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L’Alberta veut devenir un leader dans la lutte contre le cancer

Radio-Canada rapporte des mesures importantes prises par les autorités albertaines, afin que la province canadienne devienne un leader dans le domaine de la lutte contre le cancer.

C’est de la bouche du ministre de la Santé albertain, Fred Horne, que l’on a pu en savoir plus sur le plan, qui pourrait bien améliorer de beaucoup les chances de survie suivant un diagnostic de cancer en sol albertain.

Le plan, que l’on dit vouloir développer jusqu’en 2030, propose de réduire les temps d’attente de traitements pour les patients, d’optimiser la prévention, et d’améliorer les services de soulagement de la douleur. Le tout en utilisant les meilleures techniques offertes par la technologie moderne.

Dans la foulée, la stratégie met au monde le Cancer Control Alberta, un département indépendant des Services de santé Alberta qui aura pour unique but de lutter contre la terrible maladie. « Cancer Control Alberta mènera le contrôle de tout le spectre du cancer, en offrant les soins et l’aide aux patients depuis les premiers symptômes jusqu’à la guérison ou les soins palliatifs. », résume le Dr Paul Grundy, qui agira à titre de Vice-Président de la division Cancer Control Alberta.

Une initiative que l’on souhaiterait bien voir implantée avec autant de dynamisme chez nous…

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Des traitements préventifs du cancer du sein accessibles aux femmes très bientôt?

Le Daily Mail (UK) annonce que des spécialistes aimeraient faire profiter les femmes de certains médicaments reconnus pour faire baisser drastiquement les risques de développer un cancer du sein, et ce, à une échelle importante.

Certains médicaments, comme le Tamoxifen déjà utilisé pour éviter les rechutes de ce terrible cancer, pourraient être offerts aux femmes qui souhaitent prévenir la maladie.

Le Tamoxifen et certains autres, comme des traitements contre l’ostéoporose, feraient baisser les risques de cancer du sein jusqu’à 40 %!

Des chiffres éloquents, qui font dire à des chercheurs britanniques spécialisés en recherche dans la lutte au cancer qu’il serait assurément bénéfique de ne pas attendre et de lancer une vaste campagne de prévention.

Certaines des plus grandes associations de la santé à travers le monde se penchent maintenant sur la question et examinent la viabilité de l’option.

On constate de façon évidente un enthousiasme marqué chez les spécialistes pour cette nouvelle façon de faire.

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Les hommes mariés auraient plus de chances de survivre à un cancer de la prostate

Mauvaise nouvelle pour les célibataires endurcis, alors que le Daily Mail (UK) rapporte une étude qui révèle des statistiques étonnantes en matière de chances de survie après un diagnostic de cancer de la prostate, et selon votre état civil.

Ainsi, on apprend que les hommes mariés auraient jusqu’à 40 % moins de chances de mourir de ce cancer que leurs homologues célibataires.

Attention, on précise ici que les chercheurs canadiens en tête de l’étude parlent d’un mariage heureux, et non nécessairement de toutes les unions maritales.

On expliquerait le phénomène par plusieurs facteurs, à commencer par le fait que les hommes mariés seraient davantage poussés à subir des tests de prévention et à parler de leurs problèmes de santé que lorsqu’ils sont célibataires.

Ces révélations vont dans le même sens que plusieurs autres études sur les relations, qui affirment qu’il existe des bénéfices nets sur la santé à être dans une relation stable et heureuse, plutôt que de vivre seul.

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Oncologie : l’avenir des diagnostics pourrait passer par la technologie

Top Santé rapporte des conclusions tirées d’une étude hollandaise, voulant que les ordinateurs puissent bientôt dépasser les spécialistes humains en terme de précision de diagnostic et de choix de traitements du cancer.

Selon les chercheurs hollandais, basés à l’Université de Maastricht aux Pays-Bas, les plus récents logiciels produits sont capables d’analyser les données d’un patient de façon si précise que ses conclusions pourraient bien être plus utiles et efficaces qu’un homologue médecin humain.

Bien sûr, le médecin demeure essentiel, mais ce dernier pourrait bientôt se tourner vers la machine pour l’aider à se diriger vers le bon choix de traitement pour son patient, et ainsi améliorer les chances de survie et de rémission.

Pour prouver ces dires, les chercheurs ont lancé un défi à un appareil informatique à la fine pointe de la technologie, qui consistait à analyser les données de 121 patients atteints d’un cancer du poumon, ou qui l’avaient été dans le passé.

L’ordinateur s’est avéré nettement plus précis dans ses prédictions, notamment de l’évolution de la maladie et de l’avenir du patient, que ses compatriotes humains.

« Nous savons qu’il y a beaucoup de facteurs qui jouent un rôle important dans le pronostic des maladies, et que les ordinateurs sont capables de les combiner. Notre étude prouve qu’il est très peu probable qu’un médecin puisse y arriver mieux qu’un logiciel », conclut le Dr Cary Oberije.

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Les vertus protectrices du café démontrées par… des mouches à fruits!

Si les vertus préventives du café contre le cancer, notamment, sont de plus en plus confirmées par plusieurs études et spécialistes, deux chercheurs canadiens ont tenté de mettre fin au débat une fois pour toutes en établissant cette cause à effet de façon claire, rapporte Medical News Today.

Pour y parvenir, ils ont utilisé des mouches à fruits, aussi appelées mouche de vinaigre. Le processus est complexe, mais peut se résumer par l’observation de ces insectes et de leur bagage génétique. Ces insectes étant très sensibles à l’exposition à la caféine, les chercheurs ont pu observer les effets de celle-ci sur un organisme.

Mais s’ils ont pu constater les impacts positifs et protecteurs du café sur la biologie de la mouche à fruits, ils ont aussi confirmé que pour obtenir un effet maximal préventif, les doses de caféine doivent être beaucoup trop élevées.

Cependant, les deux chercheurs de l’Université de l’Alberta en tête de ces recherches croient qu’il sera possible, dans un avenir rapproché, d’utiliser les éléments thérapeutiques de la caféine en utilisant un procédé concentré.

S’ils y parviennent, cela pourrait représenter une avancée spectaculaire dans le traitement du cancer, notamment, en ciblant les cellules cancéreuses et en offrant une protection décuplée à l’organisme qui combat la maladie à des stades préliminaires.

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La génétique permettrait d’améliorer le traitement contre le neuroblastome chez les enfants

Des chercheurs ont analysé 600 échantillons de cellules de neuroblastome, un cancer pédiatrique du système nerveux très difficile à traiter. Tous ces échantillons contenaient des anomalies génétiques, et les chercheurs souhaitaient découvrir celles qui seraient le plus susceptibles de répondre à un nouveau type de traitement, appelé inhibiteur de bromodomaine BET.

Les cellules qui répondaient le mieux au traitement étaient celles qui avaient une amplification d’un gène appelé MYCN. Cette découverte pourrait mener à des études où les jeunes patients atteints de neuroblastome passeraient des tests génétiques pour détecter s’ils possèdent cette amplification.

« Le neuroblastome est un cancer pédiatrique dévastateur, et seulement une minorité d’enfants qui souffrent de la forme agressive peuvent être traités avec les médicaments habituels. Des recherches précédentes ont déjà prouvé que l’amplification du gène MYCN est commune dans le neuroblastome », a expliqué l’auteure de l’étude, la clinicienne Kimberly Stegmaier, selon Science Daily.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la revue médicale Cancer Discovery.

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Les séquelles psychologiques chez les survivants de cancers pédiatriques

Des chercheurs de Hong Kong ont analysé les données provenant de 137 enfants et jeunes âgés de 9 à 16 ans, qui avaient reçu un traitement pour un cancer au moins six mois auparavant (la leucémie dans 79 % des cas).

Des enfants en santé ont également été recrutés pour former un groupe de contrôle. Tous ces enfants ont complété des auto-évaluations concernant la dépression et l’estime de soi.

Plus de la moitié (52,6 %) des enfants ayant eu un cancer rapportaient un niveau de dépression qui dépassait le seuil clinique et qui était beaucoup plus élevé que celui des enfants en santé. La dépression semblait plus élevée chez les enfants plus jeunes, que chez les adolescents. Le niveau d’estime de soi des enfants survivants était aussi plus bas que celui des individus du groupe de contrôle.

Parmi les symptômes problématiques rapportés par les survivants au cancer, beaucoup d’enfants ont dit souffrir de fatigue, de pertes de mémoire, de mauvaise concentration, d’absence de bien-être et d’intolérance à des activités. Les enfants ont aussi affirmé qu’ils éprouvaient beaucoup d’incertitudes et de craintes, rapporte Medscape.

 

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Les bébés nés de traitement de fertilité sont plus à risque d’avoir un cancer

Selon une nouvelle analyse portant sur 25 différentes études menées dans 12 pays, les couples qui subissent des traitements de fertilité ont des bébés qui ont un risque 33 % plus élevé de contracter un cancer pédiatrique.

Cette association était particulièrement significative pour la leucémie, le neuroblastome (un cancer du système nerveux), ainsi que le rétinoblastome (un cancer des yeux).

Les procédures médicales, comme la fécondation in vitro ou l’insémination, présentaient un risque similaire aux traitements hormonaux, comme la stimulation ovarienne.

Par contre, les chercheurs ont voulu rappeler que le risque absolu demeurait bas. Par exemple, au Danemark, l’un des pays étudiés, 9 % des bébés proviennent de traitements de fertilité. D’un point de vue statistique, cela voudrait dire qu’un cancer serait attendu pour chaque 4236e femme traitée.

« Il existe peut-être des mécanismes associés aux traitements de fertilité qui causent le cancer, par exemple des changements épigénétiques reliés à l’exposition aux hormones… Par contre, les couples infertiles pourraient également avoir d’emblée des anomalies génétiques dans leurs cellules reproductives, qui deviendraient exposées lors des traitements », a expliqué l’auteure de l’étude, Susanne Krüger Kjaer, selon MedPageToday.

Les résultats ont été publiés dans le journal médical Fertility and Sterility.

 

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Boire de l’alcool n’influencerait pas les chances de survivre à un cancer du sein

Une nouvelle étude surprend en concluant que la consommation d’alcool n’a pas de réelle incidence négative sur les chances de survie d’une patiente atteinte d’un cancer du sein, rapporte CNN.

Plus encore, les chercheurs en tête de l’étude croient plutôt que si l’alcool influence le taux de survie des femmes aux prises avec la maladie, ce serait plutôt à la hausse!

« Les résultats de l’étude montrent qu’il n’y a pas de relation négative entre la consommation d’alcool avant le diagnostic et les chances de survie du cancer du sein. »

« On a en fait découvert qu’en opposition aux femmes qui ne boivent pas, celles qui buvaient de façon modérée affichaient un taux de survie modestement supérieur », résume Polly Newcomb, qui dirige le programme de prévention du cancer du Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle.

Les femmes qui reçoivent un diagnostic de cancer du sein pourraient donc continuer à boire de l’alcool avec modération, si l’on en croit ces conclusions, mais il est important de rappeler que plusieurs autres études associent la consommation d’alcool à des risques accrus de développement de la maladie (prédiagnostic).

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La pollution atmosphérique liée à des cancers pédiatriques

L’étude a porté sur 3950 enfants ayant reçu un diagnostic de cancer, qui étaient nés en Californie entre 1998 et 2007. En se basant sur leur lieu de résidence, les chercheurs ont estimé l’exposition au taux de pollution atmosphérique pour chacun d’entre eux, durant le premier trimestre de la grossesse de leur mère et durant leur première année de vie.

L’analyse a révélé que plus l’enfant avait été exposé à la pollution, plus son risque de développer certains cancers, comme la leucémie lymphoblastique aiguë, les cancers des testicules et des ovaires ou encore le rétinoblastome, un cancer des yeux, augmentait.

Les chercheurs n’ont pu établir une période plus critique durant laquelle le foetus ou le bébé est plus vulnérable au développement du cancer.

« On connaît beaucoup moins de choses sur les liens entre la pollution de l’air et les cancers pédiatriques que pour ceux qui surviennent chez les adultes. Nous tenions donc à nous attarder à des cancers plus rares et moins étudiés, comme le rétinoblastome », a noté l’auteure de l’étude, la Dre Julia Heck, selon Medical News Today.

Les résultats ont été présentés au récent congrès de l’American Association for Cancer Research.