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Cancer du sein : trois nouveaux gènes découverts

Alors qu’ils étudiaient les causes génétiques du cancer du sein, les chercheurs de l’Institut de recherche en cancérologie de Londres ont fait une découverte totalement inattendue.
 
Ils ont trouvé trois gènes liés au cancer du sein. Cette surprise leur semblait tellement improbable que le tout a dû être revérifié afin de confirmer qu’il ne s’agissait pas d’une erreur.
 
Selon la revue PLoS Genetics, cette découverte majeure ouvrira la voie à de nouveaux traitements qui pourront sauver la vie de millions de femmes.
 
Pendant cinq ans, on a étudié l’ADN de 104 femmes avec un cancer du sein. Les chercheurs s’étaient attardés sur un récepteur à la surface des cellules cancéreuses. Cette protéine favorise la croissance des tumeurs cancéreuses lorsque l’hormone sexuelle, l’œstrogène, s’y fixe.
 
Habituellement, les traitements contre le cancer du sein freinent la production de cette hormone, mais de plus en plus, on assiste à des cas plus résistants.
 
La découverte des trois nouveaux gènes pourrait changer la façon de traiter la maladie. Maintenant, on veut identifier précisément ces trois gènes dans le développement de la maladie.
 
« Nous devons examiner de plus près le fonctionnement de ces gènes. La découverte pourrait conduire à d’éventuelles nouvelles thérapies qui profiteront aux femmes atteintes d’un cancer du sein dans un proche avenir », explique l’auteure des travaux, Anita Dunbier.
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Les carottes et les patates douces pour vaincre le cancer du sein

L’acide rétinoïque, un dérivé de la vitamine A, contenu dans les carottes et les patates douces pourraient aider à freiner la progression des cellules cancéreuses du sein à un stade précoce de la maladie. Passé ce stade, il n’y aurait plus aucune efficacité, mentionne le Daily Mail.
 
Cet acide, qui a aussi des effets rajeunissants sur la peau, affecte directement la croissance cellulaire et la prolifération de celle-ci.
 
Cette découverte ouvre donc la voie à la création de nouveaux traitements possibles à base d’acide rétinoïque qui a des propriétés anti-cancer.
 
En fait, l’acide rétinoïque entre en interaction avec le gène RAR-beta, ce qui déclenche une cascade d’effets biologiques ayant pour résultat de stopper la maladie lorsqu’elle est encore au tout début.
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Prévenir le cancer dès le plus jeune âge

Une recherche de l’Université de Guelph sous-entend qu’un régime alimentaire comprenant beaucoup d’acides gras comme les oméga-3 serait la meilleure prévention du cancer du sein.

En fait, l’exposition aux oméga-3, même avant la naissance, réduirait de 20 % la taille et le nombre de tumeurs cancéreuses aux seins à l’âge adulte. Il semble donc que ce qu’un enfant mange et ce que sa mère a mangé durant la grossesse ont une forte incidence sur l’apparition du cancer.
 
Afin de soutenir ces hypothèses, les chercheurs se sont fiés à des données sur des embryons, des bébés et des tout-petits quant à l’influence de certains nutriments sur leur santé générale et future.
 
Le tissu mammaire est en croissance constante de la naissance à la première grossesse. On sait toutefois que certaines périodes du développement sont plus enclines aux mutations que d’autres, ce qui peut entraîner le cancer du sein. Chacune d’entre elles inclut différents facteurs de risque, dont le régime alimentaire.

Rappelons finalement que le cancer du sein est celui qui est le plus diagnostiqué chez les Canadiennes. Il est aussi la deuxième cause de décès chez les gens atteints du cancer.

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Le lait maternel pour prédire les risques de cancer du sein

Des chercheurs américains croient que le lait maternel pourrait être utilisé pour déceler la présence de cellules cancéreuses.
 
Cela permettrait, dans quelques années, de faire un test de dépistage pour toutes les femmes qui accouchent à l’hôpital. Ce test serait beaucoup moins invasif et pourrait être offert aux femmes plus jeunes.
 
En effet, même si le cancer du sein frappe majoritairement les femmes de plus de 50 ans, un cas sur cinq se retrouve dans le groupe d’âge inférieur. Il n’existe aucun moyen pour détecter la maladie, car la mammographie est majoritairement prescrite pour les plus de 50 ans.
 
Avec le lait maternel, le test serait donc très facile.
 
Selon le Daily Mail, des chercheurs de l’Université du Massachusetts ont prélevé des échantillons de lait chez 250 femmes qui avaient eu une biopsie auparavant. On a donc constaté que chez celles dont la biopsie avait décelé la présence d’une tumeur cancéreuse, les cellules de leur lait portaient des traces génétiques de la maladie.
 
Cette découverte sera plus expérimentée au cours des prochains mois pour confirmer les résultats.
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Une explication du lien entre l’obésité et le cancer du sein

Des chercheurs français de l’Université Paul Sabatier ont mis en lumière le lien possible entre le cancer du sein et l’obésité.
 
Depuis des années, on soupçonnait que l’obésité favorisait la propagation de la maladie, plusieurs statistiques démontrant effectivement un lien possible, mais on en ignorait la raison.
 
L’étude française publiée dans le Cancer Research mentionne que les chercheurs ont mis en évidence que près des tumeurs se trouvaient des cellules de tissus graisseux. Celles-ci, liées à la tumeur, modifient les cellules cancéreuses en les rendant plus agressives.
 
« Nos résultats démontrent aujourd’hui comment les adipocytes participent activement à la progression du cancer orchestrée par les cellules tumorales. Ils suggèrent qu’en cas d’obésité, les adipocytes associés au cancer du sein seraient plus enclins à amplifier l’effet agressif des tumeurs », disent les auteurs des travaux.
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Jennifer Aniston, Demi Moore et Alicia Keys deviennent réalisatrices

Jennifer Aniston, Demi Moore, Alicia Keys et Patty Jenkins (Monster) ont toutes été choisies pour réaliser un court-métrage ayant pour thème l’impact de l’annonce d’un cancer du sein sur les femmes touchées et leurs proches.
 
En tout, cette campagne de sensibilisation présentera cinq courts-métrages, donc une autre personnalité sera bientôt annoncée pour le projet, rapporte Deadline.
 
L’idée a été lancée par la cocréatrice de la série Friends, Martha Kauffman.
 
Aniston s’est dite honorée de participer à cette campagne. « Avec Project Five, nous souhaitons divertir, informer, inspirer les échanges, la recherche et la prévention contre le cancer du sein. Nous voulons que ces films touchent le public, qu’ils donnent de l’espoir et du courage aux malades du cancer du sein afin qu’ils trouvent la force de faire face à cette terrible maladie. Elle nous concerne tous. »
 
Par ailleurs, Jennifer Aniston sera en vedette dans le film Horrible Bosses dès le 8 juillet et Demi Moore attend une date de sortie pour la comédie LOL. Quant à Alicia Keys, elle est apparue en 2007 dans le film The Nanny Diaries et son dernier film était The Secret Life of Bees en 2008.
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Une mauvaise santé bucco-dentaire reliée à un risque accru de cancer du sein

Pour la première fois, une étude établit un lien entre la santé bucco-dentaire et le cancer du sein.
 
Selon les recherches de l’Institut Karolinska en Suède, rapportées par MedicMagic, les femmes ayant souvent des maladies des gencives et des pertes de dents ont 11 fois plus de risques de développer un cancer du sein.
 
Sur les 3 000 patientes de l’étude, 41 avec un cancer du sein souffraient d’une mauvaise santé bucco-dentaire.
 
Selon le Dr Nigel Carter, il reste encore beaucoup de données à confirmer pour affirmer sans l’ombre d’un doute qu’il existe bel et bien un lien entre ce cancer et la santé bucco-dentaire.
 
Les maladies des gencives sont souvent causées par une bactérie de la plaque dentaire. Si cela s’aggrave, l’os de la mâchoire peut être affecté, rendant la dent chancelante. Si cela n’est pas traité, la dent peut tomber.
 
Par le passé, on a également établi que les infections de la bouche pouvaient notamment affecter la circulation sanguine et le cœur.
 
Le meilleur moyen de prévenir les problèmes est de se brosser les dents pendant deux minutes deux fois par jour et d’utiliser la soie dentaire une fois par jour. Il est également recommandé de visiter régulièrement un dentiste.
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Le tabagisme passif augmente les risques de cancer du sein

Les femmes ménopausées qui fument et celles qui ont fumé durant leur jeunesse, même si elles ont abandonné, ont 16 % plus de risques de développer un cancer du sein que celles qui n’ont jamais allumé une cigarette de leur vie.

L’étude parue dans le British Medical Journal a suivi 80 000 femmes de 50 à 79 ans pendant une période de 10 ans.

Les chercheurs constatent que plus une femme a commencé à fumer jeune, plus les risques de cancer du sein sont importants.

Les travaux révèlent également que les femmes fortement exposées au tabagisme passif ont 32 % plus de risques de développer un cancer, surtout si cette exposition a eu lieu durant leur enfance.

On ne le dira jamais assez, il est préférable de cesser de fumer ou même de ne jamais commencer. Le tabagisme est lié à de nombreux cancers, dont les plus connus sont ceux des poumons, de la gorge et de la bouche.

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Une grande percée dans la lutte contre le cancer du sein

Des chercheurs du Queen’s University à Belfast sont parvenus à créer la technologie d’un nouveau gène capable de causer l’autodestruction des cellules du cancer du sein.

L’International Pharmacy Journal mentionne qu’en utilisant un minuscule système de transport, des gènes peuvent être amenés directement dans les cellules du cancer, provoquant ainsi leur mort.

Ce système de transport baptisé le Designer Biomimetric Vector ressemble à un gène de la taille d’une nanoparticule 400 fois plus petite que la largeur d’un cheveu humain.

Les résultats en laboratoire ont été très positifs, et l’on croit que cette technique pourrait aider à traiter les personnes avec un cancer avec métastases qui s’est propagé dans les os. Toutefois, selon la Dre Helen McCarthy, cette technique devrait être utilisée avant que la personne ne reçoive des traitements de radiothérapie et de chimiothérapie.

Cette attaque de gènes dans les cellules les rendrait plus vulnérables et plus faciles à détruire qu’avec les traitements usuels. De plus, cela permettrait de diminuer les effets secondaires.

Maintenant, il reste à convertir ces nanoparticules en poudre sèche qui pourra être transportée et reconstituée avant d’être donnée aux patients.

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Plus de risques de fracture avec les traitements contre le cancer du sein

Les femmes qui subissent des traitements contre le cancer du sein sont plus à risque d’avoir une fracture, notamment celle du col du fémur, qui habituellement se produit chez les femmes de plus de 70 ans.

Ceci en raison du fait que les traitements fragilisent les os des patientes, rapporte une étude américaine publiée dans le Clinical Cancer Research.

Selon les chercheurs de Chicago, les traitements provoquent un affaiblissement de la densité osseuse. En fait, cela est dû à la ménopause précoce qui suit souvent les traitements contre le cancer. Ceci affecte donc la densité osseuse, comme le ferait l’ostéoporose avec l’âge.

Ce phénomène doit être pris au sérieux par les médecins qui suivent les patientes en rémission, car elles peuvent facilement se fracturer la hanche ou le col du fémur par un simple choc, une petite chute ou encore par un simple faux mouvement.