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Le gras abdominal et le cancer

Une recherche est venue mettre le doigt sur une réalité bonne à savoir. Les gens ayant accumulé du gras dans la région de l’abdomen courent un plus grand risque de développer un cancer que ceux ayant pris le même poids sur une autre partie du corps.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés les chercheur du U.S. National Heart, Lung, and Blood Institute’s Laboratory for Metabolic and Population Health. Ces résultats ont été publiés dans le Journal of the American College of Cardiology.

La Dre Caroline Fox est citée : « Contrairement aux études précédemment publiées comparant l’IMC et le tour de taille, la présence de graisse abdominale a amélioré la capacité de prédire des maladies cardiovasculaires, ce qui appuie l’hypothèse que la graisse abdominale peut partiellement être visée quant à l’association entre la graisse corporelle et les maladies cardiaques et le cancer ».

« Compte tenu de l’épidémie d’obésité dans le monde entier, l’identification des personnes à risque élevé est importante, car elle permet de cibler les mesures préventives et thérapeutiques », a déclaré la Dre Kathryn Britton, de l’Hôpital Brigham and Women à Boston.

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L’activité physique après le cancer

Sur le site Le Parisien, il est entre autres question d’un article concernant le retour à la « normale » après un cancer.

Selon la Dre Laure Copel, médecin oncologue, « la gymnastique est un moyen efficace pour réduire considérablement les risques de récidives de cancer de sein ». Les activités semblant être en tête de liste sont le karaté, la plongée, le step ou encore le jogging.

Le but est d’y aller avec votre forme, votre âge et vos intérêts. Les patients ayant recours à l’activité pendant leur chimio ou après un cancer rapportent avoir une meilleure estime de soi, une meilleure qualité de vie et retrouver rapidement leur moral, alors que la maladie peut souvent avoir des effets dévastateurs.

« Les personnes qui pratiquent une activité physique dynamique régulière trois fois par semaine voient leur taux de rechute diminuer jusqu’à 50 %, en particulier quand c’est associé à une bonne alimentation », explique Dre Copel.

« L’activité physique est associée à une diminution du risque des cancers du côlon, du sein (après la ménopause) et de l’endomètre », écrit l’Institut national français du cancer (Inca) dans un document faisant le point sur l’activité physique et les cancers.

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Hausse du cancer de la peau « des conducteurs »

Coauteure de l’étude parue dans le Journal of the American Academy of Dermatology, la docteure Susan T. Butler avise des dangers sous-estimés de l’exposition au soleil en voiture.

« L’augmentation des cancers de la peau sur le côté gauche du corps pourrait bien s’expliquer par notre exposition aux rayons UV quand on conduit une voiture. »

Quand on apprend que fenêtres latérales des voitures laissent passer 63 % des UVA, on comprend mieux pourquoi il y a un réel intérêt de se protéger. En fait, les chiffres livrés par les dermatologues américains sont effrayants : près de 53 % des cancers de la peau aux États-Unis se développent à gauche, soit du « côté conducteur ».

Le Journal of the American Academy of Dermatology met en garde contre ce danger sous-estimé qui vient des UVA et des UV de grande longueur d’onde, qui sont considérés comme des agents cancérigènes depuis seulement une dizaine d’années.

La meilleure façon d’éviter cette surexposition reste de mettre de la crème solaire avant de partir et de renouveler l’application toutes les 2 heures.

Faites bien attention, certaines crèmes ne contiennent pas de protection contre les UVA et UVB, mais seulement contre un des deux. Assurez-vous que celle que vous choisirez vous protégera des deux types de rayons UV.

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Lien confirmé entre les oméga-3 et le cancer de la prostate

Publiée dans la dernière édition du Journal of the National Cancer Institute, une étude confirme un lien entre la grande concentration des acides gras oméga-3 dans le sang et les risques de contracter le cancer de la prostate.

Ont participé à la recherche le scientifique Fred Hutchinson et son équipe de l’Université du Texas, l’Université de la Californie, l’Université de Washington, le National Cancer Institute et la Clinique Cleveland.

« La cohérence de ces résultats suggère que ces acides gras sont impliqués dans la tumorigenèse de la prostate, et que les risques potentiels devraient être sérieusement considérés lors des recommandations d’apport en acides gras oméga-3, en particulier grâce à la supplémentation », écrivent les auteurs de l’étude.

Ils ne savent toujours pas pourquoi des niveaux élevés d’acides gras oméga-3 peuvent augmenter le risque de cancer de la prostate, mais comme deux grandes études sont arrivées aux mêmes conclusions, la nécessité de poursuivre la recherche sur les mécanismes possibles devient évidente.

« Un des effets potentiellement nuisibles de ces acides est leur conversion en composés qui peuvent causer des dommages aux cellules et à l’ADN, ainsi que leur rôle dans l’immunosuppression », explique Hutchinson.

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La carence en vitamine D problématique selon l’ethnie

Le manque de la vitamine soleil, surnommée ainsi parce que nous la produisons lorsque nous sommes exposés au soleil, est étroitement liée à plusieurs maladies telles que des maladies cardiaques, certains cancers, l’ostéoporose, le diabète, la maladie d’Alzheimer, la schizophrénie et des maladies auto-immunes.

Une récente recherche publiée dans le Journal of American Medical Association démontre cependant que ce lien n’est pas vrai pour toutes les ethnies.

En effet, la carence pourrait augmenter le risque de maladie cardiaque chez les personnes blanches ou chinoises, mais ne semble pas poser de danger cardiovasculaire pour les adultes noirs ou hispaniques.

« Ironiquement, les Hispaniques et les noirs sont reconnus pour avoir un taux de cette vitamine moins élevé que les autres nationalités », dit le Dr Keith Norris, professeur de médecine à la David Geffen School of Medicine de l’Université de Californie à Los Angeles.

Il poursuit en disant qu’alors qu’on croyait que les populations ayant un moins haut taux de vitamine D auraient de plus grands risques de souffrir de maladies cardiaques, c’est en fait tout le contraire.

Un autre expert a alors souligné que bien que ce soit très intéressant, ces résultats apportent plus de questions que de réponses, et que les études sur le sujet devront être approfondies.

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L’Alzheimer et le cancer ne font pas bon ménage

Le site nbcnews.com offre un article à propos d’une recherche italienne sur les deux maladies.

Le Dr Massimo Musicco, du Conseil national de recherche à l’Institut de technologie biomédicale de Milan, explique : « Le cancer et l’Alzheimer sont vus complètement séparément par les chercheurs. Certaines connaissances que nous avons concernant le cancer peuvent être utilisées pour mieux comprendre la maladie d’Alzheimer, et même chose dans l’autre sens ».

Souffrir d’une de ces maladies minimiserait la possibilité de souffrir de l’autre. « Il existe aussi des données convaincantes voulant que la maladie de Parkinson soit liée à un risque moindre de cancer », a déclaré la Dre Jane Driver, qui étudie le vieillissement à l’Hôpital Brigham and Women de Boston.

Récemment, des données très similaires ont été observées concernant la schizophrénie et l’Alzheimer. « L’étude ne prouve pas la protection d’une maladie par une autre ni que les patients de l’une devraient se juger à l’abri de l’autre. Mais j’espère que ceci convaincra tous les sceptiques qu’il y a une véritable association inverse entre la maladie d’Alzheimer, de Parkinson et probablement d’autres maladies neurologiques et le cancer », a déclaré la Dre Driver.

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La pollution et la maladie

Plus l’environnement où vous vivez est pollué, plus grands sont vos risques de souffrir de certains troubles de santé. N’étant pas encore officiellement considérée comme un facteur de risque du cancer des poumons, certains spécialistes jugent que la pollution devrait y figurer.

C’est ce qu’on peut lire dans un article publié sur le site de NBC News. Suivant plusieurs récentes recherches, le Dr Ole Raaschou-Nielsen du Danish Cancer Society Research Center dit qu’ils ne sont pas arrivés à déterminer un niveau de pollution relativement sain. Plus c’est pollué, plus c’est risqué pour votre santé.

Nicholas Mills de l’Université d’Édimbourg en Grande-Bretagne et ses collègues ont combiné les données provenant de 35 études qui ont évalué le monoxyde de carbone, le dioxyde de soufre, le dioxyde d’azote et la pollution à l’ozone, ainsi que les matières particulaires (suie).

« Bien que le rôle de la pollution de l’air est bien reconnu comme un facteur de risque pour les crises cardiaques, il était moins clair que l’exposition augmentait le risque d’événements indésirables chez les patients atteints d’autres affections cardiovasculaires comme l’insuffisance cardiaque », a déclaré Mills dans un communiqué.

« Depuis que toute la population est exposée à la pollution de l’air, même de modestes réductions de la pollution atmosphérique pourraient avoir des bienfaits pour la santé cardiovasculaire ainsi que des économies substantielles sur le plan de la santé », conclut-il.

 

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La marijuana médicinale pour enfant

Aussi choquant que cela puisse paraître, cette pratique n’est plus exactement inhabituelle. Dix-huit États, plus Washington, D.C., permettent l’utilisation de la marijuana médicinale.

Certains d’entre eux fournissent aussi des prescriptions pour les enfants, sous supervision parentale, afin de traiter une foule de maux, allant de l’autisme au cancer en passant par les convulsions.

Un article paru sur le site web de NBC News explique que certaines critiques, dont l’American Academy of Pediatrics, soutiennent que le recours n’a pas été testé cliniquement chez les enfants et peut avoir des conséquences à long terme.

Cependant il est aussi question de l’histoire de Zaki Jackson, un enfant souffrant de graves convulsions épileptiques depuis qu’il était bébé. Dès qu’il a commencé son traitement à la marijuana, à l’âge de 10 ans, ses problèmes ont cessé.

La drogue de Zaki est fournie spécialement pour lui par une équipe de frères qui cultivent légalement de la marijuana médicinale. Elle a été conçue avec un faible niveau de THC, mais des niveaux plus élevés d’un autre cannabinoïde appelé cannabidiol.

« Bien que les deux cannabinoïdes ont une incidence sur les douleurs, les nausées et les convulsions, le cannabidiol n’est pas psychoactif », a déclaré la Dre Margaret Gedde de l’Institut des cliniciens en médecine de cannabis.

Cela signifie que les enfants qui utilisent ce type de marijuana ne se « gèlent » pas.

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Le chocolat et le soda pour détecter le cancer

C’est une nouvelle assez surprenante qui est publiée dans la dernière édition du journal Nature Medecine.

On y explique que contrairement aux tissus sains, les tumeurs malignes consomment plus de sucre afin de nourrir leur rapide expansion. Cette découverte vient ouvrir de nombreuses portes concernant la détection et le traitement du cancer.

Comme la radiation est à ce jour nécessaire pour bien localiser les tumeurs, ce processus n’est pas recommandé pour les enfants et les femmes enceintes, étant donné les dangers qui y sont associés.

À ce propos, le professeur Mark Lythgoe, directeur du Centre d’avancement en imagerie biomédicale de l’University College London, a confié que la découverte était une grande surprise.

« Je n’aurais jamais cru possible qu’un simple ajustement du scan puisse le concentrer sur la recherche du glucose, et que le tout soit possible dans aussi peu que 18 mois. Mais nos résultats démontrent que c’est tout à fait possible », dit-il.

En effet, cette nouvelle méthode consiste simplement à faire consommer du glucose (sucre simple) au patient et lui passer un scan qui aura pour mandat de trouver une source qui en consomme une plus grande quantité.

Les tumeurs ayant consommé du sucre émettent apparemment une certaine brillance facile à reconnaître.

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Les femmes qui travaillent de nuit pourraient être plus à risque de développer un cancer du sein

Il s’agit d’un lien ou d’une cause à effet des plus surprenants et difficile à comprendre, mais il appert que les femmes qui travaillent de nuit pourraient être plus à risque de développer un cancer du sein, selon Santé Log.

C’est précisément ce qui ressort d’une étude canadienne sur le sujet, effectuée auprès de près de 3000 femmes possédant différents bilans et statuts de santé.

Pour les chercheurs du Queen’s Cancer Research Institute et de l’Université de Colombie-Britannique en tête de l’étude, le fait de travailler un quart de nuit sur une longue période de temps « brise » ce qu’on appelle maintenant le rythme ou le cycle circadien.

Ce dernier, basé sur les périodes de la journée, commence de plus en plus à être pointé du doigt pour son importance dans l’évolution d’une personne et des événements qui ponctueront sa vie.

Dans le cas qui nous concerne, le fait pour une femme d’être à contresens de ce qui se veut « normal » en termes d’heures de travail, soit de nuit plutôt que de jour, signifierait un risque accru de cancer du sein.

Une partie de l’explication résiderait dans les changements hormonaux observables chez les femmes qui travaillent dans un quart de 3 h à 8 h, par exemple.

Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le magazine Occupational and Environmental Medicine.