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Percée majeure pour le cancer du sein

En ce mois de sensibilisation pour le cancer du sein, des oncologues britanniques de l’Université de Cambridge dévoilent une percée majeure dans la recherche sur ce domaine.

En effet, on a découvert que le mauvais fonctionnement ou l’absence d’un gène jouerait un rôle dans plus de 50 % des cas de cancer du sein.

Le gène NRG1, qui se trouve sur le chromosome 8, arrive à stopper les cellules cancéreuses sur le chromosome, mais lorsqu’il ne fonctionne pas bien ou qu’il est absent, la tumeur peut s’y développer.

Nous naissons tous avec le gène NRG1 intact, mais il peut par la suite être endommagé. Ce gène influence aussi les cancers de la prostate, des ovaires, du côlon et de la vessie.

Cette nouvelle découverte pourra mener à de meilleurs diagnostics et de meilleurs traitements de la maladie.

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Des médicaments pour diabétiques afin de traiter le cancer du sein

La combinaison d’un médicament, la metformine, et de la chimiothérapie serait particulièrement prometteuse pour traiter et retarder les récidives de cancer du sein.

La metformine est couramment utilisée depuis de nombreuses années pour traiter le diabète. Récemment, on avait découvert que les diabétiques qui prenaient ce médicament étaient moins disposés à développer des cancers. Les risques de cancer du pancréas étaient réduits de près de 60 % notamment.

Des tests en laboratoire menés sur des souris ayant le cancer du sein démontrent que la metformine tue les cellules souches cancéreuses qui résistent habituellement à la chimiothérapie. Toutefois, le traitement est réellement prometteur lorsque la metformine est combinée à la chimiothérapie, selon l’étude publiée dans l’édition en ligne de Cancer Research.

On espère maintenant découvrir que la metformine aura des incidences sur d’autres types de cancers.

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Mel C participera à un autre concert de charité

L’ancienne chanteuse des Spice Girls, Mel C, a confirmé sa participation à un concert de charité, organisé par Hard Rock Cafe, qui sera présenté le 1er novembre au Royal Albert Hall de Londres.

L’évènement PINKTOBER Presents: Women of Rock, ayant pour but d’amasser des fonds pour la recherche sur le cancer du sein, réunira également Bananarama, le trio féminin à succès des années 1980, Joss Stone, Jamelia, Sharon Corr et Bonnie Tyler.

Mel C, de son vrai nom Melanie Chisholm, en sera à sa deuxième participation, alors qu’elle avait également fait partie de ce concert tenu l’an dernier à Manchester.

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Un taux d’insuline élevé augmente les risques de cancer du sein

Des chercheurs du Collège de médecine Albert-Einstein de l’Université Yeshiva à New York ont découvert un lien entre un niveau d’insuline élevé et le cancer du sein.

Il semble que les femmes ménopausées ayant un niveau d’insuline élevé soient plus à risque de développer un cancer du sein.

Cette étude, publiée dans l’International Journal of Cancer, a analysé les données de 5 450 femmes ayant participé au programme Women’s Health Initiative qui portait sur comment différents facteurs influencent la santé des femmes.

On a constaté que le tiers des femmes en ménopause avec une insuline élevée avait deux fois plus de risque de développer un cancer du sein que les autres. Les résultats démontraient également que cela touchait plus les femmes minces que celles présentant un surplus de poids.

On recommande donc de tenter de garder son taux d’insuline à un niveau normal par différentes méthodes, dont l’exercice physique.

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Le secret derrière les cellules cancéreuses

Une étude, dont les résultats se retrouvent dans la revue médicale Cancer Cell, laisse entrevoir une lueur d’espoir aux patientes ayant eu un cancer du sein et qui sont suivies pour la récidive de la maladie.

Les travaux menés par le Dr Joan Massagué, du Memorial Sloan-Kettering Cancer Center aux États-Unis, lui ont permis de découvrir un enzyme, nommé Src, associé aux cellules métastatiques qui ont un meilleur taux de survie, même après avoir retiré la tumeur du sein.

Cette découverte de l’enzyme Src suggère une meilleure compréhension de la propagation du cancer du sein et les chercheurs liés à cette étude espèrent maintenant se concentrer sur un médicament qui agirait sur l’enzyme.

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Recours collectif contre le gouvernement du Québec

Une requête a été déposée devant la Cour supérieure du district de Montréal le 12 juin dernier par Marianne Tonnelier qui souhaite intenter un recours collectif contre le gouvernement du Québec.

La plaignante croit que le ministère de la Santé et des Services sociaux a fait preuve de négligence en passant sous silence certaines lacunes dans les tests utilisés pour déterminer le meilleur traitement pour le cancer du sein.

Madame Tonnelier prétend que le gouvernement du Québec était au courant de la situation et n’a pas proposé de mesures pour minimiser les erreurs diagnostiques, ce qui a eu pour conséquence de créer un climat d’incertitude auprès des patientes qui ignorent si le traitement proposé pour traiter leur cancer du sein est approprié.

Si le procès va de l’avant, cela pourrait éventuellement signifier des millions de dollars pour dédommager le groupe de femmes visé.

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L’exercice pour contrer le cancer du sein

Après l’âge de 30 ans, l’exercice physique serait bénéfique pour contrer le cancer du sein, selon une étude présentée durant la réunion annuelle de l’American College of Sports Medicine tenue à Seattle.

Dans cette étude, Lisa Sprod et ses collègues de l’Université du Colorado du Nordont ont demandé à 4 296 femmes de parler de leurs activités physiques durant 4 étapes de leur vie, soit de 10 à 15 ans, de 15 à 30 ans, de 30 à 50 ans et au-delà de 50 ans.

Les chances de développer le cancer du sein par rapport à leur activité physique lorsqu’âgées de 10 à 30 ans n’ont révélé aucune corrélation, mais les femmes qui ont continué à faire de l’exercice passé l’âge de 30 ans ont réduit de façon considérable leur risque de développer la maladie.

« Nous avons établi la normale à 60 minutes par semaine. Celles qui faisaient moins de 60 minutes d’exercice par semaine étaient classées dans le groupe sous la moyenne et celles qui en faisaient au-delà de 60 minutes étaient classées dans le groupe au-dessus de la moyenne. »

Les chercheurs ont ensuite remarqué que les femmes de 30 à 50 ans qui étaient dans le groupe au-dessus de la moyenne avaient développé moins de cancer du sein que l’autre groupe. La même chose a été remarquée pour les femmes âgées de plus de 50 ans.

« Ce que cela laisse croire, c’est que plus vous faites d’exercice passé l’âge de 30 ans, plus vous réduisez vos chances de développer un cancer du sein », a conclu Mme Sprod.

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Mise au point du ministre Yves Bolduc

Le ministre de la Santé et des Services sociaux, M. Yves Bolduc, a réagi à la recherche menée par le Dr Louis A. Gaboury concluant que les tests de diagnostics du cancer du sein connaissent un taux élevé d’erreur.

« Je tiens à ce que les choses soient clarifiées très rapidement en mobilisant les ressources nécessaires, dont le travail se poursuit toute la fin de semaine. Dimanche après-midi, je dois rencontrer les pathologistes et les hémato-oncologues, qui sont les mieux placés pour documenter la situation actuelle. En outre, le Collège des médecins, à qui j’ai demandé d’examiner la question avec la collaboration de l’Institut national de santé publique du Québec, m’informe qu’il sera en mesure de faire le point à son tour dès lundi », a-t-il déclaré.

M. Bolduc encourage d’ailleurs les femmes, qui reçoivent ou ont reçu un traitement pour le cancer du sein, à communiquer avec Info-Santé. « Les infirmières d’Info-Santé pourront fournir de l’information aux femmes qui se posent des questions et, le cas échéant, les référeront à leur médecin traitant pour des renseignements plus précis sur leur condition personnelle. Je rappelle que ce ne sont pas les diagnostics de cancer du sein qui sont en cause, mais plutôt le choix du traitement le plus approprié, compte tenu de ce que révéleraient certains tests de pathologie sur les caractéristiques de la tumeur », a conclu le ministre.

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Prévenir le cancer avec des noix

Selon ce que rapporte ScienceDaily, la consommation de noix fournirait au corps des acides gras oméga-3 essentiels, des antioxydants et des phytostérols, ce qui réduirait les risques de cancer du sein. 

Les résultats de cette recherche ont été dévoilés par l’Association américaine de la recherche sur le cancer lors de la 100e réunion annuelle qui a eu lieu cette année.

Elaine Hardman, professeure de médecine, affirme que même si cette étude a été réalisée avec des animaux en laboratoire, la population devrait suivre la recommandation de manger plus de noix.

Les tests qui ont été faits ont prouvé que la consommation de noix réduisait considérablement les tumeurs aux seins, le nombre de glandes atteintes par une tumeur ainsi que la taille des tumeurs.

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Le yoga pour les femmes souffrant d’un cancer

Une étude menée par la chercheuse Suzanne Danhauer, de l’Université Wake Forest aux États-Unis, conclut que le yoga améliore le moral des femmes atteintes d’un cancer du sein.

« Considérant tout le stress que vivent les femmes ayant un cancer du sein, le yoga leur procure un sentiment de calme et de paix intérieure », a souligné Mme Danhauer, qui a travaillé avec 44 femmes souffrant de la maladie.

La moitié du groupe a suivi des leçons de yoga pendant 10 semaines. Celles-ci ont avoué se sentir moins dépressives et plus calmes que les autres participantes à la recherche.

« Il y a de plus en plus de preuves que l’équilibre entre le corps et l’esprit améliore l’humeur, la qualité de vie et les effets secondaires des traitements contre le cancer. Le yoga est l’une de ces thérapies faciles à pratiquer et ce n’est pas très dispendieux », a conclu Mme Danhauer.