Étiquette : cancer du sein
Une recherche de l’Université de Guelph sous-entend qu’un régime alimentaire comprenant beaucoup d’acides gras comme les oméga-3 serait la meilleure prévention du cancer du sein.
Rappelons finalement que le cancer du sein est celui qui est le plus diagnostiqué chez les Canadiennes. Il est aussi la deuxième cause de décès chez les gens atteints du cancer.
Les femmes ménopausées qui fument et celles qui ont fumé durant leur jeunesse, même si elles ont abandonné, ont 16 % plus de risques de développer un cancer du sein que celles qui n’ont jamais allumé une cigarette de leur vie.
L’étude parue dans le British Medical Journal a suivi 80 000 femmes de 50 à 79 ans pendant une période de 10 ans.
Les chercheurs constatent que plus une femme a commencé à fumer jeune, plus les risques de cancer du sein sont importants.
Les travaux révèlent également que les femmes fortement exposées au tabagisme passif ont 32 % plus de risques de développer un cancer, surtout si cette exposition a eu lieu durant leur enfance.
On ne le dira jamais assez, il est préférable de cesser de fumer ou même de ne jamais commencer. Le tabagisme est lié à de nombreux cancers, dont les plus connus sont ceux des poumons, de la gorge et de la bouche.
Des chercheurs du Queen’s University à Belfast sont parvenus à créer la technologie d’un nouveau gène capable de causer l’autodestruction des cellules du cancer du sein.
L’International Pharmacy Journal mentionne qu’en utilisant un minuscule système de transport, des gènes peuvent être amenés directement dans les cellules du cancer, provoquant ainsi leur mort.
Ce système de transport baptisé le Designer Biomimetric Vector ressemble à un gène de la taille d’une nanoparticule 400 fois plus petite que la largeur d’un cheveu humain.
Les résultats en laboratoire ont été très positifs, et l’on croit que cette technique pourrait aider à traiter les personnes avec un cancer avec métastases qui s’est propagé dans les os. Toutefois, selon la Dre Helen McCarthy, cette technique devrait être utilisée avant que la personne ne reçoive des traitements de radiothérapie et de chimiothérapie.
Cette attaque de gènes dans les cellules les rendrait plus vulnérables et plus faciles à détruire qu’avec les traitements usuels. De plus, cela permettrait de diminuer les effets secondaires.
Maintenant, il reste à convertir ces nanoparticules en poudre sèche qui pourra être transportée et reconstituée avant d’être donnée aux patients.
Les femmes qui subissent des traitements contre le cancer du sein sont plus à risque d’avoir une fracture, notamment celle du col du fémur, qui habituellement se produit chez les femmes de plus de 70 ans.
Ceci en raison du fait que les traitements fragilisent les os des patientes, rapporte une étude américaine publiée dans le Clinical Cancer Research.
Selon les chercheurs de Chicago, les traitements provoquent un affaiblissement de la densité osseuse. En fait, cela est dû à la ménopause précoce qui suit souvent les traitements contre le cancer. Ceci affecte donc la densité osseuse, comme le ferait l’ostéoporose avec l’âge.
Ce phénomène doit être pris au sérieux par les médecins qui suivent les patientes en rémission, car elles peuvent facilement se fracturer la hanche ou le col du fémur par un simple choc, une petite chute ou encore par un simple faux mouvement.