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Un antidiabétique contre le cancer du poumon

Le journal Cancer Prevention Research nous apprend que le médicament Metformine, habituellement utilisé pour traiter le diabète, serait également bénéfique pour réduire les risques de cancer du poumon.
 
C’est du moins les résultats qu’ont obtenus les chercheurs sur des souris et on espère pouvoir faire des tests cliniques sur des humains bientôt.
 
Les rongeurs ont reçu le médicament oralement ou par injection. Les risques de cancer du poumon étaient réduits de 40 à 50 % pour le premier groupe et de 72 % pour ceux ayant reçu une injection.
 
Les scientifiques croient que cet antidiabétique active une enzyme, produite par les molécules antimicrobiennes, qui neutralise une protéine favorisant la croissance et la survie des cellules cancéreuses.
 
« Bien que cesser de fumer est la chose la plus importante à faire pour les fumeurs, plus de la moitié des cas de cancer du poumon sont diagnostiqués chez d’anciens fumeurs, ce qui montre l’importance de développer des traitements préventifs efficaces », explique le Dr Philip Dennis qui a dirigé les travaux.
 
Rappelons que l’année dernière, des chercheurs avaient découvert que la Metformine stimulait le système immunitaire et augmentait l’efficacité des vaccins, des antiviraux et des traitements contre le cancer.
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Thérapie prometteuse contre le cancer du poumon

Lors de la rencontre annuelle de l’American Society of Clinical Oncilogy qui s’est tenue à Chicago, les chercheurs ont dévoilé une nouvelle thérapie qui semble fort prometteuse contre la forme la plus fréquente de cancer du poumon, avec un profil génétique particulier.
 
Il s’agit d’un traitement à base de la molécule Crizotinib qui a été élaborée par les laboratoires Pfizer. Cette thérapie cible l’enzyme ALK (Anaplastic Lymphoma Kinase) qui affecte la croissance des cellules cancéreuses.
 
Dans 5 % des cas de cancer du poumon, il se produit une sorte de fusion qui crée l’ALK et donc augmente la dangerosité du cancer. On tente donc de freiner l’action de cette enzyme dévastatrice.
 
Les premiers résultats cliniques qui ont été obtenus sur 82 patients sont forts encourageants avec des réponses positives au traitement de l’ordre de 90 %. De plus, 57 % des personnes malades ont vu leur tumeur régresser.
 
Des essais cliniques plus étendus ont été entrepris. Si tout va bien, on souhaite pouvoir mettre en marché la Crizotinib dès l’année prochaine.
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Le cancer du poumon serait aussi génétique

Les fumeurs n’ont pas tous les mêmes chances de développer un cancer du poumon, certains seraient plus prédisposés génétiquement.
 
Une équipe du Centre Anderson aux États-Unis a établi un lien possible entre un gène du chromosome 6 et le cancer du poumon.
 
Les personnes qui ont ce gène font face à un risque accru de cancer du poumon, et ce, même si elles ne fument qu’occasionnellement.
 
Les personnes qui n’ont pas ce risque génétique ont seulement des chances de développer un cancer du poumon avec le tabagisme. Celles qui ont le gène ont des risques plus élevés, peu importe la quantité de cigarettes fumées chaque jour.
 
Même chez les non-fumeurs, cette prédisposition génétique augmente les risques de cancer du poumon. Malheureusement, aucun test actuel ne permet d’évaluer les risques chez les individus.
 
Comme il a maintes fois été mentionné, le tabagisme est également lié à plusieurs autres cancers, donc il est toujours préférable de s’abstenir de fumer.
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Même après un diagnostic de cancer du poumon il est bon d’écraser

Si vous croyez que cesser de fumer ne changerait rien après avoir reçu un diagnostic de cancer du poumon, détrompez-vous. Si vous écrasez, vos chances de survie seraient grandement améliorées.

Selon le British Medical Journal, cesser de fumer après avoir reçu un diagnostic de cancer du poumon à un stade précoce permet, cinq ans plus tard, des chances de survie de 63 à 70 % comparativement à ceux qui fument toujours avec des chances de 29 à 33 %.

Ce sont les conclusions que tirent la Dre Amanda Parsons et ses collègues de l’université de Birmingham, en Angleterre, après avoir analysé dix études.

Nous savions que les fumeurs avaient 20 fois plus de risques de développer un cancer du poumon que les non-fumeurs, mais c’est la première fois qu’on établit qu’il est aussi bénéfique de se défaire de cette habitude, même après avoir reçu un diagnostic de cancer.

Pour les chercheurs, il est donc important de traiter le cancer, mais également d’aider les personnes à arrêter de fumer pour de bon.

Au Canada, on estime que 23 400 personnes auront reçu un diagnostic de cancer du poumon en 2009 et que 20 500 ne s’en sortiront pas vivantes.

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Le thé vert contre le cancer du poumon

Une étude de la Chung Shan Medical University de Taiwan révèle que boire du thé vert diminue grandement les risques de développer le cancer du poumon.

Ceci en raison notamment des polyphénols qu’il contient, qui sont de puissants antioxydants reconnus depuis déjà un bon moment pour leur efficacité contre divers cancers.

Pour la recherche, on a examiné les habitudes de 170 participants ayant un cancer du poumon et 340 personnes en bonne santé. Ils ont dû répondre à un questionnaire sur leur consommation de tabac, de thé vert, de fruits et légumes, en plus de donner l’historique familial en ce qui concerne les cancers du poumon.

Tous patients confondus, ceux qui ne prenaient pas de thé vert avaient cinq fois plus de chances de développer le cancer du poumon comparativement aux personnes qui en consommaient au moins une tasse par jour. Chez les fumeurs, ce risque grimpait à douze fois plus de risques d’être atteint de cette maladie éventuellement.

On constate donc que la formation de cellules cancéreuses est diminuée avec une consommation régulière de thé vert.

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Nouvel espoir contre le cancer du poumon

Le magazine Nature rapporte que des oncologues américains ont réussi des tests avec des molécules pour combattre le cancer du poumon chez des souris.

Le Dr Pasi Janne et son équipe de l’Institut Dana Farber ont précisé que ces molécules, des inhibiteurs d’enzymes intracellulaires associés à la prolifération des cellules, ont réellement diminué la croissance des tumeurs chez les souris.

Jusqu’à présent, les médicaments arrivaient à arrêter le facteur de croissance des tumeurs, mais dans le cas d’une mutation ou d’une résistance, ils n’étaient plus efficaces. C’est donc ce qui changerait avec la nouvelle découverte des molécules. Elles s’attaquent aux mutations et arrêtent sélectivement le facteur de croissance.

On a testé les molécules sur différents cancers, comme le carcinome à grandes cellules, l’adénocarcinome et le carcinome épidermoïde, ce qui représente environ 75 % des cancers bronchiques. La plupart ont ces facteurs de croissance des tumeurs qui offrent une résistance aux médicaments actuels.

On espère maintenant que les résultats obtenus sur les souris seront aussi bons sur les humains et que ce traitement sera mieux toléré chez les patients.

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Les pistaches contre le cancer du poumon

Lors d’une conférence de l’American Association for Cancer Research Frontiers, on a déclaré que les pistaches réduisaient les risques de cancer du poumon et même de certains autres cancers.

Les chercheurs affirment de 55 grammes de pistaches par jour diminuent les risques de cancers, sans toutefois changer le poids corporel.

C’est que les pistaches contiennent du gamma-tocophérol, une sorte de vitamine E qui a des effets protecteurs contre divers cancers.

Les noix, les noix de pécan, les germes de soja et l’huile de blé contiennent ce même élément protecteur, selon les chercheurs de la Texas Woman’s University.

Pour l’étude, on a divisé 36 volontaires en deux groupes. Au premier, on a donné 68 grammes de pistaches pendant un mois et demi et l’autre groupe n’a eu aucun changement alimentaire. Après trois semaines, on a constaté un apport énergétique important chez les personnes qui mangeaient des pistaches, ce qui était donc très bénéfique pour leur santé.

Bien entendu, lorsqu’on consomme des pistaches ou d’autres types de noix et arachides, il est préférable de les choisir non salées.

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La première cigarette de la journée est la plus nocive

Le magazine Cancer Epidemiology, Biomarkers and Prevention rapporte que des scientifiques de l’université de Pennsylvanie ont découvert que c’est la première cigarette de la journée qui serait la plus dangereuse.

En fait, plus la première cigarette est fumée tôt après le réveil, plus les risques de développer un cancer du poumon augmenteraient.

Ceci est causé par le taux de cotinine dans le sang, un dérivé de la nicotine qui est fabriqué par l’organisme et qui augmente les risques de développer un cancer.

L’étude a porté sur 250 fumeurs. On a analysé leur comportement et calculé leur taux de cotinine dans le sang par prélèvement urinaire.

Ainsi, si vous fumez votre première cigarette 5 minutes après votre réveil, le taux de cotinine est de 437 nanogrammes/ml. De 6 à 30 minutes plus tard, il passe à 352 nanogrammes, de 31 à 60 minutes, il descend à 229 nanogrammes et finalement, ceux qui fument leur première cigarette plus d’une heure après leur réveil ont un taux de cotinine qui glisse à 215 nanogrammes/ml.

Ce taux de cotinine serait le premier facteur de cancer du poumon, plus que le nombre de cigarettes consommées dans la journée selon les scientifiques.

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Dépistage du cancer par une prise de sang

La société de recherche et développement en sciences physiques et naturelles Gendis vient de mettre au point une nouvelle méthode de détection du cancer à des stades précoces.

Les cancers du sein et du poumon pourraient maintenant être diagnostiqués grâce à un échantillon sanguin. Ce sont les résultats qui ont été présentés lors de la Journée internationale de biologie qui se tenait hier (3 novembre) à Paris.

Selon les premiers résultats obtenus, 87 % des cancers du poumon pourraient être détectés par le sang à un stade encore opérable. Pour le cancer du sein, cela serait de l’ordre de 95 %.

Avec l’appui de l’Institut national du cancer de France, certains centres auront accès, en début d’année, à ces tests. Ceci pourra aider à diagnostiquer le cancer du sein chez les patientes ayant un risque génétique ou familial.

Il s’agit d’une nouvelle perspective fort prometteuse dans la lutte contre la maladie, puisqu’on sait déjà que plus les cancers sont diagnostiqués tôt, plus les chances de guérison sont grandes.

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L’hormonothérapie et le cancer du poumon

Des recherches ont mené à une découverte troublante à propos des thérapies hormonales pour traiter les symptômes de la ménopause, rapporte MSNBC.

Il semblerait que le cancer du poumon serait plus sujet à conduire à la mort pour les femmes qui prennent des comprimés d’œstrogène-progestérone.

Les consommatrices d’hormones qui développent un cancer du poumon ont deux fois plus de chance d’en décéder que celles qui n’en consomment pas, selon des résultats dévoilés samedi dernier (30 mai).

Le Dr Rowan Chlebowski, du centre médical Harbor-UCLA de Los Angeles, mentionne que ces résultats signifient que les fumeuses ne devraient pas prendre d’hormones et que celles qui n’ont pas commencé à en prendre devraient y penser à deux fois avant de le faire.