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Vin rouge et vin blanc : comparaison des effets sur le cancer du sein

L’inhibiteur de l’aromatase qui prévient la conversion des androgènes en œstrogènes jouerait un rôle important dans le développement du cancer du sein.
 
Avec 36 femmes préménopausées, les chercheurs ont voulu comparer les effets du vin rouge et du vin blanc sur cet inhibiteur.
 
Pendant un mois, les femmes buvaient huit onces de vin rouge ou de vin blanc par jour. Le mois suivant, elles changeaient la couleur du vin qu’elles buvaient pour prendre l’autre.
 
C’est seulement avec le vin rouge que l’on a enregistré des effets significatifs sur certains indices du métabolisme d’œstrogènes. D’abord, le niveau de testostérone a augmenté, de même que celui de l’hormone lutéinisante, mais aucune différence notable n’a été observée avec les œstrogènes.
 
Le Medical News Today rappelle que de plus amples études doivent être faites pour savoir, entre autres, si les polyphénols contenus dans le vin rouge pourraient diminuer les risques de développer un cancer du sein.
 
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Réouverture du dossier du médicament Avastin contre le cancer du sein?

Récemment, on retirait l’approbation d’utilisation du médicament Avastin pour traiter les femmes avec un cancer du sein avancé. Des études avaient révélé qu’il offrait en fait trop peu d’avantages et qu’il n’aidait pas à prolonger la vie des patientes.
 
Deux nouvelles études, parues dans le New England Journal of Medicine, pourraient rouvrir le débat.
 
Les nouveaux résultats démontrent que pour un cancer du sein à un stade précoce, l’Avastin aide à enrayer la tumeur chez certaines femmes.
 
Dans la première étude, plus du tiers des femmes qui avaient eu l’Avastin et de la chimiothérapie quelques mois avant la chirurgie ne montraient plus de signes de cancer à l’arrivée de l’opération. On observe ce même résultat chez 28 % des femmes n’ayant eu que la chimiothérapie.
 
Dans la seconde recherche, 18 % des femmes ayant eu Avastin et la chimiothérapie n’avaient plus de tumeur lors de la chirurgie, contre 15 % chez celles qui n’avaient reçu que la chimiothérapie.
 
Maintenant, il reste à savoir si le médicament aide à améliorer les chances de survie des femmes. Il est encore trop tôt pour se prononcer.
 
Le problème avec le médicament est que l’on note de nombreux effets secondaires.
 
Avastin est toujours approuvé pour traiter certains cancers du côlon, du poumon, du rein et du cerveau.
 
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Les statines pour prévenir le cancer du sein?

Une étonnante découverte a été faite aux États-Unis. Selon la revue Cell, des chercheurs ont observé que les statines, les médicaments utilisés pour abaisser le taux de mauvais cholestérol, avaient une action anticancer pour les tumeurs du sein.
 
Les chercheurs ont présenté le mécanisme biochimique responsable de cet effet inattendu.
 
« Nos données suggèrent qu’il est possible d’identifier des sous-ensembles de malades éligibles à cette thérapie inédite. Mais nous ne pouvons pas encore, bien sûr, tirer de conclusions définitives tant que nous n’en savons pas plus », explique un des auteurs, Carol Prives, de l’Université Columbia.
 
Le gène p53 serait impliqué dans le processus. Cette molécule régule la prolifération cellulaire en freinant la croissance des cellules. 50 % des cancers sont porteurs de mutations de ce gène p53.
 
Maintenant, on souhaite procéder à des essais cliniques afin de confirmer ou infirmer les données obtenues pour les statines.
 

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Allaitement : les bébés pleurent plus, dorment moins bien et sourient moins

Les chercheurs d’une nouvelle étude britannique croient que l’irritabilité liée à l’allaitement maternel est naturelle. Il ne s’agirait donc pas d’un signe de stress ou même nécessairement qu’il a faim si votre enfant dort moins bien ou rit moins.

Le bébé allaité chercherait davantage le confort, l’attention, la chaleur, la sécurité et le contact avec la peau de sa mère. Voilà ce qui expliquerait ses larmes plus fréquentes.

Le bébé nourri au biberon, lui, semble plus détendu, car il a souvent trop mangé. Un peu comme les adultes qui trouvent du réconfort en mangeant, les enfants peuvent être plus calmes parce qu’ils ont mangé ou bu plus qu’ils ne le devaient.

En revanche, l’allaitement maternel a démontré ses preuves pour aider à protéger les bébés contre l’obésité, l’eczéma, les problèmes cardiaques et les maux d’estomac et d’oreilles.

Rappelons que l’allaitement réduit les chances de cancer du sein chez la mère et facilite la perte de poids après la grossesse.

Les comportements de plus de 300 bébés, âgés de trois mois, ont été évalués pour cette étude.

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Cancer du sein : la plupart des parents disent le résultat aux enfants

C’est ce qui est ressorti d’une nouvelle étude publiée dans la revue scientifique Cancer du journal de la Société américaine du cancer.

Pour les parents, ce qui les pousse principalement à se faire tester pour un cancer héréditaire, c’est de connaître les risques que courent leurs propres enfants.

Sur 253 parents interrogés lors de cette étude, 29 % couraient un risque accru de développer un cancer du sein.

La majorité des parents de l’étude ont partagé leurs résultats avec au moins un de leurs enfants. Parmi 505 enfants, 334 ont appris la nouvelle.

Les parents étaient plus susceptibles de déclarer leurs résultats si les enfants étaient plus âgés et s’ils étaient de sexe féminin. Bien sûr, ils étaient également plus portés à divulguer les résultats des tests négatifs.

La plupart des parents ont également déclaré que ce genre de conversation ne semble pas déclencher de panique chez plusieurs enfants.

Sans vouloir provoquer un stress inutile, les spécialistes croient que discuter de résultats médicaux est une bonne occasion de promouvoir des comportements sains — comme manger une alimentation saine et ne pas fumer — qui pourraient aider à garder leurs enfants en santé.

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De nouveaux bienfaits à l’allaitement

Une nouvelle étude révèle que les bébés qui ont été allaités suivent un processus de croissance différent de ceux qui ont consommé du lait en poudre.

Le lait maternel est susceptible d’avoir des avantages pour la santé future des tout petits. Il diminuerait notamment les niveaux de l’hormone de croissance IGF-1 et l’insuline dans le sang. Ceci ferait en sorte de ralentir le taux de croissance et le gain de poids, même après que l’enfant ait commencé à manger des aliments solides.

En revanche, le lait en poudre peut augmenter la production de cellules graisseuses, ce qui favorise le gain de poids pendant l’enfance.

La durée et la fréquence de l’allaitement maternel joueraient également un rôle important, selon les résultats du programme LIFE de la Faculté des Sciences de la Vie à l’Université de Copenhague, au Danemark.

Plus longtemps l’enfant a été allaité, meilleur serait son poids à l’âge de 18 mois. Une période de six mois d’allaitement serait toutefois recommandée par les médecins.

Cette méthode de nourrir les bébés, qui existe depuis la nuit des temps, protègerait aussi les nourrissons des bactéries dans l’estomac, des infections pulmonaires, de l’asthme, de l’eczéma et des allergies. Des avantages sur la santé en général en fin de vie ont également été remarqués.

En plus de faire perdre rapidement du poids après la grossesse (500 calories par jour), il semblerait que l’allaitement diminue également les risques de développer de l’ostéoporose et un cancer des ovaires ou du sein chez la mère.

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Un vaccin prometteur contre le cancer du sein

Une équipe du Centre de lutte contre le cancer de la Clinique Mayo en Arizona a créé un vaccin qui incite l’organisme à cibler seulement les cellules cancéreuses.
 
Selon la revue de l’Académie américaine des sciences (PNAS), ce vaccin aide à la production d’anticorps qui s’attaquent aux cellules cancéreuses uniquement.
 
Notre organisme est incapable de différencier les tissus sains des tissus malades. Bien souvent, c’est ce qui pose problème dans la lutte contre le cancer, car les bonnes cellules sont aussi détruites dans les traitements, ce qui affaiblit les patients.
 
Le vaccin en question a été testé sur des souris ayant une tumeur mammaire, et celle-ci a été réduite de 80 %.
 
« Ce vaccin injecté à des souris atteintes d’une tumeur mammaire a entraîné une très importante réaction immunitaire, qui a été capable d’activer trois composantes du système immunitaire pour réduire de 80 % la taille de la tumeur », dit un des coauteurs des travaux, Geert-Jan Boons.
 
« C’est la première fois qu’un vaccin est développé pour entraîner le système immunitaire à distinguer et tuer les cellules cancéreuses grâce aux structures d’hydrates de carbone sur la protéine MUC1 », ajoute sa collègue, Sarah Gendler.
 
Cette découverte laisse présager la même possibilité pour d’autres cancers. Jusqu’à présent, les essais pour des vaccins contre le cancer ont échoué, et l’avenir nous dira donc si celui-ci franchit toutes les étapes.
 
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Le pain blanc et les pâtes blanches augmentent les risques de récidive du cancer du sein

Le Daily Mail rapporte que les survivantes du cancer du sein qui ont un régime riche en amidon sont plus susceptibles de développer une tumeur de nouveau que celles qui diminuent leur consommation.
 
Ainsi, le pain blanc et les pâtes blanches contiennent plus d’amidon que ceux de grains entiers.
 
Les chercheurs sont encore incapables d’expliquer pourquoi ce phénomène se produit, mais on croit que le niveau accru d’insuline provoqué par les glucides stimulerait la croissance des cellules cancéreuses.
 
2651 survivantes au cancer du sein ont été suivies pendant douze mois. Celles qui avaient consommé le plus d’amidon avaient un taux de récidive de la maladie de 14,2 %, comparativement à 9,7 % chez celles qui en consommaient moins.
 
Les glucides sont le carburant des muscles et procurent également l’énergie au cerveau et au système nerveux central, mais certains sont meilleurs que d’autres. Ainsi, il serait préférable de consommer les grains entiers qui contiennent moins d’amidon.
 
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Une nouvelle perspective de traitement du cancer du sein

Habituellement, pour traiter le cancer du sein le plus fréquent, celui à récepteurs d’œstrogène positifs, on utilise l’anastrozole ou le fulvestrant.
 
Une nouvelle étude présentée lors d’un colloque de spécialistes du cancer du sein démontre toutefois que la combinaison de ces deux médicaments prolonge la vie des patientes.
 
Durant les essais, les chercheurs ont réussi à prolonger de six mois la vie des femmes ménopausées atteintes de ce type de cancer du sein en les traitant avec les deux molécules, comparativement à celles ayant reçu seulement l’anastrozole.
 
Il s’agit de la première avancée significative dans le domaine depuis une dizaine d’années.
 
Cette découverte ouvre la voie à une nouvelle approche dans les traitements du cancer du sein pour des milliers de femmes.
 
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Un gène aiderait à lutter contre le cancer du sein

Depuis un moment déjà, on soupçonnait le gène 14-3-30σ d’empêcher la scission des cellules cancéreuses du sein. Une équipe du Centre de recherche sur le cancer Goodman de l’Université McGill a voulu confirmer l’hypothèse et y est parvenue.
 
Selon le Cancer Discovery, ce gène joue un rôle important dans la lutte contre la maladie. Il influence l’interruption du déclenchement et de la progression du cancer. Il s’agit donc d’une nouvelle cible potentielle pour de nouveaux traitements qui pourraient ralentir la progression du cancer ou même la freiner carrément.
 
Pour parvenir à de tels résultats, les chercheurs ont utilisé des souris transgéniques qui exprimaient l’oncogène ErbB2 et ont désactivé le gène 14-3-30σ dans la glande mammaire.
 
« Nous avons découvert que la perte de cette expression entraînait l’accélération radicale de l’apparition d’une tumeur. Les gènes 14-3-3 et ErbB2 coopèrent, le premier agissant comme un frein. Sans ce frein, l’ErbB2 peut induire la scission indéfinie des cellules. Par ailleurs, non seulement la capacité de ces cellules à se fractionner augmente-t-elle, mais ces cellules deviennent métastatiques et peuvent envahir des zones distantes », explique le professeur William J. Muller.