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Les noix réduiraient le risque de cancer du sein

Le Nutrition and Cancer nous apprend que les risques de cancer du sein sont significativement réduits si les noix font partie intégrante de l’alimentation.
C’est ce qui a été observé sur des souris génétiquement programmées pour développer un cancer du sein.
 
L’étude a comparé les effets d’une alimentation incluant les noix (l’équivalent de deux onces pour l’humain) et d’une alimentation typique, et ce, dès la conception, pendant le sevrage et dans la nourriture par la suite.
Le groupe de souris ayant consommé des noix avait développé moins de cancers. Le nombre et la taille des tumeurs étaient réellement plus petits que chez le groupe ayant eu une alimentation typique.
 
Les ingrédients des noix auraient influencé l’activité de plusieurs gènes liés au cancer du sein.
 
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Découverte dans la recherche sur le cancer du sein

Le Cancer Research mentionne que des chercheurs de l’Inserm et du CNRS qui travaillent sur les tumeurs du cancer du sein ont trouvé des vaisseaux spécifiques qui ouvrent la voie à de nouvelles thérapies contre la maladie.

Les vaisseaux HEV permettraient un meilleur accès des lymphocytes tueurs vers les cellules cancéreuses. Ce sont les globules blancs de défense. De cette façon, il serait possible de détruire les tumeurs efficacement.

Les lymphocytes ont déjà pour but de détruire les cellules malades, mais pour ce faire, il est nécessaire d’en avoir en grand nombre. Avec ces vaisseaux spécifiques, il serait possible d’en obtenir en quantité suffisante pour combattre la tumeur.

Lorsque les médecins trouvent des lymphocytes dans les tumeurs du cancer du sein, c’est habituellement bon signe déjà, mais en maximisant leur accès, cela pourrait éradiquer les tumeurs.

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Risque élevé de cancer chez les mamans afro-américaines

Selon une étude effectuée auprès de 59 000 Afro-américaines, menée depuis 1995, les risques de cancer sont particulièrement élevés chez ces femmes lorsqu’elles n’allaitent pas.

Précisément, comme l’explique La Presse, cette population de femmes est 50 % plus exposée à un cancer du sein (celui dit « de récepteurs hormonaux négatifs aux oestrogènes et à la progestérone ») si elle a 2 enfants ou plus et qu’elle n’allaite pas.

Sur toute la cohorte, 318 femmes ont développé ce type de cancer du sein, alors qu’une tumeur cancéreuse avec ces mêmes récepteurs et hormones a été diagnostiquée chez 457 d’entre elles.

Une augmentation de 50 % de prévalence a été remarquée chez les femmes qui avaient accouché de 2 bébés ou plus, sauf pour celles qui avaient choisi l’allaitement.

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Nouveau traitement pour les cancers du sein résistants

Une protéine nouvellement développée pourrait être efficace pour détruire les tumeurs HER2- positif qui ont cessé de répondre au traitement Herceptin, nous apprend le Clinical Cancer Research.
 
Appelée Affitoxin, la protéine a fait l’objet de premiers tests en laboratoire prometteurs effectués sur des souris. Maintenant, on espère pouvoir passer aux tests sur des femmes pour confirmer les résultats.
 
S’ils s’avèrent concluants, cela représenterait un grand espoir pour les femmes ayant un HER2-positif résistant, car jusqu’à présent, il n’y a pas vraiment d’alternative et la croissance de cette tumeur est habituellement assez rapide, malheureusement.
 
Le traitement Herceptin a grandement aidé dans le combat contre le cancer du sein, mais dans certains cas, il est insuffisant pour combattre la maladie. L’Affitoxin serait donc la voie de secours pour des milliers de femmes.
 
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L’efficacité de la mammographie confirmée

La mammographie réduit considérablement le taux de mortalité du cancer du sein. Dans les dernières années, ce type d’examen ne faisait plus l’unanimité et était même remis en question par certains médecins.
 
La plus vaste étude sur le cancer du sein effectuée à ce jour confirme maintenant l’efficacité des mammographies.
 
Selon ce que rapporte la revue Radiology, ce dépistage systématique réduit de 30 % le taux de mortalité lié à la maladie.
 
Cette étude s’est déroulée sur 29 ans et comptait 130 000 Suédoises de 40 à 74 ans.
 
Durant les sept premières années, la moitié des participantes ont eu des mammographies tous les deux ou trois ans, alors que l’autre moitié n’a reçu que les soins médicaux courants.
 
En conclusion, il y a eu 30 % moins de décès avec les mammographies et cette différence a persisté durant toutes les années de l’étude.

Le rapport affirme également que les méthodes de dépistage et les traitements se sont beaucoup améliorés dans les dernières années.

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Même un demi-verre d’alcool augmente les risques de cancer du sein

Il est reconnu que l’abus d’alcool accroit les risques de développer un cancer. Une étude britannique de l’Université Oxford, effectuée auprès d’un million de femmes, démontre que même en respectant les limites de consommation recommandées, les risques de maladie demeurent présents.
 
En fait, même avec un seul demi-verre de vin par jour, on augmente les risques de cancer du sein de 10 %. Il n’y aurait donc pas de limite sécuritaire.
 
Toutefois, on admet que les risques sont tout de même minimes et que les femmes devraient se fier à leur jugement.

Selon le Daily Mail, celles avec de forts antécédents familiaux de cancer du sein devraient peut-être tourner le dos à l’alcool afin de réduire le plus possible leurs chances de développer la maladie.

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Le persil et le céleri auraient des effets protecteurs contre le cancer du sein

Une série d’essais cliniques menés sur des rates laissent croire que le persil et le céleri pourraient offrir une protection contre le cancer du sein.
 
Les rates ont toutes été exposées à une progestérone habituellement prescrite comme hormone de remplacement pour les femmes en ménopause. Elles ont aussi reçu de l’apigénine. Il s’agit d’un flavonoïde que l’on retrouve notamment dans le persil et le céleri, mais aussi dans les pommes, les oranges et les noix, mentionne le Cancer Prevention Research.
 
Les tumeurs cancéreuses liées à l’hormonothérapie de remplacement étaient 50 % moins nombreuses. De plus, on a remarqué que l’apigénine avait comme effet de ralentir la croissance des tumeurs.
 
Selon l’équipe de l’Université du Missouri, l’apigénine freine l’action des progestatifs qui augmentent les risques de cancer du sein. Elle bloque donc l’effet cancérigène qui est souvent lié à l’hormonothérapie de remplacement.
 
Aucun test n’a encore été fait sur l’humain, mais les chercheurs croient réellement qu’ils obtiendront des résultats similaires et qu’une alimentation riche en apigénine réduirait les risques de maladie.
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Des médicaments contre l’hypertension augmentent la survie au cancer du sein

Les bêtabloquants, couramment utilisés pour combattre l’hypertension artérielle, aident à se remettre d’un cancer du sein.
Selon l’étude rapportée par le Daily Mail, les femmes qui prennent ce type de médicament ont de meilleures chances de survie à la maladie, et ce, sans récidive.
 
Deux études sur le sujet ont démontré les bienfaits de ces médicaments. Dans une première étude, les femmes qui en avaient ont survécu plus longtemps, sans récidive de la maladie, que les femmes qui ne prenaient pas de médicaments contre l’hypertension.
 
Dans la deuxième étude, les femmes avec ce traitement étaient moins susceptibles d’avoir un cancer agressif et d’en mourir.
 
Après trois ans, on a remarqué que 87 % des femmes sous bêtabloquants étaient encore en vie et en santé, comparativement à 77 % chez celles sans médicaments.
 
Maintenant, il reste à prouver le lien entre ces meilleures chances de survie potentielles et les médicaments contre la pression artérielle.
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Une grande consommation de café réduirait les risques de cancer du sein

Après avoir analysé les données de 6 000 femmes, les chercheurs de l’Institut Karolinska à Stockholm mentionnent que celles qui consomment du café quotidiennement ont moins de risques de développer les formes agressives du cancer du sein, en particulier si elles boivent cinq tasses et plus par jour.
 
Le café freinerait le développement des récepteurs d’œstrogènes négatifs du cancer, rapporte le journal Breast Cancer Research.
 
Avec une consommation quotidienne de cinq tasses, les risques de cancer seraient réduits de 57 %, comparativement aux femmes qui boivent moins de café.
 
On note aussi une diminution des risques pour tous les cancers, mais elle serait moins significative. Par le passé, des études ont relevé les bienfaits du café, notamment contre le cancer de la prostate et du foie.
 
Cependant, les chercheurs demeurent divisés sur les bienfaits du café contre le cancer, car d’autres études démontraient que cette boisson favorisait l’apparition de la maladie. Les recherches devront donc se poursuivre à ce sujet.
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Un mode de vie sain réduit les risques de cancer du sein de moitié

Les experts affirment que la moitié des cas de cancer du sein pourraient être évités si les femmes adoptaient un mode de vie sain.
 
Ainsi, en réduisant leur consommation d’alcool, en se nourrissant bien et en faisant 30 minutes d’exercices par jour, elles auraient moins de risques de développer la maladie.
Cela ne protège pas à 100 % contre le cancer du sein, mais ce mode de vie réduit tout de même les chances d’être malade.
 
Il a été démontré que la consommation d’alcool favorise l’apparition du cancer du sein. Ainsi, on devrait limiter la consommation à un verre de boisson quotidiennement maximum.
 
Le World Cancer Research Fund recommande également de perdre du poids, sans toutefois tomber dans l’insuffisance pondérale. Ainsi, il est préférable d’éviter le gras, le sel et le sucre, de diminuer sa consommation de viandes rouges et transformées et d’opter plutôt pour les fruits, légumes et légumineuses notamment.
 
Ces nouvelles données, rapportées par le Telegraph, démontrent qu’il y a encore un long chemin à faire afin de promouvoir la prévention du cancer du sein par de saines habitudes auprès des femmes.