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Santé Canada ne recommande plus l’Avastin pour le cancer du sein

Après la Food and Drug Administration aux États-Unis qui ne recommande plus l’Avastin depuis novembre pour combattre le cancer du sein, c’est au tour de Santé Canada d’emboîter le pas.
 
Ainsi, le médicament n’est plus recommandé au Canada pour traiter le cancer du sein.
Un comité d’experts a jugé que les risques dépassaient les avantages potentiels.
 
Selon eux, il n’existe aucune preuve valable que l’Avastin retarde la croissance des tumeurs ni ne prolonge la vie des patientes.
 
Le médicament peut causer des crises cardiaques, de l’hypertension grave, des saignements et même de petites fissures à certains organes.
 
L’Avastin n’est donc plus une option au Canada pour le cancer du sein, mais il demeure recommandé pour les patients avec des cancers métastatiques du côlon, du rectum, du rein ou du poumon.
 
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Nouvelles normes canadiennes pour le dépistage du cancer du sein

Le Journal de l’Association médicale canadienne publie les nouvelles recommandations en ce qui concerne le dépistage du cancer du sein.
 
Ainsi, on mentionne que les femmes âgées de 40 à 49 ans ne devraient pas subir de mammographie de routine. Les faux positifs et les traitements qui en découlent causent des effets négatifs qui dépassent les avantages potentiels.
 
Dans les recommandations de 2001, on disait que les femmes de 50 à 69 ans devaient passer une mammographie tous les deux ans. On indique maintenant que cela peut aussi se faire tous les deux à trois ans.
 
Pour la première fois, on inclut également les femmes de 70 à 74 ans, auxquelles on recommande de passer une mammographie de routine aussi souvent que les femmes de 50 à 69 ans.
 
Ces nouvelles recommandations s’adressent aux femmes présentant un risque moyen de développer un cancer du sein, c’est-à-dire qu’elles n’en ont jamais eu un, qu’elles n’ont pas de proche (mère ou soeurs) qui est atteint, qu’elles n’ont pas une mutation génétique qui prédispose à la maladie et qu’elles n’ont pas été exposées à des radiations au niveau du torse.
 
L’auto-examen des seins est toujours recommandé également.
 
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La chimiothérapie cause des dommages au cerveau

Les patientes atteintes d’un cancer du sein qui doivent suivre des séances de chimiothérapie peuvent voir le traitement leur causer des lésions cérébrales.
 
L’équipe de chercheurs de l’Université Stanford a découvert une réduction importante de l’activité cérébrale dans certaines zones du cerveau liées à la mémoire et la planification.
 
Pour l’étude, on a réuni 25 personnes ayant subi de la chimiothérapie, 19 ayant eu un cancer du sein nécessitant une chirurgie et d’autres traitements, et 18 femmes en bonne santé.
 
Elles devaient toutes effectuer du triage de cartes et résoudre des problèmes pendant que leur activité cérébrale était surveillée avec l’imagerie cérébrale. En plus, elles devaient répondre à un questionnaire évaluant leurs propres capacités.
 
Les 25 personnes ayant eu la chimiothérapie ont fait plus d’erreurs dans les tâches et ont démontré une moins grande activité dans certaines zones de leur cerveau.
 
Cela confirme les plaintes de plusieurs patientes depuis des années mentionnant des trous de mémoire et des idées brouillées. La plupart des médecins liaient ces effets au stress du diagnostic.
Dans les cas extrêmes, on parle également de perte de vision et de démence à la suite de traitements de chimiothérapie.
 
D’autres études sont en cours.
 
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Les antécédents familiaux de cancer du sein et l’alcool ne font pas bon ménage

Il y a quelques jours, on apprenait que même une consommation modérée d’alcool favorisait le développement du cancer du sein.
 
Cette fois, le Daily Mail rapporte que les risques sont encore plus importants chez les femmes ayant des antécédents familiaux.
 
Les femmes dont certains membres de leur famille ont eu un cancer du sein sont deux fois plus susceptibles de développer une tumeur bénigne si elles consomment de l’alcool.
 
En réduisant leur consommation, elles réduisent du même coup les risques d’être malades.
 
L’équipe de la Harvard Medical School a suivi 7000 jeunes filles âgées de 9 à 15 ans, de 1996 à 2007. Dix-sept pour cent d’entre elles avaient une mère, une tante ou une grand-mère ayant un cancer du sein, et un peu plus avaient une mère ayant eu une tumeur bénigne.
 
Parmi les femmes qui buvaient le plus, soit environ un verre par jour à 22 ans, 3,1 % avaient développé une tumeur bénigne, alors qu’elles n’étaient que 1,3 % chez celles qui ne consommaient pas d’alcool.
 
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Un risque de cancer du sein accru avec le vin

Alors que l’on vante habituellement les mérites du vin, une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association mentionne qu’une consommation de deux verres quotidiennement augmente les risques de tumeurs mammaires de 50 %.
 
Selon les équipes des universités Harvard, Brigham et du Women’s Hospital de Boston, les femmes qui boivent trois à six verres de vin par semaine augmentent leurs risques de développer un cancer du sein de 15 %, comparativement à celles qui ne boivent jamais d’alcool. Pire encore, les femmes qui consomment plus de deux verres par jour font grimper ces risques à 51 %.
 
Pour en arriver à ces résultats, les chercheurs ont analysé les données de 105 986 femmes âgées de 30 à 55 ans. Elles ont été interrogées sur leurs habitudes de consommation actuelles et lorsqu’elles étaient plus jeunes. Sur 30 ans, on a enregistré 7690 cas de cancer du sein métastasé parmi ce groupe de femmes.
 
Consommer de l’alcool entre 18 et 40 ans augmente les risques de développer un cancer du sein, et ces risques persistent même si les femmes diminuent leur consommation après 40 ans.
 
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Les statines réduiraient les risques de cancer du sein récurrent

Une dose quotidienne d’un certain type de statines pourrait réduire les risques de récidive du cancer du sein.
 
Un médicament utilisé pour réduire le taux de mauvais cholestérol, les statines nommées simvastatine, réduirait les risques de récidive du cancer du sein de 30 %, rapporte le Journal of the National Cancer Institute.
 
Les chercheurs ont suivi, pendant sept ans, 19 000 femmes ayant eu un diagnostic de cancer du sein entre 1996 et 2003. Ils ont constaté que celles qui prenaient ce type de statines avaient moins de chances de voir leur cancer récidiver.
 
Ces résultats prometteurs justifient le début d’études plus approfondies sur le sujet afin de savoir si les statines peuvent réellement devenir une alternative clé dans la prévention des récidives du cancer.
 
Déjà, un taux de cholestérol élevé est à l’origine de nombreux problèmes de santé et serait un facteur de risque pour le développement d’une tumeur au sein.
 
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Du venin d’araignée contre le cancer du sein?

Voilà tout un défi qui attend l’équipe de l’Université du Queensland, en Australie. On souhaite étudier le venin d’araignée, la mygale de l’île australienne Fraser, qui abrite plusieurs araignées des plus mortelles du monde, pour savoir s’il pourrait traiter le cancer du sein.
Déjà, on sait que le venin de serpent peut traiter la douleur et que le venin de scorpion a donné des résultats prometteurs sur des souris avec des cellules tumorales.
 
Le venin de certaines araignées est si fort qu’il peut s’attaquer au système nerveux central, et on croit qu’il pourrait cibler les cellules cancéreuses du sein.
 
Les chercheurs fondent de grands espoirs dans cette recherche, mentionne MaxiSciences.
 
Selon les scientifiques, les venins des animaux ne demandent qu’à être exploités, car ils regorgeraient de secrets bien gardés que l’on pourrait fortement utiliser en médecine.
 
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Une mammographie plus tôt

Une recherche publiée dans le journal Cancer, réalisée par le Massachusetts General Hospital, suggère que les mammographies soient pratiquées sur les femmes dès l’âge de 25 ans.

La mammographie est une radiographie à très faible dose des tissus du sein. Les clichés mammaires fournissent des images détaillées du sein sous différents angles.

Selon les conclusions de cette étude, pratiquer la mammographie plus tôt pourrait prévenir des mutations génétiques qui peuvent se conclure en cancer. Se faisant, les chercheurs croient qu’ils pourraient sauver plus de vies.

Chez les femmes de 40 ans et moins ayant le cancer du sein, une femme sur 10 doit ce cancer à une mutation génétique.

L’étude révèle également que si elles passaient une mammographie annuelle à compter de l’âge de 25 ans, les femmes gagneraient de 1,3 à 1,8 an d’espérance de vie.

On estime qu’en 2011, il y aura 23 600 nouveaux cas de cancer du sein chez la femme au Canada. Il s’agit du type de cancer le plus fréquemment diagnostiqué chez la femme au Canada.

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Les graines de lin contre le cancer du sein

Consommer des graines de lin diminue les risques de mourir d’un cancer du sein de 40 %, rapporte le Journal of Clinical Oncology.
 
Les graines, le blé et les légumes contiennent des composés végétaux spéciaux nommés les phytoestrogènes, dont les principaux sont les lignanes. Ces composés peuvent tuer les cellules cancéreuses et aider à prévenir l’apparition de tumeurs secondaires en freinant la croissance vaisseaux sanguins.
 
Les graines de lin sont une excellente source de lignanes, vous pouvez facilement les saupoudrer sur des céréales et sur des salades ou en ajouter à vos gâteaux ou yogourts.
 
Les chercheurs ont analysé les échantillons sanguins de plus de 1 000 femmes avec un cancer du sein pour en mesurer le niveau de phytoestrogènes.
 
Les patientes avec les plus hauts niveaux voyaient leur taux de mortalité être réduit. De plus, elles bénéficiaient d’une meilleure protection contre des cancers secondaires.
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Découverte importante pour le cancer du sein et les risques de métastases

Le Journal of National Cancer Institute nous apprend que des chercheurs français de l’Institut Pasteur ont découvert un marqueur qui pourrait déterminer les risques possibles de métastases aux poumons pour les femmes qui sont atteintes d’un cancer du sein.
 
Apparemment, l’expression du gène Kindlin-1 permettrait d’indiquer les risques que le cancer du sein se propage aux poumons. Ce gène pourrait également servir éventuellement comme cible thérapeutique.
 
Avec cette découverte, on espère que l’on pourra arrêter la prolifération des cellules cancéreuses.
 
Ces chercheurs ont également pu identifier six gènes, liés au cancer du sein, qui ont une forte tendance à développer des métastases aux poumons.
 
Au Canada, 23 400 femmes vont recevoir un diagnostic de cancer du sein cette année et 5 100 vont malheureusement en mourir.