epidemiology rapporte que l’habitude des écoles de servir un berlingot de lait aux enfants tous les jours était une décision judicieuse pour la santé.
 
En effet, des chercheurs ont découvert que cette consommation quotidienne de lait durant l’enfance protégeait du cancer du côlon à l’âge adulte.
 
Les risques de cancer sont réduits d’au moins 20 % si les enfants ont eu leur lait quotidiennement durant 4 à 6 ans et ils sont diminués de 40 % si cette consommation s’est échelonnée sur plus de six ans.
 
Ces conclusions font suite à une étude effectuée sur 562 personnes de 30 à 69 ans avec un cancer du côlon. Leurs habitudes ont été comparées à celles d’un nombre similaire de personnes en bonne santé. On a comparé leur état de santé, leur mode de vie et leur consommation de lait à l’école.
 
Celles qui avaient bu plus de lait quotidiennement avaient moins de risques de développer le cancer du côlon.
 
On croit que le lait permet d’accumuler un niveau élevé de calcium dans l’organisme, ce qui protègerait les intestins plus tard et freinerait la croissance de cellules cancéreuses avant même qu’elles n’apparaissent.
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L’activité physique diminue les risques de cancer du sein et du côlon

Il existe maintenant une preuve que l’activité physique, à raison de deux heures et demie par semaine, aide à prévenir l’apparition du cancer du sein et du côlon. Pour le moment, les données pour les autres cancers ne sont pas disponibles, mais les experts croient que les résultats seront similaires.
 
L’étude de l’Organisation mondiale de la santé mentionne que près du quart des cancers du sein et du côlon pourraient être évités si les personnes bougeaient au moins 150 minutes par semaine. Une marche de 30 minutes, cinq fois par semaine, est suffisante, pas besoin de pratiquer des activités très intenses.
 
Avec le tabac, le diabète et l’hypertension artérielle, le manque d’activité physique est l’un des principaux facteurs de risque pour les décès dans le monde. Ces facteurs sont à la base de plus de trois millions de morts chaque année.
 
On estime que 31 % de la population mondiale demeure encore inactive, même si cela représente des risques importants pour la santé.
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L’exercice physique bénéfique contre le cancer du côlon

Une étude du Siteman Cancer Center de l’Université de Washington révèle que l’exercice physique peut diminuer les risques de décès et même de développement du cancer du côlon.
 
Après une analyse des résultats d’une étude portant sur 150 000 personnes ayant dévoilé leur niveau d’activité physique entre 1982 et 1997, les chercheurs ont évalué un lien possible entre l’activité sportive régulière et le diagnostic de cancer du côlon entre 1998 et 2005 ainsi que le lien entre l’exercice et le nombre de décès de ce type de cancer entre 1998 et 2006.
 
Les personnes ayant été les plus actives, pendant au moins une dizaine d’années, avaient un plus faible taux de décès. De plus, les chercheurs ont constaté que le risque était également moindre pour le développement du cancer du côlon si vous avez été actif régulièrement.
 
L’exercice physique a aussi comme bénéfice de réduire le développement d’autres formes de cancers ou autres pathologies comme le diabète et les maladies cardiaques.
 
Apparemment, il suffirait de marcher 30 minutes par jour pour profiter de cette protection. On recommande également aux patients déjà atteints par un cancer de se mettre à l’exercice physique pour diminuer le risque de décès, mais aussi de récidive de la maladie.
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Les framboises noires aident à prévenir le cancer du côlon

Des chercheurs ont découvert que les framboises noires réduisaient le nombre de tumeurs de 60 % chez des souris à risque de développer le cancer du côlon.
 
Les framboises noires étaient déjà reconnues pour leurs propriétés antioxydantes et leurs effets contre le cancer. En consommant ce fruit, la prévalence du cancer chez les souris a également diminué de 45 %, rapporte le journal Cancer Prevention and Research.
 
Ces framboises freinent le développement des tumeurs en supprimant la protéine bêta-caténine. Bien entendu, des essais doivent maintenant être effectués sur des humains pour confirmer le tout.
 
Sur les souris, les framboises noires semblaient ouvrir un large éventail de protections contre les maladies. On espère donc obtenir les mêmes résultats sur les hommes, car il s’agit d’un produit entièrement naturel et facilement accessible.
 
Les framboises noires sont très populaires aux États-Unis chez les jardiniers amateurs.
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Les oméga-3 contre le cancer colorectal?

Un supplément spécifique des oméga-3, que l’on retrouvent surtout dans les poissons gras et certains fruits de mer, permettrait de réduire non seulement le nombre, mais aussi la taille des polypes chez les personnes ayant une polypose adénomateuse familiale (PAF). Il s’agit d’une maladie génétique qui peut causer le cancer du côlon.
 
Ce supplément n’est pas encore commercialisé, mais des chercheurs anglais en ont donné à un groupe de patients malades. L’étude a porté sur 55 personnes, dont la moitié a eu 2 g d’acide eicosapentanoïque (AEP), l’un des deux types d’oméga-3. L’autre moitié a reçu un placebo.
 
Chez les patients ayant pris l’oméga, on a vu le nombre de polypes être réduit de 12 %, alors que chez ceux ayant eu un placebo, il a augmenté de 9,7 %. La taille des polypes a diminué de 12, 6 % chez le premier groupe, mais elle a augmenté de 17,2 % chez l’autre.
Ces premiers résultats sont plutôt encourageants, car ils évoquent la possibilité que ce type d’oméga-3 ait également des effets préventifs contre le cancer du côlon pour les personnes atteintes du PAF.
 
Au Canada, jusqu’à 6 % de la population est atteinte d’un cancer colorectal.
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Les fumeurs devraient se méfier des carottes

Alors qu’on connaît déjà les bienfaits des fruits et légumes et de l’activité physique sur la santé, une étude menée en Israël met en garde les fumeurs.

Selon le site TopSante, en plus des problèmes au niveau de la santé pulmonaire et le risque élevé d’apparition de différents cancers, voilà que la consommation de tabac annule les bienfaits des fruits et légumes sur la santé. Pire encore, elle renverse parfois ces bienfaits en problèmes.

Selon les chercheurs, la consommation de caroténoïdes diminue les risques de cancer du côlon chez les non-fumeurs, mais favoriserait l’apparition de ce cancer chez les fumeurs.

Pour l’étude, on a analysé la relation entre un apport alimentaire de caroténoïdes et le cancer colorectal chez les fumeurs. On a établi un lien clair entre le tabac et le risque élevé de cancer avec la consommation de carottes notamment.

Les chercheurs mentionnent que les fumeurs doivent être bien informés que le tabac réduit à néant les bienfaits des fruits et légumes sur la santé et qu’il transforme même les effets en véritables nuisances.

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Dépistage moins désagréable du cancer du colon

La méthode de détection par rayon X serait non seulement moins désagréable pour qui la subit, mais elle serait aussi efficace, plus rapide et moins dispendieuse que l’étude du colon par introduction d’une petite caméra.Le rayon X pourrait également servir à déterminer quels individus devraient subir l’examen complet de la coloscopie en raison de la gravité de leur état. Seulement 8 % des patients auraient à subir la méthode désagréable, ce qui signifie que cette dernière pourrait être épargnée à plus de 90 % des gens.Cependant, selon le docteur Perry Pickhardt, un des chercheurs de l’École médicale de l’Université du Wisconsin ayant participé à l’étude, l’inconvénient du rayon X serait la prise de puissants laxatifs pour les patients devant subir cet examen. Cela est désagréable, mais permettrait de voir des lésions qui autrement seraient non visibles.

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Les fruits et légumes ne préviennent pas le cancer du côlon

Selon de nombreuses études analysées par Anita Koushik, épidémiologiste à l’Université de Montréal, la consommation de fruits et légumes n’a pas d’incidence sur le cancer du côlon.

Ces études menées auprès de 756 000 patients ont été réalisées sur une période de 6 à 20 ans.

Malgré ces résultats, la chercheuse affirme que nous ne devons pas pour autant cesser de manger des fruits et légumes. D’autres études récentes montrent que les fruits et légumes préviennent un éventail de maladies chroniques, dont les maladies cardiovasculaires, ainsi que les cancers de la bouche, de l’oesophage, de l’estomac, du poumon de l’ovaire et du rein.

Le cancer du côlon se développe généralement à partir de la muqueuse du gros intestin. Il affecte surtout les personnes âgées de 50 ans et plus.