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La thérapie hormonale augmente les risques

La thérapie hormonale proposée aux femmes en ménopause double les risques de cancer du sein et de décès des suites de cette maladie, rapporte le Journal of the American Medical Association.
 
Des chercheurs américains ont analysé les résultats cliniques de 16 608 femmes âgées de 50 à 79 ans. Certaines d’entre elles avaient été traitées avec une combinaison d’œstrogène et de progestatif pendant six ans. Aucune femme n’avait eu d’hystérectomie.
 
Les femmes ayant reçu la thérapie hormonale ont eu deux fois plus de risques (2,6 pour 1 000) d’avoir un cancer du sein que celles ayant pris un placebo (1,3 pour 1 000).
 
De plus, 24 % de celles qui avaient suivi la thérapie ont vu leur tumeur se propager à leurs nodules lymphatiques, alors qu’elles n’étaient que 16 % chez celles ayant pris le placebo.
 
Les risques de décès d’un cancer du sein étaient également plus grands avec la thérapie hormonale.
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Le nouveau moyen pour réduire les récidives de cancer du sein

Une nouvelle étude publiée dans l’International Journal of Clinical Practice démontre que les femmes atteintes d’un cancer du sein invasif réduisent leurs chances de récidive si elles permettent au chirurgien d’enlever une petite quantité de tissus sains autour de la tumeur.
 
Comme une chirurgie aux seins est pénible pour les femmes, les médecins tentent de préserver le plus possible les tissus sains pour des questions esthétiques. Ces nouveaux résultats incitent toutefois à revoir la méthode.
 
Si on enlève au moins 2 mm de cellules normales autour de la tumeur, les risques de récidive de la maladie chuteraient de 90 %. Le Good Hope Hospital de Sutton Coldfield à Birmingham a effectivement constaté ces résultats avec cette nouvelle méthode. Les récidives de cancer du sein pour les femmes ayant eu un cancer invasif ont drastiquement chuté.
 
En enlevant au moins 2 mm de tissus, les femmes n’ont que 2,4 % de chances que la maladie réapparaisse, contre 35 % si on leur enlève 1 mm.
 
Par contre, cette méthode n’aurait aucun influence pour les cancers non-invasifs.
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Risques de cancer pour toute la famille

Une récente étude scientifique vient de faire un lien important entre le cancer du sein d’une femme et les risques de maladie de sa famille.

On peut lire dans le Bristish Journal of Cancer le constat d’une recherche portant sur les femmes âgées de moins de 35 ans.

Ce type de cancer demeure rare pour ce groupe d’âge, car 1 femme sur 40 sera diagnostiquée seulement. Malgré tout, la famille entière de la jeune femme atteinte pourrait en être touchée.

Ainsi, ses frères et son père auraient cinq fois plus de risque d’être atteints d’un cancer de la prostate. Ses soeurs, quant à elles, verraient leur probabilité de cancer du sein augmentée de quatre fois et seraient deux fois plus exposées à développer un cancer des ovaires.

Les recherches devront donc se poursuivre sur cette voie. En attendant de nouvelles percées, les chercheurs conseillent aux jeunes femmes concernées et à leurs proches de faire preuve d’une grande vigilance.

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L’allaitement est sans danger après un cancer du sein

Le sujet avait déjà été abordé dans le cadre de précédentes études, mais c’est maintenant confirmé. Selon France-Soir, allaiter après avoir eu un cancer du sein ne comporte aucun danger.

Le docteur Azim, qui a dirigé cette recherche, a par ailleurs démontré que l’allaitement ne pourrait pas non plus provoquer une rechute de la maladie.

Il a présenté les résultats de son travail au 35e Congrès de cancérologie, en Italie. Pour obtenir ceux-ci, il a suivi pendant 4 ans 20 jeunes mères qui avaient accouché après avoir contracté un cancer du sein.

La moitié a allaité par choix et l’autre ne l’a pas fait, sur avis médical. Dans chacun des groupes de 10 femmes, il y a eu 1 cas de rechute.

Finalement, le docteur Azim a constaté que trop de médecins recommandent encore à des femmes de ne pas allaiter après avoir eu un cancer du sein, et ce, sans qu’il y ait eu suffisamment d’études sur le sujet.

D’après lui, seules la faible production de lait, qui est liée à certaines radiothérapies, et la difficulté pour un poupon de téter un mamelon cicatrisé constitueraient les raisons encore valables de renoncer à l’allaitement.

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Pouvoir prédire les récidives de cancer du sein

Le journal Genes Chromosomes and Cancer rapporte qu’une équipe de l’Inserm et de l’Institut Curie a découvert une signature d’ADN qui pourrait prédire si une femme est à risque de développer de nouveau un cancer du sein.
 
Cette découverte permettrait éventuellement de prescrire une chimiothérapie spécifique des femmes avec un haut risque de métastases.
 
Les résultats doivent encore être confirmés toutefois.
 
Les chercheurs auraient découvert des modifications de l’ADN sur trois régions des chromosomes de 168 patients avec un cancer du sein. À long terme, cela permettrait de découvrir si les femmes en sont porteuses.
 
« Avec cette signature, nous devrions être à même de mieux annoncer le risque de survenue de métastases chez les femmes ne présentant aucun signe avant-coureur d’un risque de dissémination », expliquent les auteurs.
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Le cancer du sein relié à la pollution automobile

La pollution automobile augmenterait les risques d’un diagnostic de cancer du sein, selon une étude commune des chercheurs des Universités McGill et de Montréal.
 
L’étude, publiée dans le journal Environmental Health Perspectives, démontre que les femmes qui résident en ville, où la circulation automobile est plus intense, ont plus de risques de développer la maladie.
 
Pour parvenir à ces résultats, les chercheurs ont utilisé des cartes de la pollution atmosphérique de Montréal émises en 1986 et en 1996 et les ont comparées aux lieux de résidence des femmes qui ont reçu un diagnostic de cancer du sein et qui ont participé à l’étude entre 1996 et 1997. L’incidence de cancer était nettement supérieure chez les femmes vivant dans les zones les plus polluées.
 
« Nous constatons, depuis quelque temps, que les taux de cancer du sein augmentent. Personne ne sait véritablement pourquoi et seulement un tiers des cas sont associés à des facteurs de risque connus », mentionne le Dr Mark Golberg du CUSM.
 
Toutefois, le Dr Golberg rappelle que ces résultats doivent être considérés avec précaution. L’étude ne dit pas que le dioxyde d’azote produit par les voitures cause le cancer, mais il peut en augmenter les risques.
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Un régime strict deux fois par semaine diminue les risques de cancer du sein

Des chercheurs britanniques affirment que les femmes qui suivent un régime faible en calories deux jours par semaine divisent en deux l’hormone qui cause le cancer du sein.
 
Après avoir examiné 100 femmes en surpoids, les chercheurs ont demandé à la moitié d’entre elles de ne manger que 650 calories deux jours par semaine. Le reste de la semaine, elles pouvaient manger ce qu’elles voulaient. L’autre moitié des femmes a adopté le régime méditerranéen.
 
Chez les deux groupes, les risques de cancer du sein ont été grandement diminués après six mois. Celles qui avaient le régime strict deux fois par semaine ont vu la leptine, une hormone à l’origine du cancer, être diminuée de 40 %. Pour les femmes ayant suivi le régime méditerranéen, ce taux de leptine était à la baisse de 36 %.
 
De plus, chez les deux groupes, le taux d’insuline était réduit jusqu’à 25 % et les protéines inflammatoires jusqu’à 15 %, mentionne l’International Journal of Obesity.
Cette méthode pourrait être une option pour celles qui ne souhaitent pas suivre un régime 7 jours par semaine. En plus de réduire les risques de cancer, cela les aiderait à perdre du poids.
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Le lien entre l’hormonothérapie et le cancer du sein semble se confirmer

Le Journal of the National Cancer Institute révèle une nouvelle étude canadienne qui établit également un lien entre l’hormonothérapie et un risque accru de cancer du sein.
 
L’hormonothérapie est prescrite habituellement aux femmes en ménopause pour soulager certains symptômes. Depuis 2002, alors qu’une étude américaine mettait à jour le lien avec l’incidence du cancer du sein, cette thérapie est pointée du doigt.
 
D’autres études avaient aussi confirmé ce lien par la suite, en y ajoutant des nuances. Par exemple, plus on a recours à l’hormonothérapie longtemps, plus les chances d’avoir un cancer du sein sont augmentées.
 
La nouvelle étude s’est penchée sur des données recueillies entre 2002 et 2004. L’incidence du cancer du sein au Canada avait diminué de 10 % chez les femmes de 50 à 69 ans, au même moment où le recours à l’hormonothérapie chutait de 50 %.
 
Les chercheurs ne veulent pas semer la panique et recommandent plutôt aux femmes d’en parler avec leur médecin. Ils souhaitent seulement bien les informer. Après tout, la ménopause ne dure pas toute la vie. Aussi, les experts disent que cela augmente les risques et non que l’hormonothérapie donne le cancer.
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Manger du cresson quotidiennement aide à prévenir le cancer du sein

Manger du cresson tous les jours pourrait aider à prévenir le cancer du sein, rapporte le Daily Mail.
 
Identifié comme un super aliment, le cresson « désactiverait » le signal du corps qui contribue à alimenter la tumeur en sang et en oxygène, deux éléments essentiels à sa croissance.
 
Selon les experts de l’Université de Southampton, le composé du cresson, le phényléthyle isothiocyanate (PEITC), qui donne son goût poivré à la feuille de salade, interfère avec la fonction de la protéine qui joue un rôle essentiel dans le développement du cancer.
 
Des volontaires ont mangé 80 grammes de cresson tous les jours, soit l’équivalent d’un bol de céréales. On a constaté que le cresson était effectivement un allié efficace contre la croissance du cancer du sein.
 
Le cresson est l’aliment le plus riche en PEITC. C’est le composé qui freine le plus les tumeurs.
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Les risques de cancer du sein diminués avec la vitamine D

Le journal Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention rapporte qu’une forte présence de vitamine D dans le sang réduirait les risques de développer un cancer du sein de 25 %.
 
C’est ce qu’a découvert une équipe de l’Inserm, en France, lors d’une enquête épidémiologique effectuée auprès de 100 000 femmes nées entre 1925 et 1950 qui ont été suivies depuis 1990. Elles devaient transmettre leur mode de vie et leur bilan de santé tous les deux ans.
 
Bien que ces premiers résultats soient encourageants, on doit maintenant non seulement les confirmer par de nouvelles études, mais surtout déterminer la dose exacte qui aura le plus de bénéfices contre le cancer du sein.
 
La vitamine D se retrouve dans certains poissons gras, les œufs et certaines viandes, mais c’est surtout le soleil qui en est la principale source.