En ce mois de sensibilisation pour le cancer du sein, des oncologues britanniques de l’Université de Cambridge dévoilent une percée majeure dans la recherche sur ce domaine.
En effet, on a découvert que le mauvais fonctionnement ou l’absence d’un gène jouerait un rôle dans plus de 50 % des cas de cancer du sein.
Le gène NRG1, qui se trouve sur le chromosome 8, arrive à stopper les cellules cancéreuses sur le chromosome, mais lorsqu’il ne fonctionne pas bien ou qu’il est absent, la tumeur peut s’y développer.
Nous naissons tous avec le gène NRG1 intact, mais il peut par la suite être endommagé. Ce gène influence aussi les cancers de la prostate, des ovaires, du côlon et de la vessie.
Cette nouvelle découverte pourra mener à de meilleurs diagnostics et de meilleurs traitements de la maladie.