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Un nouveau traitement retarderait la progression du cancer

Avec cette combinaison de médicaments visant spécialement la progression du mélanome avancé, les scientifiques ont remarqué un délai supplémentaire, d’environ quatre mois, avant que les patients deviennent résistants à leur thérapie, rapporte nlm.nih.gov.

Le mélanome est le plus sérieux, et souvent mortel, des cancers de la peau. Dans la moitié des cas, la croissance de la tumeur est causée par la mutation génétique qui garde une protéine (BARF) activée en permanence.

Les médicaments administrés à ces patients sont en mesure d’inverser le processus de la tumeur dans 90 % des cas, mais le problème se situe dans le fait que ceux-ci développent rapidement une résistance au traitement. Le cancer reprend donc quelques mois plus tard.

À la suite de plusieurs études qui corroboraient ces théories, les chercheurs du Massachusetts General Hospital Cancer Center ont tenté de rendre tangibles ces théories, et auraient réussi.

Selon ce que l’on constate, la plupart des patients ayant reçu cette combinaison de médicaments auraient allongé leur capacité de traitement de quatre autres mois, sans résistance.

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Un nouvel allié santé : la canneberge

Un aliment peu utilisé dans les cuisines, la canneberge, aurait avantage à l’être, selon ce que propose topsanté.com.

En effet, il appert que le petit fruit apporte son lot d’avantages pour la santé. Il lutterait d’abord contre les radicaux libres, responsables du vieillissement des cellules, grâce aux fameux antioxydants qu’il contient.

De plus, il protègerait contre les risques d’ulcères d’estomac, de plaque dentaire et de parodontite. Comme la canneberge prévient les bactéries de se coller aux muqueuses, elle protègerait donc également contre les cystites et les infections urinaires.

Ceux qui sont aux prises avec une infection de ce genre sont conviés à consommer 30 centilitres de jus de canneberges par jour (ou 36 milligrammes).

On note aussi ses bienfaits dans la lutte contre le mauvais cholestérol, grâce aux polyphénols contenus dans la petite baie.

Au final, on constate que presque tous les risques de maladies dites « modernes » (diabète, cancer, maladies cardio-vasculaires et rhumatismales, etc.) se voient diminués grâce à l’utilisation quotidienne de la canneberge.

Les façons de cuisiner la canneberge sont nombreuses, ce qui en fait un ingrédient facile à intégrer dans son alimentation, en plus d’être délicieux.

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Le cancer, trop mortel dans les films?

Hollywood et ses confrères utilisent abondamment le cancer pour créer du drame autour des personnages d’un film ou d’une série télévisée. Trop souvent, ils dressent un portrait de cette maladie qui ne serait pas tout à fait véridique, explique nlhm.nih.gov à la suite d’une étude effectuée sur le sujet.

Les chercheurs affirment que les créateurs se doivent de montrer aux auditeurs et spectateurs que les diagnostics de cancer sont loin d’être assurément gages de mort certaine.

L’étude analysait 82 films dont le personnage central souffrait de cette maladie. On parle entre autres de Cat on a Hot Tin Roof, Gran Torino et Diary of a Country Priest. Les conclusions sont claires : les expériences dépeintes dans ces longs métrages s’avèrent très souvent loin de la réalité.

On recense qu’un personnage fictif atteint de cancer meurt 63 % du temps. Les traitements les plus utilisés en fiction sont la chimiothérapie et les antidouleurs. Les symptômes sont mentionnés 72 % du temps, et les tests de diagnostics, 65 %.

Le 20 septembre dernier, on présentait les résultats devant l’European Society for Medical Oncology à Vienne. « Maintenant, le cinéma se heurte aux problèmes les plus substantiels en matière de maladies oncologiques, qui étaient absents au tout début de cet art », déclare le Dr Luciano De Fioere, de l’Université de Rome.

Il ajoute : « Les patients survivent rarement grâce aux traitements dans les films. Heureusement, ceci est de moins en moins vrai dans la vie réelle », et conclut en parlant d’un « écart éducationnel » en ce qui a trait aux cancers retrouvés dans les films.

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Des souris éclairent les chercheurs en fertilité

Les ovules peuvent se réparer d’eux-mêmes à la suite des dommages causés par la radiation, déclarent les chercheurs en fertilité, tel que rapporté par le site nlm.nih.gov.

Ceci ravive l’espoir des femmes qui doivent subir des traitements contre le cancer de contrer les problèmes éventuels d’infertilité liés à ce type de thérapie.

Même si les sujets-tests ne sont limités pour l’instant qu’aux souris, les chercheurs de l’étude croient fermement que le lien est direct et s’applique également aux femmes.

Outre les patientes en traitement pour le cancer, l’étude est un vent d’optimisme pour les femmes souffrant d’une ménopause précoce, une condition qui augmente les risques d’infertilité, ainsi que celles atteintes d’ostéoporose et de maladies cardiaques.

Dans un papier qui devrait être publié dans l’édition du 9 novembre du Molecular Cell, on allègue que des chercheurs australiens ont découvert que les ovules ne sont pas tués par la radiation, comme on aurait pu le croire auparavant.

En fait, ils le sont par deux protéines du nom de Puma et Noxa, qui entreraient en action dès qu’une anomalie ou un dommage est détecté dans les ovules.

Dans les expériences conduites, les souris qui ne possédaient pas ces protéines produisaient des ovules qui survivaient aux radiations, tout à fait capables de féconder naturellement.

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Une étude des gènes apporte de nouveaux indices sur le cancer du sein

Un nouveau regard sur l’empreinte génétique du cancer du sein a révélé de nouvelles informations sur cette maladie dévastatrice, incluant le fait que certains cancers du sein sont reliés de près à certains cancers ovariens.

Le cancer du sein de type basal, l’une des plus mortelles sous-catégories existantes, se rapprocherait génétiquement du cancer ovarien, rapporte nlm.nih.gov.

Dans cette étude, les scientifiques ont utilisé six différentes technologies pour analyser 348 tumeurs chez des femmes aux prises avec le cancer du sein. Ils ont étudié de possibles failles dans l’ADN et l’ARN des tumeurs, ainsi que dans ses protéines.

Ils ont ainsi pu confirmer l’existence de quatre sous-types de cancer du sein, ce qui vient ajouter aux théories grandissantes qui suggèrent que les tumeurs devraient être cataloguées et traitées selon le type de gènes qui est altéré, et non selon la location de la maladie sur le corps.

« Avec cette étude, nous avons fait un autre bond de géant vers la compréhension des origines génétiques des quatre sous-catégories principales de cancer du sein », explique le Dr Matthew Ellis, chef de l’institut d’oncologie de la Washington University School of Medicine.

Dr Ellis poursuit en avançant que l’étude suggère également que la plupart des cancers de types basaux et ovariens ont des origines génétiques similaires et pourraient être traités avec les mêmes médicaments.

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Une petite quantité d’alcool suffit pour augmenter les risques de cancer

Jusqu’à maintenant, les études se sont penchées sur une consommation excessive d’alcool et ses impacts pour accroître les risques de certains cancers comme, ceux de l’oropharynx, de l’œsophage et du sein.
 
Après une méta-analyse de 222 publications totalisant 150 000 participants, on constate que même une légère consommation d’alcool augmente légèrement, mais de façon significative les risques de développer le cancer.
 
Cette étude, bien qu’elle ait besoin d’être approfondie, apporte une nouvelle compréhension des effets de l’alcool sur le développement du cancer.
 
Par contre, on ne note pas de lien significatif pour un risque accru du cancer du foie, colorectal et du larynx avec une faible consommation d’alcool.
 
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Nouvelle percée médicale dans la lutte contre le cancer

Radio-Canada nous apprend que des chercheurs d’Ottawa sont très encouragés par leur découverte. Ils travaillent sur un vaccin qui freine la prolifération des cellules cancéreuses et qui pourrait aussi, dans certains cas, supprimer totalement la maladie.
 
C’est le virus VSV qui permet ce processus. Il est sans danger pour l’homme, mais il parvient à détruire les cellules cancéreuses, en plus de donner un coup de pouce au système immunitaire.
 
Pour le moment, les premiers résultats obtenus sur des souris sont encourageants, mais les essais cliniques ne commenceront que d’ici trois ans. Le vaccin pourrait être offert uniquement dans 15 ans.
 
« Ce qu’on peut vraiment faire, c’est freiner la propagation du cancer. On a vu dans plusieurs modèles que les souris qui avaient des traitements contrôles, leurs poumons étaient complètement remplis de tumeurs. Et celles qui ont été traitées avec le vaccin, quatre des cinq qu’on a regardées, il n’y avait rien qu’on pouvait voir », indique Chantal Lemay, docteure en biologie moléculaire à l’Institut de recherche de l’Hôpital d’Ottawa.
 
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Cancer du sein, risque accru sur 3 générations pendant la grossesse

C’est ce que déclarent les chercheurs du Georgetown Lombardi Comprehensive Cancer Centre. L’étude a été publiée dans la revue Nature Communication (11 septembre).

Selon santelog.com, le régime alimentaire affecte ainsi non seulement le fœtus, mais aussi les cellules germinales fœtales. Celles-ci se transfèrent génétiquement à au moins deux autres générations de filles. Dans ce cas, on parle de multihérédité.

Les recherches ont été effectuées sur des rats. Les groupes de femelles ayant été nourries d’aliments riches en graisses élevaient les risques de cancer du sein jusqu’à 60 % pour les deux générations suivantes. Quant aux femelles ayant reçu une dose supplémentaire d’oestrogènes, le risque de tumeurs mammaires était accru de 50 %.

L’auteure principale de l’étude, Leena Hilakivi-Clarke, professeure d’oncologie, explique les résultats : « Nous savons que le régime alimentaire de la mère peut avoir des effets à long terme sur la santé de sa progéniture, mais cette étude montre, sur le rat, pour la première fois, que ce facteur peut affecter trois3 générations de descendants ».

Ces résultats mènent les spécialistes vers un concept d’hérédité épigénétique. On souhaite que le processus soit réversible, mais rien n’a été étudié à ce propos à ce jour.

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Les statines à la rescousse des métastases

Bien qu’il existe différents traitements contre le cancer, peu d’entre eux parviennent à neutraliser les métastases.
 
Une étude parue dans les Proceedings of the National Academy of Sciences démontre que les statines pourraient jouer ce rôle.
 
Ces médicaments couramment prescrits contre le mauvais cholestérol freineraient les cellules métastatiques du cancer.
 
Un nouveau précédé 3D créé par des experts pour la culture cellulaire permet de savoir quelle substance agit sur la croissance des vaisseaux lymphatiques.
 
Les chercheurs ont analysé différentes molécules, dont les statines, pour découvrir qu’elles pouvaient empêcher la croissance des vaisseaux en cause, freinant du même coup les métastases.
 
Les premiers résultats obtenus sur des souris sont forts prometteurs, mais des études plus approfondies et des essais cliniques doivent être effectués avant de recommander la méthode sur des humains.
 
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Consommer moins de viande rouge pourrait réduire les maladies coronariennes et le cancer du côlon

Une réduction de moitié de la consommation de viande rouge et de charcuterie pourrait faire chuter le risque de maladies chroniques de 3 à 12 %, selon une méta-étude publiée dans le British Medical Journal Open.

Les chercheurs ont analysé des données indiquant que chaque 50 grammes de viande rouge consommé quotidiennement engendre une augmentation de 42 % des risques de maladies coronariennes, de 19 % des risques de diabète de type 2, et de 18 % des risques de cancer du côlon.

Se fiant ensuite sur des réponses à un sondage sur l’alimentation des Anglais, les chercheurs ont bâti un modèle séparant la population en cinq tranches, selon leur consommation de viande rouge et de charcuterie.

Ils sont arrivés à leur conclusion sur la réduction du risque en effectuant un calcul doublant le pourcentage actuel de végétariens et déplaçant le reste de la population dans la tranche inférieure.

La baisse des risques serait proportionnelle à l’ampleur du changement dans l’alimentation. Celle-ci serait donc deux fois plus importante pour les gens qui se trouvent au départ dans la tranche supérieure, mais qui réduiraient leur consommation pour se retrouver dans la tranche inférieure.

Cette réduction aurait également l’avantage de diminuer l’émission de gaz à effet de serre de 28 millions de tonnes par année, en Grande-Bretagne seulement, ont affirmé les chercheurs.