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Un dépistage du cancer du sein de piètre qualité

Une lettre envoyée à la direction générale du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM) nous apprend l’inquiétude d’un groupe de médecins nucléaires, qui estiment que certains tests de dépistage du cancer du sein sont de « piètre qualité ».

Les professionnels de la santé citent en exemple certaines mesures, appliquées à l’Hôtel-Dieu de Montréal, qui nuisent au diagnostic de la maladie, comme la disparition d’isotopes médicaux, l’utilisation de personnel de l’hôpital à des fins privées et le déplacement constant de l’équipement médical.

C’est le Dr Raymond Taillefer, ancien directeur du département de médecine nucléaire, qui est visé par cette lettre. À son départ au printemps dernier, le Dr Taillefer aurait transféré de l’équipement médical du CHUM à la clinique privée Imatech, qui offre des services d’imagerie.

La direction du CHUM a refusé de commenter cette affaire, qui fait maintenant l’objet d’une enquête.

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Amy Winehouse dans son plus simple appareil

La chanteuse de Rehab s’est dévêtue pour la photographe Carolyn Djangoly afin de participer à une campagne de sensibilisation destinée aux jeunes femmes à propos du cancer du sein.

Le cliché en noir et blanc, où Amy Winehouse apparaîtra en tenue d’Ève, sera dévoilé dans l’édition d’avril du magazine britannique Easy Living. Une guitare et quelques bouts de ruban adhésif servent à couvrir le corps de la star de 24 ans.

Winehouse n’est pas la première célébrité à endosser cette cause. Sade et l’actrice Helena Bonham Carter ont également accepté de poser nues.

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Vivre en ville augmente les risques de cancer

Une recherche de le Breast Institute de Londres a comparé la densité mammaire entre les Londoniennes et les Britanniques qui habitent en campagne. Les femmes urbaines ont davantage les seins denses que celles qui vivent en banlieue ou en campagne.

La densité mammaire est intimement liée à un risque plus élevé de souffrir du cancer du sein. Selon le docteur Nicholas Perry, directeur de la recherche, le risque d’en souffrir augmente de 2 % à chaque 1 % d’augmentation des seins denses.

« Notre étude démontre que plus une femme réside en milieu urbain où la population est grande, plus les tissus glandulaires dans sa poitrine augmentent », a ajouté le M. Perry.

En 2007, la Société canadienne du cancer évalue à 22 300 le nombre de femmes qui recevront un diagnostic de cancer du sein et à 5 300 celles qui en mourront.

Parmi les facteurs aptes à provoquer la maladie, on note les antécédents familiaux, les menstruations précoces, une ménopause tardive, le surplus de poids, etc.

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Nouvelle découverte sur le cancer du sein

Une recherche réalisée par l’École de médecine de l’Université de New York démontre qu’un changement moléculaire des protéines 4E-BP1 et eIF4G pourrait aggraver certaines formes de cancers du sein.

Selon Robert Schneider, directeur de l’étude, la tumeur maligne associée au cancer du sein localement avancé ou métastatique se développe lors de ce changement moléculaire.

L’équipe de recherche préconise comme piste de solution de détecter rapidement la présence de ces deux protéines afin de proposer un traitement pour enrayer le cancer du sein localement avancé, dont la grosseur peut aller jusqu’à 10 cm de diamètre au moment de son diagnostic.

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Mastectomie partielle ou totale

Selon des recherches américaines, la mastectomie totale, c’est-à-dire l’ablation chirurgicale des deux seins, serait de plus en plus pratiquée chez les femmes dont seulement un sein est atteint par le cancer.

Cette pratique, qui a augmentée de 150 % depuis plus de 10 ans, servirait à prévenir l’apparition de nouvelles masses cancéreuses dans l’autre sein.

Selon le docteur Todd Tuttle, chercheur principal de l’étude, l’ablation du sein non cancéreux réduit le risque de développement d’un nouveau cancer. Par contre, ça ne l’élimine pas et ça n’empêche pas non plus la tumeur primaire de s’attaquer à d’autres organes.

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Nouvelle sur le cancer du sein

D’après une étude américaine parue dans le New England Journal of Medicine, le Taxol, destiné aux femmes atteintes du cancer du sein, ne donnerait pas le rendement attendu pour toutes.

Le taux d’efficacité du médicament serait d’environ 20 %, c’est-à-dire qu’il est efficace chez les femmes dont la tumeur est HER2-positive.

Le Taxol ne semblerait pas aussi efficace pour les autres variétés de cancer du sein.

Afin d’éviter du subir inutilement et avec désagréments le traitement au Taxol, les femmes ayant le cancer du sein seront testées afin de déterminer si elle sont aptes à recevoir le traitement.

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L’auto-examen des seins est désuet

Après avoir fait plusieurs campagnes de promotion auprès des femmes pour les inciter à faire un auto-examen de leur poitrine, la Société canadienne du cancer préconise désormais l’examen clinique pour les femmes de plus de 40 ans et la mammographie, tous les deux ans, après 50 ans.

L’organisation a précisé que l’analyse de la méthode de l’auto-examen des seins leur a permis de découvrir certains inconvénients comme des tests douloureux, un faux sentiment de sécurité et des cicatrices laissées par les biopsies alors que les masses découvertes par les femmes lors de leur auto-examen sont souvent non cancéreuses.

Avec son taux de détection de 85 % du cancer contre 26 % avec l’auto-examen des seins, la mammographie est la méthode la plus efficace pour détecter à temps les cellules cancéreuses.

Chaque année, 5 900 Québécoises reçoivent le diagnostic du cancer du sein. Parmi celles-ci, 1 300 en décèderont.

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Nouveau médicament pour prévenir le cancer du sein

La Food and Drug Administration (FDA) autorise la commercialisation d’Evista, un médicament qui prévient le cancer du sein agressif.

Le Laboratoire Eli Lilly produit déjà ce médicament comme moyen de prévention et de traitement de l’ostéoporose pour les femmes ménopausées.

Le cancer agressif du sein se propage rapidement et atteint d’autres organes dans le corps. Afin de réduire les risques d’atteintes, les femmes n’avaient qu’un seul autre médicament qu’Evista.

Selon le Dr Steven Galson, directeur du centre de la FDA, malgré les risques d’effets indésirables associés à la prise d’Evista, les femmes au risque élevé de développement du cancer agressif du sein qui prendront ce médicament verront leur risque diminuer jusqu’à 71 %.

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L’imprudence de certaines Québécoises vis-à-vis le cancer du sein

Chez la femme, le risque de développer un cancer du sein est accru par les prédispositions génétiques de certaines.

Un très haut pourcentage des femmes du Québec se sachant porteuses de mutations génétiques les prédisposant à 87 % au cancer du sein ne prent pas de mesures préventives comparées aux autres femmes du Canada.

L’étude faite sur 672 Canadiennes porteuses de gènes mutants, et dont certaines fréquentaient le Centre hospitalier universitaire de Montréal (CHUM), démontre que des 342 femmes n’ayant pas eu le cancer, 46 % n’ont pas pris de mesures préventives. Au Québec, cela représente 62 % des femmes prédisposées, contre 39 % des Ontariennes et 34 % des femmes des provinces de l’ouest.

Selon Kelly Metcalfe, le nombre de cancers chez ces femmes va augmenter si elles ne prennent pas une des mesures préventives suggérées par les médecins : mastectomie, ablation des ovaires, prise de tamoxifène tous les jours, ou suivi par imagerie médicale.