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La vasectomie liée à un risque plus élevé du cancer de la prostate

Avant de paniquer, dites-vous que plusieurs urologues qui n’ont pas participé à l’étude affirment que plus de recherches seront nécessaires pour déterminer si les résultats de cette étude représentent la réalité.

Quand même, la recherche a nécessité 24 ans de suivi auprès de plus de 49 400 hommes américains, et ce, depuis 1986. Pendant cette période, 6023 cas de cancer de la prostate ont été diagnostiqués, dont 811 ont été fatals.

Sur le total, 25 % des hommes avaient subi une vasectomie. Ceux-ci avaient un risque supérieur de 10 % de développer ce type de cancer, selon les résultats publiés dans le Journal of Clinical Oncology.

Cependant, cette augmentation n’était en rien reliée à un cancer léger. Les hommes vasectomisés étaient plutôt 56 % plus à risque d’un cancer de la prostate très agressif et mortel. Ce lien était encore plus fort chez les hommes ayant subi la vasectomie à un jeune âge.

Cependant, le risque absolu était minime, rapportent les scientifiques, soit 16 cancers mortels pour 1000 hommes.

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L’aspirine, un remède miracle contre le cancer du pancréas?

L’aspirine, à petites doses, est déjà reconnue pour ses propriétés préventives. Elle réduit le risque de maladie cardiaque, à priori, mais désormais, on lui attribue aussi la partie pancréatique.

Ce cancer mène à une mort certaine dans 93 % des cas. L’Institut National du Cancer estime que cette année uniquement, 46 000 nouveaux cas seront répertoriés, et donc 40 000 patients décéderont.

La recherche, basée sur une période de 5 ans, a étudié l’utilisation de l’aspirine chez 362 patients atteints du cancer du pancréas, ainsi que chez 690 patients à risque.

L’utilisation régulière d’aspirine signifiait au moins 1 fois par semaine pendant 3 mois. Ceux qui avaient pris cette habitude réduisaient le risque du cancer de 48 %.

Plus spécifiquement, ceux qui utilisaient l’aspirine de façon régulière depuis 1 à 3 ans diminuaient les probabilités de 43 %, et ceux qui en prenaient depuis 7 à 20 ans réduisaient de 56 %.

« Le cancer du pancréas prend de 10 à 15 ans à se développer », explique l’auteur de la recherche, le Dr Harvey A. Risch.

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L’écran solaire ne protège pas contre le plus mortel des cancers de la peau

Sans la protection du gène p53, le cancer de la peau peut rapidement prendre le dessus. Or, des scientifiques de l’Université de Manchester et de l’Institut de recherche du cancer ont découvert que la lumière UV passe même à travers la crème solaire.

De ce fait, les rayons UV s’attaquent directement au gène p53, et ce dernier est habituellement celui qui protège notre ADN contre les effets nocifs de la lumière du soleil.

« Il y a longtemps que nous savons que la lumière UV cause du mélanome malin, un type de cancer de la peau, mais la façon dont cela se produisait n’était pas claire », affirme le professeur Richard Marais. « La lumière UV vise spécifiquement le gène qui nous protège habituellement d’elle. »

Au terme de cette étude, comme le rapporte le Telegraph, Marais conçoit qu’il nous faudra utiliser « une combinaison d’écran solaire et d’une autre stratégie pour protéger notre peau ». Ceci inclut notamment « le port du chapeau, des vêtements amples et la recherche d’ombre lorsque le soleil est à son plus fort ».

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Découverte d’un nouveau cancer à la clinique Mayo

Cette nouvelle forme cancérigène s’attaquerait surtout aux femmes, rapporte Science World Report. Elle pose également des difficultés au niveau chirurgical, puisque si le cancer est détecté trop tard, il peut se répandre à tout le visage.

Les chercheurs de la Clinique Mayo ont découvert que lorsque les gènes PAX3 et MAML3 fusionnent, le résultat est une chimère qui cause un sarcome naso-sinusien biphénotypique. Son retrait peut défigurer le patient, mais les chercheurs croient qu’il y a espoir de traiter le cancer avec de la médication.

Les études à propos de ce sarcome ont commencé en 2004, lorsque deux pathologistes de la clinique ont détecté quelque chose de bizarre sur un échantillon de tumeur. Lorsque finalement ils ont conclu à cette découverte, ils ont retracé le premier sarcome naso-sinusien à un échantillon de 1956.

Les scientifiques s’intéressent particulièrement à cette maladie parce qu’elle pourrait offrir des réponses à un cancer commun chez les enfants, appelé le rhabdomyosarcome alvéolaire. Celui-ci présente des similitudes avec la chimère PAX3-MAML3.

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VPH : Pas de troisième dose du vaccin pour les jeunes du Québec

Alors qu’une campagne de vaccination et de sensibilisation contre le VPH bat son plein dans nos écoles, on apprend que les élèves de troisième secondaire qui devaient recevoir une troisième dose du vaccin pourront finalement s’en passer.

Le Devoir rapporte en effet l’abandon de la troisième phase de vaccination par le ministère de la Santé du Québec, après que celui-ci soit maintenant convaincu que les deux premières phases de vaccination s’avèrent suffisantes pour promettre une protection maximale contre le VPH.

Le ministère fait également valoir des raisons financières et mentionne que la population préfère de loin deux phases de vaccination seulement.

Une étude sera toutefois lancée afin de vérifier l’efficacité réelle d’une troisième dose du vaccin, une analyse qui sera effectuée auprès de 4000 jeunes filles.

« Le but de l’étude est de s’assurer que les deux doses vont donner la protection attendue. On sait, grâce au niveau des anticorps, que la réponse immunitaire au vaccin est très bonne chez les plus jeunes de 9-10 ans, même meilleure que chez les filles de plus de 16 ans. Mais la question qui reste en suspens, c’est la durée de la protection. On va avoir la seule étude qui pourra apporter une réponse à cette question », résume la Dre Marie-Hélène Mayrand, qui dirigera l’étude en question.

Le VPH serait responsable de 70 % des cas de cancer de l’utérus chez les jeunes Québécoises. On recense 325 nouveaux cas annuellement, et 80 décès.

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Johanne Fontaine croit que son cancer est le reflet du rejet du milieu artistique

Le Journal de Québec a rencontré la comédienne québécoise de 59 ans Johanne Fontaine. Celle-ci croit que son corps se bat contre le rejet qu’elle vit de la part du milieu artistique.

« Je suis toujours incapable d’écouter les téléromans, car je ne joue pas dedans, et ça me fait trop mal. Le milieu m’a abandonnée, rejetée. »

Malgré tout, elle affirme que sa nature combative donne du fil à retordre à la maladie. En 2010, lors de son diagnostic, il ne lui restait que 18 mois à vivre. Mais elle ne baisse pas les bras.

En octobre prochain, Johanne Fontaine subira à nouveau une opération majeure. « Jamais je ne me laisserai abattre. J’ai 59 ans, et je ne suis pas prête à mourir. »

L’actrice est également conférencière et coach de vie. Si son expérience lui permet d’aider les autres, elle ne demeure pas moins amère envers le milieu artistique. 

« J’aimerais bien faire l’émission de Pénélope McQuade, mais on ne m’y invite pas. Je ne suis peut-être pas assez hot pour l’émission? Sucré Salé ne me donne pas plus de nouvelles… »

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Taylor Swift vient en aide à un hôpital pour enfants

Taylor Swift a fait un don significatif pour un hôpital qui traite les enfants atteints de cancer, rapporte ELLE Canada.

La chanteuse a en effet donné une somme de 50 000 $ au centre hospitalier The Children’s Hospital de Philadelphie, en Pennsylvanie, afin de financer un programme musical pour les enfants qui y séjournent.

Le but su programme est de permettre d’améliorer le moral de ces jeunes, tout en leur donnant l’occasion de créer leur propre musique et d’apprendre la production musicale.

Les dirigeants du centre hospitalier se disent ravis d’une telle attention. « Le cadeau de Taylor Swift va aider à relever le moral de nombreux patients durant une période difficile. La musique de Taylor Swift est une inspiration pour un grand nombre de nos patients adolescents », déclare le président du centre médical, Steven M. Altschuler.

La directrice du programme de services psychosociaux de l’hôpital, Lamia Barakat, abonde dans le même sens. « Nous ne pouvons penser à une meilleure façon d’utiliser son cadeau que d’améliorer l’initiative Adolescent and Young Adult, créée pour soutenir le bien-être émotionnel de nos jeunes atteints de cancer. »

Taylro Swift poursuit quant à elle sa tournée Red, après une annulation en Thaïlande à la suite du coup d’État survenu dans ce pays.

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Kylie Minogue rêve encore de fonder une famille

La chanteuse australienne Kylie Minogue semble encore caresser le rêve de fonder une famille et d’élever des enfants, selon des propos rapportés par ELLE Canada.

Malgré ses 46 ans bien sonnés, la chanteuse ne semble ni ralentir ni perdre de sa beauté et de son charme. Après avoir combattu avec succès un cancer du sein en 2005, Kylie Minogue souhaite avoir des enfants, même si elle demeure réaliste.

« J’ai encore de l’espoir d’avoir une famille. Mais en étant une femme un peu plus âgée, je demeure réaliste. Tu dois y penser, et tu ne peux pas toujours dire que tu vas le faire ou pas, car ce n’est pas entièrement sous ton contrôle », lance Minogue au magazine OK!

La chanteuse croit que si elle ne réalise pas son rêve, elle pourra toujours offrir tout cet amour à ses filleuls, qu’elle adore et avec lesquels elle entretient une belle relation.

Kylie Minogue effectue un retour ces temps-ci avec l’album Kiss Me Once.

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Autre étape de franchie dans le traitement personnalisé du cancer

De plus en plus de spécialistes estiment qu’à défaut de trouver une cure générale pour tous les cas de cancers, il est probable qu’il faille se tourner vers un concept de traitement individuel, spécifique à chaque cas et chaque patient.

Top Santé rapporte le dépôt d’une nouvelle étude en la matière, qui vante elle aussi, à la suite d’essais, les mérites du traitement personnalisé.

Chaque patient et chaque tumeur possédant leur propre profil moléculaire, plusieurs chercheurs croient que l’avenir en matière de traitement du cancer se trouve dans cette démarche.

L’Institut Curie, qui publie cette plus récente étude sur le sujet afin d’effectuer un bilan de ce que les spécialistes appellent « l’essai Shiva », abonde dans le même sens.

« Sur les 100 premiers patients recrutés, la biopsie a pu être effectuée avec succès chez 95 % d’entre eux. Concernant la recherche de mutations, d’amplifications de gène et le dosage des récepteurs hormonaux, un résultat a pu être obtenu dans respectivement 66 %, 68 % et 92 % des cas. Au final, une thérapie ciblée a pu être administrée dans 38 % des cas, et le délai entre la biopsie et la décision thérapeutique a été de 26 jours en moyenne, soit moins de quatre semaines », résume le Dr Christophe.

« L’essai Shiva » a été effectué sur 100 patients au total. On souhaite maintenant poursuivre les recherches en augmentant le nombre de sujets à 900 patients, et ainsi améliorer les résultats de ces essais préliminaires.

D’autres résultats sont attendus d’ici deux ans (2016).

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Découverte d’un lien entre le thé vert et la prévention du cancer

Plusieurs spécialistes mentionnent depuis un bon moment les présumées vertus du thé vert en prévention du cancer, mais peu d’études sont venues établir ce lien de façon directe et scientifique.

C’est pourtant le cas d’une nouvelle étude sur le sujet, rapportée par MedicalNewsToday, qui explique le lien entre la consommation de thé vert et le ralentissement des cellules cancéreuses, notamment dans certains cas de cancer du pancréas.

L’étude du Los Angeles Biomedical Research Institute (LA BioMed) confirme également les capacités du thé vert à ralentir un cancer déjà diagnostiqué.

Le Dr Wai-Nang Lee et son équipe sont parvenus à établir que l’agent biologique EGCG du thé vert change littéralement le métabolisme du cancer du pancréas et de ses cellules, en s’attaquant à une enzyme critique de ce type de cancer.

L’étude ne confirme pas seulement les propriétés du thé vert en matière de lutte au cancer, mais permettrait également de confirmer que le nerf de la guerre contre la maladie se situe dans le système métabolique et dans les mécanismes moléculaires.

Les conclusions de l’étude du Dr Lee et de son équipe sont publiées et dans le journal Metabolomics.