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Un examen du côlon plus simple et aussi efficace pour les femmes

Les femmes de moins de 70 ans ont un risque plutôt faible de voir apparaître une grosseur anormale dans la partie supérieure du côlon, suggère une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

Ainsi, toujours selon les chercheurs de l’étude, plusieurs femmes pourraient opter pour des tests de dépistage du cancer du côlon plus simples, moins intrusifs et tout aussi efficaces.

Même si plusieurs autres types de tests sont offerts, et même si les spécialistes américains ne recommandent une colonoscopie que tous les dix ans pour les femmes âgées de 50 ans et plus (en plus d’autres tests sporadiques), il semble que le choix de prédilection dans le domaine demeure le plus invasif et onéreux.

Thomas Imperiale, un gastro-entérologue de l’Université de l’Indiana, met en garde contre ce choix. Selon lui, les gens croient trop aisément que de subir une colonoscopie est suffisant, et qu’aucun autre test n’est nécessaire.

Il explique : « Plusieurs personnes ne subissent aucun autre test de dépistage du côlon, car ils croient qu’une colonoscopie est suffisante et indispensable. Il existe d’autres avenues ».

Ainsi, il est suggéré d’en discuter avec son médecin, afin de trouver les meilleures solutions de dépistage pour vous.

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Cellulaires et cancer du cerveau : un précédent

Le lien suspecté entre l’utilisation massive du téléphone cellulaire et certains cancers du cerveau n’est pas nouveau. Depuis les débuts de cet appareil moderne, les inquiétudes sont nombreuses quant à ses effets possibles sur le cerveau.

En 2011, le Centre international de recherche sur le cancer de l’OMS publiait un communiqué indiquant que les fréquences des téléphones portables étaient effectivement potentiellement dangereuses.

Mais voilà qu’un véritable précédent dans ce dossier a été créé récemment en Italie. En effet, selon ce qu’annonce radio-canada.ca, un homme atteint d’une tumeur, monsieur Innocenzo Marcollini, a convaincu un tribunal italien que l’utilisation de son téléphone était responsable de son diagnostic.

Le plaignant affirme avoir utilisé son appareil de 5 à 6 heures par jour pendant 12 ans. Appelée à commenter cette décision, la professeure Magda Havas, de l’Université Trent en Ontario, se dit en accord.

Elle déclare : « On commence à reconnaître qu’on ne peut pas placer un émetteur d’ondes sur notre cerveau sans s’attendre à ce que cela ait des effets. »

Rappelons que le Canada (Santé Canada), quant à lui, ne reconnait pas la causalité du téléphone cellulaire pour des cas de cancer ou de tumeur.

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Le dilemme de la provenance des cellules souches

On le sait, les cellules souches transplantées chez des patients atteints du cancer et suivant un traitement de chimiothérapie offrent beaucoup d’espoir.

Ces patients voient leur moelle épinière être ravagée par les traitements, et les cellules souches peuvent venir contrer ce phénomène.

Une nouvelle étude s’attarde cependant sur une question importante, soit la provenance de ces cellules souches. Souvent, la technique utilisée est celle de la transplantation de moelle épinière, mais il est également possible d’arriver au même résultat par une transfusion sanguine (sang périphérique).

Quel est donc le meilleur moyen, se questionnent les chercheurs dans cette étude que propose www.nlm.nih.gov.

L’étude démontre que les cellules souches de sang périphérique pourraient réduire les risques d’échec de greffe, alors que la moelle épinière pourrait réduire les risques de développer une maladie chronique postgreffe.

Le débat risque de se poursuivre pour un bon moment.

Dans les dix dernières années, 75 % des transplantations de cellules souches provenant d’une personne non reliée par la famille ont été faites à partir de sang périphérique. Il semble que plusieurs études ont aussi démontré que la moelle épinière peut mener à des complications plus sérieuses, ce qui aurait influencé le choix des spécialistes.

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Nouvelle preuve que l’allaitement réduit le risque de cancer du sein

La conclusion de cette recherche revêt une grande importance, puisqu’à ce jour, aucun facteur modifiable n’avait été trouvé. L’allaitement est donc le premier facteur prouvé qui élimine complètement la présence de récepteurs hormonaux négatifs menant au cancer du sein.

Eurekalert.org rapporte que l’étude a été menée à la Columbia University’s Mailman School of Public Health. Les chercheurs ont analysé la corrélation entre le nombre d’enfants de la mère, l’allaitement et la prise de contraceptifs oraux.

La résultante démontre clairement que les contraceptifs oraux n’ont aucune incidence sur la présence des ER/PR-négatifs. Quant à l’allaitement, il était directement relié à l’absence de ces récepteurs. Le cancer développé lors du dépistage des ER/PR atteint normalement les femmes plus jeunes.

Plusieurs pays se sont concertés pour cette étude, notamment le Canada, les États-Unis et l’Australie. Plus de 4000 femmes atteintes du cancer du sein ont participé au programme de recherche.

Selon la Dre Meghan Work, auteure principale et étudiante au doctorat au département d’épidémiologie, « les femmes ayant des enfants, mais n’ayant pas allaité ont 1,5 fois plus de risque de développer le cancer du sein ER/PR négatif ».

Une fois de plus, les spécialistes du domaine médical et scientifique recommandent fortement que l’allaitement fasse partie de la réglementation de la santé.

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Les antioxydants encore en vedette dans la lutte contre le cancer

Les antioxydants se retrouvent encore cités dans une nouvelle étude, eux qui sont déjà abondamment mis en vedette dans la lutte contre le cancer, cette fois en lien avec le cancer de la prostate.

Ces recherches tendent à démontrer que les hommes qui consomment des fruits, des légumes et du thé (et les antioxydants qu’ils contiennent) sont moins à risque de développer la forme la plus agressive de cancer de la prostate.

Les taux de survie seraient donc augmentés dans le cas d’un diagnostic de cancer de la prostate, rapporte www.nlm.nih.gov. Cependant, de l’aveu même des chercheurs, ces résultats sont partiels et limités. Il faudra donc attendre avant de pouvoir conclure qu’un régime alimentaire à base de fruits, légumes et autres végétaux protège vraiment contre le cancer.

Par contre, à la suite de l’examen de 1900 patients atteints, ceux qui avaient une meilleure diète et consommaient des fruits et légumes (et/ou du thé) avant l’apparition de la maladie ont donc réduit de 25 % leurs chances de développer la forme la plus ravageuse du cancer de la prostate.

« Nous voyons bien que même si cela ne vous prévient pas du cancer, les antioxydants permettent de se protéger de sa version la plus agressive », conclut la professeure Susan Steck de l’University of South Carolina’s Arnold School of Public Health.

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Les multivitamines réduiraient modérément les risques de cancer

(Relaxnews) – La prise quotidienne de multivitamines pourrait réduire les risques de cancer chez les hommes d’âge mûr, selon une étude américaine récente.

Ce test a été réalisé sur près de 15 000 hommes, âgés de 50 ans au début de l’étude, qui ont pris des multivitamines au quotidien pendant une décennie. L’équipe de chercheurs de Brigham et de Harvard est arrivée à la conclusion que cette habitude entraînait une réduction modérée, mais « significative statistiquement » des cancers. Cette étude paraîtra dans la revue JAMA.

Pour arriver à ces conclusions, l’équipe a analysé des données issues de la Physician’s Health Study de Harvard, une longue étude sur la prévention des maladies chroniques. Les hommes qui avaient pris chaque jour des multivitamines voyaient leur risque de développer un cancer baisser de 8 % par rapport aux hommes qui avaient pris un placebo pendant la même période.

« De nombreuses études ont montré qu’une alimentation équilibrée pouvait minimiser chez l’homme les risques de cancer », a expliqué le Dr Howard Sesso à la BBC. « Nous savons désormais que la prise quotidienne de multivitamines, en plus de répondre aux carences en vitamines et minéraux, peut aussi être considérée dans le cadre de la prévention du cancer chez les hommes d’âge mûr et les plus âgés. »

Une précédente étude réalisée sur des souris de laboratoire, parue en février dans le Canadian Journal of Physiology and Pharmacology, avait montré que la prise de compléments alimentaires de vitamines et minéraux pouvait réduire de façon significative le cancer du côlon.

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Un soutien-gorge dépisteur de cancer

Topsante.com rapporte la création d’un soutien-gorge « dépisteur de cancer », par une compagnie américaine.

Il s’agit d’un soutien-gorge de type sport, tout ce qu’il y a de plus commun, mais qui contient un système peu banal. L’objet serait en mesure de détecter les signes précoces d’un cancer du sein, jusqu’à six ans avant qu’une mammographie puisse y parvenir!

C’est énorme, si l’on prend en considération que le dépistage sauve des vies, et que plus le diagnostic de cancer est fait tôt, plus les chances de survie sont excellentes.

Portant le nom de Breast Self Exam, le soutien-gorge est muni d’un système de capteurs qui peut analyser les changements de température des seins, indicateurs de la création de nouveaux vaisseaux sanguins, utiles à la prolifération de tissus cancéreux.

Tout un concept, qui semble futuriste, mais qui s’avère génial dans son intention. Des essais cliniques ont conclu à un taux d’efficacité de 90 %, mais plusieurs autres sont à venir pour assurer le fonctionnement total de l’appareil.

En attendant, les spécialistes conseillent vivement aux femmes de subir des tests de dépistage pour le cancer du sein dès 50 ans, mais plusieurs suggèrent maintenant de le faire dès la quarantaine.

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La folie des antioxydants : danger?

Les antioxydants font la manchette dans toutes les sections santé du Web, des magazines et des bulletins télévisés. Tout le monde est d’accord pour confirmer les vertus protectrices des antioxydants contre plusieurs maladies (cardiovasculaires, diabète, cancer, etc.)

Plusieurs chercheurs n’ont pas hésité à conseiller à la population d’ingérer des suppléments d’antioxydants, comme moyen de prévention.

La folie des antioxydants est maintenant partout, et voilà que d’autres experts pensent que des effets négatifs potentiels d’une prise élevée de ces produits doivent être nommés et étudiés.

Ainsi, selon des propos rapportés par www.extenso.org, des études démontrent que la consommation massive de bêta-carotène chez les fumeurs pourrait augmenter les risques de cancer du poumon.

Une autre étude, effectuée auprès de 13 000 personnes (hommes et femmes de 35 à 60 ans) consommant quotidiennement des suppléments d’antioxydants, démontrerait que l’effet est maximal à faible dose seulement, et uniquement chez les hommes.

Les femmes qui ont déjà une quantité adéquate d’antioxydants dans leur organisme ne gagneraient rien à prendre des suppléments. On parle d’un « effet seuil ».

Toutes les études dressent cependant un tableau similaire qui mènerait à cette conclusion : la supplémentation d’antioxydants à fortes doses nuirait carrément aux gens en phase pré-cancer (sans symptôme) et serait tout bonnement inutile pour les autres.

Donc, peu importe la situation, une dose modérée est requise.

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La folie des antioxydants : danger?

Les antioxydants font la manchette dans toutes les sections santé du Web, des magazines et des bulletins télévisés. Tout le monde est d’accord pour confirmer les vertus protectrices des antioxydants contre plusieurs maladies (cardiovasculaires, diabète, cancer, etc.)

Plusieurs chercheurs n’ont pas hésité à conseiller à la population d’ingérer des suppléments d’antioxydants, comme moyen de prévention.

La folie des antioxydants est maintenant partout, et voilà que d’autres experts pensent que des effets négatifs potentiels d’une prise élevée de ces produits doivent être nommés et étudiés.

Ainsi, selon des propos rapportés par www.extenso.org, des études démontrent que la consommation massive de bêta-carotène chez les fumeurs pourrait augmenter les risques de cancer du poumon.

Une autre étude, effectuée auprès de 13 000 personnes (hommes et femmes de 35 à 60 ans) consommant quotidiennement des suppléments d’antioxydants, démontrerait que l’effet est maximal à faible dose seulement, et uniquement chez les hommes.

Les femmes qui ont déjà une quantité adéquate d’antioxydants dans leur organisme ne gagneraient rien à prendre des suppléments. On parle d’un « effet seuil ».

Toutes les études dressent cependant un tableau similaire qui mènerait à cette conclusion : la supplémentation d’antioxydants à fortes doses nuirait carrément aux gens en phase pré-cancer (sans symptôme) et serait tout bonnement inutile pour les autres.

Donc, peu importe la situation, une dose modérée est requise.

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Un nouveau traitement retarderait la progression du cancer

Avec cette combinaison de médicaments visant spécialement la progression du mélanome avancé, les scientifiques ont remarqué un délai supplémentaire, d’environ quatre mois, avant que les patients deviennent résistants à leur thérapie, rapporte nlm.nih.gov.

Le mélanome est le plus sérieux, et souvent mortel, des cancers de la peau. Dans la moitié des cas, la croissance de la tumeur est causée par la mutation génétique qui garde une protéine (BARF) activée en permanence.

Les médicaments administrés à ces patients sont en mesure d’inverser le processus de la tumeur dans 90 % des cas, mais le problème se situe dans le fait que ceux-ci développent rapidement une résistance au traitement. Le cancer reprend donc quelques mois plus tard.

À la suite de plusieurs études qui corroboraient ces théories, les chercheurs du Massachusetts General Hospital Cancer Center ont tenté de rendre tangibles ces théories, et auraient réussi.

Selon ce que l’on constate, la plupart des patients ayant reçu cette combinaison de médicaments auraient allongé leur capacité de traitement de quatre autres mois, sans résistance.