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Des chercheurs observent un lien entre le cancer du côlon et une carence en calcium

Des chercheurs de l’Université du Michigan ont décodé des messages cellulaires qui confirmeraient un lien entre une carence en calcium et le risque de développement du cancer du côlon, selon MedicalNewsToday.

C’est en étudiant le comportement cellulaire du poisson-zèbre que les chercheurs américains sont arrivés à cette conclusion, avant de confirmer cette dernière sur des cellules cancérigènes associées au cancer du côlon.

Menée par le professeur Cunming Duan et son équipe, la recherche a démontré qu’une carence en calcium pouvait ouvrir la porte à certains problèmes, et que même si le corps est étrangement en capacité de s’adapter à une déficience en calcium, il aura besoin de l’élément pour lutter contre les cellules cancérigènes.

« Théoriquement, c’est une possibilité qu’on puisse un jour appliquer ceci sur des humains et bloquer la division des cellules du cancer du côlon », lance Duan.

Le plus étonnant, c’est que le professeur Duan et son équipe ne font pas de recherches sur le cancer, mais plutôt sur les habitudes de développement de l’embryon du poisson-zèbre!

Ce serait une série d’heureux hasards qui aurait permis au professeur de découvrir que la division des cellules est très influencée par les niveaux de calcium d’un organisme, pavant ainsi la voie à de possibles traitements. 

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Les enfants qui survivent au cancer ont des effets secondaires tardifs

Les avancées médicales tentent d’aider le plus d’enfants possible atteints du cancer à survivre et à mener une vie en santé. Cependant, des données fournies par des chercheurs de l’University of Florida Health confirment que survivre à un cancer infantile n’apporte pas que de bonnes nouvelles.

Après étude, rapporte Science World Report, c’est 70 % des survivants qui se retrouvent avec des effets secondaires néfastes 30 ans plus tard.

« La prévalence de ces symptômes est primordiale dans l’écart de la qualité de vie physique, mentale et sociale chez les survivants, » mentionne I-Chan Huang, auteur de la recherche. « En comprenant que ces symptômes sont la clé de la qualité de vie chez les patients, nous pouvons améliorer leur sort en diminuant ces effets à long terme. »

En tout, 1667 survivants à des cancers pendant l’enfance ont participé à l’étude. L’exposition à la toxicité reliée aux traitements du cancer a été mesurée, puis un questionnaire sur la qualité de vie des survivants leur a été soumis. Près de 70 % d’entre eux vivaient avec au moins un symptôme découlant du traitement de chimiothérapie, même 40 ans après celui-ci.

Le détail complet de l’étude se retrouve dans la revue Journal of Clinical Oncology.

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La thérapie génétique très prometteuse dans la lutte à la leucémie

La thérapie génétique fait les manchettes médicales depuis quelques années, notamment pour ses présumées capacités presque sans fin en matière de traitement du cancer.

Et spécialement en ce qui a trait à la leucémie et aux cancers du sang, croient des chercheurs américains, alors qu’une équipe basée à Seattle publie une étude qui fait foi des avancées spectaculaires dans le domaine de la thérapie génétique.

Cette dernière est définie comme « la capacité à reprogrammer une cellule (cellule T) d’un individu afin qu’elle attaque les cellules cancérigènes », et permettrait de traiter certains types de cancer dans un avenir rapproché, selon ces informations rapportées par The National Library of Medicine.

« C’est très excitant. Vous pouvez prendre une cellule qui appartient à un patient et la manipuler de façon à ce qu’elle devienne une cellule d’attaque », confirme le Dr Janis Abkowitz, de l’Université de Washington à Seattle.

Mais les résultats sont peut-être déjà à nos portes, puisque l’on recense plusieurs centaines de cas de patients qui ont déjà testé la thérapie génétique comme ultime ressource… et dont une grande partie se retrouve maintenant en rémission.

On croit, selon certains spécialistes, que des essais cliniques officiels pourraient s’entamer d’ici 2016, selon les différentes décisions gouvernementales, et ainsi paver la voie à une hausse statistique des cas de rémission. 

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Une composante de la graine de raisin pourrait permettre le traitement du cancer de la prostate

Une nouvelle étude propose des conclusions très encourageantes en matière de lutte au cancer de la prostate, rapporte MedicalNewsToday, alors que des chercheurs croient avoir identifié un élément naturel capable de favoriser le traitement de la maladie.

Il s’agit d’une composante retrouvée dans les extraits de graine de raisin, expliquent les chercheurs du centre en oncologie de l’Université du Colorado, et qui semble démontrer la capacité à éliminer les cellules cancérigènes liées au cancer de la prostate.

C’est du moins ce que l’équipe de spécialistes mentionne dans son rapport d’étude, publié par le journal scientifique Nutrition and Cancer.

« Cette composante naturelle de la graine de raisin comprend un mélange complexe de polyphénols et, jusqu’ici, on ne pouvait établir clairement ses impacts sur les cellules cancérigènes », explique Alpna Tyagi, qui prend part à l’étude.

Cette recherche abonde dans le même sens que plusieurs autres études précédentes, qui démontrent toutes le potentiel du raisin et du vin rouge dans la lutte à plusieurs types de cancer.

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Réduction majeure des risques de décès dus au cancer d’ici 2020

Il est rare de recevoir une bonne nouvelle, ou à tout le moins une encourageante, lorsqu’il est question de la terrible maladie qu’est le cancer, mais en voici une rapportée par le Daily Mail (UK) qui permet d’entrevoir une lueur d’espoir.

C’est que selon des statistiques et analyses proposées le Centre de Recherche en Cancer Macmillan, les risques de décès dus au cancer auront chuté de près de la moitié d’ici l’an 2020, soit une baisse de 44 % depuis 1990, au total.

D’ici la fin de la décennie, croient les chercheurs, 65 % des femmes qui recevront un diagnostic de cancer du sein survivront à la maladie. 65 % des hommes souffrant d’un cancer de la prostate auront droit au même sort, une statistique qui s’arrête à 61 % pour les patients atteints du cancer du côlon.

Malheureusement, ces hausses statistiques ne semblent pas s’appliquer en ce qui concerne le cancer du poumon, qui semble déterminer à demeurer aussi meurtrier.

Bien que la victoire définitive dans la lutte au cancer ne soit pas encore à notre portée, ces baisses statistiques des taux de mortalité dus au cancer semblent en progression constante et s’avèrent une excellente nouvelle.

On explique le phénomène par une meilleure compréhension de la maladie, des méthodes de traitement, des nouvelles technologies, et par un dépistage plus agressif. Les chercheurs rappellent d’ailleurs l’importance de subir des tests de dépistage à différents stades de la vie, afin de continuer à améliorer les chances de survie en matière de cancer.

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Hugh Jackman a retrouvé la santé

L’acteur australien Hugh Jackman confirme qu’il a maintenant retrouvé la forme après avoir subi une opération au nez le mois dernier pour lui retirer des cellules cancéreuses.

La vedette de la série de films Wolverine s’est confiée à Access Hollywood : « Je vais très bien! Tout est parti ».

L’acteur était à New York mardi (3 décembre) afin de prendre part à un gala-bénéfice. Il en a profité pour remercier son épouse. « Merci à ma superbe femme qui m’a dit “Allez, va faire vérifier cela”. »

L’intervention de sa femme a poussé l’acteur à consulter un médecin, qui a diagnostiqué un carcinome basocellulaire, la forme la plus courante des cancers de la peau.

« Je voyais un point rouge sur mon nez, mais je croyais que je m’étais blessé lors du tournage d’une scène de combat ou quelque chose du genre, mais ce n’était pas le cas », poursuit l’acteur. 

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Donner vos ovules peut mener vers le cancer des ovaires

Un nouveau marché est né, alors les femmes séduisantes et mannequins se font le magot en se transformant en donneuses d’ovules. Mais les risques de cancer ovarien doivent être considérés. 

Selon Science World Report, ces femmes séduisantes et en santé sont très recherchées. L’organisme californien The Egg Donor Program a été créé il y a 20 ans exactement dans le but de recruter ces femmes. Elles peuvent recevoir entre 8000 et 10 000 $ par don.

La chaîne ABC a accueilli le Dr Robert Stillman. « L’American Society for Reproductive Medicine met en garde les femmes en les limitant à 6 dons. Il n’y a aucune loi régissant ce processus, et donc, il n’y a aucun moyen pour prévenir les risques de santé associés pour les femmes qui sont sollicitées. » Plus souvent les femmes ont leur ovulation, plus grand est le risque de cancer.

Julia Derek, une donneuse qui a témoigné, affirme qu’elle y est retournée une douzaine de fois, surtout à cause du montant qu’elle y gagne. Elle a cependant reçu un diagnostic de plusieurs déséquilibres hormonaux.

« Vous jouez à la roulette russe avec votre fertilité et votre santé », a ajouté le Dr Stillman.

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Régime riche en gras à l’adolescence relié au risque élevé du cancer du sein

Une récente étude pointe du doigt les aliments gras consommés par les adolescentes. Ceux-ci s’avèrent dangereux à long terme, puisqu’ils augmentent considérablement les risques de cancer du sein, et ce, même si elles s’alimentent sainement dans leur vie adulte.

Selon ce que rapporte Science World Report, les chercheurs de l’organisme Breast Cancer and Environment Research Program à l’Université de l’État du Michigan en sont venus à une conclusion de grande importance.

Un régime alimentaire élevé en graisses chez les jeunes femmes pourrait augmenter la croissance cellulaire et altérer les cellules immunitaires des tissus du sein. Ces modifications, ont-ils constaté, persistent souvent durant la vie adulte, ce qui engendrerait le développement rapide de lésions précancéreuses. Ultimement, celles-ci mèneraient vers un cancer du sein.

« Il est important de noter que notre expérience se base sur l’alimentation riche en gras et n’inclut pas de facteur d’obésité, ce qui signifie que les résultats s’appliquent à un segment beaucoup plus important de la population », a révélé le microbiologiste Richard Schwartz, coauteur de l’étude.

Vous pouvez trouver plus de détails sur l’étude sur le site de l’Université de l’État du Michigan.

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Mauvaise presse pour Gardasil

Le Gardasil, réputé vaccin contre le VPH (Virus du Papillome Humain), une infection transmissible sexuellement qui s’avère un véritable fléau depuis quelques années, obtient une mauvaise presse ces temps-ci, à la suite de la première plainte officielle déposée par une Française.

Largement publicisé et recommandé, il peut sembler surprenant que Gardasil soit maintenant critiqué, sauf que selon Santé Log et Top Santé, les mises en garde et les possibles effets retour du vaccin sont connus des spécialistes depuis bien longtemps maintenant.

Prescrit en prévention du VPH et du cancer du col de l’utérus, le Gardasil fait maintenant l’objet d’une sérieuse plainte de la part d’une jeune femme de 18 ans, qui affirme que son récent diagnostic d’encéphalomyélite aigüe disséminée, ou de sclérose en plaques, est directement lié à l’injection du vaccin.

Son avocat en est convaincu, et le récit des faits qu’il soumet semble ne laisser planer aucun doute quant au lien observable entre le Gardasil et la détérioration de l’état de santé de la plaignante.

Me Jean-Christophe Coubris allègue de plus que sa jeune cliente s’est fait vacciner au Gardasil à la suite d’une pression sociale et à un « tapage médiatique », une formule de vente à pression contre laquelle il s’indigne vigoureusement.

Le dossier risque de faire beaucoup de bruit, et alimentera encore une fois les discussions concernant les risques inhérents à l’injection de certains vaccins.

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Hugh Jackman traité pour un cancer

L’acteur australien Hugh Jackman a confirmé, en publiant une photo le montrant sur Instagram avec un pansement sur le nez, qu’il avait été soigné pour traiter un cancer de la peau.

La vedette de 45 ans, interprète de Wolverine au grand écran, explique que sa femme, Deborra-Lee Furness, a joué un grand rôle dans sa décision de se faire examiner.

« Deb m’a dit de faire vérifier une marque sur mon nez. Elle avait raison! J’avais un carcinome basocellulaire. » 

Le carcinome basocellulaire (CBC) est la forme la plus courante des cancers de la peau. En fait, c’est le plus fréquent de tous les cancers (tous organes confondus). Plus d’un nouveau cancer diagnostiqué sur trois est un cancer de la peau, et la grande majorité d’entre eux sont des CBC. 

Vu récemment dans Prisoners, Hugh Jackman ressortira ses griffes dès le 23 mai 2014 pour Days of the Future Past, le nouveau volet de la franchise X-Men.