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La noirceur aide les femmes à guérir du cancer du sein

La mélatonine est une hormone qui aide à réguler le sommeil chez les humains. Exposée à la lumière durant la nuit, la mélatonine devient moins productive, rend moins efficace le traitement par tamoxifène et dérange le rythme circadien, affirment des chercheurs de l’Université de Tulane (Nouvelle-Orléans).

Les veilleuses, lampes de chevet, écrans d’ordinateur, télévisions et autres sources de lumières électriques suppriment dans le cerveau la production de mélatonine, qui a aussi un rôle important dans la croissance des tumeurs cancéreuses. 

En d’autres termes, la mélatonine est essentielle pour « favoriser l’action du tamoxifène en retardant la formation de tumeurs et en ralentissant leur croissance », résume Santé Log. On spécifie que lorsque « les lumières restent allumées la nuit, la mélatonine est supprimée, les cellules cancéreuses se réveillent et ignorent le tamoxifène ».

L’obscurité totale la nuit serait donc fortement suggérée aux femmes qui tentent de guérir d’un cancer du sein, révèle cette nouvelle étude parue dans la revue Cancer Research. La noirceur complète durant la nuit pourrait aider l’organisme des femmes malades à ne pas devenir résistant au traitement par tamoxifène.

L’effet de la lumière artificielle et électrique durant la nuit pourrait expliquer pourquoi « les femmes qui font des quarts de nuit présentent un taux de cancer du sein plus élevé et qu’il y a cinq fois plus de risques de cancer du sein dans les pays industrialisés que dans les pays sous-développés », mentionnent des études antérieures.

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La mammographie diminue le cancer du sein de 28 %

« La mammographie préventive sauve des vies, surtout grâce à des diagnostics de cancer du sein détecté tôt, et donc d’un traitement plus efficace », plaide Dr Lars Vatten, chercheur et professeur en épidémiologie, informe Medlineplus.

Les spécialistes ont toujours été au cœur d’un débat sur l’âge idéal pour commencer la mammographie, ainsi que la période optimale entre les visites.

En 2009, la U.S. Preventive Services Task Force, une firme privée d’experts, mentionnait qu’entre 50 et 74 ans, l’examen était requis aux 2 ans. Chez les femmes de 40 à 49 ans, ils s’en remettaient à l’avis du médecin.

Pourtant, la Société américaine du cancer et d’autres organismes médicaux continuent de recommander aux femmes qui présentent des risques modérés de commencer un examen annuel à 40 ans.

Les experts de la Norvège ont découvert qu’annuellement, il y a 1175 femmes passant régulièrement des tests de mammographie qui décèdent des suites du cancer. Chez celles qui ne font pas de visite, ce sont plus de 9000 qui meurent annuellement.

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Risque de cancer du sein si l’on consomme trop de viande rouge

Comme le rapporte Medical News Today, il existe déjà de nombreux facteurs de risque de développer le cancer du sein, et la viande rouge ne représentait pas nécessairement l’un d’entre eux.

Or, les études précédentes se basaient sur le régime alimentaire des femmes adultes jusqu’à la ménopause. Une nouvelle recherche fait la lumière sur un risque réel, en rapport avec la consommation de viande rouge chez les adolescentes.

Les données de 88 803 femmes de 26 à 45 ans ont été récoltées, mais en plus de leur régime alimentaire présent, les spécialistes compilaient les informations sur l’alimentation à l’adolescence. Les autres aliments riches en protéines faisaient également partie du questionnaire soumis.

Le suivi a été effectué pendant 20 ans, et selon les rapports médicaux, les chercheurs ont relevé 2830 cas de cancer du sein.

Il s’est avéré que la consommation de viande rouge avant la période adulte avait un impact direct sur le risque de cancer du sein (22 % plus de risque).

Au contraire, celles qui consommaient plus de poulet durant la même période abaissaient leur risque de développer un cancer du sein. Remplacer un repas de viande rouge par une autre source de protéine permettait une diminution du risque de 14 %.

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La mammographie annuelle ne réduit pas le risque de décès

Réalisée par le département d’épidémiologiste de l’Université de Toronto, la recherche menée sur près de 90 000 femmes canadiennes remet en cause la mammographie annuelle pour les femmes âgées de 40 à 59 ans.

L’étude publiée plus tôt cette semaine dans le British Medical Journal relance le débat sur les bénéfices de la mammographie, et les risques qu’elle occasionne.

L’étude fait valoir que la mammographie détecte trop souvent des petits cancers qui ne seraient jamais devenus dangereux. Environ la moitié de tous les cancers trouvés par mammographie — non détectés à la palpation — relève de cette catégorie.

Les chercheurs ont calculé que 22 % des cancers trouvés par les mammographies relevaient d’un surdiagnostic. Cela signifie que pour chaque groupe de 424 femmes qui ont passé l’examen, une a été traitée inutilement pour un cancer.

À la lumière de leurs résultats, les chercheurs concluent que « la raison d’être du dépistage par mammographie doit être réévaluée de toute urgence par les responsables politiques ».

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Régime riche en gras à l’adolescence relié au risque élevé du cancer du sein

Une récente étude pointe du doigt les aliments gras consommés par les adolescentes. Ceux-ci s’avèrent dangereux à long terme, puisqu’ils augmentent considérablement les risques de cancer du sein, et ce, même si elles s’alimentent sainement dans leur vie adulte.

Selon ce que rapporte Science World Report, les chercheurs de l’organisme Breast Cancer and Environment Research Program à l’Université de l’État du Michigan en sont venus à une conclusion de grande importance.

Un régime alimentaire élevé en graisses chez les jeunes femmes pourrait augmenter la croissance cellulaire et altérer les cellules immunitaires des tissus du sein. Ces modifications, ont-ils constaté, persistent souvent durant la vie adulte, ce qui engendrerait le développement rapide de lésions précancéreuses. Ultimement, celles-ci mèneraient vers un cancer du sein.

« Il est important de noter que notre expérience se base sur l’alimentation riche en gras et n’inclut pas de facteur d’obésité, ce qui signifie que les résultats s’appliquent à un segment beaucoup plus important de la population », a révélé le microbiologiste Richard Schwartz, coauteur de l’étude.

Vous pouvez trouver plus de détails sur l’étude sur le site de l’Université de l’État du Michigan.

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Cancer du sein : nouvelle reconstruction

Pour les survivantes du cancer du sein ayant subi une simple ou double mastectomie, un problème récurrent postopératoire est les prothèses mammaires.

On explique sur Santé Log qu’en effet, ces implants doivent être remplacés tous les 8 à 10 ans. Sans compter que certaines femmes subiront un rejet, événement traumatisant.

Or, la nouvelle intervention dont il est question ici, la reconstruction par lambeau libre de Diep, consiste à prélever des tissus de l’abdomen de la patiente, un lambeau muni de gras, d’une artère et d’une veine dites perforantes.

Cela veut dire que les patientes reçoivent au passage une plastie de réduction abdominale discrète et facilement dissimulable.

Ce morceau de tissus est alors transplanté à la poitrine de la patiente. Cette opération exige en moyenne 5 jours d’hospitalisation. Une seconde intervention est ensuite menée 4 mois plus tard pour procéder aux corrections.

Comme il n’y a aucun corps étranger, le taux d’infection est largement diminué. Ayant un taux d’échec minime, environ 5 %, cette technique utilisée depuis 2012 en France est grandement encourageante pour les femmes ayant subi ou devant subir une ablation d’un ou des deux seins.

Raison de plus de considérer cette technique : vos nouveaux seins auront un aspect tout à fait naturel, et leur évolution se fera de façon symétrique et simultanée.

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Manger des poissons gras pourrait réduire le risque de cancer du sein

Consommer une à deux fois par semaine des acides gras oméga-3 provenant de poissons gras, comme le saumon, le thon ou les sardines, permettrait de réduire le risque de cancer du sein, selon une analyse publiée vendredi (28 juin).

Alors que plusieurs études avaient déjà fait état du rôle protecteur des oméga-3 par rapport aux maladies cardiovasculaires, des chercheurs chinois ont passé en revue 26 études portant sur 800 000 femmes et environ 20 000 cas de cancer du sein réalisées aux États-Unis, en Europe et en Asie.

Ils ont montré que la consommation d’une à deux portions de poissons gras par semaine était associée à une réduction de 14 % du risque de cancer du sein.

Selon l’équipe dirigée par le professeur Duo Li de l’Université du Zhejiang, une augmentation de 0,1 g d’oméga-3 provenant du poisson par jour réduisait le risque de cancer du sein de 5 %.

Les oméga-3 sont des acides gras essentiels au développement et au bon fonctionnement du corps humain. Il en existe 4, connus par leurs initiales, EPA, DHA et DPA, qu’on trouve essentiellement dans les poissons gras (saumon, thon, maquereau, hareng, sardine et anchois) et ALA, présent dans les huiles végétales (noix, huile de colza, soja, lin) et dans une moindre mesure dans la viande, les produits laitiers ou les oeufs.

Dans leur étude, publiée dans la revue British Medical Journal, les chercheurs chinois notent toutefois que seuls les oméga-3 d’origine marine ont été associés à une réduction du risque de cancer du sein, aucune « association significative » n’ayant été observée avec les autres oméga-3.

Ils soulignent également que « le risque était le plus bas dans les populations asiatiques, probablement parce que la consommation de poisson y est bien supérieure à celle observée dans les pays occidentaux ».

Le cancer du sein est l’un des plus fréquents à l’échelle mondiale. En 2008, il représentait, selon l’étude, près de 23 % de l’ensemble des cancers et 14 % des décès.

Selon divers travaux publiés ces dernières années, l’alimentation et le mode de vie pourraient jouer un rôle dans l’apparition de ce cancer à côté de facteurs génétiques, de mieux en mieux connus, comme les mutations des gènes BRCA1 ou BRCA2, qui prédisposent au cancer du sein.

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L’opinion de Melissa Etheridge dérange Brad Pitt

Brad Pitt qualifie Melissa Etheridge d’amie, mais ce n’est pas ce lien qui empêche la chanteuse de le contrarier.

Lors d’une entrevue pour le Washington Blade, elle aurait dit ne pas trouver courageuse ou héroïque la décision d’Angelina Jolie quant à sa double mastectomie. Il semblerait qu’elle trouve même que ce soit excessif.

Etheridge, 52 ans, a fait connaître son opinion en disant que, selon elle, le stress est le déclencheur du cancer.

« Je dirais à quiconque faisant face à cette situation qu’avec les avancements faits dans les domaines de la nutrition et du stress, il y a une panoplie de voies à considérer avant celle de la double mastectomie. Ça fait 9 ans que je suis sans cancer et avec le recul, je comprends ce qui l’a causé. Tout était si acide! J’encourage vraiment tout le monde à entreprendre plus de démarches avant de choisir cette opération. »

Questionné au sujet des propos de sa vieille amie, Brad Pitt s’est montré surpris et a admis qu’il ne connaissait pas l’opinion de la chanteuse sur le sujet. Sans sembler offusqué, il s’est tout de même montré concerné au point de dire qu’il passerait un coup de téléphone à Etheridge pour en discuter avec elle.

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L’opinion de Melissa Etheridge dérange Brad Pitt

Brad Pitt qualifie Melissa Etheridge d’amie, mais ce n’est pas ce lien qui empêche la chanteuse de le contrarier.

Lors d’une entrevue pour le Washington Blade, elle aurait dit ne pas trouver courageuse ou héroïque la décision d’Angelina Jolie quant à sa double mastectomie. Il semblerait qu’elle trouve même que ce soit excessif.

Etheridge, 52 ans, a fait connaître son opinion en disant que, selon elle, le stress est le déclencheur du cancer.

« Je dirais à quiconque faisant face à cette situation qu’avec les avancements faits dans les domaines de la nutrition et du stress, il y a une panoplie de voies à considérer avant celle de la double mastectomie. Ça fait 9 ans que je suis sans cancer et avec le recul, je comprends ce qui l’a causé. Tout était si acide! J’encourage vraiment tout le monde à entreprendre plus de démarches avant de choisir cette opération. »

Questionné au sujet des propos de sa vieille amie, Brad Pitt s’est montré surpris et a admis qu’il ne connaissait pas l’opinion de la chanteuse sur le sujet. Sans sembler offusqué, il s’est tout de même montré concerné au point de dire qu’il passerait un coup de téléphone à Etheridge pour en discuter avec elle.

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Mammographie à 30 ans

Un article publié sur le site de Mail Online nous apprend qu’au Royaume-Uni seulement, il y aurait plus de 500 000 femmes à risque de cancer du sein en raison de leur historique familial.

Alors qu’en ce moment, les tests en dessous de 50 ans sont réservés pour les recherches ou pour certains rares cas, les spécialistes responsables de l’étude mentionnent l’importance d’implanter cette routine pour toutes les femmes présentant un risque modéré à élevé, et ce, dès l’âge de 30 ans.

Cette nouvelle façon de faire permettrait ainsi une détection hâtive d’anomalies et un traitement rapide si nécessaire. Ils font mention de l’actrice Angelina Jolie, qui a récemment subi une double mastectomie (ablation des seins) par mesure préventive. Ils expliquent que, dans son cas, il s’agissait d’une mutation génétique qui augmentait ses chances de cancer à 85 %.

Malheureusement, ce ne sont pas toutes les femmes qui ont l’occasion de se faire tester et suivre malgré l’historique familial.

À ce sujet, le professeur Gareth Evans, qui était à la tête du projet, explique qu’au moment de la recherche, ils ont découvert 47 cas de cancer, alors que ces femmes ne présentaient pas de symptômes.

Cependant, ils sont toujours en attente des résultats à long terme afin de pouvoir vraiment juger de la pertinence de ce test à un jeune âge.