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Près du double du risque de cancer pour les amateurs de malbouffe

La malbouffe est au plus bas. Jamais sa réputation n’aura été aussi entachée que maintenant, et cette récente étude en provenance des Pays-Bas ne risque pas d’améliorer la situation.

Si on savait que la malbouffe était mauvaise pour la santé, il appert qu’elle augmenterait dramatiquement les risques de cancer, rapporte Santé Log.

Et pas de moindre façon, puisque selon les chercheurs de l’Université de Wageningen, on parle de risques de cancer qui se voient augmentés de 200 % chez ceux qui consomment régulièrement ce genre d’aliments et qui souffrent d’une condition héréditaire comme le syndrome de Lynch, par exemple.

Une bien mauvaise publicité pour les chaînes de restauration rapide, qui tentent par tous les moyens de redorer leur blason. Même chose en ce qui concerne les croustilles et autres grignotines, qui se retrouvent aussi au banc des accusés dans cette étude.

Les conclusions de cette dernière ont été publiées dans le magazine Cancer (American Cancer Society) et somment les gens aux prises avec des conditions héréditaires ou des problèmes de santé d’adopter sans attendre de nouvelles (et bonnes) habitudes alimentaires.

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L’alcool serait aussi un facteur de développement du cancer du sein

La consommation d’alcool n’est pas assez reconnue pour ses propriétés cancérigènes, notamment en ce qui concerne le cancer du sein, croient des chercheurs américains.

Ces derniers, issus de l’École de médecine de Boston, viennent de publier une étude sur le sujet, qui parle du danger lié à la consommation d’alcool chez la femme, un danger qui serait vérifiable à partir de deux consommations par jour, rapporte Top Santé.

Si cela peut sembler peu, il appert que cela est suffisant pour placer les femmes à risque, croit l’équipe de spécialistes.

« Boire deux verres d’alcool par jour est suffisant pour augmenter le risque de développer un cancer. Même s’il s’agit d’une consommation qui peut sembler modérée, voire raisonnable, cela suffit à multiplier le risque de souffrir d’un cancer, et notamment de développer un cancer du sein », résume l’équipe de chercheurs bostonnais.

Classé comme substance cancérigène depuis 1988 par l’OMS, l’alcool doit donc être pris au sérieux en tant que facteur de risque du cancer du sein, selon l’étude en question.

Cette dernière avance également que plusieurs décès liés au cancer du sein et potentiellement développés par l’alcool sont « cachés » dans les statistiques de cancer, alors qu’ils découlent d’un problème d’alcool.

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Prendre son coeur en main

La Presse publie des statistiques inquiétantes en matière de santé cardiaque au Canada, mais ajoute qu’il est possible de renverser la situation.

Selon les chiffres proposés par Statistique Canada, les maladies cardiovasculaires talonnent de près le cancer, qui demeure en première place dans le classement des causes de mortalité au pays.

Les Canadiens sont eux-mêmes responsables, selon ce que l’on comprend des données avancées, puisque ces statistiques sont directement liées au style de vie de citoyens canadiens.

Ces derniers ont donc l’occasion de corriger le tir et de faire baisser significativement les risques de développer une maladie cardiovasculaire ou de faire une crise cardiaque, en devenant plus responsables envers leurs corps et leur santé.

Malgré toutes les campagnes et les informations sur le sujet, les spécialistes se désolent que les Canadiens ne prennent pas au sérieux les recommandations. Ceux-ci rappellent du même coup que les femmes sont aussi à risque que les hommes.

Au Canada, neuf personnes sur dix présenteraient des comportements qualifiés de facteurs de risque en ce qui concerne les troubles cardiovasculaires. Une situation qu’il faudra rapidement corriger.

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Comment aider les mères à mieux vivre le diagnostic de cancer d’un enfant

Une étude publiée dans le Journal of Clinical Oncology s’est attardée sur le cas de 309 mères dont l’enfant était atteint d’un cancer. Peu après le diagnostic, celles-ci ont suivi une formation les aidant à naviguer dans l’univers complexe accompagnant un diagnostic pédiatrique de cancer, par exemple l’aspect médical et l’aspect de l’éducation.

Cette étude tentait de différencier les avantages de cette méthode d’intervention auprès de mères de ceux d’une autre méthode appelée « écoute compassionnelle ».

Tout de suite après les deux types d’intervention, les mères montraient des avantages similaires. Cependant, trois mois plus tard, les effets de l’écoute compassionnelle semblaient s’être estompés, tandis que les avantages de la résolution de problèmes continuaient d’augmenter, et les mères étaient moins stressées et anxieuses.

« Des recherches précédentes ont montré à quel point la mère cimente la famille. Lorsqu’un enfant reçoit un diagnostic de cancer, si la mère est stressée et n’arrive pas vraiment à fonctionner, on peut voir les effets sur son conjoint et sur les frères et sœurs également », a expliqué l’auteure de l’étude, Diane Fairclough, selon Medical News Today.

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Le cancer du poumon en voie de dépasser le cancer du sein chez la femme

Le cancer du poumon pourrait dépasser bientôt les statistiques affichées par celles du cancer du sein chez la femme, apprend-on de plusieurs sources, dont Santé Log.

Ainsi, si la tendance se maintient, le cancer du sein ne serait plus le plus meurtrier chez la femme. On estime que le cancer du poumon pourrait voir sa croissance augmenter de 400 % au fil des prochaines décennies, un constat alarmant s’il en est un.

Ces statistiques proviennent d’une étude australienne parue dans la plus récente édition des Annals of Oncology, et ont de quoi faire peur.

L’étude se base notamment sur des statistiques solides fournies par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui parle d’une évolution presque incontournable dans le cas du cancer du poumon.

Cependant, plusieurs nouveaux types de traitement contre le cancer semblent vouloir faire leur apparition, et de nouvelles façons de faire laissent entrevoir un brin d’optimisme.

Il ne reste plus qu’à souhaiter que les chercheurs et spécialistes du monde entier battent de vitesse la croissance exponentielle de cette terrible maladie.

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Des vies prolongées grâce à un virus modifié

Le magazine britannique Nature Medicine a publié un rapport qui relate certains tests concluants effectués sur des patients atteints du cancer du foie, qui ont vu leur vie être prolongée grâce à une nouvelle percée médicale prometteuse.

De fait, ce sont 30 patients en phase terminale de la maladie qui ont reçu le traitement, que l’on décrit comme un virus modifié capable de cibler les cellules cancéreuses.

C’est clairement la nouvelle approche de la communauté scientifique en matière de cancer, c’est-à-dire de créer des éléments qui peuvent « tuer » les cellules cancéreuses.

On a pu observer que les patients qui avaient reçu des doses importantes de ce virus modifié, appelé Pexa-Vec, ont prolongé leur vie de 7 à 14 mois en moyenne, selon les sujets.

« C’est la première fois dans l’histoire de la médecine que nous avons pu montrer qu’un virus issu du génie génétique pouvait améliorer la survie de patients atteints du cancer », lance David Kim, coauteur des recherches.

La chimiothérapie a ses limites, de l’aveu même des spécialistes, et de telles techniques permettraient de combattre sur plusieurs fronts et sur une période de temps plus longue.

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Découvrez la molécule TIC 10

Santé Log nous apprend l’existence d’une molécule qui s’avère une alliée de taille dans la lutte au cancer, selon des recherches publiées dans la plus récente édition du magazine Science Translational Medicine.

Appelée TIC 10, cette molécule « pousserait les cellules cancéreuses au suicide », une image dramatique qui explique bien ses méthodes de fonctionnement. Cette molécule TIC 10 favoriserait la création de la protéine baptisée Trail, qui lutte contre les cellules cancéreuses.

Le problème, c’est que la protéine Trailperd de son efficacité lorsque le cancer gagne du terrain. Il est donc primordial de lui redonner les outils afin qu’elle poursuive son combat tout au long de la terrible maladie.

C’est là qu’intervient la fameuseTIC 10, qui stimule les facultés et le rôle joué par la protéine. D’ailleurs, l’appellation « TIC » signifie « TRAIL-Inducing Compound ».

Le processus a été étudié sur des souris, et dans plusieurs cas, celui-ci s’est avéré efficace pour contrer les cellules cancéreuses, et ce, en moins de trois semaines.

D’autres recherches sur des rongeurs sont prévues avant de commencer les essais, cliniques, mais il s’agit d’une autre percée porteuse d’espoir.

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Potins

Angèle Dubeau annonce qu’elle a le cancer du sein

C’est une bien triste nouvelle que l’on apprend de la part de Canoë, alors que la célèbre violoniste québécoise Angèle Dubeau souffre d’un cancer du sein.

Le diagnostic est tombé récemment, et il semble que celui-ci soit tout de même survenu à temps pour permettre de bonnes chances de survie à la musicienne.

C’est ce qu’elle affirme, en prenant l’occasion de rassurer ses fans et ses proches, laissant entendre qu’elle compte bien vaincre la terrible maladie.

« Aujourd’hui, une femme sur neuf a un cancer du sein. Je viens d’apprendre que c’est mon cas. Comme beaucoup de femmes courageuses avant moi qui ont été atteintes de cette maladie, je vais en guérir. Je suis bien entourée par mes proches et peux compter sur une équipe médicale d’ici et de tout premier ordre. Le cancer se guérit surtout s’il est diagnostiqué à temps. Et c’est aussi mon cas », annonce l’artiste avec un optimisme désarmant.

Elle doit annuler plusieurs concerts à venir, mais a bon espoir de pouvoir participer à la 15e édition de la Fête de la Musique qui se déroulera à Tremblant en septembre prochain.

Toute la province est maintenant derrière Angèle Dubeau et lui souhaite le plus prompt des rétablissements.

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Le stress au boulot n’augmenterait pas les risques de cancer

C’est une nouvelle étonnante que nous rapporte The National Library of Medicine, alors que l’on apprend que le stress au travail n’augmenterait pas nécessairement les risques de développer un cancer.

Par contre, le stress peut agir sur un individu d’une telle façon qu’il peut le porter à poser des gestes ou à développer des comportements qui peuvent le mener vers la maladie.

On pense notamment aux abus de nourriture et d’alcool, ou encore à divers autres comportements, mais l’étude rapportée ici laisse croire que le stress en tant que tel n’est pas un facteur en soi.

« Nous savons déjà par d’autres études que le stress au travail n’est pas vraiment un facteur de risque de cancer. Même si réduire ce stress permet une amélioration de la santé mentale et physique, cela n’a pas d’impact sur le cancer à proprement parler », résume Katriina Heikkila, chercheuse en chef duFinnish Institute of Occupational Health d’Helsinki.

Ses collègues et elle croient néanmoins qu’il est important de parler du problème du stress chez les individus et de tenter de le réduire au maximum.

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Moitié moins de risques de cancer de la prostate chez les hommes actifs

Santé Log rapporte une nouvelle étude concernant le cancer de la prostate qui risque de donner le goût à plusieurs hommes de se mettre à l’exercice physique.

Selon l’étude britannique, les hommes actifs verraient leurs risques de développer un cancer de la prostate être diminués de moitié, rien de moins.

Publiées dans la plus récente édition du magazine Cancer, ces recherches en provenance du Durham Veterans Affairs Medical Center ne sont pas complètes, mais apportent certains éléments qui tendent à prouver cette théorie.

Cette dernière parle de 50 % moins de risque concernant le cancer de la prostate, mais aussi d’une meilleure capacité de rétablissement en cas de cancer, en plus de risques atténués de subir des lésions graves lors des traitements ou du développement d’une maladie du genre.

L’étude semble controversée depuis sa sortie, puisqu’elle parle des bienfaits de l’exercice physique en matière de cancer de la prostate chez les hommes blancs seulement, ce qui fait bondir certains spécialistes et observateurs.

Il est clair que d’autres études sur le sujet sont à prévoir.