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Cancer du sein : Une nouvelle radiothérapie efficace

À Milan, l’Institut européen d’oncologie a utilisé pour la première fois une nouvelle sorte de radiothérapie pour traiter les cancers du sein. Cette nouvelle technologie s’avère être plus précise et préserve les tissus sains entourant la tumeur.
 
Nommé le AssuBoost, cette nouvelle technique tue les cellules cancéreuses grâce à une source de radiation à l’intérieur ou à proximité de la tumeur, ne touchant donc pas les tissus et organes avoisinants.
 
C’est la compagnie Nucletron et Art qui est derrière cette création. L’AssuBoost jumelle le guidage de l’image mammographique en temps réel et l’usage de la curiethérapie. Cette dernière est une radiothérapie ultra précise qui permet d’utiliser de fortes doses dans des zones restreintes, ainsi les tissus et organes sains ne sont pas endommagés.
 
L’autre gros avantage de cette nouvelle forme de radiothérapie est que les traitements seront plus courts qu’avec la technique utilisée aujourd’hui.
 
Par contre, on ignore quand cette nouvelle technologie sera proposée à grande échelle.
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L’aspirine réduit les risques de décès reliés au cancer du sein

Les femmes qui prennent régulièrement de l’aspirine auraient 50 % moins de risques de mourir du cancer du sein et 50 % moins de chances de voir la maladie se propager.
 
Selon le Daily Mail Online, une étude faite sur plus de 4 000 infirmières ayant pris de l’aspirine démontrerait clairement ces résultats augmentant les chances de survie des femmes ayant été traitées pour un cancer du sein à un stade précoce.
 
On mentionne que la prise d’aspirine de deux à cinq jours par semaine aurait ces effets. Par contre, on souhaite plutôt approfondir les recherches avant d’en tirer des conclusions définitives. Si le tout se confirme, cela pourrait devenir une alternative simple, peu coûteuse et relativement sûre pour aider les femmes.
 
Toutefois, on rappelle que la prise régulière d’aspirine devrait toujours être supervisée par un médecin. Certaines personnes en prennent sous la recommandation de leur spécialiste de la santé pour prévenir les maladies cardiovasculaires.
 
Il est à noter que l’aspirine ne doit pas être prise durant des traitements de radiothérapie et de chimiothérapie en raison des effets secondaires encourus.
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Antidépresseurs et cancer du sein ne font pas bon ménage

La Dre Catherine Kelly et son équipe, de l’Institute of Clinical Evaluative Sciences en Ontario, ont analysé les dossiers médicaux de 2 430 femmes âgées de 66 à 75 ans ayant pris du tamoxifène entre 1993 et 2005.
 
Ce médicament sert de traitement préventif et augmente les chances de survie pour les femmes en rémission d’un cancer du sein.
 
Par contre, 30 % de ces femmes ont aussi été traitées avec des antidépresseurs à base de paroxétrine. Ce dernier traite non seulement les dépressions et l’anxiété, mais diminue également les bouffées de chaleur dues à la ménopause.
 
Selon le Bristish Medical Journal, les chercheurs ont constaté avec grande surprise que la paroxétrine annulait les effets du tamoxifène, ce qui diminue grandement les chances de survie au cancer du sein. Les antidépresseurs n’ayant pas ce composé n’avaient pas d’effet sur le tamoxifène.
 
Ainsi, les patientes prenant les deux médicaments ne sont pas protégées et ont de grandes chances de succomber à la maladie, alors qu’elles auraient pu survivre si elles avaient eu la prescription d’un antidépresseur sans paroxétrine.
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Les Ontariennes pourront avoir une combinaison de médicaments pour leur cancer

Le Globe and Mail rapporte que grâce au combat de Deborah Warkus, 50 ans, les femmes comme elle, atteintes d’un cancer du sein métastatique, pourront obtenir gratuitement la capécitabine qui doit être prise en combinaison avec le lapatinib pour tenter de freiner la croissance des cellules cancéreuses.
 
Mme Warkus se voit ainsi octroyer son dernier espoir de pouvoir prolonger sa vie, car dans son cas, la maladie a continué de progresser malgré la chimiothérapie.
 
Elle a attendu pendant des mois, confrontée à une lourde bureaucratie, alors qu’elle faisait face à ses possibles derniers mois de vie. Grâce à elle, le gouvernement ontarien a décidé que plus aucune femme dans la même situation ne se verra refuser la combinaison de ces deux médicaments comme dernier espoir de vaincre cette terrible maladie.
 
L’Ontario a donc décidé de financer toutes les patientes qui, comme Mme Warkus, voient la combinaison de la capécitabine et du lapatinib être leur dernière option. Le lourd combat de Mme Warjus aura ainsi aidé des dizaines d’autres femmes dans le processus.
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La grenade contre le cancer du sein

Selon le Journal de l’Association américaine pour la recherche contre le cancer, des chercheurs américains ont découvert des propriétés anticancer à la grenade (ou pomme grenade).

La grenade est extrêmement riche en antioxydants et contient des tanins qui agissent comme effets préventifs du cancer du sein. En fait, les tanins freinent la production d’œstrogènes qui nourrissent habituellement les cellules cancéreuses.

Malheureusement, la consommation quotidienne de grenade sous forme de fruit ou de jus n’est pas suffisante pour avoir un effet réel contre le cancer. Pour cette raison, les chercheurs souhaitent plutôt approfondir leurs recherches sur les ingrédients de ce fruit afin de pouvoir éventuellement développer des médicaments efficaces contre la maladie.

La grenade est non seulement riche en tanins, mais également en flavonoïdes, en acide éllagique, en acides gras, en vitamines et en oligoéléments. Elle est donc un fruit très efficace contre le vieillissement; pas étonnant qu’elle soit non seulement utilisée en cuisine, mais aussi dans l’industrie des produits cosmétiques.

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Consommation d’alcool limitée après un cancer

Lors d’une rencontre de l’American Association for Cancer Research, la Dre Marilyn Kwan et ses collègues du Kaiser Permanent Division of Research ont démontré que les femmes devraient limiter leur consommation d’alcool après avoir vécu un cancer du sein.

L’étude en question a analysé les cas de 1 900 patientes pendant huit ans et a établi un lien entre la consommation d’alcool, même modérée, et les risques de récidives du cancer du sein.

Les femmes survivantes de la maladie ne devraient pas boire plus de trois verres d’alcool par semaine sinon elles augmentent les risques de voir réapparaître la maladie de 30 %. Ceci peu importe le type d’alcool ingurgité.

Cette découverte d’un lien clair entre l’alcool et la mortalité permettra aux femmes de prendre de meilleures décisions pour leur vie après le cancer.

Le cancer du sein est le plus répandu au pays. Seulement cette année, 22 700 femmes recevront un diagnostic de cancer du sein et 5 400 en mourront.

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Le poivre et le curcuma pour traiter le cancer du sein

Le site TopSanté rapporte que le poivre noir et le curcuma seraient prometteurs pour traiter le cancer du sein.

Des chercheurs de l’Université du Michigan, aux États-Unis, viennent de découvrir que le poivre noir et le curcuma, étudiés depuis longtemps comme traitement potentiel au cancer, ciblent les cellules souches cancéreuses, empêchant ainsi le cancer du sein de se développer.

La curcumine que l’on retrouve dans le curcuma et la pipérine qui est présente dans le poivre noir ont été ajoutées à une culture de cellules. On a constaté que les cellules souches diminuaient, alors que les cellules normales demeuraient intactes.

Les récidives de cancer du sein sont possibles parce que la chimiothérapie ne détruit pas les cellules souches. De plus, les femmes ont le choix entre deux médicaments qui représentent un taux élevé de toxicité pour traiter leur cancer, soit le tamoxifène et le raloxifène. Comme le poivre et le curcuma sont très peu toxiques, cette alternative serait fort intéressante.

La pipérine renforce les effets de la curcumine et les deux éléments freinent le renouvellement des cellules souches cancéreuses. Comme ces deux éléments étant encore à l’étude, on mentionne qu’il ne faut pas ajouter plus de poivre et de curcuma à son alimentation.

Le poivre était déjà reconnu notamment pour ses propriétés anti-inflammatoires et pour améliorer la digestion, alors que le curcuma est reconnu pour aider les problèmes gastro-intestinaux, l’arthrite et il possède des propriétés antioxydantes.

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Le soya préviendrait les récidives de cancer du sein

Alors qu’il y a quelques jours on mentionnait que les aliments à base de soya prévenaient le cancer des ovaires et de l’endomètre, voici maintenant qu’on apprend qu’il serait également bénéfique contre le cancer du sein.

Depuis quelques années, on affirmait pourtant que le soya augmentait les risques de récidive de cancer du sein à cause des isoflavones qu’il contient et qui favoriseraient le développement des cellules cancéreuses.

Le Journal de l’Asssociation médicale américaine affirme que le soya ne causerait aucun problème. Il diminuerait plutôt les risques de voir le cancer réapparaître.

Les femmes prenant du tamoxifène, un médicament pour diminuer les risques de récidives de cancer du sein, devaient éviter de consommer des aliments à base de soya, car cela réduirait les effets du médicament.

La nouvelle étude, qui a porté sur 5 042 survivantes du cancer âgées de 20 à 75 ans en Chine, a analysé la consommation de soya de ces femmes pendant quatre ans. Celles qui avaient consommé beaucoup de soya avaient 29 % moins de risques de décès et 32 % moins de récidives de la maladie comparativement aux femmes ayant consommé peu de soya.

On recommande 11 grammes protéines de soya par jour pour que ce soit le plus avantageux contre la maladie.

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La solitude et le stress liés au cancer du sein

Des chercheurs américains des universités de Chicago et Yale affirment que la solitude et le stress favorisent le développement du cancer du sein.

Selon l’étude publiée dans les Annales de l’Académie américaine des sciences, l’isolement social et le stress seraient deux facteurs importants dans la maladie.

Pour en arriver à cette conclusion, on a mené des expériences sur des rats en les isolant et en les exposant à des situations stressantes. Non seulement cela augmentait de 3,3 fois les chances de développer la maladie, mais en plus, les tumeurs étaient plus malignes que chez les rongeurs vivant en groupe.

Les rats isolés avaient également un plus haut taux de corticostérone, une hormone du stress. Ils avaient donc besoin de plus de temps pour se calmer après avoir subi un stress.

Les chercheurs croient que ces données sont applicables également aux humains et songent à approfondir les études sur les effets de l’environnement et des émotions sur la maladie.

Par le passé, on a déjà établi que les personnes dépressives avaient moins de chances de survie dans les cas de cancers.

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Dépistage du cancer par une prise de sang

La société de recherche et développement en sciences physiques et naturelles Gendis vient de mettre au point une nouvelle méthode de détection du cancer à des stades précoces.

Les cancers du sein et du poumon pourraient maintenant être diagnostiqués grâce à un échantillon sanguin. Ce sont les résultats qui ont été présentés lors de la Journée internationale de biologie qui se tenait hier (3 novembre) à Paris.

Selon les premiers résultats obtenus, 87 % des cancers du poumon pourraient être détectés par le sang à un stade encore opérable. Pour le cancer du sein, cela serait de l’ordre de 95 %.

Avec l’appui de l’Institut national du cancer de France, certains centres auront accès, en début d’année, à ces tests. Ceci pourra aider à diagnostiquer le cancer du sein chez les patientes ayant un risque génétique ou familial.

Il s’agit d’une nouvelle perspective fort prometteuse dans la lutte contre la maladie, puisqu’on sait déjà que plus les cancers sont diagnostiqués tôt, plus les chances de guérison sont grandes.