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Le syndrome métabolique et le cancer

On apprend par l’entremise de e-sante.fr que la façon dont les gens se traitent eux-mêmes est assurément un facteur influent dans les risques de cancer.

On traduit l’ensemble des comportements adoptés par un individu sur sa santé comme « l’hygiène de vie », mais un terme plus scientifique et précis s’attache à ce groupe de comportements : le syndrome métabolique.

Ce dernier est défini comme un ensemble de comportements et de caractéristiques physiques qui en découlent, comme l’obésité, la haute pression et le taux de cholestérol dans le sang, par exemple.

Ce groupe de problèmes physiques est maintenant clairement mis en évidence dans le développement de plusieurs cancers, et les chercheurs italiens en tête de l’étude démontrent son influence sur les risques de développement de la maladie.

Les conclusions sont celles qui découlent de l’analyse de 43 études précédentes sur le sujet, qui regroupaient les données recueillies sur pas moins de 39 000 personnes.

Le syndrome métabolique augmenterait les risques de cancer du foie et colorectal de 43 % et 25 %, respectivement, chez l’homme, alors qu’il augmente de 61 % et 34 % les risques de cancer de l’endomètre et colorectal chez la femme, respectivement.

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Nouvelle percée majeure contre le cancer de la prostate

Santelog.com rapporte une nouvelle percée dans la lutte au cancer, plus particulièrement contre le cancer de la prostate.

C’est encore un traitement par l’utilisation d’un virus qui réussit sa mission, alors qu’on entend de plus en plus parler de ce type de façon de faire.

Récemment, on apprenait que certains patients atteints de cancer (notamment une fillette atteinte de leucémie) étaient en rémission à la suite de ce genre de traitement.

Cette fois, on parle de virus oncolytique, transmis par des cellules macrophages dans l’organisme afin de traquer les cellules cancéreuses et ainsi venir à bout de toute trace de tumeur restante.

Il s’agit d’un traitement parallèle à la chimiothérapie, permettant de maximiser ses effets et de combattre la maladie sur deux fronts.

Pour l’instant, ce traitement a été tenté sur des souris, et les chercheurs affirment avoir réussi à prouver l’efficacité de ce nouveau traitement par virus oncolytique.

Il reste donc à tenter les essais cliniques, mais il apparait de plus en plus clair que les spécialistes dans la lutte au cancer ont bon espoir de voir ces nouvelles méthodes porter des fruits et augmenter grandement les chances de survie à la suite d’un diagnostic de cancer.

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La malbouffe et les grignotines augmenteraient les risques de cancer du côlon

Ne jetez pas vos sacs de croustilles à la poubelle tout de suite, car ce qui suit concerne en premier lieu les gens qui sont déjà à risque de développer un cancer du côlon dans leur vie.

Les résultats de l’étude qui suit peuvent également s’appliquer à tout le monde et envoient un autre signal d’alarme concernant la malbouffe et les collations composées de grignotines mauvaises pour la santé.

C’est que selon l’étude rapportée par www.nlm.nih.gov, des chercheurs des Pays-Bas ont réussi à déceler un risque accru de cancer du côlon chez les gens qui ont déjà des prédispositions envers cette maladie, génétiquement ou via un syndrome comme celui de Lynch, par exemple.

On explique qu’en suivant 486 patients prédisposés à ce type de cancer, les chercheurs concluent que les risques de développer cette maladie en ne mangeant pas sainement et en consommant des collations malsaines augmentent drastiquement… parfois même jusqu’à 50 %.

« Nous avons remarqué chez les patients atteints du syndrome de Lynch qui avaient de mauvaises habitudes alimentaires (croustilles, aliments frits, etc.) un risque accru de 50 % de développer un cancer du côlon que chez ceux qui s’alimentaient bien », confirme Akke Botma, de l’Université Wageningen.

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Cellules T : Un dérivé du VIH pour lutter contre la leucémie

On vous apprenait récemment certaines percées importantes en matière de lutte au cancer, notamment grâce aux cellules T.

Ces cellules sont celles qui peuvent être « reprogrammées » afin de traiter certains patients aux prises avec des maladies très graves.

On apprend maintenant que deux cas sont venus démontrer l’efficacité de cette nouvelle façon de faire, alors que deux jeunes patients auraient vu leur cancer s’affaiblir ou disparaitre grâce à cette technique très moderne.

Mais il y a plus…

En effet, selon ce qu’explique santelog.com, il semble que ce traitement soit possible grâce à un dérivé du virus du VIH, dans une forme sécurisée. Aussi incroyable et paradoxal que cela puisse paraître, les spécialistes utilisent ce « dérivé » du VIH afin de créer des cellules tueuses qui attaquent les tumeurs.

Ces résultats, incluant les rapports qui confirment le succès de ce type de traitement sur plusieurs patients, ont été dévoilés lors d’une réunion de l’American Society of Hematology qui se tenait au début du mois (décembre).

L’équipe de l’Université de la Pennsylvanie se dit très heureuse de ces résultats et est portée par un vent d’optimisme concernant cette nouvelle méthode de traitement contre le cancer.

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Le café de nouveau vanté pour ses bienfaits sur la santé

Le café reprend ses lettres de noblesse petit à petit, et une nouvelle étude vient une fois de plus vanter les mérites de cette boisson très populaire.

Cette fois-ci, c’est une étude de l’American Cancer Society, rapportée par www.nlm.nih.gov, qui explique que boire quelques tasses de café par jour pourrait bien prévenir le cancer de la bouche ainsi que certains types de cancer de la gorge.

Il semble qu’il soit établi que les buveurs de café réguliers sont moins à risque de développer ces cancers que ceux qui n’en boivent qu’occasionnellement.

Janet Hildebrand, auteure principale de l’étude, commente : « Le café est l’une des boissons les plus consommées dans le monde, et il contient une variété d’antioxydants, de polyphénols et d’autres éléments actifs qui aident à protéger le corps contre le développement de certaines maladies, dont les cancers. Même s’ils sont moins présents aux États-Unis, les cancers oraux et de la gorge sont parmi les dix cancers les plus communs dans le monde ».

Cette étude est le résultat d’analyses de plusieurs autres recherches menées sur le café et le cancer, depuis 1982.

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Les carottes en vedette pour la prévention du cancer du sein

Topsante.com rapporte une étude américaine qui met l’accent sur les carottes pour prévenir le cancer du sein.

Les propriétés anti-cancer des légumes, notamment en matière de cancer colorectal, sont bien connues. Mais plus encore, il appert que les légumes à forte teneur en caroténoïdes seraient encore plus efficaces. Et où retrouve-t-on de fortes doses de caroténoïdes? Oui, dans les carottes.

Les chercheurs américains en tête de l’étude ont démontré clairement les effets d’une diète forte en caroténoïdes, en analysant les dossiers de plusieurs milliers de patientes, dont presque la moitié étaient atteintes d’un cancer du sein.

Les patientes qui avaient un taux de caroténoïdes plus élevé dans le sang ont vu les risques de développer un cancer du sein diminuer radicalement, et encore plus chez les non-fumeuses.

Les résultats de cette étude, menée par des chercheurs de l’Université Harvard, ont été publiés récemment dans le Journal of the National Cancer Institute.

Les caroténoïdes ne se retrouvent pas que dans les carottes! On note que pour retrouver ces nutriments en forte dose, il faut miser sur les fruits et légumes colorés, ou foncés si vous préférez.

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La colonoscopie effraie moins et serait maintenant entrée dans les moeurs

Pendant longtemps, le simple fait de mentionner le mot « colonoscopie » suffisait à faire frissonner d’horreur une bonne partie de la population.

Bien que peu agréable, la colonoscopie s’avère indispensable et fort efficace pour le dépistage hâtif du cancer du côlon. Ce cancer fait beaucoup de ravages, mais les chances de survie sont bonnes lorsqu’il est diagnostiqué rapidement et au début de son développement.

Et voilà que Topsanté nous apprend que la colonoscopie serait maintenant plus populaire, notamment en France. Les gens seraient moins terrifiés à l’idée de passer l’examen et comprennent mieux l’importance du dépistage.

Le cancer du côlon est particulièrement vicieux, car il se développe sans symptôme pendant un bon moment, évoluant silencieusement. Voilà pourquoi il est important de subir ce genre de tests, afin de le découvrir avant l’apparition des symptômes, et ainsi assurer un traitement efficace.

Bien que son apparition soit plus fréquente chez les gens de 60 ans et plus, on suggère de commencer à subir des colonoscopies vers l’âge de 50 ans, ou même 40 si vous aimez être rassuré et prônez la prévention (ce qui est une bonne chose).

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Le tamoxifène serait plus efficace sur une période de dix ans

Le tamoxifène est un traitement bien connu contre le cancer du sein, et ses bienfaits sont reconnus par l’ensemble de la communauté scientifique.

Voilà que l’on apprend, via santelog.com, que le traitement serait bien plus efficace lorsqu’utilisé sur une période de dix ans, au lieu des cinq années de traitement normalement offertes.

Ces conclusions ont été publiées dans la plus récente édition de Lancet, la même publication qui avait précédemment confirmé les effets du tamoxifène sur une période de cinq ans.

Cette fois, des chercheurs de l’Université Oxford (en collaboration avec d’autres instituts de recherche) ont analysé les dossiers de deux groupes de patientes. Le premier groupe a été traité au tamoxifène durant cinq ans, et le deuxième pendant dix ans.

On a recensé un nombre évident de cas en moins de récidives et de décès pour le groupe des « dix ans », contrairement à ceux des « cinq ans ».

D’autres études sont à prévoir sur le sujet, mais les chercheurs pensent pouvoir affirmer dès maintenant que les femmes, notamment celles diagnostiquées très tôt, devraient être traitées au tamoxifène durant une décennie, même après la disparition prétendue de la maladie.

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La prudence serait de mise concernant les études en nutrition sur le cancer

www.nlm.nih.gov nous met en garde contre plusieurs études qui seraient parues concernant le cancer et la nutrition. Notamment, certaines de ces études en avaient contre plusieurs aliments qui, selon elles, pourraient favoriser le développement de divers cancers.

On parle entre autres de la cannelle et du homard qui, selon des chercheurs californiens, ne seraient pas dangereux du tout. Ces chercheurs ont d’abord dressé une liste de 50 aliments aléatoires, puis ont fait des recherches pour dénicher des études qui supposaient des risques de cancer plus élevés les concernant.

Leurs conclusions : beaucoup trop d’études « bidon » sont publiées, ce qui désinforme la population.

« Nous avons vu et étudié un grand nombre d’études… beaucoup trop d’études qui suggèrent que certains aliments spécifiques favoriseraient le développement de certains cancers. Les gens prennent peur ou croient qu’ils devront changer de style de vie et prendre de grosses décisions, puis se rendent compte que les études en question sont finalement réfutées quelque temps plus tard », lance le Dr John Loannidis du Stanford Prevention Research Center, en Californie.

Selon lui, la façon dont les études sont faites et publiées devrait être revue, afin d’assurer la meilleure qualité possible d’information donnée au public.

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Le café en renfort dans la lutte au diabète

Le café connait une bonne période, alors que les études qui font l’apologie de ses vertus sont de plus en plus nombreuses.

Elles contredisent un peu la vague précédente d’études qui mettaient en garde contre les effets néfastes du café. On sait maintenant que les antioxydants présents dans le produit sont excellents pour la santé, notamment pour la prévention de plusieurs cancers.

Santelog.com nous apprend maintenant que la caféine permet aussi aux gens à risque de développer du diabète de s’en protéger. Ainsi, trois ou quatre tasses de café par jour ne seraient pas néfastes, mais pourraient prévenir l’apparition de la maladie.

Étonnant de constater que les chercheurs parlent de « consommation modérée », alors qu’ils suggèrent trois ou quatre tasses quotidiennement. Des études récentes conseillaient de ne pas dépasser trois portions par jour, maximum.

Les spécialistes présents lors du congrès 2012 de la WCPD (Prevention of Diabetes and Its Complications) persistent et signent : les gens qui consomment régulièrement du café auraient 25 % moins de chance de développer du diabète.

On prête également au café des vertus antidépressives et anticancer, en plus de ses propriétés qui protégeraient contre certaines maladies cardiovasculaires et métaboliques.