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Un médicament contre le diabète efficace contre le cancer de l’ovaire

Une nouvelle étude rapportée par Santelog.com parle d’une découverte intéressante concernant le cancer de l’ovaire.

Cette maladie fait des ravages chez les femmes, et les chercheurs multiplient les efforts pour tenter de trouver des solutions. Il y en a peut-être une qui se développe en ce moment, alors que des chercheurs de la Clinique Mayo affirment être en mesure d’allonger la durée de vie de patientes atteintes d’un cancer de l’ovaire grâce à un traitement contre le diabète.

Il s’agit de la metformine, un médicament bien connu, qui pourrait bien avoir une double propriété. On avait par ailleurs déjà associé la metformine à des résultats encourageants observés dans certains cas de cancers du poumon, notamment.

Cette fois, les chercheurs ont analysé les dossiers de 61 patientes atteintes d’un cancer de l’ovaire à qui l’on a administré de la metformine. On a ensuite comparé ces résultats avec ceux de 178 patientes qui n’ont pas reçu le traitement.

Les résultats sont clairs : les patientes sous metformine augmentent leur durée de vie. Et cela peut même aller jusqu’à cinq années supplémentaires, affirment les experts.

Il s’agit d’une percée intéressante qui pourrait mener à d’autres traitements en matière de cancer de l’ovaire.

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Des herbes très dangereuses pour la santé liées à des cas de cancer

De plus en plus de gens se tournent vers les médecines alternatives pour tenter d’enrayer des problèmes de santé, mais certains produits seraient hautement dangereux pour la santé, rapporte www.nlm.nih.gov.

C’est le cas des herbes qui contiennent de l’acide aristolochique, comme le Fang Chi.

Ce n’est pas la première fois que les agences de santé mettent la population en garde contre ce genre de produit. Une vaste campagne de sensibilisation avait été lancée en 2001, 2003 et 2005 au Canada et aux États-Unis, après que des tests aient révélé les dangers reliés à l’utilisation de produits contenant de l’acide aristolochique.

Cette fois, une étude taïwanaise vient mettre le clou final au débat, alors qu’elle conclut que des cas de cancers de la vessie et des reins sont directement liés à la prise de ces herbes. Plus précisément, l’étude parle de cas recensés chez des herbalistes et homéopathes qui ont été en contact direct et fréquent avec ces produits, dont le Fang Chi.

Le deux tiers des personnes au nombre des cas recensés étaient des femmes.

Plusieurs produits contenant de l’acide aristolochique sont toujours vendus en magasins en Asie, et les spécialistes tiennent mordicus à l’implantation de lois plus strictes pour en freiner la vente.

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De nouveaux tests sanguins pour détecter les signes précoces de cancer

www.nlm.nih.gov rapporte qu’une nouvelle étude parle de la possibilité de voir apparaitre de nouveaux tests sanguins, qui pourraient s’avérer fort utiles dans le dépistage du cancer.

Selon les conclusions de l’étude, les praticiens de partout pourraient avoir accès à ces nouveaux types de tests et ainsi être en mesure de diagnostiquer plus rapidement les signes précurseurs de cancer chez leurs patients.

Cependant, les recherches n’en sont qu’à leur stade préliminaire, et les questions concernant cette percée sont encore nombreuses, notamment concernant les coûts et l’interprétation des résultats de ces tests.

Malgré tous ces points d’interrogation, il n’en demeure pas moins qu’un test sanguin basé sur l’ADN et la génétique serait toute une avancée dans le domaine.

C’est ce que croit le Dr Victor Velculescu, codirecteur du programme Cancer/Biologie du Johns Hopkins Kimmel Cancer Center de Baltimore : « Ce serait une bonne façon de détecter les stades précoces du cancer chez nos patients, et d’en déterminer le niveau au fur et à mesure des traitements ».

D’autres tests sont aussi en essais, dont un qui pourrait même aller jusqu’à détecter les cellules cancéreuses dans le sang bien avant le développement de la maladie.

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Les fruits « colorés » et les légumes au sommet de leur forme en automne

Le Dana-Farber Cancer Institute de Boston tient à rappeler à la population que la période actuelle en est une excellente pour intégrer les fameux fruits et légumes à son régime alimentaire.

Il appert que, selon les propos rapportés par www.nlm.nih.gov, la valeur nutritive des fruits et légumes est à son meilleur en automne. Même chose, donc, pour les propriétés anti-cancer des fruits dits « colorés ».

Stacy Kennedy, nutritionniste du Dana-Farber Institute, rappelle que ces fruits « colorés » (ainsi que les légumes) pourraient bien être la clé principale d’une vie sans cancer.

La pomme, par exemple, contient des nutriments qui protègent les cellules d’ADN des dommages qui pourraient mener à un cancer.

« La clé est de les manger crus, avec la peau. C’est là que se trouvent la plupart des nutriments. Et plus la pigmentation du fruit est puissante et riche, plus ses propriétés de protection contre le cancer sont élevées.

Elle souligne aussi l’importance et la puissance des légumes foncés et verts, comme le brocoli et les choux de Bruxelles, par exemple.

L’automne serait donc la saison parfaite pour remettre son corps sur la bonne voie!

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Une boisson gazeuse par jour pourrait mener au cancer de la prostate

Si une pomme par jour éloigne le médecin pour toujours, il semble que ce soit tout le contraire en ce qui concerne les boissons gazeuses.

En effet, radio-canada.com rapporte une étude qui prétend qu’une boisson gazeuse par jour pourrait suffire à mener au cancer de la prostate.

L’étude suédoise, très sérieuse, a été publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition et relate les observations effectuées par les chercheurs de l’Université Lund, Isabel Drake en tête.

Cette dernière parle même d’un risque de cancer de la prostate accru de 40 % chez les hommes qui consomment fréquemment des boissons de ce genre. Ce sont les conclusions qu’elle tire à la suite de tests effectués sur 8000 hommes âgés de 45 à 73 ans, évalués sur une période de 15 ans.

Aussi au banc des accusés : les régimes alimentaires de riz et de pâtes ainsi que les déjeuners forts en sucres et sucres ajoutés.

Difficile, d’ailleurs, de ne pas tracer un lien entre cette étude et celle parue récemment qui taxait le sucre d’être « toxique » pour l’organisme. Il semble que ce soit l’ennemi à abattre et, dans ce cas-ci, les boissons gazeuses.

Pour corroborer le tout, des études en Asie démontrent que les Asiatiques qui résident aux États-Unis (plus grand consommateur de boissons gazeuses dans le monde) développent plus de cancers de la prostate que leurs compatriotes demeurés en Asie.

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Le sexe et la santé : nouvelle étude

Plusieurs études sont sorties sur le sujet de l’amour, de la sexualité et de la santé au fil des dernières années. Si certains résultats se voulaient contradictoires au départ, les conclusions voulant que le sexe soit bénéfique sur la santé deviennent de plus en plus partagées par la communauté scientifique.

De nouvelles recherches viendraient corroborer les théories selon lesquelles une sexualité active a des effets bénéfiques sur la santé.

e-sante.fr rapporte une étude sur le sujet, effectuée par des chercheurs de l’Université Duke, qui explique que l’acte sexuel est bénéfique pour réduire les maux de tête, pour la mémoire et pour la ligne.

De plus, une sexualité saine et active permettrait de faire baisser les risques de cancer de la prostate et du sein, en plus d’une production supplémentaire d’anticorps. Le sexe pour se protéger de la grippe? Il semble que oui, à tout le moins partiellement.

L’étude de Duke a été effectuée sur 270 sujets sur une période de 25 ans et a noté que plus les hommes avaient des rapports sexuels fréquents, plus ils vivaient vieux. Ce ne serait pas forcément le cas chez la femme, alors que la notion de « qualité sexuelle » vient faire varier la donne.

Pour conclure, les chercheurs rappellent qu’il a été démontré que le bonheur permet de vivre plus longtemps. Une vie sexuelle satisfaisante serait donc non seulement bénéfique sur le plan physique, mais aussi psychologique, ce qui contribuerait encore plus au prolongement de la vie… en pleine santé.

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Un médicament efficace contre le cancer du cerveau

TopSanté rapporte que des chercheurs ont découvert de nouvelles propriétés encourageantes à un médicament déjà connu par les spécialistes en oncologie à travers le monde.

Pour nous, l’Avastin n’est pas si familier, mais il pourrait s’agir d’un nom à retenir. Produit par l’industrie Roche (au cœur d’un possible scandale concernant le Tamiflu, cet antidote contre la grippe), le médicament avait déjà démontré de belles qualités dans le traitement de plusieurs cancers, dont celui du poumon, du sein et colorectal.

Cette fois, les chercheurs croient que l’Avastin pourrait être efficace également contre un type de cancer du cerveau très agressif. Les cas de glioblastomes sont dévastateurs, et les médecins espèrent pouvoir utiliser le médicament pour des cas similaires.

Combiné à la chimiothérapie et à la radiothérapie, l’Avastin permettrait d’abaisser les risques de mortalité de 36 %, selon les chercheurs, par rapport à groupe-test qui n’a subi que de la chimiothérapie (et placebo).

Le taux de survie global passerait ainsi à 72 %, ce qui est encourageant.

Les résultats finaux de ces études seront présentés en 2013, au congrès annuel de la Société de neuro-oncologie qui se déroule à Washington.

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Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables aux toxines contenues dans les aliments

Dans une étude publiée dans la revue Environmental Health, des chercheurs ont mesuré le niveau d’exposition à des toxines trouvées dans des aliments courants chez les adultes et les enfants, puis ont déterminé la fréquence à laquelle ces aliments étaient consommés.

Les enfants étaient particulièrement vulnérables aux toxines étudiées, c’est-à-dire l’arsenic, les dioxines, le DDE et la dieldrine.

Ainsi, 100 % des 364 enfants âgés de 2 à 7 ans ayant participé à l’étude excédaient les niveaux jugés sécuritaires pour prévenir le cancer, et ce, pour l’ensemble de ces toxines. Plus de 95 % des enfants dépassaient également le niveau de risque acceptable pour l’acrylamide, une toxine contenue dans les frites et les croustilles.

Les chercheurs ont également noté des fruits et légumes qui contenaient un très haut niveau de pesticides : les tomates, les pêches, les pommes, les poivrons, les raisins, la laitue, le brocoli, les fraises, les épinards, les poires, les haricots verts ainsi que le céleri. Les produits laitiers en contenaient aussi beaucoup.

« Nous voulions nous attarder aux enfants parce qu’une exposition en bas âge peut avoir des effets à long terme sur de nombreuses maladies. Les autorités calculent maintenant les risques en se basant uniquement sur l’exposition à des contaminants individuels. Mais nous voulions comprendre l’effet cumulatif de l’exposition à ces contaminants. Ces résultats montrent que nous devons empêcher l’exposition des jeunes enfants à des toxines multiples si l’on veut diminuer leur risque de cancer », a expliqué l’auteur de l’étude, Rainbow Vogt, tel que rapporté par Medical News Today.

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Discuter de la fin de vie mènerait à des traitements moins agressifs

Les patients en phase terminale, comme ceux atteints du cancer, seront moins enclins à opter pour des traitements agressifs en fin de vie s’ils ont des discussions ouvertes sur le sujet.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui reprend les propos d’une étude récente sur le sujet. On parle entre autres de l’importance du lien patient-médecin, et de celle de bien communiquer.

Ainsi, plusieurs patients en fin de vie laisseront tomber les traitements qui n’ont pour but que de leur ajouter quelques jours, mais qui n’améliorent pas leur situation ou qui ne leur procurent pas de soulagement réel. De telles méthodes acharnées sont par ailleurs onéreuses.

La Dre Jennifer Mack, auteure principale de l’étude et médecin au Dana-Farber Cancer Institute de Boston, explique : « Les soins agressifs individuels en fin de vie ne sont pas nécessairement mauvais. C’est juste que la plupart des patients qui acceptent le fait qu’ils sont en train de mourir ne veulent souvent plus recevoir ce type de traitement. Nous devrions nous assurer que de bonnes discussions sur le sujet ont lieu rapidement après un diagnostic de cancer incurable ».

L’étude analysait les cas de 1231 patients en phase terminale et note que les discussions à cet effet ont souvent lieu trop tard.

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Des différences dans les gènes de non-fumeuses atteintes du cancer

www.nlm.nih.gov rapporte que des chercheurs ont fait des percées importantes en matière de génétique et de cancer, alors que ceux-ci auraient trouvé des variantes dans les gènes de patientes atteintes du cancer du poumon.

Plus précisément, ces récentes découvertes ont été remarquées chez des patientes non-fumeuses atteintes de ce type de cancer.

On parle donc de différences génétiques observées dans trois régions, spécialement chez les femmes asiatiques, qui s’appliqueraient dans plusieurs cas de cancers du côté des non-fumeurs.

Ainsi, les chercheurs sont en train de confirmer la « provenance » du cancer du poumon chez ces femmes, un mystère pour celles qui n’ont jamais touché une cigarette de leur vie.

Après avoir compilé les données de 14 études sur le sujet, incluant les dossiers de pas moins de 14 000 patientes asiatiques (6600 atteintes du cancer du poumon, et 7500 en santé), l’équipe de chercheurs a constaté les variations dont il est question dans l’étude au niveau des chromosomes 6 et 10.

Bien entendu, les auteurs de la super-étude rappellent l’importance d’éviter la fumée secondaire dans votre environnement immédiat, ce qui pourrait accélérer le processus du cancer du poumon chez les non-fumeurs aux prises avec ce type de variation génétique.