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Les bouffées de chaleur protègeraient du cancer du sein

Une étude américaine effectuée sur 1 437 femmes au Centre anticancer Fred Hutchinson révèle que les bouffées de chaleur qui surviennent à la ménopause pourraient protéger les femmes contre le cancer du sein.
 
En effet, les recherches démontrent que les femmes qui en souffrent ont moins de risques de développer la maladie.
 
De plus, les chercheurs ont remarqué que la protection contre le cancer du sein était plus forte lorsque les bouffées de chaleur étaient régulières et intenses.
 
Le taux d’œstrogène et de progestérone joue des rôles clés dans l’apparition du cancer. À la ménopause, ces hormones diminuent chez toutes les femmes. Toutefois, les scientifiques croient que l’œstrogène et la progestérone chutent beaucoup plus rapidement chez les femmes qui ont de fortes bouffées de chaleur.
 
Donc mesdames, vous qui ne savez plus comment remédier à ce phénomène et qui ouvrez la porte de votre maison en hiver pour vous rafraîchir, sachez que ce désagrément aurait finalement de bons côtés non négligeables.
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Christina Applegate comblée par la maternité

Depuis la naissance de sa fille, Sadie Grace LeNoble, le 27 janvier dernier, Christina Applegate vit des moments d’intense bonheur, selon People.

Rappelons que l’actrice de 39 ans a traversé de dures épreuves ces dernières années, ayant subi une double mastectomie après avoir reçu un diagnostic de cancer du sein en 2008.

Applegate a donc ressenti une profonde émotion en serrant son petit bébé contre sa poitrine, une partie de son corps avec laquelle elle n’est pourtant plus à l’aise depuis son cancer.

Le père de son enfant est le musicien Martyn LeNoble, qui est aussi son fiancé. Il a su accompagner sa conjointe durant l’accouchement qui a nécessité 18 heures de travail.

Malgré son épidurale, la nouvelle maman dit avoir vécu beaucoup de souffrance : « C’était une douleur très profonde. » Elle a aussi mentionné qu’elle avait un plan quant à cette mise au monde, mais qu’il est ridicule de penser en avoir un lorsqu’on donne la vie.

Une fois sa petite Sadie née, Christina a connu une immense joie : « C’est la plus belle chose qui ne me soit jamais arrivée. »

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Le vin rouge améliore l’efficacité des traitements contre le cancer du sein

Alors que de récentes études disaient que le vin rouge pouvait aider à protéger contre le cancer du sein, des chercheurs ont maintenant découvert qu’il pouvait également améliorer l’efficacité des traitements contre la maladie.
 
Habituellement, on utilise la rapamycine pour combattre le cancer du sein. Malheureusement, au bout d’un moment, les cellules cancéreuses deviennent résistantes au traitement.
 
Selon le Cancer Letters, des chercheurs ont mené des tests en laboratoire et ont constaté que le resvératrol, un composé naturel du vin rouge, freinait la croissance des cellules cancéreuses devenues résistantes, permettant ainsi au traitement d’augmenter son efficacité.
 
Des tests cliniques seront bientôt réalisés et si les résultats se confirment, cela pourrait venir en aide à des milliers de femmes chaque année.
 
Le resvératrol est un puissant antioxydant produit par exemple par les raisins, les framboises et les canneberges. Il aide également à combattre les infections fongiques et bactériennes. De plus, comme tout antioxydant, il a des propriétés contre le vieillissement.
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Découverte dans la recherche sur le cancer du sein

Les femmes ayant un cancer du sein à un niveau précoce n’ont pas besoin qu’on leur retire les ganglions lymphatiques sous les aisselles. Cette avancée permettra d’éviter la douleur ainsi que de nombreux effets secondaires à des dizaines de milliers de femmes chaque année.
 
L’étude publiée dans le Journal of the American Medical Association a été faite sur 850 femmes avec un cancer invasif. On leur a enlevé la tumeur, en plus de les soumettre à des traitements de radiothérapie et chimiothérapie.
 
On a découvert que les femmes à qui l’on avait seulement retiré les ganglions sentinelles, le premier point de relais de la propagation du cancer, avaient vécu un peu plus longtemps que celles à qui l’on avait enlevé les ganglions lymphatiques. Retirer ces derniers ganglions ne serait pas nécessaire, car la radiothérapie et la chimiothérapie s’y attaquent de toute manière.
 
Lorsque l’on retire les ganglions lymphatiques sous les aisselles, il y a des risques de complications, comme des infections chroniques, de la douleur et une enflure du bras.
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L’activité physique diminue les risques de cancer du sein et du côlon

Il existe maintenant une preuve que l’activité physique, à raison de deux heures et demie par semaine, aide à prévenir l’apparition du cancer du sein et du côlon. Pour le moment, les données pour les autres cancers ne sont pas disponibles, mais les experts croient que les résultats seront similaires.
 
L’étude de l’Organisation mondiale de la santé mentionne que près du quart des cancers du sein et du côlon pourraient être évités si les personnes bougeaient au moins 150 minutes par semaine. Une marche de 30 minutes, cinq fois par semaine, est suffisante, pas besoin de pratiquer des activités très intenses.
 
Avec le tabac, le diabète et l’hypertension artérielle, le manque d’activité physique est l’un des principaux facteurs de risque pour les décès dans le monde. Ces facteurs sont à la base de plus de trois millions de morts chaque année.
 
On estime que 31 % de la population mondiale demeure encore inactive, même si cela représente des risques importants pour la santé.
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Le soya pour prévenir certains cancers

Le Daily Mail rapporte deux études distinctes qui démontrent les bienfaits des fèves de soya pour la santé.
 
Une première, de la Northwestern University à Chicago, révèle qu’une pilule de génistéine, une isoflavone chimique contenue naturellement dans le soya, ralentirait et même freinerait la propagation du cancer de la prostate.
 
C’est la conclusion à laquelle les chercheurs parviennent après une étude sur 38 hommes. Cela pourrait donc représenter un tout nouveau traitement naturel.
 
La deuxième étude, cette fois de l’Université Buffalo à New York, a évalué 1 300 femmes et conclut que l’isoflavone du soya réduirait le risque de développer un cancer du sein.
 
Les femmes qui avaient un plus grand apport d’isoflavones diminuaient de 30 % les risques de tumeurs invasives et de 60 % les risques de tumeurs non invasives.
 
Toutefois, des études approfondies sont nécessaires afin de confirmer ces premiers résultats et penser à créer un nouveau traitement.
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Soulever des poids est bénéfique après un cancer du sein

Une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association révèle que les femmes traitées pour un cancer du sein ont moins de risques d’avoir un lymphoedème au bras si elle soulève des haltères progressivement.
 
Un lymphoedème est provoqué par l’accumulation de lymphe dans le bras. C’est une maladie chronique qui cause une enflure soit aux jambes ou aux bras chez les personnes traitées pour un cancer. Souvent, cela commence lorsque, par chirurgie ou par la radiothérapie, les ganglions lymphatiques sont éliminés.
 
Jusqu’à présent, on demandait aux femmes ayant eu un cancer du sein de ne pas soulever de charges de plus de 5 livres pour éviter d’avoir un lymphoedème. Toutefois, des chercheurs de Philadelphie ont découvert que c’était plutôt le contraire qui se produisait. Les femmes qui soulevaient des poids progressivement avaient moins de risques de développer la maladie.
 
154 femmes ont participé à cette recherche. Au début, elles soulevaient 2 livres et ont augmenté progressivement. Elles portaient toutes un vêtement de compression au bras durant les exercices.
 
Chez celles qui ne s’entraînaient pas avec des haltères, 17 % ont eu un lymphoedème, contre 11 % chez celles qui soulevaient des poids. De plus, pour les femmes qui avaient eu une ablation de plus de cinq ganglions, celles qui soulevaient des poids ont été seulement 7 % à développer la maladie, contre 22 % pour les autres.
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Une combinaison de médicaments pour mieux traiter le cancer du sein

Pour la toute première fois, des chercheurs ont testé l’efficacité de l’herceptine combinée avec le Tykerb au premier stade d’un cancer du sein.
 
L’équipe du Dr Jose Baselga, du Massachusetts General Hospital Cancer Center, a découvert que la combinaison des deux médicaments améliorait les chances de guérison des femmes atteintes par la maladie. Deux fois plus de femmes ont vu leur tumeur régresser.
 
455 femmes ont participé à l’étude. Elles ont reçu soit un des deux médicaments ou les deux. Elles ont aussi été traitées avec de la chimiothérapie et du Paclitaxel.
 
50 % de celles qui avaient eu l’herceptine et le Tykerb combinés ne montraient pas de signe de propagation du cancer lors de la chirurgie pour retirer la tumeur, alors que 25 à 30 % de celles qui n’avaient reçu qu’un des deux médicaments ne montraient aucun signe de progression.
 
Par contre, le Tykerb provoque de la diarrhée et, surtout, la combinaison des deux médicaments coûte 6 000 $, soit deux milles de plus qu’avec l’herceptine. Aussi, ce ne sont pas toutes les provinces canadiennes qui en assument les frais.
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Un lien inquiétant entre la grossesse et le cancer du sein

Des spécialistes se sont réunis cette semaine à Strasbourg dans le cadre des 32es Journées de la Société française de Sénologie et de Pathologie mammaire (SFSPM).

Selon eux, 0,1 % des femmes sont touchées par le cancer du sein durant une grossesse. Plusieurs raisons pourraient être en cause.

Par exemple, le nombre de grossesses tardives est continuellement en hausse. Même si l’âge de conception du premier enfant a baissé, il demeure que les femmes peuvent être enceintes de plus en plus tard.

Ainsi, cela pourrait être une piste, car nous savons déjà qu’une femme est plus à risque de cancer du sein lorsqu’elle avance en âge.

Bien que pour l’instant, les spécialistes en soient à discuter d’une corrélation, ils proposent certaines solutions. Par exemple, ils suggèrent qu’un centre de référence soit créé pour appuyer les médecins et les futures mamans.

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Le thé vert ne protège pas contre le cancer du sein

Reconnu pour ses propriétés antioxydantes, on racontait que le thé vert offrait une certaine protection contre le cancer du sein. Des chercheurs en étaient arrivés à ces conclusions après avoir effectué des tests in vitro et sur des animaux.
 
Selon une vaste étude japonaise, les résultats obtenus sur des humains ne sont toutefois pas concluants jusqu’à maintenant.
 
Selon la revue Breast Cancer Resaearch, l’équipe du Dr Motoki Iwasaki, du Centre national du cancer à Tokyo, a analysé les données recueillies auprès de 54 000 femmes concernant leurs habitudes de consommation du thé vert. 12 % consommaient moins d’une tasse par semaine, alors que 27 % prenaient cinq tasses ou plus par jour.
 
Durant l’étude, on a diagnostiqué 581 cas de cancer du sein. On observe qu’il n’y a pas de différence entre les femmes qui buvaient le plus ou le moins de thé vert. Les risques de maladie demeurent les mêmes pour toutes les femmes et ne sont aucunement réduits avec la consommation de thé vert.