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Clinique poursuit son engagement dans la lutte contre le cancer du sein

(Relaxnews) – À l’occasion d’Octobre Rose, Clinique propose une édition limitée de son baume à lèvres Chubby Stick, dont les profits seront versés à une association.

Entièrement dédié à la lutte contre le cancer du sein, le mois d’octobre permet à de nombreuses marques et célébrités de se mobiliser contre la maladie.

Cette année encore, la marque Clinique s’engage aux côtés l’association Le Cancer du sein, parlons-en !, qui sensibilise les femmes à l’importance du dépistage.

Pour l’occasion, une édition limitée du baume Chubby Stick, proposée dans la teinte Plumped Up Pink, aux couleurs de l’évènement, sera vendue chez Marionnaud, dans les grands magasins et sur l’e-shop de Clinique.

Le baume à lèvres Chubby Stick est constitué de beurre de karité, de beurre de mangue et d’huile de jojoba.

Les femmes pourront se procurer le Chubby Plumped Up Pink vendu avec une trousse, dès octobre prochain, au prix de 19 € (environ 23 $ CA)

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Novartis: feu vert de l’UE pour l’Afinitor contre le cancer du sein

 

(ZURICH (Suisse)-AFP) — Le groupe pharmaceutique suisse Novartis a annoncé lundi qu’il avait reçu le feu vert des autorités européennes pour la commercialisation du médicament Afinitor, contre le cancer du sein.

La Commission européenne a autorisé l’usage du médicament pour traiter les femmes postménopausées atteintes d’un cancer du sein avancé à récepteur hormonal positif (HR+), en combinaison avec un autre médicament, l’Exemestane.

« Le traitement avec l’Afinitor apporte aux femmes une nouvelle option dans la bataille contre le cancer du sein au stade avancé », a estimé Hervé Hoppenot, président de la division oncologie de Novartis, cité dans un communiqué.

Selon une étude menée par le laboratoire auprès de 724 patientes, le traitement avec l’Afinitor en combinaison avec l’Exemestane double la période de survie sans progression de la maladie à 7,8 mois, contre 3,2 mois pour un traitement seulement avec l’Exemestane.

« En renforçant la thérapie endocrinienne, Afinitor rallonge significativement la période sans progression de la tumeur des femmes atteintes d’un cancer du sein avancé à récepteur hormonal positif », a souligné Jose Baselga, du Massachusetts General Hospital qui a codirigé l’étude.

Cette annonce intervient après le feu vert, le 20 juillet, de l’Agence américaine des médicaments (FDA) pour l’Afinitor, dans la même indication.

Selon Novartis, quelque 220 000 femmes sont diagnostiquées chaque année au niveau mondial avec le cancer du sein HR+ au stade avancé, la forme la plus courante de cette maladie.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

 

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Cancer du sein : Accoucher de gros bébés n’aiderait pas

Des chercheurs de l’Université du Texas affirment que les femmes qui ont de gros bébés ont un niveau plus élevé d’hormones, comme l’oestrogène, qui est d’ailleurs connu pour être associé à un risque accru de la maladie, révèle un article du Daily Mail.

Le fait d’avoir de gros bébés propulserait la croissance analogue à l’insuline libre associée au développement du cancer du sein et pourrait modifier les niveaux de trois hormones qui, en conséquence, créent un « environnement procancérigène », spécifie l’article.

Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont analysé les premiers accouchements de 410 femmes et ont pris en considération le poids des bébés en excluant les autres facteurs qui pourraient influencer le développement d’un cancer du sein, tels que le poids des femmes elles-mêmes, les antécédents médicaux ou l’utilisation de l’hormonothérapie substitutive.

Plusieurs peuvent se demander pourquoi un cancer apparaîtrait 30 ans après l’accouchement. À en croire les experts, le corps peut conserver une « mémoire » du niveau d’oestrogène élevé en raison de l’enfant qui avait un poids élevé.

« Bien que cette étude ait révélé un lien statistique entre les femmes dont le premier bébé avait un poids élevé à la naissance et un risque plus élevé de cancer du sein, il n’est pas prouvé que le poids élevé du bébé à la naissance ou les hauts niveaux d’hormones sont source d’un risque accru de cancer du sein », précisent les chercheurs.

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L’activité physique et le contrôle du poids sont des atouts contre le cancer du sein

Faire du sport et contrôler son poids après la ménopause peut aider à réduire de 30 % les risques de cancer du sein, mentionne une étude qui sera publiée sous peu dans la revue Cancer.
 
Nous savions déjà que l’activité physique était un atout majeur dans la lutte contre le cancer du sein, mais les chercheurs n’avaient pas vraiment mesuré l’impact de l’intensité, de la fréquence et du contrôle du poids.
 
1504 femmes ont été suivies. 233 avaient un cancer non invasif, et 1271 avaient un cancer invasif. 1555 femmes faisaient partie du groupe témoin. Toutes les participantes étaient âgées de 20 à 98 ans.
 
Les résultats montrent que les femmes qui ont fait de l’exercice dans leurs années de procréation ou postménopausiques ont réduit les risques de cancer, et ce, peu importe si les activités étaient d’intensité modérée ou intense.
 
Les femmes qui faisaient de l’activité de 10 heures à 19 heures par semaine réduisaient de 30 % les risques de développer la maladie.
 
« L’observation d’un risque réduit de cancer du sein, en particulier pour les femmes qui se sont engagées dans l’exercice après la ménopause, est particulièrement encourageante si l’on prend en compte l’âge tardif de l’apparition du cancer du sein », mentionne l’auteure de l’étude, Lauren McCullough.
 
À noter que toute prise de poids substantielle annule par contre les bienfaits de l’activité physique.
 
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Travailler de nuit augmente les risques de cancer du sein de 40 %

Le travail de nuit perturbe le rythme circadien, ce qui est déjà reconnu pour augmenter les risques de maladies cardiaques et de troubles métaboliques.
 
Une nouvelle étude parue dansl’International Journal of Cancer confirme maintenant que le travail de nuit est cancérigène.
 
Les chercheurs ont comparé le parcours professionnel de 1200 femmes ayant eu un cancer du sein entre 2005 et 2008 à celui de 1300 autres femmes qui n’ont pas eu de cancer.
 
On constate que 13 % des répondantes qui ont eu un cancer ont déjà travaillé de nuit, contre 11 % chez le groupe en bonne santé.
 
Les femmes qui ont fait partie d’une équipe de nuit voient leurs risques de cancer du sein augmenter de 35 %. Si elles ont travaillé de nuit pendant plus de 4,5 ans, ces risques grimpent à 40 %, et ils se retrouvent à 43 % si les femmes ont travaillé trois nuits ou moins par semaine.
 
De plus, on apprend que si les femmes ont travaillé de nuit plus de quatre ans avant leur première grossesse menée à terme, les risques de cancer du sein sont accrus de 95 %.
 
« Nos travaux confortent les résultats d’études antérieures et posent le problème de la prise en compte du travail de nuit dans une optique de santé publique, d’autant que le nombre de femmes travaillant avec des horaires atypiques est en augmentation », indique l’auteur principal de la recherche, Pascal Guénel.
 
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Un anti-VIH efficace contre le cancer du sein métastatique

Cet anti-VIH est l’antagoniste du récepteur CCRS qui est utilisé par le VIH pour pénétrer dans des cellules cibles. On le retrouve également dans les cellules de certains cancers, comme le cancer du sein. En fait, il régule la propagation aux autres tissus.
 
En bloquant ce récepteur, les chercheurs sont parvenus, in vitro, à empêcher la migration et la propagation des cellules cancéreuses du sein. Sur des souris, on a noté une réduction de 90 % du nombre et de la taille des métastases.
 
« Notre équipe montre que CCR5 joue un rôle clé dans la propagation du cancer, et qu’un antagoniste de CCR5 peut ralentir l’invasion des cellules basales du cancer du sein », indique le Pr Richard Pestell, l’auteur principal des travaux publiés dans la revue Cancer Research.
 
Cette découverte pourrait donc mener à de nouvelles thérapies.
 
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Nouvelle avancée concernant le cancer du sein

Une étude américaine mentionne que la présence de cellules tumorales circulant dans le sang est mauvais signe pour les patientes atteintes du cancer du sein.
 
La présence de ces cellules dans le sang était déjà un mauvais présage pour un pronostic du cancer du sein métastatique.
 
Seulement, cette fois, on constate que pour les patientes avec un cancer à un stade précoce et non métastatique, cela peut prédire la récidive et la propagation à d’autres organes, rapporte The Lancet Oncology.
 
L’étude a été faite auprès de 302 patientes avec un cancer à un stade précoce, n’ayant pas eu de chimiothérapie et ayant été suivies pendant cinq ans.
 
24 % des cas avaient une ou plusieurs cellules tumorales circulant dans le sang. Dans 15 % de ces cas, les femmes ont eu une récidive, et dans 10 %, on a noté un décès durant l’étude.
 
Cette découverte pourrait mener à un test sanguin permettant donc fournir de précieuses informations pour les patientes et ainsi tenter de mieux les soigner pour augmenter leurs chances de survie.
 
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Découverte concernant le cancer du sein

Des chercheurs américains ont découvert pourquoi le développement du cancer du sein n’était pas le même chez les femmes de race blanche et celles de race noire. 

Le cancer du sein est plus fréquent chez les femmes blanches, toutefois, les femmes noires sont plus souvent atteintes de la forme la plus agressive et souvent plus tôt que chez leurs homologues blanches.
 
Chez les deux origines ethniques la réponse aux traitements similaires n’est pas la même et les succès moins grand chez les femmes noires.
 
En fait, on a découvert que les marqueurs génétiques de l’ADN, les microARN diffèrent entre les femmes blanches et les femmes noires.
 
« La différence frappante dans les modes d’expression des microARN chez les femmes blanches et noires atteintes de cancer du sein triple-négatif, peut expliquer des réponses différentes à des traitements similaires », explique le Dr Shapira Iuliana.
 
Certains microARN favorisent le développement du cancer alors que certains autres protègent de la maladie. L’absence de certains de ces microARN chez les femmes noires expliquerait les mauvais résultats aux traitements.
 
De nouvelles thérapies pourraient être envisagées pour augmenter les microARN protecteurs afin d’avoir de meilleures chances de guérison pour toutes.
 
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Les femmes qui travaillent de nuit ont plus de risques d’avoir un cancer du sein

Nous savions déjà que le travail de nuit était nocif pour la santé. Le journal Occupational and Environmental Medicine dévoile maintenant que le travail de nuit favorise l’apparition du cancer du sein chez les femmes.

Selon les résultats des travaux, les femmes qui travaillent au moins deux nuits par semaine pendant six ans ont 50 % plus de risques de développer la maladie. Les risques sont même multipliés par quatre si les femmes sont plutôt matinales.

Une des hypothèses émises par les chercheurs pour expliquer ce risque accru de cancer du sein, serait une carence en vitamine D, en raison du fait que ces travailleuses ont moins d’exposition au soleil, source indéniable de vitamine D.

L’autre explication serait que le dérèglement de l’horloge biologique pourrait être en cause.

D’autres études plus approfondies doivent être réalisées pour faire la lumière sur les mécanismes qui augmentent les risques de maladies.

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Le persil pour combattre le cancer du sein

Le persil aiderait à lutter contre le cancer du sein, rapporte Medic Magic.
 
Selon des chercheurs de l’Université du Missouri, le persil contiendrait de l’apigénine, qui est reconnue pour son efficacité contre le cancer du sein et certains types de tumeurs liés à l’hormone de la progestérone.
 
L’apigénine a la capacité de ralentir la progression des cellules cancéreuses du sein de trois façons. Elle induit la mort des cellules malades, elle inhibe la prolifération cellulaire et elle réduit la réaction des gènes liés à la croissance du cancer.
 
Donc, le persil n’a pas seulement la faculté d’agrémenter vos plats préférés, il a de réels bienfaits sur le corps et la santé en général. Il est donc censé d’en ajouter régulièrement lorsque vous cuisinez. Non seulement vous aurez un peu de saveur, mais vous pourrez profiter de ses nombreux avantages, dont celui de combattre le cancer.