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Nouvelle recherche concernant les pilules de chimiothérapie

The National Library of Medicine rapporte des conclusions tirées d’une nouvelle recherche effectuée dans le dossier des pilules de chimiothérapie, une nouvelle façon de faire en oncologie.

Le premier constat parle d’une efficacité notable pour ce nouveau traitement, certains patients réagissant mieux à ce format qu’à celui intraveineux. De plus, il semble qu’il soit plus facile de cibler et combattre certaines formes de cancer avec cette chimiothérapie en pilules qu’avec la formule précédente.

Malheureusement, le principal problème avec cette méthode est que la posologie n’est souvent pas respectée. On constate que beaucoup de patients ne respectent pas les doses ou les recommandations, ce qui vient fausser les données et les traitements.

De plus, certains effets secondaires ont été observés, notamment des douleurs, des nausées, de la diarrhée, de la fatigue et des réactions cutanées. Ceci n’est rien pour aider les patients à respecter les règles établies, puisque plusieurs décideraient de « sauter » des doses afin d’éviter certains de ces désagréments.

« Les prescriptions pour ces pilules comprennent des instructions souvent complexes. Certaines d’entre elles demandent aux patients de prendre les comprimés plusieurs fois par jour, puis une seule, puis d’arrêter le traitement, pour enfin reprendre de multiples doses quotidiennement. Ça peut devenir très compliqué, surtout pour ceux qui subissent plusieurs traitements en même temps », lance l’auteure en chef de l’étude, Sandra Spoelstra.

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Le tabagisme passif maintenant reconnu

Top Santé rapporte un jugement provenant d’une cour d’appel française qui valide le concept de « tabagisme passif » et tranche en faveur d’une enseignante qui décriait le phénomène.

Cette enseignante originaire de Toulouse a dû se faire enlever un poumon à la suite d’un cancer dont l’origine est suspecte, puisque la dame ne fume pas.

S’il est difficile de tracer un lien clair entre le tabagisme passif et ce genre de cas, la cour d’appel en question semble avoir été convaincue par la plaidoirie de la plaignante.

Il s’agit d’une grande première, car les tribunaux du monde entier sont souvent réticents à accepter une notion de causalité dans ce genre d’affaires.

Or, des statistiques tendent à démontrer que le phénomène du tabagisme passif est bien réel et qu’il pourrait même tuer 1 personne sur 100.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’était aussi penchée sur la question en 2004, avant de conclure : « Le tabagisme passif résulte de la fumée qui envahit restaurants, bureaux ou autres espaces clos lorsqu’il y a combustion de produits du tabac, comme des cigarettes. Ses effets nocifs concernent tout le monde. Et il n’existe pas de seuil au-dessous duquel l’exposition à la fumée du tabac serait sans danger ».

On peut s’attendre à ce que plusieurs tribunaux emboîtent le pas dans ce dossier, à la suite de cette affaire qui fait office de jurisprudence.

 

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Radiothérapie chez l’enfant – risques plus élevé de cancer thyroïdien

Les résultats de l’étude ont été présentés par l’Inserm. Ils démontrent que même si les enfants en bas âge qui subissent une radiothérapie sont plus enclins à développer le cancer de la thyroïde, le pronostic est identique.

Donc, en terme de mortalité ou de rechute, Santé Log rapporte qu’il n’y a pas de différence chez les patients adolescents qui, dans leur enfance, ont eu recours à la radiothérapie.

Par contre, les chercheurs, qui proviennent des Hospices Civils de Lyon, du Centre de Recherche en Cancérologie de Lyon et du CHU de Saint Étienne, démontrent que dans les cas d’exposition à la radiothérapie, le cancer de la thyroïde est plus agressif, et le risque de le développer est plus élevé.

Ainsi, chez le jeune enfant qui a eu un traitement contre le cancer, lors d’un diagnostic du cancer de la thyroïde plus tard, il y a plus de métastases et une plus grande présence dans les ganglions lymphatiques. D’autre part, il y a une proportion plus élevée de tumeurs invasives (stade 3).

La recherche a été menée auprès de 413 jeunes diagnostiqués du cancer de la glande thyroïde, âgés en moyenne de 17 ans, dont 24 avaient été traités en radiothérapie dans leur enfance.

Bien que les rechutes soient de l’ordre de 10 à 20 %, il n’y avait pas de différence selon l’exposition ou non à une radiothérapie.

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Une nouvelle technologie fait son apparition en santé

C’est une technologie du futur que nous proposent des chercheurs de la prestigieuse Université Harvard, alors que ceux-ci croient avoir trouvé l’alternative parfaite à l’endoscopie en matière de dépistage du cancer, notamment de la gorge.

Il s’agit d’une « caméra-pilule », décrit Santé Log, qui rapporte les résultats de l’équipe de Harvard. Cette pilule serait tout simplement avalée, pour ensuite transmettre des images « en direct » de l’œsophage des patients.

On pense ainsi pouvoir mieux déceler les traces de cancer, en qualité et en temps, tout en évitant l’actuel moyen de prévention et de dépistage : l’endoscopie.

Cette dernière requiert beaucoup de technique et de moyens, en plus d’être invasive et désagréable.

La caméra-pilule est un concept à la fine pointe de la technologie, qui utilise de plus un système de visualisation 3D offrant une visualisation précise et efficace.

L’examen pourrait se faire en moins de six minutes, ce qui rendrait tout le processus plus efficace et attrayant, tant pour les patients que pour les praticiens.

Les détails de cette percée ont été publiés dans la plus récente édition du magazine Nature Medicine.

 

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Le nombre de cigarettes influence la sévérité de certains cancers

On apprend, par l’entremise de Santé Log, que la gravité du tabagisme influencerait le type et la sévérité de certains cancers.

Notamment celui de la vessie, intrinsèquement lié avec le tabagisme. Donc, ce que cela signifie, c’est que plus vous fumez de cigarettes, plus les risques de voir se développer un cancer de la vessie grave augmentent.

Les études démontrant que le nombre de cigarettes fumées quotidiennement change la donne font de plus en plus leur apparition, et il s’agit d’une nouvelle façon de présenter les choses.

Cette fois, c’est l’Université de Miami qui publie cette plus récente étude sur le sujet, affirmant que les fumeurs chroniques intensifs ont plus de chance de développer une version agressive du cancer de la vessie.

Si l’on parlait auparavant de « fumer ou ne pas fumer », on accepte maintenant de révéler que le nombre de cigarettes joue un rôle dans les pronostics. Ainsi, si vous ne pouvez cesser de fumer, ralentir le rythme et le nombre est déjà un bon début.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la plus récente édition du journal de l’American Cancer Society.

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Un traitement pour le coeur pourrait avoir une double utilité

www.nlm.nih.gov rapporte des conclusions tirées par des chercheurs qui croient qu’un médicament couramment employé pour contrôler la haute pression et le rythme cardiaque pourrait avoir une deuxième utilité.

En effet, les spécialistes pensent que le traitement appelé « bêta bloquant » serait également fort utile dans le suivi des patients qui se remettent d’un cancer du poumon.

On observerait une hausse des taux de survie de 22 % chez les patients en rémission qui utilisent ce traitement.

« Ces découvertes étaient les premières, à notre connaissance, démontrant une hausse des taux de survie avec l’utilisation des bêta bloquants parallèlement à la radiothérapie dans les cas de cancer du poumon. Ces résultats laissent présager qu’il y a peut-être un autre mécanisme inexploré qui pourrait aider les patients aux prises avec cette maladie très agressive », déclare le Dr Daniel Gomez, de l’Université du Texas.

Les résultats de ces recherches ont été publiés dans la plus récente édition des Annals of Oncology et laissent présager de nouvelles façons de faire en oncologie dans les cas de cancer du poumon.

Les chercheurs tiennent à spécifier que les statistiques concernant les rémissions et les taux de survie peuvent aussi varier en fonction de l’âge et de la condition physique des patients.

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Le Canada veut changer les règles de dépistage du cancer du col de l’utérus

Un groupe de chercheurs et de spécialistes unis pour étudier les méthodes de prévention et de traitement du cancer du col de l’utérus ont rendu leurs conclusions, rapporte notamment Le Devoir.

Celles-ci semblent vouloir indiquer que des changements sont à prévoir au Canada en ce qui a trait à la prévention de cette maladie.

D’abord, on parle beaucoup des fameux tests PAP ces temps-ci, et l’étude suggère justement de faire passer ce test de dépistage aux trois ans (il est aujourd’hui suggéré annuellement).

Ces tests peuvent comporter leur lot de désagréments, semble-t-il, et il serait possible d’avoir un système de prévention tout aussi efficace en évitant les méthodes intrusives chaque année.

La prévention du cancer du col de l’utérus devrait commencer à 25 ans environ et être mieux ciblée. On veut donc rendre les choses plus efficaces pour les femmes qui doivent subir le test.

Pour terminer, notons que le risque de cancer du col de l’utérus est passé de 1,5 % à 0,66 %. Les taux de mortalité sont aussi en baisse, passant de 0,94 % à 0,22 % depuis la mise en place du fameux test PAP.

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Le cancer fait moins de morts en Amérique du Nord

C’est un constat rempli d’optimisme que publie www.cancer.org, alors que les taux de mortalité dus au cancer seraient encore en baisse en Amérique du Nord, notamment aux États-Unis.

Ces résultats proviennent du rapport annuel sur le sujet (Annual Report to the Nation on the Status of Cancer), publié cette année dans le Journal of the National Cancer Institute.

On remarque que les décès à la suite d’un cancer sont en baisse, malgré une hausse des diagnostics. Il s’agit d’un déclin constant depuis les années 90, affirment les spécialistes, ce qui a de quoi surprendre.

Ainsi, on note des baisses respectives de 1,8 % et 1,4 % de mortalité chez les hommes et les femmes atteints d’un cancer. De plus, ces statistiques touchent la plupart des cancers connus, comme ceux du poumon, du sein et de la prostate, pour ne nommer que ceux-là.

« La continuité de la baisse de la mortalité par cancer depuis deux décennies est certainement une raison de célébrer. Le défi auquel nous faisons maintenant face est de continuer cette progression malgré l’apparition de nouveaux problèmes comme l’obésité et le VPH, entre autres. »

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Arrêter l’alcool : d’une pierre deux coups

De plus en plus d’études viennent confirmer l’impact négatif de l’alcool sur l’organisme. On parle bien sûr ici d’une surconsommation, qui vient alors nuire à plusieurs systèmes du corps et peut même entraîner des troubles de la mémoire à long terme, entre autres.

Il y a aussi l’aspect calorique de l’alcool, rapporte topsante.com. C’est justement pour cette raison que le WCRF conseille vivement à ceux qui souhaitent perdre du poids, ou le maintenir, de songer sérieusement à arrêter l’alcool complètement.

Si une association qui lutte contre le cancer se mêle de la partie, c’est qu’une perte de poids ou un maintien du poids santé est un gage d’une bonne santé en général et contribue à faire baisser les risques de développement de différents cancers.

Kate Mendoza, du WCRF, lance : « Réduire sa consommation d’alcool peut jouer un grand rôle dans la perte de poids ou le maintien d’un poids normal. Des études récentes ont montré que les consommateurs d’alcool n’ont pas souvent conscience des calories dans les boissons alcoolisées et ne les prennent pas en compte dans leur apport calorique quotidien ».

Parions que plusieurs se reconnaissent dans ce comportement…

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Une étude suggère un nouveau traitement contre le cancer de la vessie

www.nih.gov rapporte que des chercheurs ont établi un lien entre une protéine retrouvée chez certains patients de façon héréditaire et le cancer de la vessie, ce qui pourrait mener à de nouvelles pistes de traitement, selon eux.

La protéine en question se nomme « cellule souche antigène de la prostate » et se retrouve également de façon massive chez les patients atteints du cancer du pancréas et de la prostate, notamment.

Le traitement éventuel auquel les chercheurs font référence est celui effectué par une concentration de traitement sur ces cellules de la tumeur, une façon de faire qui rend les spécialistes forts optimistes.

De tels traitements sont déjà à l’essai pour des cas de cancer de la prostate et du pancréas, et les chercheurs expriment le souhait de voir cette thérapie porter des fruits aussi dans le cas du cancer de la vessie.

Ceci s’inscrit encore dans cette nouvelle philosophie en oncologie, alors que l’on parle beaucoup plus de « cibler les cellules » et de « greffe de cellules » que de chimiothérapie dans les traitements de l’avenir.

La chimiothérapie et la radiothérapie sont là pour rester, mais pourraient grandement bénéficier de l’appui de ces traitements ciblés au niveau des cellules.