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L’obésité des pères augmente le risque de cancer chez les enfants

Le journal BMC Medicine a publié les résultats d’une récente recherche qui s’est attardée à l’ADN de nouveau-nés, en particulier les données épigénétiques, c’est-à-dire la manière dont l’environnement et l’histoire individuelle ont une influence sur l’expression des gènes.

Les chercheurs voulaient particulièrement étudier l’effet de l’obésité des parents sur leurs enfants, et ont donc comparé ces données avec de l’information sur le poids des deux parents.

Ils ont constaté que le poids des deux parents avait un impact sur le risque de l’enfant de développer un cancer, et pas uniquement celui de la mère, tel que la science le croyait auparavant.

« Durant la spermatogénèse (la production des spermatozoïdes), certaines régions du code génétique pourraient être sensibles aux dommages environnementaux; ces effets peuvent être transmis à la prochaine génération. Il est possible que la malnutrition ou le niveau d’hormones des pères obèses puisse mener à une méthylation incomplète de l’ADN ou à une reproduction instable des gènes », ont noté les chercheurs, selon Medical News Today.

Des études plus poussées doivent être menées pour mieux comprendre ce facteur de risque.

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Moins de cancers en Alberta

Une nouvelle aussi bonne qu’intrigante nous arrive de l’Alberta, alors que l’on constate des taux de cancer en chute libre au sein de la population de la province canadienne.

Selon Radio-Canada, qui rapporte la nouvelle, il appert que le phénomène n’est pas tout nouveau dans la région, puisque les taux de mortalité et de diagnostic de cancer en Alberta sont en baisse depuis 2004.

Pour Paul Grundy, vice-président affecté aux soins de santé liés au cancer et directeur médical en chef, il s’agit d’une preuve concrète du succès de certaines des mesures implantées dans la province depuis quelques années. Notamment, les campagnes anti-tabac, de prévention des rayons UV et celles qui prônent le dépistage régulier contre le cancer semblent toutes avoir porté des fruits.

On souligne aussi la qualité des soins de santé offerts en Alberta, en plus du travail exceptionnel des oncologues de la province.

Pour M. Grundy, il s’agit d’une bonne nouvelle, mais encore beaucoup de travail reste à faire. Le cancer demeure un fléau même en Alberta, et on doit poursuivre la lutte.

Le taux de diagnostic de cancer a chuté de 1 % annuellement depuis 2002 en Alberta, et le nombre de décès liés à la maladie est en baisse de 2,8 % depuis 2004.

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Les survivants d’un cancer du système nerveux durant l’enfance peuvent souffrir d’une mauvaise image de soi

Le Journal of Neuro-Oncology publie les résultats d’une étude menée en Suède, auprès de 700 patients qui ont survécu à un cancer du système nerveux durant leur enfance. Leur image corporelle et leur sens de l’identité, entre autres en lien avec les sports, ont ainsi été évalués.

L’image et l’estime de soi dans les sports étaient fortement liées avec le statut fonctionnel et émotif actuel des patients. Si ceux-ci souffraient de déficits persistants au niveau du langage ou de la vision, éprouvaient de la douleur ou avaient des problèmes émotifs apparaissant après coup, les patients étaient beaucoup plus susceptibles d’avoir une image corporelle négative.

Les femmes, qui souffrent habituellement de complications plus sérieuses du point de vue de la santé, avaient également une image plus négative.

« Nous ne comprenons pas encore complètement les causes de ces différences basées sur le sexe, mais ces connaissances sont très importantes. Elles signifient que, dans le futur, nous pourrons mettre en place des mesures de prévention pour les patients à risque de développer des problèmes d’identité », a noté l’auteur de l’étude, le Dr Krister Boman, selon Science Daily.

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Les fibres et la prostate

Il semble que les fibres soient des alliées précieuses pour les hommes qui souhaitent mettre toutes les chances de leur côté afin de prévenir un éventuel cancer de la prostate, rapporte E-Santé.

Une molécule que l’on retrouve dans ces fameuses fibres octroierait cette protection, selon les recherches publiées par des chercheurs de l’Université du Colorado.

Cette molécule permettrait d’abord de prévenir des lésions que l’on dit précancéreuses, une prémisse du cancer de la prostate. Un régime fort en fibres permettrait donc de freiner la formation de vaisseaux sanguins qui créent ce genre de lésions, limitant ainsi les chances de progression d’un cancer de ce type.

Les recherches tendent non seulement à démontrer la véracité de cette théorie, mais on constate que les peuples asiatiques affichent des statistiques bien en deçà de celles des Nord-Américains en matière de cancer de la prostate.

Il est facile de faire le lien avec les régimes alimentaires des deux régions du monde, qui sont souvent diamétralement opposés.

Encore une fois, on constate que ce que l’on mange influence fortement le type de maladies auxquelles nous risquons de faire face dans la vie.

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De petits efforts quotidiens aussi efficaces que le gym

Si vous en avez marre de vous faire dire que si vous n’allez pas au gym, vous n’êtes pas dans le coup, une nouvelle étude en provenance des États-Unis vous donnera des armes pour répondre à ce genre de propos.

Selon ces chercheurs américains, une foule de petits gestes et efforts quotidiens permettent de bénéficier d’effets similaires à ceux obtenus grâce à l’entraînement en salle, et ce, à un prix bien plus modique.

Notamment, rapporte Top Santé, le simple fait de grimper un escalier quotidiennement permettrait de prévenir d’éventuels problèmes cardiaques, en plus de plusieurs types de maladies comme le diabète, le cancer, l’hypertension ou l’ostéoporose.

La marche et le jardinage sont aussi du lot, ainsi qu’une foule d’autres petits efforts accessibles à tous. La clé : bouger, simplement, au moins 30 minutes par jour.

« Il s’agit d’une façon plus naturelle de faire de l’exercice, juste en marchant et en bougeant un peu plus. Faire de l’activité physique un mode de vie est plus rentable qu’un abonnement au gym », croit fermement Brad Cardinal, coauteur de l’étude.

Pour y parvenir, vous devrez y mettre l’effort. Ainsi, il faudra choisir l’escalier au détriment de l’ascenseur, et faire des marches quotidiennes là où vous utilisez habituellement votre véhicule. Pas de gain sans effort!

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Nouvelle victoire pour la bière

C’est une autre victoire pour la bière, cette boisson alcoolisée populaire qui n’en finit plus de recevoir des honneurs ces derniers temps. Selon Top Santé, on viendrait de lui trouver une nouvelle propriété, préventive celle-là, en ce qui concerne le diabète.

Selon des spécialistes de l’Université de Washington, le bon vieux houblon permettrait de se protéger plus adéquatement de la terrible maladie, mais aussi de certains types de cancers et même du surpoids.

La bière pour contrer le surpoids? Revenons plutôt sur ces présumées propriétés anti- diabète. Selon une nouvelle étude publiée dans la plus récente édition du Angewandte Chemie International Edition, les humolones contenues dans la bière sont des éléments actifs fantastiques qui permettent une protection contre plusieurs maladies comme le diabète, par exemple.

Cependant, les chercheurs précisent qu’ils ne comptent pas « prescrire » de la bière comme moyen de prévention, mais rappellent que leurs conclusions visent spécialement ces fameuses humolones.

On pourrait voir apparaître des dérivés d’humolones sous forme de médicaments, croit-on.

Un débat fait rage concernant la bière et ses effets, alors que plusieurs études sur le sujet se contredisent, mais ces temps-ci, la boisson alcoolisée connait de bons moments et jouit de l’appui de plusieurs spécialistes.

Ces derniers suggèrent la modération, soit deux bières maximum par jour pour les hommes, et une pour les femmes (moyenne).

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Plus de fruits et légumes abaisseraient les risques de cancer du sein

La réputation des fruits et légumes en matière de santé et nutrition n’est plus à faire, mais voilà que The National Library of Medicine propose une nouvelle étude qui parle d’une vertu bien précise de ces aliments.

Il s’agit du cancer du sein, plus particulièrement dans certaines de ses formes les plus agressives, qui pourraient voir ses chances de se développer baisser dramatiquement chez les femmes qui consomment régulièrement des fruits et des légumes.

Bien que les chercheurs précisent qu’ils ne sont pas parvenus à prouver directement une cause à effet, et que ce comportement ne ferait pas baisser les chances de développer un cancer du sein en général, ils sont convaincus qu’il est tout de même efficace contre les formes les plus difficiles à traiter de la maladie.

Ces formes, notamment, sont définies comme des « cancers du sein de type récepteur œstrogène négatif ». Ces tumeurs ne réagissent donc pas au flux d’œstrogène chez la femme et compteraient pour 15 à 20 % de tous les cancers du sein.

Les chercheurs du département de nutrition de Harvard avancent que les femmes qui mangent quotidiennement des fruits et légumes présentent des statistiques inférieures en ce qui a trait à ce type de cancer que leurs consœurs qui n’en consomment pas ou peu.

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L’acide folique n’augmenterait pas les risques de cancer

L’acide folique est blanchi des accusations qui pesaient contre lui, selon lesquelles il encouragerait le développement de plusieurs types de cancer.

Ainsi, on apprend par l’entremise de la National Library of Medicine que des chercheurs viennent de déposer les résultats de leurs analyses sur le sujet. Selon eux, l’acide folique a été pointé du doigt injustement jusqu’à présent.

Surtout contenu dans les aliments renfermant de la vitamine B ainsi que dans la farine (depuis 1998), on le retrouve aussi dans les légumes verts comme les épinards, les asperges et la laitue, notamment.

Plusieurs experts s’accordaient pour dire que cet acide possédait certains travers qui contrecarraient ses effets bénéfiques sur la santé, ce que démentent ces dernières recherches.

Pour prouver leurs théories, des chercheurs canadiens (Nouveau-Brunswick) se sont alliés à d’autres experts internationaux et ont tout simplement administré des doses quotidiennes d’acide folique à un groupe test, alors que le second groupe ne recevait qu’un placebo.

En ajoutant ces résultats à ceux obtenus dans plus de 13 autres essais cliniques, les experts néo-brunswickois et leurs collègues tranchent : pas de hausse de cancer due à l’acide folique.

L’étude s’est effectuée sur plus de cinq ans et a vu passer près de 50 000 volontaires.

« La conclusion est qu’il n’y a aucun danger à court terme (5 ans) », termine le Dr John Baron, appelé à commenter ces recherches.

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La calvitie et le cancer de la prostate associés

Une nouvelle étude australienne tente de démontrer qu’il existe un lien entre la calvitie dite « précoce » et les risques de cancer de la prostate chez l’homme, rapporte Santé Log.

On veut sensibiliser la population masculine à ces risques, mais on précise toutefois qu’il n’y a pas lieu de s’alarmer.

Selon les conclusions de l’étude, présentées et publiées dans la plus récente édition du magazine Cancer Epidemiology Biomarkers and Prevention, il existerait une corrélation entre la calvitie chez les jeunes hommes et les chances de voir ceux-ci développer un cancer de la prostate.

Lorsque l’on parle de « précoce », on parle d’avant la quarantaine, puisqu’il est commun de voir les hommes perdre du volume capillaire passé cet âge. Ainsi, on suggère à ces hommes plus jeunes de songer à commencer les tests de dépistage pour le cancer de la prostate plus tôt que prévu, bien que l’on conseille à tous les hommes de le faire en général.

Aussi, on stipule qu’il ne faut pas croire que la calvitie est un gage de cancer, et que plusieurs types de cancer de la prostate ne sont pas très agressifs et « facilement » traitables.

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Les dangers que cachent les tatouages

Le Syndicat National des Dermatologues-Vénéréologues (SNDV) met en garde la population contre les tatouages, rapporte Top Santé.

Le regroupement tient à dévoiler certains dangers associés à cette pratique afin que les gens puissent être bien informés et, par conséquent, fassent des choix éclairés en la matière.

On rappelle donc que le tatouage n’est pas une option à prendre à la légère. D’abord, on veut informer le public sur les encres permanentes qui contiennent des éléments potentiellement cancérigènes. Du lot, de l’aluminium, du fer, du mercure, du cuivre, du chrome et du nickel peuvent se retrouver dans ces encres.

Des infections et affections diverses sont aussi possibles, comme de l’eczéma, la sarcoïdose ou encore des allergies.

On demande aux gens de se méfier aussi de la paraphénylènediamine, utilisée notamment pour les tatouages qui durent moins longtemps. On recommande de ne pas hésiter à demander de quoi sont constitués les produits et outils utilisés lors du processus.

Pour terminer, on suggère aux gens qui souffrent déjà de problèmes de peau de s’abstenir complètement de passer sous l’aiguille d’un tatoueur. Ce dernier est par ailleurs à choisir avec soin et précaution.